Il y a quelques jours, Tripwire Interactive a annoncé laconiquement sur les réseaux sociaux que Killing Floor 3 arrivera le 24 juillet, soit seulement cinq mois après la bêta très mitigée. Comme beaucoup de joueurs, on avait remonté un manque de maîtrise de la lumière, une direction artistique osef, une absence d’âme, un feeling des armes à revoir, et plus globalement, un manque d’intérêt par rapport au précédent titre.
Néanmoins, les développeurs se sont mis au travail, et on imaginait plutôt avoir des nouvelles pour la fin de l’année. Avec une sortie si tôt, on peine à s’enthousiasmer, même s’ils ont pu partager quelques améliorations sur lesquelles ils ont travaillé. On citera, par exemple, le combat contre les zombies de base, ou contre les Bloats. On doit vous avouer qu’on n’a pas vu de différence flagrante, mais peut-être que l’assemblage de plein de petits détails va augmenter la qualité globale. D’autre part, ils ont également partagé quelques images de deuxniveaux, qui semblent proposer une direction artistique enfin un peu moins lisse.
En attendant le 24 juillet, si Killing Floor 3 vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.
Voilà maintenant près de 4 ans que le DLC Echoes of the Eye de l’excellent Outer Wilds est disponible sur Steam. Pourtant, le jeu continuait de recevoir régulièrement des mises à jour plus ou moins ambitieuses, permettant de peaufiner l’expérience acclamée par la critique de diverses manières.
Seulement voilà, cette époque touche à sa fin, puisque Mobius Digital a brièvement annoncé au terme de leur dernier ticket de blog Steam dédié à Outer Wilds que le patch n°16 mis en ligne il y a quelques jours serait probablement le dernier.
Et pour cause ! Au détour du paragraphe dédié à cette nouvelle, on apprend que le studio à succès planche à présent sur un tout nouveau projet, et que tout le monde au sein de l’équipe est mobilisé sur ce dernier. Une petite annonce discrète qui s’accompagne d’ailleurs d’une campagne de recrutement récemment menée sur les réseaux du studio.
De quoi mettre l’eau à la bouche, même si on a, à vrai dire, aucune information supplémentaire concernant le titre en question. En attendant, ce patch final d’Outer Wilds qui corrige quelques petits bugs est dès à présent disponible !
En milieu de semaine dernière, RyseUp, le studio derrière le développement du FPS roguelite nommé Roboquest, a publié une billet de blog Steam pour annoncer la fin des mises à jour sur leur jeu. L’équipe de devs estime en avoir fait le tour et annonce d’ores et déjà travailler sur un nouveau projet sans autre précision. Il est à noter qu’une mise à jour aurait pu voir le jour l’hiver prochain. Il n’en sera finalement rien, et il faudra donc vous contenter de la Super Update et la Endless, qui apportent leur lot de contenus. Egalement, le studio rappelle que Roboquest VR est toujours en développement sans date de sortie de annoncée, si vous êtes nostalgique de cette licence.
Vous aimez les cowboys et les interfaces complètement déjantées ? Réjouissez-vous, car Chambers vient de sortir en accès anticipé, rien que pour vous. On vous en avait parlé lors du Steam Néo Fest d’octobre 2024, à l’occasion de la sortie de sa seconde démo. Il s’agit d’un rétro-FPS avec une direction artistique bien perchée et un gameplay bizarre. On se souvient d’un feeling plutôt correct et d’affrontements gores et nerveux, mais de menus atroces, et d’un univers un peu pesant.
Le jeu est notamment développé sous Godot par JFJ, un YouTuber, et par Mr. Pink, le créateur du déjà très étrange et horrifique Golden Light. A priori, les joueurs ne sont pas spécialement enclins à se lancer dans l’aventure, car malgré les 22 000 spectateurs de la vidéo promo de lancement d’un de ses créateurs, seul un pic de 55 joueurs simultanés a été atteint après la sortie. Et compte tenu de notre expérience sur la démo, on peut vous dire que ce n’est pas étonnant. Non pas que ce soit nul, bien au contraire, mais il faut tout de même un peu s’investir pour rentrer dans le mood, vraiment très spécial.
Si contrairement au grand public, Chambers vous a convaincu, vous pouvez retrouver le jeu en promotion à –20 % sur Steam pour la sortie en accès anticipé, soit 16 € jusqu’au 26 mai.
Découvert l’année dernière, PIGFACE, développé par le dev solo tito, est un rétro-FPS dans lequel vous incarnerez une personne ensanglantée se réveillant dans un entrepôt abandonné. Soudainement, une voix mystérieuse vous sommera de tuer quiconque se dressera sur votre chemin et cerise sur le gâteau, une bombe implantée dans votre tête s’activera si vous n’obéissez pas. À la rédac, on avait bien apprécié la démo pour son gunplay et son ambiance. Cette dernière est d’ailleurs toujours disponible sur sa page itch.io.
Sans nouvelle depuis, ce n’est qu’en début de semaine dernière que l’éditeur Dread XP (The Mortuary Assistant, Red Tape, My Friendly Neighborhood ou encore Dread X Collection) a publié un trailer sur sa chaîne officielle YouTube pour annoncer que PIGFACE rejoint leur catalogue de jeux et dispose désormais d’une page Steam. On y apprend que le synopsis a quelque peu changé, à savoir que vous incarnerez un individu au passé horrible contraint de remplir des contrats d’assassinat pour ne pas voir sa tête exploser. Avec l’argent obtenu à la fin de chaque partie, vous pourrez acheter de nouvelles armes et débloquer des masques offrant des capacités spécifiques.
Pour le moment, PIGFACE n’a pas de date de sortie prévue. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Sorti en 2014, The Talos Principle avait surpris les joueurs. En effet, c’était un puzzle game développé par Croteam, uniquement connu pour Serious Sam à cette époque. Étonnamment, les mécaniques de gameplay étaient vraiment chouettes, et le lore, basé sur des réflexions philosophiques, était assez bien mis en œuvre. Onze ans, un DLC et une suite plus tard, Croteam, qui a un peu perdu la main pour les fast-FPS, s’est dit qu’il était temps de sortir un remaster : The Talos Principle: Reawakened. En plus d’un changement de moteur, ils ont ajouté un « petit » chapitre inédit, ainsi que des commentaires de développeurs. Mais si c’est indéniablement un beau produit pour les nouveaux joueurs, il propose tout de même quelques défis pour les anciens – et pas des moindres.
Genre : Puzzle game |Développeur : Croteam | Éditeur : Devolver Digital | Plateforme : Steam|Prix : 39,99 €|Configuration recommandée : Ryzen 7 / Core i5 3 Ghz, 16 Go de RAM, RX 6800 / RTX 3070 |Langues : Français pour le contenu d’origine, anglais sous-titré français pour le reste |Date de sortie : 10/04/2025|Durée de jeu : une bonne vingtaine d’heures minimum pour l’histoire de base et le DLC, et jusqu’à l’explosion du cerveau pour In The Beginning
Test effectué avec une version Steam fournie par l’éditeur.
Copié/collé, mais avec du ray tracing
The Talos Principle: Reawakened est un remaster plutôt sage : le scénario est un copié-collé du jeu d’origine. On incarne un androïde qui se réveille dans un monde bourré de puzzles et d’énigmes, avec une voix spectrale nous dictant nos actions. Mais très rapidement, on peut consulter des terminaux informatiques, qui nous permettent de découvrir qu’on consulte une base de données construite juste avant une sorte d’apocalypse, survenue une dizaine de milliers d’années auparavant. De nombreuses questions philosophiques sont soulevées, et c’est assez bien écrit pour être très intéressant. De même pour le gameplay et les puzzles : ils sont exactement les mêmes qu’en 2014. Si on veut du changement, il faut regarder du côté du moteur graphique, qui passe du Serious Engine 4 à l’Unreal Engine 5. Les textures ont évidemment été retravaillées, et le ray tracing ajouté. Si certains panoramas sont très réussis, notamment grâce aux rayons de soleil, on sent parfois que ce n’est pas à la hauteur, peut-être à cause d’un manque de détails, qui auraient ajouté un peu de crédibilité aux décors. Côté performances, pas de mystère, il faut une machine récente. Mais même avec un PC portable doté d’une RTX 4060, j’ai atteint les 100 FPS en 1080p, ray tracing complet, réglages en moyen, DLSS qualité et génération de frames x2. Enfin, des commentaires des développeurs sont disséminés un peu partout. Ils sont plutôt intéressants, mais deviennent rapidement agaçants si l’on souhaite se concentrer sur les puzzles. J’aurais donc préféré un gros fichier MP3 à côté, que j’aurais pu écouter quand je fais le ménage, ce qui demande, a priori, un peu moins de ressources cognitives.
Je ne vais pas m’étendre sur les puzzles du jeu d’origine et du DLC, car encore une fois, rien n’a bougé depuis onze ans. J’ai beaucoup apprécié l’expérience, qui propose une difficulté progressive et quelques passages un peu plus tendus, notamment pour récupérer les étoiles. En revanche, il arrive que l’on rencontre des tetrominos, jeu que je déteste, donc je n’ai pas spécialement passé de bons moments lorsqu’il fallait les résoudre. Heureusement, il n’y en a pas tant que ça. De petites améliorations de la qualité de vie – notamment la possibilité de mettre des pauses dans l’enregistreur – font de ce The Talos Principle: Reawakened la meilleure manière de découvrir le titre pour les nouveaux joueurs, et sont tout aussi plaisantes pour les vétérans, qui auront sans doute oublié quelques passages.
Combustion des neurones
Le chapitre inédit, In The Beginning, est quant à lui d’une difficulté abyssale. Il propose 18 puzzles, dont 16 ont été construits en collaboration avec des membres de la communauté – a priori des autistes de haut niveau. Alors que la barre avait déjà été relevée pour le DLC Road to Gehenna, on arrive ici dans une autre catégorie. J’ai commencé par l’environnement égyptien, la fleur au fusil, inconscient de ce qui allait me tomber dessus. Mais dès le premier puzzle, je me suis retrouvé à regarder les différents éléments comme une poule devant un couteau, alors que j’avais une vingtaine d’heures du jeu d’origine dans les pattes. J’ai parcouru les autres énigmes, jusqu’à en trouver une qui me paraissait plus abordable. Il m’a fallu une petite heure pour la résoudre. De retour dans le hub, j’ai tenté l’univers médiéval, pour finalement trouver des configurations qui m’ont semblées un peu plus accessibles, mais nécessitant tout de même d’innombrables allers-retours et réinitialisations pour atteindre l’objectif. Je n’ai pas eu le courage de toutes les faire, mais les joueurs en recherche des défis les plus ardus devraient être contents. Comptez de 30 à 40 minutes pour les moins durs, et jusqu’à la rupture d’anévrisme pour les plus compliqués. Si se sentir démuni face à des énigmes peut s’avérer frustrant, la satisfaction d’avoir trouvé la solution avec cette si grande difficulté est particulièrement douce.
Un remaster qui réveille le cerveau
The Talos Principle: Reawakened est un très bon remaster. Le moteur Unreal Engine 5 est plutôt bien maîtrisé par Croteam, et produit un rendu parfois très joli, tout en conservant des performances acceptables si l’on possède une machine récente. Côté gameplay, le jeu d’origine et son DLC sont copiés à la lettre, avec toutefois de petites améliorations de qualité de vie appréciables. C’est donc toujours aussi bien, avec une difficulté progressive, très agréable. Les développeurs ont également ajouté des commentaires dans tous les coins, mais qui deviennent un peu chiants, surtout quand on est concentré sur une énigme. Enfin, l’ajout d’un chapitre inédit, principalement à destination des vétérans, franchit une sacrée marche en termes de difficulté. C’est extrêmement dur, mais très satisfaisant lorsque l’on parvient à résoudre les puzzles. De là à justifier l’achat du remaster pour 40 € uniquement pour ça, peut-être pas, mais c’est indéniablement une bonne pioche pour les nouveaux joueurs fans du genre.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Avant-hier, l’embargo sur les tests de DOOM: The Dark Ages a été levé. Les Grands Journalistes et certains influenceurs ont donc publié leur avis sur le dernier titre d’id Software. À première vue, c’est une réussite, même si on n’en doutait pas vraiment. Le score Metacritic est actuellement de 85, soit exactement commeDOOM 2016, mais trois points de moins que DOOM Eternal. Si on rentre dans les détails, les critiques semblent partagés sur la nouvelle mécanique principale : la parade. Si tout le monde est d’accord pour dire que ça marche très bien, et qu’elle donne un bon sentiment de puissance, certains, comme GmanLives, la trouvent un peu trop redondante à la longue. Pareil pour les grandes zones à explorer, qui peuvent lasser au bout d’un moment, même si d’autres trouvent ça cool. En revanche, les combats font l’unanimité. Les armes tabassent et le feeling est jouissif. Les mouvements plus lents ne dérangent finalement pas tant que ça, puisque la majorité décrit des affrontements frénétiques, comme chez GameSpot.
D’un autre côté, pour les combats en mécha, IGN trouve que c’est beaucoup trop simpliste, tandis que nos confrères de Gamekult indiquent que les passages à dos de dragon sont franchement nuls à chier. Cependant, il semblerait que ces séquences soient heureusement anecdotiques, et ne rompent pas trop le rythme. D’une manière générale, les (vrais) testeurs ont trouvé le jeu en normal beaucoup trop facile, et conseillent de lancer directement en ultraviolence. Ils ont, pour la plupart, apprécié la possibilité d’ajuster finement cette difficulté en modifiant, par exemple, la fenêtre de parade beaucoup trop clémente de base. Cela montre qu’id Software a sans doute voulu rendre son dernier DOOM le plus accessible et le moins frustrant possible, peut-être pour éviter ce genre de catastrophe.
Sans surprise, la rédac’ de NoFrag n’a pas reçu de clef de la part de Bethesda. On débutera donc l’aventure le 13 mai, puisque comme d’habitude avec les jeux Microsoft, la version deluxe permet de jouer quelques jours avant la date de sortie officielle.
Mais si vous voulez craquer pour DOOM: The Dark Ages sans attendre notre verdict, ni le 15 mai, sachez que notre partenaire Gamesplanet propose 11 % de réduction sur les précommandes – et même sur le jeu après sa sortie – en utilisant le code NOFRAGDOOM, ce qui fait la version normale à 71 € et l’édition premium à 97 €. Si ça vous intéresse, on vous encourage d’ailleurs à jeter un œil du côté de Gamesplanet US, il paraît que c’est encoremoins cher (et le code marche aussi). Le jeu sera également disponible day one sur le Xbox Game Pass.
Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.
Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Il y a quelques jours, nous avons découvert Afterconflict, avec l’annonce d’une démo technique, ainsi que l’édition du titre par Microprose, qui semble ratisser large en ce moment (Dagger Directive, EXFIL, GROUND BRANCH…). Pourtant, le jeu est en développement depuis au moins 2020, date des premiers posts sur le site officiel, et d’une vidéo de gameplay d’un influenceur à l’époque. Il s’agit d’un milsim assez peu original, puisqu’il reprend plus ou moins le même scénario qu’Operation Flashpoint en 2001, ou le futur ’83 : la guerre froide s’est réchauffée, et les Russes se battent contre les USA. Une douce utopie, vue de 2025, finalement.
On a évidemment lancé la démo technique, pour se rendre compte que c’est a priori la même chose que dans la vidéo d’il y a cinq ans, à l’exception du sound design, plutôt correct actuellement. Sinon, niveau contenu, on a uniquement accès à un stand de tir et de grandes étendues de vide. Et ça ne vous aura pas échappé, c’est absolument immonde. Il réussit l’exploit d’être encore plus moche qu’ArmA 3, pourtant sorti en 2013. Ok, c’est une démo technique, mais vu ce qu’ils proposent, on a tout de même l’impression qu’ils se tirent une balle dans le pied. D’un autre côté, ils ont réussi à convaincre un éditeur, donc il y a peut-être un peu plus que quelques brins d’herbe qui se battent en duel, et les posts réguliers sur leur site et YouTube semblent montrer une certaine motivation. Ils ont d’ailleurs partagé une roadmap, indiquant le futur lancement d’une page Patreon, d’une « vraie » démo et d’un test multi avant une sortie en accès anticipé. Pas de date, il faudra attraper les annonces au vol.
Néanmoins, si Afterconflict vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, et même tester sa démo technique, si vous avez envie de perdre quelques dixièmes à chaque œil et probablement un peu de volonté de vivre.
Depuis quelques semaines, Battlestate Games enchaîne les annonces et les mises à jour autour de ses jeux Escape From Tarkov et Escape From Tarkov: Arena. Autant vous dire que la communauté n’est pas habituée à autant de communications sans drama et à des mises à jour aussi rapprochées.
Tout commence début avril avec la sortie d’Escape From Tarkov: Arena sur l’Epic Games Store. Pour rappel, Arena propose des matchs PvP en 5v5 avec des modes très classiques : capture de zone, pose de bombe, team deathmatch… Battlestate garde le gunplay maitrisé de Tarkov et tente de le transposer sur la scène esport. D’ailleurs, on voit bien que le studio souhaite faire connaitre Arena, car outre sa mise à disposition surprise sur l’Epic Games Store et les compétitions retransmises sur Twitch, le jeu accueille aussi son tout premier Battle Pass. Il s’agit d’un système de progression avec des niveaux et des récompenses à débloquer en remplissant des objectifs. Vous pouvez débloquer des tenues tactiques, des camouflages d’armes, équipements, pièces GP, médailles Lega, caisses de ravitaillement, etc… et les conserver d’un wipe à l’autre. Si tout n’est pas purement cosmétique, ce premier Battle Pass est gratuit et accessible à tous. Nous verrons bien ce qu’il advient pour les prochaines saisons.
Et si le studio a probablement été bien occupé par Arena, il a aussi été très actif sur son extract shooter Escape From Tarkov. Un nouvel événement temporaire a été lancé avec une carte temporaire inédite, The Λabyrinth, accompagnée d’une série de quêtes et de nouveaux succès dédiés. Selon Battlestate, 669 669 joueurs ont participé à l’événement avec plus de 5 millions de raids en quelques semaines. Face à ce succès et suite à un sondage auprès de sa communauté, les devs ont d’abord prolongé l’événement, puis décidé de laisser la carte disponible après la fin de l’event. Battlestate a aussi partagé sa roadmap jusqu’à fin 2025. Le studio est dans sa dernière ligne droite et met l’accent sur la correction de bugs, des améliorations de qualité de vie (QoL) et des optimisations pour sortir enfin du statut d’accès anticipé. On n’ose pas y croire, mais il semblerait même que la 1.0 soit effectivement prévue pour cette fin d’année, avec notamment l’ajout de sa dernière map, Terminal, et surtout, une arrivée sur Steam, au moins pour Arena !
Comme annoncé lors du live The Triple-i Initiative, le studio Ghost Ship Games a publié une billet de blog Steam pour le lancement de l’alpha fermée de Deep Rock Galactic: rogue core, ce 6 mai. Vous pouvez toujours demander votre accès depuis la page Steam du jeu et même inviter un ami à vous rejoindre grâce une fonctionnalité de la plate-forme de Gaben. Si vous avez du temps à perdre, sachez que les devs ont publié une vidéo FAQ sur leur chaîne officielle YouTube.
Pour rappel, Deep Rock Galactic: rogue coreest un FPS roguelite coopératif jusqu’à quatre joueurs où vos amis et vous-même devrez effectuer des missions périlleuses pour récupérer des ressources et obtenir des équipements plus puissants. Même si vous mourrez, vous débloquerez des améliorations permanentes afin de progresser plus facilement à chaque partie.
L’accès anticipé de Deep Rock Galactic: rogue core est normalement prévu pour cette fin d’année. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
En ce début de semaine, Teyon, le studio derrière Robocop: Rogue City et son standalone Unfinished Business, ont partagé une nouvelle vidéo de gameplay sur la chaîne YouTube d’IGN. Dans la première partie, on y voit Robocop faire le ménage tout en se déplaçant comme un tank. Ce dernier pourra effectuer des coups mortels sur des ennemis avec certains éléments environnementaux. Les malfrats seront également lourdement armés et arriveront souvent à mettre en difficulté notre flic d’acier. En dehors de ça, le gameplay est quasi identique au jeu de base.
Dans la second partie, on y découvre le passé d’Alex Murphy où ce dernier défonce de la racaille à la pelle. Contrairement à Robocop, sa santé pourra se régénérer à la COD. En tout cas, son flingue envoie de la patate vu les giclées de sang et les ragdolls des adversaires. Pour varier les plaisirs, on espère qu’Alex pourra utiliser d’autres armes pour éborgner et fracasser ces malotrus.
RoboCop: Rogue City – Unfinished Business est toujours prévu pour le 17 juillet 2025. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et profiter de la promotion à -15 % de notre partenaire Gamesplanet sur RoboCop: Rogue City, l’édition de base ou l’Alex Murphy Edition, si vous ne le possédez pas déjà.
Il y a quelques jours, le petit studio indépendant qui développe le rétro-FPS BRUTAL JOHN a fait une annonce étonnante : le re-reveal de son jeu, mais en changeant son nom. Il devient BRUTAL JOHN 2. Au-delà de la blague pour le premier titre d’une licence, les développeurs expliquent que depuis la démo – que l’on avait bien apprécié l’année dernière –, ils ont fait tellement évoluer leur projet qu’ils trouvaient ça pertinent de lui accoler un « 2 ». Qui sommes-nous pour juger ? D’autre part, ils en profitent pour annoncer la date de sortie en accès anticipé pour le 22 juillet prochain. Ils partagent également la roadmap dans le billet de blog de l’annonce, et on apprend que la version finale devrait arriver à la fin de l’année 2025.
Comme la démo a été mise à jour, on l’a lancée pour voir ce que ça donnait. L’ambiance est toujours très inspirée de Duke Nukem 3D et la direction artistique, un peu cartoon, fonctionne bien, avec de jolis effets de gore. Les armes ont de la patate et les mouvements sont rapides, c’est très agréable. Ce n’est pas exceptionnel pour autant, mais aucune raison de passer à côté si on apprécie le genre.
Si c’est votre cas, allez-donc tester la démo de BRUTAL JOHN 2 sur sa page Steam, en attendant la sortie en accès anticipé le 22 juillet prochain.
La semaine dernière, notre journaliste fétiche, Jason Schreier, a rapporté sur Bloomberg, que 300 à 400 employés avaient été licenciés, dont une centaine dans le studio Respawn Entertainment, qui développe notamment Apex Legends. Il faut croire qu’ils s’occupaient également d’un nouveau Titanfall, très attendu par la communauté, puisque ce dernier a été officiellement annulé, alors même qu’il n’avait jamais été annoncé. D’après les sources du journaliste, le projet était un extraction shooter, mais encore loin d’être prêt. Cela dit, vu la saturation du genre, il avait tout de même assez peu de chances de fonctionner.
Les licenciements interviennent dans un cadre difficile pour les cadres d’Electronic Arts. C’est avec la mort dans l’âme qu’ils ont décidé de se séparer de quelques centaines d’employés, afin d’éviter la catastrophe. En effet, fin janvier, ils ne prévoyaient que 7,15 milliards de dollars de chiffre d’affaire pour 2025, en deçà des 7,5 à 7,8 estimés initialement. Certes, la société a redressé la barre sur le dernier trimestre en atteignant 7,4 milliards de chiffre d’affaire, comme le révèle le bilan publié hier, mais il n’y a pas tout à fait le bon nombre de milliards. Une situation vraiment triste, au point que les directeurs financiers seraient sur le point de monter une cagnotte Leetchi, selon notre source anonyme. D’autre part, cette dernière nous indiquait également que ces décisions interviendraient au sein de leur programme de maintien de leur statut de plus gros connards de l’industrie vidéoludique. Nous avons contacté les dirigeants d’Electronic Arts pour avoir plus d’informations à ce sujet, mais notre demande est pour l’instant restée lettre morte. Nous mettrons à jour notre article en cas de réponse.
La semaine dernière, Gearbox a partagé une longue vidéo « deep dive » pour Borderlands 4, leur prochain tireur-pilleur. Mais si on n’a pas pu vous en parler avant, c’est parce qu’on s’est endormis au bout de quelques minutes de visionnage de gameplay, d’une mollesse incroyable. Pensant pouvoir ruser, on a mis la vitesse en x2 pour tenter d’atteindre la fin sans tomber de sommeil, mais on a constaté avec effroi que c’était toujours aussi mou ! C’est donc après quatre expressos, trois Red Bull et une crêpe au sucre glace, qu’on peut enfin vous faire un compte rendu de cette atroce vidéo.
Bon, le premier choc, c’est Randy Pitchford, déguisé en gourou de secte, et qui débite son texte d’une manière aussi naturelle que la poitrine d’Aya Nakamura. Le second, c’est de voir du gameplay qui oscille entre 20 et 30 FPS. Combiné avec l’utilisation de la manette, on a l’impression que la vidéo est au ralenti. Au moins, ils ne mentent pas sur les perfs déplorables qu’est capable de sortir une PS5 Pro sur ce jeu. Sinon, les combats sont horriblement lents et inintéressants, contre des adversaires qui avalent les balles, mais qui ont heureusement parfois des réactions aux impacts. Ça doit dépendre de l’ennemi, sans doute. Côté armes, on nous promet des possibilités infinies avec des combinaisons d’effets des différents manufacturiers habituels sur les accessoires (chargeur, viseur, etc.), en plus de la pétoire en elle-même. Il y aura encore plus de loot, encore plus d’accessibilité pour rejoindre ses potes, et évidemment, des compétences garanties zéro skill, pour éviter de frustrer Jean-Kevin, affalé sur son canapé. Ils parlent aussi du scénario, qui ne volera certainement pas très haut, avec notamment le retour de personnages de la série. Youpi.
Pour couronner le tout, Gearbox nous annonce que Borderlands 4 ne sortira pas le 23 septembre, comme initialement prévu, mais le 12 septembre, soit 11 jours avant, pour nous faire souffrir encore plus tôt. Si, pour une raison étrange, le jeu vous chauffe, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.
La semaine dernière, Creepy Jar, le studio derrière le développement de StarRutpure, a publié une nouvelle vidéo pour découvrir le monde d’Arcadia-7 avec du gameplay à la Satisfactory. On y découvre des biomes variés et prêts à être dénaturés grâce à des machines de toutes sortes (extraction minière, production d’énergie…), des bâtiments (recherches, logements…) et des réseaux tentaculaires de tapis automatisés. De quoi faire salir les draps de tout bon patron du CAC 40.
Au delà des passages chiants à l’extracteur laser, il y a tout de même un peu d’action mais les devs ne semblent pas s’être trop foulés en mélangeant certaines portions de gunplay d’un ancien trailer avec quelques nouvelles séquences. Même si une évolution du gameplay avait été soulignée dans une précédente news, rien n’a vraiment bougé dans cette bande-annonce.
StarRupture est toujours prévu de sortir en accès anticipé courant 2025. En attendant de nouvelles infos sur des tapis automatisés, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Après avoir pris la décision d’annuler l’aspect multijoueur de DoubleWeen 2024, Wolderado, le développeur principal derrière ce FPS d’horreur où vos clones veulent vous faire la peau, est resté bien silencieux depuis. Ce n’est qu’en ce début de mois de mai que des nouvelles ont été postées sur X où l’on apprend que le jeu s’appelle désormais It Has My Face et indirectement que le dev indé a ouvert son studio NightByte Games. Hormis ces deux changements, le projet restera le même et une sortie est toujours prévue courant 2025.
À l’occasion du Steam Neo Fest de février dernier, on avait pu jouer à la nouvelle démo et l’on avait plutôt bien aimée. Également, durant notre partie uniquement solo, on avait été surpris de voir depuis le menu que la partie multijoueur serait disponible dans le jeu complet. On est donc plutôt chauds de voir les possibilités offertes lors d’une partie à plusieurs. Si vous êtes intéressé, sachez que la démo solo est toujours disponible depuis la page Steam du jeu.
En attendant plus d’infos sur la sortie de It Has My Face, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes emballé par le concept.
Redécouvert lors du dernier Steam Neo Fest après quatre ans de mutisme, Skin Deep nous avait fait bonne impression avec sa démo, proposant un gameplay très plaisant, mêlant immersive sim, comédie et puzzle game. Le jeu complet est bien arrivé le 30 avril comme prévu, et la quasi-totalité des joueurs semblent convaincus, en témoignent les 98 % d’évaluations positives sur Steam.
Outre la direction artistique très colorée et assez réussie, ce sont les mécaniques de gameplay qui retiennent l’attention. La liberté d’action paraît plutôt grande, puisqu’on est amené à défendre un vaisseau dans des environnements décrits comme non-linéaires. Il est possible de faire des associations d’objets complètement débiles, l’infiltration a l’air plaisante, et tout le monde semble d’accord pour dire que c’est très fun. On tentera sans doute l’aventure d’ici quelques semaines, quand le calendrier des sorties se calmera un peu.
En attendant, si Skin Deep vous a convaincu, vous pouvez le retrouver en promotion à -10 % pour sa sortie sur Steam et l’Epic Games Store, soit un peu moins de 17 € jusqu’au 14 mai.
Après avoir déployé un ultime patch avant la fin de l’accès anticipé de Tainted Grail: The Fall of Avalon, le studio Questline a enfin dévoilé la date de sortie de la 1.0 via un long billet de blog Steam. Ce sera donc le 23 mai que vous pourrez explorer trois immenses régions remplies de PNJ, de sorts, d’armes, de quêtes secondaires, de donjons et d’ennemis pour satisfaire votre soif d’aventure. Certainement que des nigauds l’ont demandé aux devs, il sera possible de jouer à la troisième à personne. Enfin, si vous êtes de nature généreuse, une supporter edition verra le jour comprenant l’artbook, les ost et surtout des cosmétiques pour votre poney tout doux, ce qui n’est pas sans rappeler un certain Oblivion.
Depuis la preview de notre cher Xan K, le studio semble avoir mis à profit ces deux années de développement pour peaufiner les aspects technique et esthétique. En soi, ça paraît correct sans pour autant révolutionner le genre. À la rédac, on se lancera probablement dans l’aventure vers la fin de l’été pour savoir si ça s’est réellement amélioré ou si c’est toujours aussi chiant qu’au premier jour.
La 1.0 de Tainted Grail: The Fall of Avalon sortira donc le 23 mai prochain. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits et vous procurer son accès anticipé sur Steam ou GoG pour 44 €.
Comme prévu, Deadzone: Rogue, le rogue-lite des développeurs du défunt Tribes 3: Rivals et du catastrophique Starsiege: Deadzone, est sorti le 29 avril dernier. On vous l’avait dit lorsque l’on avait retesté la démo, c’était étonnamment plutôt chouette, en solo comme en coop, grâce à un feeling correct et une bonne maîtrise des codes du rogue lite. Eh bien sans surprise, c’est toujours aussi bien en accès anticipé, avec des améliorations aux effets très significatifs à chaque fois, ce qui est très satisfaisant. Il y a toujours ce très bon sentiment de puissance. Les développeurs ont évidemment corrigé quelques bugs et fait des ajustements, mais surtout, offrent une nouvelle zone de combat. Une troisième arrivera ultérieurement. Aucune idée de ce que c’est, il faut d’abord boucler les missions de la première avant d’accéder à la nouvelle. Sinon, les développeurs ont précisé qu’un futur patch apportera la possibilité de jouer en hors ligne quand on est en solo, suite à une levée de boucliers de certains joueurs.
Les joueurs semblent également convaincus, puisque les avis sont très positifs, malgré quelques réserves sur la longévité potentielle du titre et son support par le studio sur le long terme, au vu de son passif sur ses précédents titres. Néanmoins, comme il y a eu un pic à presque 6 000 joueurs simultanés, on peut supposer que c’est un succès, et donc un projet à entretenir pour tenter de faire monter la hype.
Si Deadzone: Rogue vous tente, il est actuellement en promotion pour sa sortie en accès anticipé à –20 % sur Steam, soit 20 € jusqu’au 13 mai.