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[TEST] Indiana Jones et le Cercle Ancien : l’aventure feel good avec un beau chapeau

✇NoFrag
Par : Stuka

Initialement teasé en 2021, il a fallu attendre janvier 2024 pour avoir la confirmation qu’Indiana Jones et le Cercle Ancien serait bien un FPS. Développé par MachineGames, jusque-là responsable de la renaissance de la licence Wolfenstein, et produit par nul autre que le mythomane professionnel Todd Howard, on craignait un nouveau massacre de notre cher Indy. Heureusement, il n’en est rien, et nous sommes les premiers heureux de constater que notre habituel cynisme était infondé. MachineGames livre un très bon jeu d’aventure qui respecte les trois premières œuvres de Steven Spielberg avec une expérience centrée sur l’exploration, la résolution de puzzles, et ce qu’il faut d’action pour calmer des fascistes à coup de poings.

Genre : Action-aventure | Développeurs : MachineGames| Éditeur : Bethesda Softworks | Plateforme : SteamGame Pass | Prix : 69,99 € | Langues : Français ou anglais | Date de sortie : 09/12/2024 | Durée : Entre 15 et 30h

Test effectué sur la version Game Pass.

Indy pretty

Indy a perdu son chat

Afin d’assurer un maximum de fan service, Indiana Jones et le Cercle Ancien s’ouvre sur un remake de la séquence d’intro des Aventuriers de l’Arche Perdue, cette fois à la première personne. C’est l’occasion de constater que le jeu est très beau. La jungle luxuriante et les rayons du soleil passant entre les feuilles nous immergent complètement dans cette scène mythique ; même Satipo est crédible. Et comme c’est de l’id Tech 7, les performances sont excellentes, avec entre 70 et 90 fps en 1440p natif sur un 5800X3D et une 7800XT. La direction artistique rappelle celle des jeux Arkane : on est proche du photoréalisme mais avec un côté cartoon qui embelli la réalité. On croit se promener dans les décors des films, sans pour autant avoir l’impression que tout est en carton-pâte. Le plus gros point noir est que le jeu utilise le ray tracing au niveau software pour la gestion des lumières et on retrouve les mêmes écueils que sur S.T.A.L.K.E.R. 2, à savoir des ajustements de visibilité entre extérieurs et intérieurs très long à la détente (de l’ordre de la seconde) et parfois l’absence d’ombre sur certains assets, ou qui changent brutalement selon l’angle de vue. Malgré cela, Indiana Jones et le Cercle Ancien est très beau, et ce, autant dans les niveaux linéaires que ceux plus ouverts.

Indy doom and gloom
Très vite, on fait la connaissance de Gina qui va nous accompagner pendant l’aventure.

En effet, si la première prise en main est sur rails, la deuxième phase du didacticiel dans l’université, le Marshall College, nous donne un meilleur aperçu de ce que nous réserve l’aventure. Après s’être fait casser la gueule par un type de deux mètres cinquante, nous sommes libres d’explorer une partie de l’université, et résoudre notre première énigme gentillette, pour découvrir que le malandrin a piqué une momie de chat parmi les artefacts exposés dans le musée. Le MacGuffin est en place, Indiana se lance à la recherche du mystérieux individu venu du Vatican.

Indy map
Vous aussi, vous entendez la musique ?

L’action-aventure, quand c’est pas signé Sony, c’est pas chiant

Comme on l’avait compris avec les previews, on est avant tout face à un jeu d’aventure. Les passages dirigistes rappellent fortement les films avec leurs enchaînements de puzzles — très simples, même en difficulté « modérée», la plus élevée — et de phases d’infiltrations qui peuvent dégénérer en festival de baffes. Je redoutais ces sections, les imaginant parfaitement ennuyeuses. Pourtant, elles m’ont agréablement surpris : malgré quelques longueurs, elles nous gardent en haleine grâce aux environnements traversés et à la sensation de percer un mystère vieux de plusieurs milliers d’années. Je regrette juste l’abondance d’épreuves de plateforme qui finissent par être franchement lassantes à la fin du jeu. Les développeurs introduisent de temps en temps de nouvelles mécaniques, mais c’est fondamentalement toujours un enchainement de sauts, de déplacements latéraux, suspendu à d’étroites corniches, et de coups de fouets pour se balancer au-dessus d’un gouffre. Heureusement, MachineGames va plus loin dans la variation du gameplay grâce aux trois cartes ouvertes qu’il nous est permis de parcourir comme bon nous semble.

Indy tourism
On peut même faire un peu de tourisme.

Les doublages sont d’excellente qualité. Pour la VO, Troy Baker reproduit presque parfaitement le jeu d’acteur du Harrison Ford de l’époque. Pour la VF, c’est Richard Darbois qui reprend du service, et nous offre une performance à la hauteur de son travail pour les films.

On va tout de suite mettre fin aux divagations de certains Grands Journalistes : non, Indiana Jones et le Cercle Ancien n’est pas un immersive sim. Certes, le level design des zones à l’exploration libre offre parfois plusieurs moyens d’accéder à un endroit, comme des échafaudages nous assenant à coup de peinture blanche où accrocher notre fouet, des fenêtres ouvertes, ou encore des portes dont on aura trouvé la clef au préalable. Mais les similitudes s’arrêtent là. Pas de gameplay émergent ici, toutes les manières de résoudre un problème sont strictement prévues par les développeurs, et les puzzles n’ont notamment qu’une seule et unique solution. Il n’empêche que l’exploration de ces environnements ouverts, et la résolution de quêtes et énigmes annexes de manière organique à mesure qu’on avance dans l’histoire principale, est un vrai plaisir. Pour nous récompenser de nos découvertes, le jeu nous gratifie de points d’expérience et de livres permettant d’augmenter nos capacités comme l’endurance, notre efficacité au corps-à-corps, ou encore la taille de notre inventaire. De manière générale, les niveaux fourmillent de secrets, de documents ou autres objets à collectionner, et il faut sans doute passer beaucoup de temps dans chaque niveau pour tout trouver. Pour vous inciter à explorer toujours plus, le jeu vous prend parfois par la main via un PNJ qui vous donne directement un objectif secondaire, mais si vous voulez tout voir, il faudra vous donner du mal. Ou acheter la liste des quêtes et mystères du niveau en cours auprès du marchand local. Et si vous n’avez pas tout trouvé lors de votre premier run, il vous est toujours possible de revenir dans les précédentes cartes après avoir fini le jeu. Ça n’a aucun sens scénaristique, mais j’imagine que ça ravira les complétionnistes chroniques. Et comme on incarne Dr. Jones dans les années 30, des représentants de régimes politiques autoritaires cherchent à nous importuner.

Indy cave
Un temple et un mécanisme étrange, Dr. Jones est dans son élément.

Du sound design de la pelle

Pour nous défaire de nos adversaires, et comme dans beaucoup de jeux, on a le choix entre infiltration et attaque frontale. Il est cependant peu recommandé de combattre plus de trois ou quatre ennemis à la fois, et éviter la bagarre reste la solution à privilégier, surtout au début. Le système est très basique avec des ennemis ayant un champ de vision restreint, même en poussant la difficulté, et une ouïe pour le moins inconstante : parfois capable de nous entendre courir à travers une fenêtre deux étages au-dessus de leur tête — on se demande d’ailleurs pourquoi ça les inquiète tant — et parfois entièrement absorbés par leurs pensées alors qu’on plonge dans un lac souterrain à cinq mètres d’eux. Ça casse un peu l’immersion, mais c’est finalement raccord avec les films, puisque les méchants y sont souvent assez neuneus. Toujours pour coller à l’univers, Indiana peut revêtir une tenue locale pour passer inaperçu parmi les PNJ. Attention, n’espérez pas un équivalent de ce que propose Hitman : on a un déguisement obligatoire qui correspond au niveau en cours, et si on remet notre fedora, tous les gardes nous tombent dessus, et c’est tout. Le problème est que l’infiltration devient rapidement plus chiante qu’autre chose, notamment à cause des officiers qui peuvent voir à travers votre déguisement même en dehors des camps militaires. D’ailleurs, ces camps sont malheureusement des passages obligés au moins une fois dans chacun des trois niveaux ouverts. Je dis malheureusement, car le gameplay d’infiltration est bien loin des cadors comme Dishonored. En cause, un level design souvent trop dirigiste et une IA trop imprévisible dans ses réactions. On s’en sort tout de même après deux ou trois essais, et même si on ameute toute la faune locale, tant qu’on a accompli notre tâche auparavant, il est très facile de semer nos poursuivants.

Indy here a nazi
L’infiltration selon Gina. Heureusement, elle est invisible aux yeux des gardes.

Lorsqu’on est obligé d’en venir aux mains, soit parce qu’on s’est fait repéré, soit parce que le jeu force l’affrontement, on a loisir d’utiliser à peu près tous les objets contondants à notre portée. On déblaye joyeusement notre route à coup de balayette, matraque, ou résonnante pelle. Et dès l’instant où notre arme improvisée se brise sur un crâne trop entreprenant, s’ensuit une recherche frénétique pour un nouvel ustensile. On pourra évidemment aussi jouer des poings, avec une combinaison basique de coups forts, coups faibles, et parade qui fait bien l’affaire. Les sensations d’impact sont très bonnes, bien aidées par le sound design qui reprend les bruitages des films. Le fouet d’Indy se montre également utile pour désarmer nos adversaires, ou les tirer vers nous pour une distribution d’arguments percutants. Les munitions sont rares, mais on a bien la possibilité d’utiliser des armes à feu, dont le six-coups iconique qui ne quitte pas notre inventaire diégétique. On a souvent l’occasion d’utiliser les armes des soldats ennemis, mais on ne peut ni les recharger, ni les conserver dans notre inventaire. Un autre point noir à noter ici, les nazis encaissent très bien les balles. Ainsi, même si les flingues sont réussis sur la partie sonore et les impacts — on serait bien passé de cette saloperie de hit marker digne d’un Call of Duty —, la sensation de puissance en prend un coup, sauf pour le shotgun qui one shot les nuisibles à courte portée. Comme dans les films, les combats sont très « tout public », donc pas d’effusion de sang, et le ton léger et comique est appuyé par les répliques d’Indy.

Indy gunfight
Exemple de ce qu’il vaut mieux ne pas faire.

Un jeu pour les fans, fait par des fans

À la lecture de ces trop longs paragraphes, vous vous dites probablement qu’Indiana Jones et le Cercle Ancien est un jeu d’action-aventure moyen, calibré pour le plus grand nombre, et ne proposant rien d’autre qu’une licence à succès, toute bien retranscrite soit-elle. Et c’est en partie vrai : un bon produit AAA avec peu de bugs, hormis quelques problèmes de collision et de clipping, et un jeu assez facile qui a l’avantage ne pas être frustrant. Là où MachineGames fait mieux est dans les variations de gameplay grâce à ce mélange d’exploration, de résolution, d’énigmes, d’infiltration, et de combats. Si chacun de ces éléments n’est pas d’un niveau exceptionnel — sauf pour la partie exploration qui, pour moi, est excellente — l’aventure prise dans son ensemble offre un très bon divertissement. Même les nombreuses cinématiques, dont j’ai horreur dans les jeux vidéo, sont bien réalisées et bien écrites. Les plans et gags font régulièrement référence aux films, et ce, jusque dans les mimiques d’Harrison Ford. Évidemment, parfois ça ne marche juste pas à cause d’expressions faciales pour le moins étranges, ou de répliques qui se déclenchent un poil trop tard, mais cela reste sans doute la meilleure production Indiana Jones depuis Le Mystère de l’Atlantide.

Indy
Quel beau tombeau que je m’en vais piller.

Et c’est là qu’est l’autre grande force du titre : si vous aimez Indiana Jones, le jeu est fait pour vous. On voyage aux quatre coins du globe, de la cité du Vatican tout en verticalité et truffée de passages secrets, à Gizeh au milieu de sites de fouilles archéologiques révélant des tombeaux clos depuis des millénaires, en passant par la jungle du Sukhotaï et ses temples renfermant des mécanismes impossibles que l’on remet en marche pour se frayer un chemin jusqu’à l’artefact convoité.

Un très bon jeu pour les nostalgiques de l’archéologue au fedora

Capturer et reproduire la magie de la licence Indiana Jones n’est pas chose facile, encore moins en jeu vidéo. Si on n’a pas de goût, on peut éventuellement jouer à Uncharted, et on évite habituellement de mentionner ce genre d’infamie dans nos colonnes. Avec Indiana Jones et le Cercle Ancien, MachineGames ne révolutionne pas le genre de l’action-aventure, mais propose un vrai bon épisode de la saga de notre professeur d’archéologie préféré. Entre la découverte de ruines oubliées, la résolution de mystères qui remontent aux prémisses de l’humanité, et le claquage de vilains en uniforme, on revit avec plaisir les émotions qu’on a ressenties aux visionnages des films des années 80. Il faut cependant être conscient que si vous n’avez pas vu les films, il est fort possible que votre expérience ne soit aussi positive que la mienne, tant l’intérêt du titre réside dans son univers et son ambiance. Et si vous n’aimez pas Indiana Jones, partez, et ne revenez pas.

Vous vous perdez dans l’immensité du catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

Dark Passenger, un studio d’ex-employés de CD Projekt, travaille sur un FPS multi arcade PvPvE

C’est par le biais de nos collègues de GamesIndustry.biz que nous avons appris que le studio Dark Passenger, créé il y a deux ans par d’anciens employés et cofondateurs de CD Projekt (The Witcher 3, Cyberpunk 2077), travaillait sur un jeu multijoueur PvPvE en vue subjective dans le Japon féodal. Sur le site officiel, les développeurs – dont certains viennent également de Flying Wild Hog (à l’origine de la série Shadow Warrior depuis 2013) – indiquent que le jeu sera orienté sur la coopération et les synergies entre les personnages. Du côté du combat, ils décrivent un système de mêlée classique demandant de la dextérité, mais nécessitant aussi de coopérer avec ses coéquipiers. En lisant entre les lignes, on devine qu’il y aura des aspects hero shooter, avec des compétences et équipements spécifiques à chaque joueur, comme des arcs, des tegaki ou des lances. Laissez tomber le réalisme, ils expliquent que l’on pourra utiliser toutes ces armes comme autant de supports pour réaliser des mouvements incroyables, dont notamment la possibilité de courir sur des flèches tirées par vos coéquipiers… Si jusqu’à présent, on était plutôt intéressé, cette dernière idée nous a presque fait régurgiter notre dernier repas. On imagine une sorte d’Overwatch dans le Japon moyenâgeux, avec des ultimes et des actions extraordinaires effectuées sur simple pression d’un bouton. On espère se tromper.

Dark Passenger game
Concept art du jeu de Dark Passenger

Quoi qu’il en soit, une démo technique a été montrée à des investisseurs, qui, semble-t-il, ont été convaincus. En effet, les journalistes de GamesIndustry.biz nous indiquent que The Games Fund a injecté 3 millions de dollars dans le projet. Rappelons qu’ils avaient déjà assuré le financement d’Unrecord à hauteur de 2,5 millions de dollars plus tôt cette année. D’après l’un des responsables du fond d’investissement, le premier jeu de Dark Passenger « ose prendre des risques, et offre des expériences audacieuses et sans concession », ce qui les a convaincu de les soutenir.

Pour l’instant, on n’a même pas encore de nom. Alors n’imaginez pas avoir une fenêtre de sortie pour tout de suite. Si vous voulez plus de détails, vous pouvez jeter un œil à l’article de GamesIndustry.biz, puis faire un détour par le site officiel du studio.

Les bons plans NoFrag du week-end terminent leurs courses de Noël

Noël est presque sur le pas de la porte, et les bons plans NoFrag du week-end n’ont pas encore trouvé tous leurs cadeaux. C’est la panique, alors ils prennent un peu tout et n’importe quoi. Une paire de pantoufles en forme de poissons, un bracelet magnétique qui retiendra vis, boulons et écrous lors de futures séances de bricolage, ou plutôt un set d’outils en chocolat pour ceux qui auraient deux mains gauches. Et en parlant de mains, pourquoi pas ces gants chauffants ? Idéaux pour jouer de l’ocarina, ou tenir un mégaphone pour vos prochaines manifs. Sinon, il y a cette jolie casquette de camionneur avec son mulet déjà intégré, cet appareil de massage électrique, ou encore mieux, le masseur oculaire ! Parce qu’on est quand même sur le site de l’actualité des simulateurs de meurtres, un ouvre-bouteille en forme de pistolet ! Sinon, le tire-bouchon électrique. Et un puzzle Marvel qu’aucun fan d’Avengers ne pourra terminer sera forcément une bonne idée. Pour finir, optez pour un machin qui permet de retrouver un objet égaré. On en a envoyé une centaine dans plusieurs rédactions pour que certains journalistes ne perdent plus jamais leur charte de Munich. On croise les doigts pour que ça marche.

Les bons plans Amazon

Avec les vacances de Noël, vous allez avoir le temps de bricoler votre PC. Alors on vous a préparé une petite sélection de ce qu’on a trouvé intéressant :

Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.

Gamesplanet Warhammer NOFRAG

Les bons plans Gamesplanet

Comme la semaine dernière, notre partenaire Gamesplanet propose plein de promos sur les jeux Warhammer, pour la sortie du DLC Total War Warhammer III – Omens of Destruction. Il nous a même fait un code promo NOFRAG pour gratter 5 % supplémentaires, cumulables avec la réduction déjà appliquée. Le DLC passe donc à moins de 21 €, tandis que Space Marine II passe à 42 € pour sa version standard. On vous laisse voir ce que ça donne pour la version Gold et Ultra.

Sinon, si vous n’avez pas encore craqué pour l’incroyable S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, vous pouvez toujours utiliser le code promo NOFRAGSTALKER, qui permet d’avoir une réduction de 20 %. Vous pouvez obtenir l’édition Standard à 48 €l’édition Deluxe à 64 €, et l’édition Ultimate à 88 €. La promotion est valide jusqu’à la fin de l’année.

Ce n’est pas tout, plein d’autres jeux sont également en promotion :

Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

Witchfire : seule une moitié de The Brewing Update est arrivée

Alors que The Astronauts, les développeurs de Witchfire, avaient prévu de publier la grosse mise à jour The Brewing Update en cette fin d’année, ils nous expliquent qu’ils ont eu une super idée top moumoute, ce qui a décalé leur calendrier. À l’origine, on aurait dû pouvoir explorer un nouveau niveau, The Witch Mountain, avec des boss à abattre comme dans un boss rush. Mais finalement, ce sera autre chose, qui ne prétend pas révolutionner le genre, mais sera tout de même dépaysante pour le jeu, d’après le game director. Que de mystères. Et pour ne pas laisser les fans sur la béquille pendant toutes les vacances, voici donc tout de même une mise à jour – certes un peu plus restreinte. Celle-ci apporte l’alchimie, qui permet de fabriquer des potions avec des effets divers et variés. Mais il faut aussi looter des ingrédients, ce qui ne nous semble pas forcément le truc le plus intéressant pour le jeu. Sinon, les « familiers » – les boss déjà présents – sont redistribués sur les cartes existantes, et disposent de nouveaux mouvements. Enfin, deux nouvelles armes sont disponibles.

Witchfire

La seconde partie de The Brewing Update est prévue pour plus tard, sans trop de précisions. Mais il ne faudra certainement pas l’attendre pour janvier, car l’équipe prend un repos bien mérité pour les fêtes de Noël.

Si vous voulez vous lancer dans ce formidable rogue-lite et fast-FPS Witchfire, vous pouvez le retrouver à 40 € sur Steam, ou à 36 € sur l’Epic Games Store.

Alien: Rogue Incursion est sorti aujourd’hui, et semble correct, mais sans plus

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Par : Fluxx

On vous présentait la sortie de son nouveau trailer il y a presque un mois jour pour jour, Alien: Rogue Incursion est sorti aujourd’hui. Si vous l’avez raté, il s’agit d’un épisode VR dans l’univers de Giger. Vous incarnez Zula Hendricks, une ancienne Marine coloniale, en mission sur la planète Purdan. L’objectif : mettre en lumière les expériences illégales de Weyland-Yutani. Côté gameplay, il y en aurait pour tout les goûts avec la possibilité, selon le studio Survios, de tout miser sur la discrétion ou au contraire se la jouer gros bourrin.

D’après la review d’IGN, l’ambiance est plutôt réussie, mais le jeu délaisse rapidement son aspect survie. En effet, le journaliste indique qu’il est possible de tenter la furtivité, mais la profusion d’armes et de munitions, combinée avec des aliens complètement cons et très peu résistants, fait qu’on passe en mode rambo assez facilement. Néanmoins, cela pourrait tout de même être une bonne expérience pour les fans de la licence.

Si c’est votre cas et que vous possédez le matos VR adéquat, Alien: Rogue Incursion est disponible notamment sur Steam et le PS Store pour une quarantaine d’euros. La version Meta Quest est prévue pour le 13 février.

Crossover entre Mullet Mad Jack et Ultrakill pour l’arrivée du mode Boss Rush

Apprécié au sein de la rédact, Mullet Mad Jack, le fast-FPS avec des mécaniques de roguelite, a poursuivi son petit bonhomme de chemin en ajoutant de nouvelles baskets et modes de jeu. Cette fois-ci, pour terminer l’année en beauté, les devs du studio HAMMER95 ont déployé un mode Boss Rush en y invitant l’un des personnages iconiques de l’univers d’ULTRAKILL, le robot V2. Un crossover pour le moins inattendu qui mettra à rude épreuve votre skill.

Si vous hésitez encore en termes de cadeaux à l’approche de Noël, nous vous conseillons Mullet Mad Jack qui est actuellement en promotion à -25 % sur Steam et GoG.

Avowed montre son aspect RPG mais peine sur la partie combat

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Par : ANzer

Le mois dernier, le YouTuber Mortismal, parmi d’autres influenceurs, a dévoilé ses impressions sur Avowed dans une vidéo de 40 minutes. Après avoir passé près de 10 heures à jouer au prochain titre d’Obsidian, il aborde la création poussée du personnage joueur, l’histoire, les combats, le système de progression et l’état technique du jeu. En visionnant cette vidéo, j’ai surtout vu un curieux mélange entre Skyrim, Harry Potter et Kingdoms of Amalur: Reckoning, dans l’univers de Pillars of Eternity. De grandes références pour les rôlistes, mais sans doute moins connus chez les fraggeurs.

D’après le YouTuber, Avowed proposera un système de progression classique des FPS-RPG avec des caractéristiques à améliorer (force, dextérité, etc.), des arbres de compétences à débloquer, des spécialisations possibles (mage, guerrier, ranger…), ainsi que de l’équipement à looter et à améliorer. Le jeu ne proposera pas de monde ouvert mais de vastes zones incitant le joueur à l’exploration. Les combats en FPS ou TPS seront orientés action mais avaient reçu des critiques mitigées car ils manquaient d’impact et de fluidité. Obsidian aurait pris en compte ces retours afin de rendre les affrontements plus dynamiques, ce qui ne transparait pas forcement dans cette vidéo.

Globalement, les retours de l’influenceur semblent très positifs, ce qui est plutôt encourageant quand on sait que son domaine de prédilection est le RPG. Et si nous sommes enclins à partager son optimisme sur cette partie, les combats nous semblent encore trop mollassons pour nous convaincre. Si d’aventure, Avowed vous tente, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam en attendant sa sortie le 18 février 2025. Il sera également disponible sur le Xbox Game Pass.

[Rumeur] Rien de neuf pour Far Cry 7, mais le projet Maverick, un spin-off extraction shooter, serait en développement

Il y a un peu plus d’un an, nos confrères d’Insider-gaming nous partageaient des informations exclusives à propos de Far Cry 7, indiquant qu’il pourrait enfin changer de recette. En effet, les sources anonymes expliquaient qu’il y aurait une histoire non-linéaire, et une limite de 24 heures réelles, correspondant à 72 heures in-game pour atteindre les objectifs. Hier, Tom Henderson a remis le couvert avec une précision supplémentaire : alors qu’il était initialement prévu pour 2025, le projet glissera jusqu’à 2026. Mais ce n’est pas tout, puisque ses sources – toujours anonymes –, ont évoqué un second projet très lié au premier, nommé Maverick. Il s’agirait d’un extraction shooter prenant place en Alaska. On devrait donc affronter d’autres joueurs, mais aussi la vie sauvage et les conditions climatiques. Youpi.

Si le concept de Far Cry 7 semble au moins un peu original, on ne peut pas dire qu’un nouvel extraction shooter, d’autant plus à la mode Far Cry, fasse vraiment rêver. Alors qu’Ubisoft traverse une période financièrement difficile, avec des rumeurs de prise de contrôle par le géant chinois Tencent, et un échec cuisant d’XDefiant, on aurait imaginé un revirement stratégique dans l’orientation de certains projets. Notamment ceux qui semblent s’accrocher à des tendances dépassées qui n’intéressent plus personne. Quelqu’un croit-il vraiment Ubisoft capable d’apporter du neuf dans le genre, alors que même certains des plus gros s’y cassent les dents ?

Quoi qu’il en soit, pour plus de détails, rendez-vous sur l’article de nos confrères d’Insider Gaming.

Shadows of Chroma Tower, un dungeon crawler multi psychédélique avec une pointe d’extraction inspiré de Dark and Darker

La semaine dernière, à l’occasion du Latin American Game Showcase en marge des Game Awards, le studio brésilien Double Dash nous a présenté Shadows of Chroma Tower, un dungeon crawler PvPvE, avec une esthétique un peu particulière. Mêlant couleurs criardes et cel shading, la direction artistique semble bien coller à une ambiance plutôt légère, malgré des mécaniques un peu complexes. En effet, difficile de ne pas voir une reprise presque totale du concept de l’extraction looter médiéval coréen Dark and Darker. On peut voir qu’il y aura des arbres de compétences, des combats au corps-à-corps contre l’IA et des joueurs, des arcs, de la magie, et bien sûr, du loot et de l’extraction.

Avec le montage frénétique de la vidéo, l’action a l’air plutôt nerveuse, mais il faudra voir clavier et souris en main, car son modèle n’est pas particulièrement réputé pour son dynamisme. On s’interroge tout de même sur les ajouts du titre au genre, car s’ils ne sont pas significatifs, il y a de fortes probabilités qu’il fasse une Dungeonborne, qui stagne autour des 200 joueurs journaliers après avoir dupliqué l’âme de Dark and Darker pour la mettre dans une enveloppe un peu plus jolie.

Aucune date de sortie n’a pour l’instant été évoquée pour Shadows of Chroma Tower. Néanmoins, si le projet vous intéresse, vous pouvez demander l’accès aux playtests, actuellement en cours. Et si ça vous a convaincu, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

ILL, le vaporware d’horreur, semble toujours en cours de développement

Cela fait presque quatre ans qu’a été annoncé ILL, un jeu d’horreur particulièrement graphique, mais ne reposant que sur des bandes-annonces en target render, c’est-à-dire en précalculé, et simulant des mouvements d’un joueur. Si on avait eu un peu de nouvelles en 2022, plus rien n’était ressorti de ce concept. Mais il semble que le Patreon ait suffi à faire vivre les quatre membres de Clout Studio, composé de deux artistes, et d’au moins un développeur, puisqu’une nouvelle vidéo est apparue il y a quelques jours sur le compte YouTube officiel.

Et surprise, il n’y a toujours pas de gameplay ! Sauf si l’on considère qu’avancer avec une lampe torche, dégainer un pistolet, puis patienter 30 secondes sans bouger dans un couloir, c’est du gameplay. Est-ce une vaste blague, un scam à la russe parmi d’autres ? Ou au contraire un teasing pour de prochaines annonces concrètes ? Seul l’avenir nous le dira.

En attendant, si ça vous tente et que vous avez la foi, vous pouvez ajouter ILL à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

The Outer Worlds 2, le FPS action et RPG dans l’espace, sortira en 2025

Discret depuis son annonce en 2021, le studio Obsidian, en charge également d’Avowed prévu pour février 2025, a diffusé un nouveau trailer de The Outer Worlds 2 à l’occasion des Game Awards 2024. Toujours avec humour, on y découvre un nouveau héros au milieu d’un conflit opposant plusieurs factions sur la colonie d’Arcadia. Bien que vos choix auront toujours une incidence sur le déroulé de votre aventure, les armes parleront également pour résoudre de manière plus abrupte les problèmes de diplomatie. La direction artistique est plutôt jolie et le gunplay a l’air un peu mieux que dans le premier – ce qui n’est pas difficile.

Si vous voulez repartir à l’aventure sur une colonie en proie à un chaos territorial, vous pouvez ajouter The Outer Worlds 2 à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, en attendant de nouvelles infos. Le jeu sera également présent day one sur le Game Pass.

BLACKFROST: The Long Dark 2 sortira en accès anticipé en 2026

Le studio Hinterland, développeurs du jeu de survie The Long Dark, a voulu marquer le coup pour le Game Awards 2024 en anticipant d’un an l’annonce de BLACKFROST: The Long Dark 2. Dans ce nouvel opus, vous devrez toujours survivre dans cet environnement glacial, à la différence que vous pourrez le faire en coopération. Fini la dépression post-apocalyptique seul dans votre coin, vous pourrez partager de bons moments dans cet environnement gelé avec vos amis. À la rédac, on spécule déjà sur les nouvelles mécaniques de jeu, mais mis à part les parties fines pour se tenir au chaud, ou le cannibalisme pour maintenir le groupe au top de la forme, on ne voit pas vraiment ce que les développeurs vont bien pouvoir apporter. Pour en apprendre davantage, vous pouvez consulter le descriptif de la page Steam du jeu.

Vu que BLACKFROST: The Long Dark 2 n’est pas prêt d’arriver, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

CRUEL, le rétro-fast-FPS sous Godot, défoncera des crânes le 9 janvier prochain

Découvert en fin d’année dernière, CRUEL est un fast-FPS à l’esthétique gore et rétro, développé avec le moteur open-source Godot. On l’attendait pour l’été dernier, mais finalement, il y a quelques semaines, l’unique développeur derrière le projet a révélé la date de sortie : ce sera le 9 janvier 2025. D’après ce qu’on a compris, il y aura une dizaine de niveaux agencés de manière procédurale, qu’il faudra traverser dans un temps imparti. On pourra trouver des canettes de boisson énergisante pour récupérer de la vie ou bénéficier d’améliorations. Évidemment, tout le monde voudra notre mort, et on devra user d’armes à feu ou d’un coup de pied bien vénère pour survivre.

La musique semble avoir passé un cap depuis le premier trailer, avec un beat bien entraînant. D’ailleurs, certains morceaux sont déjà disponibles sur YouTube ou Spotify, et ça tabasse plutôt pas mal. L’un des compositeurs a notamment travaillé sur HROT, Fida Puty Samourai, et quelques autres jeux. On avait un peu échangé avec lui cet été, et il disait s’inspirer de musiques de jeux des années 90, genre Shadow Warrior, Duke Nukem 3D, ou encore Unreal Tournament. Assurément quelqu’un de bon goût, donc.

Niveau gameplay, rien de très original, mais le feeling a l’air très bon, et on a hâte de mettre les mains dessus. S’il vous tarde aussi de vous lancer dans CRUEL, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam en attendant le 9 janvier prochain.

Le Baron fait son entrée dans Dying Light: The Beast

Bien décidé à développer l’univers de Dying Light, le studio Techland introduit le méchant de ce nouvel épisode Dying Light: The Beast, le Baron. Très caricatural, ce dernier semble n’avoir aucune empathie envers Kyle Crane (héro du premier Dying Light que l’on incarnera ici) devenu un rat de laboratoire. Du côte gameplay, il n’a rien de nouveau vu, que les devs semblent reprendre les mécaniques des anciens opus, que ce soit pour le combat ou les déplacements. Par contre, la fenêtre de sortie se précise pour l’été 2025.

En attendant plus d’infos, vous pouvez ajouter Dying Light: The Beast à votre liste de souhaits Steam.

Splitgate 2 nous sert un trailer de gameplay survitaminé

Toujours prévu pour 2025, Splitgate 2, le FPS multi avec des portails, se la joue à la COD en diffusant un trailer ultra dynamique accompagné d’une bande-son digne de grands rappeurs américains durant le Game Awards 2024. On y découvre de nos nouvelles maps, quelques armes en action et le potentiel battle pass de très bon goût que vous vous boufferez à la sortie du jeu. À la vue de certaines armes telles que le fusil à pompe ou le fusil de précision, le gunplay semble s’être amélioré entretemps. Par contre, du côté des armes à énergie, c’est toujours aussi à chier.

Si vous êtes un fétichiste des persos en combi moulantes du futur, vous pouvez ajouter Splitgate 2 à votre liste de souhaits Steam et Epic Games Store, en attendant une date de sortie plus précise.

FragPunk, le hero shooter avec des cartes à jouer, sortira le 6 mars 2025

Découvert lors de la Gamescom 2024, FragPunk, ce énième hero shooter, s’est glissé parmi les moultes bande-annonces du Game Awards 2024 pour annoncer sa sortie le 6 mars 2025. Dans un match en 5v5 accompagné d’un dégueuli d’effets visuels, vous incarnerez l’un des nombreux héros charismatiques et utiliserez des cartes qui vous octroieront des bonus variés. De notre côté, on est toujours aussi peu enthousiasmés par cet hommage copie de VALORANT, plaira sûrement aux kikoolol hyperactifs de 13 ans le temps que Fortnite sorte une nouvelle map pour son mode Frénésie.

Si FragPunk vous a malgré tout convaincu, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et Epic Games Store, en attendant sa sortie le 6 mars 2025.

Killing Floor 3 lancera prochainement sa bêta test

Durant le Game Awards 2024, le studio Tripwire Interactive en a profité pour diffuser une nouvelle bande-annonce de Killing Floor 3. On y découvre du gameplay  pour les différentes classes du groupe Nightfall que l’on pourra incarner, de nouveaux ennemis (1 et 2) mous du bulbe, de gros boss bien dégueu et surtout l’arrivée prochaine d’une bêta test. Si vous êtes intéressé, vous pouvez d’ores et déjà vous inscrire depuis la page dédiée du site officiel.

Prévu pour mars 2025, vous pouvez toujours ajouter Killing Floor 3 à votre liste de souhaits depuis la page Steam et Epic Games Store, en attendant plus d’infos.

COVENANT, les balbutiements d’un Witchfire-like par des vétérans de l’industrie

On était passés à côté, mais la semaine dernière, le studio Legion, composé d’anciens développeurs d’Apex Legends, Call of Duty, Halo, Destiny, Battlefield, et même DOOM, a révélé son projet : COVENANT. Il s’agira d’un « first person dark fantasy combat game », avec une place non-négligeable pour les armes de corps-à-corps, des sorts, et des armes anciennes. On peut notamment voir une arbalète et une sorte de mitrailleuse. Les développeurs insistent sur les références à Dark Souls – notamment dans le gameplay –, sans doute pour des combats très techniques face à de gros adversaires. Avec une telle proposition et une direction artistique si marquée, impossible de ne pas penser à Witchfire, l’excellent rogue-lite en accès anticipé de The Astronauts. Mais on nous promet ici également de la coop et du PvP.

Cependant, comme vous pouvez le voir, les visuels ne sont pas très impressionnants, voire complètement à chier pour 2024. Et il serait facile de se moquer de l’équipe, par exemple en disant qu’avoir fait les poussières chez id Software n’est pas un gage de qualité pour développer un nouveau titre. Mais ce serait sans doute de très mauvaise foi, car la FAQ partagée sur Steam nous en apprend un peu plus sur le projet. En effet, pour l’instant, ils ne sont qu’une douzaine de développeurs et designers, mais aucun artiste spécialisé dans les environnements, les effets visuels, l’éclairage ou les matériaux. Ce qui explique l’aspect particulièrement daté du trailer. Sinon, ils indiquent que l’Unreal Engine 5, qu’ils ont choisi, n’est pas forcément synonyme de futures mauvaises performances. Mais ils citent en exemple VALORANT, Lies of P, et Witchfire, bien que ces trois titres utilisent encore Unreal Engine 4, ce qui prête à confusion. L’un des développeurs a tenté de clarifier ce point dans un post sur le serveur Discord officiel, expliquant qu’ils n’utilisent pas les technologies Lumen et Nanite, réputées très gourmandes.

COVENANT
On sait à quoi vous pensez : oui, c’est bien son pied, bande de cochons.

Ils assurent aussi qu’ils sont de vrais joueurs avant tout, et qu’ils savent ce que tout le monde veut, tout en pointant les problèmes de l’industrie, selon eux :

Nous existons parce que nous pensons que les joueurs méritent mieux que ce qui leur est proposé. L’industrie est faible, et pas seulement sur le plan financier, mais aussi de par sa conception. Les jeux offrent de moins en moins de choses, font payer de plus en plus cher et sont conçus pour soutirer jusqu’à la dernière goutte au consommateur. Ce n’est pas ce à quoi nous aspirons.

C’est plutôt ironique, car encore une fois, cette position les rapproche énormément de Witchfire, dont l’équipe de développement est ridiculement petite, comparée à celles de la majorité des jeux de cette ampleur. De là à dire qu’ils n’ont aucune imagination, il n’y a qu’un pas ! Mais ne boudons pas notre plaisir de voir une nouvelle proposition, dans un genre pour l’instant encore peu exploré. Par ailleurs, il ne faudra sans doute pas s’attendre à une sortie pour tout de suite, car le titre semble n’en être qu’à ses premiers balbutiements.

Si COVENANT vous intrigue, vous pouvez d’ores et déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

Les bons plans NoFrag du week-end commencent leurs courses de Noël

Noël approche à grands pas, et les bons plans NoFrag du week-end ont leurs courses à faire. Rien de plus facile ! Pour vos grands-parents : des couchesun bavoir, un cahier de coloriage ou un superbe déambulateur. À noter qu’en dehors du dernier produit, tous les autres peuvent être éventuellement offerts à un enfant en bas âge. Pour les chiards plus âgés : le Faucon Millenium en Lego ou le AT-ST, la série Chernobyl en blu-ray ou des sous-vêtements Batman. Une fois encore, notez que tous ces articles peuvent aussi être offerts à des adultes un peu limités intellectuellement.

Ensuite, il y a les cadeaux lourds de sens : la culture générale pour les nuls pour votre oncle bébête, une brosse à dents pour votre tante ou une boîte de préservatifs pour votre cousin complotiste. Pour ceux qui sont en couple, le meilleur cadeau pour madame sera probablement un stimulateur clitoridien. Et pour monsieur, de quoi passer une agréable soirée. Vous pouvez aussi investir dans un lot de bougies ou des batteries externes pour affronter 2023 sereinement.

Finissons enfin avec les cadeaux pièges : la guitare électrique pour enfant, idéale pour casser les oreilles à ce couple qui vous énerve, la fontaine zen, qui devrait faire péter un câble à ses propriétaires dès la première nuit, ou encore le puzzle impossible à terminer pour votre cousine qui se la raconte toujours un peu trop. Les chaussettes de Noël pour ceux qui ne prennent même pas la peine de s’intéresser à vous. Et, pour celui ou celle qui vous a vraiment fait rager toute l’année, le cadeau ultime.

Bons plans Noël

Les bons plans Amazon

Cette semaine, notre expert Gothax nous propose, comme à son habitude, quelques jolies choses pour mettre dans votre salle de gaming :

Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.

Gamesplanet Warhammer NOFRAG

Les bons plans Gamesplanet

Cette semaine, notre partenaire Gamesplanet propose plein de promos sur les jeux Warhammer, pour la sortie du DLC Total War Warhammer III – Omens of Destruction. Il nous a même fait un code promo NOFRAG pour gratter 5 % supplémentaires, cumulables avec la réduction déjà appliquée. Le DLC passe donc à moins de 21 €, tandis que Space Marine II passe à 42 € pour sa version standard. On vous laisse voir ce que ça donne pour la version Gold et Ultra.

Sinon, si vous n’avez pas encore craqué pour l’incroyable S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, vous pouvez toujours utiliser le code promo NOFRAGSTALKER, qui permet d’avoir une réduction de 20 %. Vous pouvez obtenir l’édition Standard à 48 €l’édition Deluxe à 64 €, et l’édition Ultimate à 88 €. La promotion est valide jusqu’à la fin de l’année.

Ce n’est pas tout, plein d’autres jeux sont également en promotion :

Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

Un nouveau trailer pour PIONER, une page Steam et une promesse : ça sort en 2025

Cela fait un moment qu’on vous parle de PIONER, un jeu de survie postapocalyptique très inspiré des S.T.A.L.K.E.R., mais ajoutant de vrais morceaux de MMORPG à l’intérieur. On vous parlait de l’ouverture aux inscriptions pour la bêta (finalement pas encore commencée, a priori) le mois dernier, c’est un nouveau trailer, et surtout, une page Steam, qui sont arrivés cette semaine. Cette fois-ci, on nous promet même la sortie du titre pour 2025. Il n’y a pas de précisions, mais on pense tout de même qu’il s’agira d’un accès anticipé.

Visuellement, c’est plutôt sympa, et l’inspiration paraît évidente. Cependant, le gameplay a l’air tout de même un peu plus arcade, et le feeling se rapprocherait peut-être un peu plus des Metro. Les mécaniques de jeu, par contre, semblent toujours très, voire trop ambitieuses. En effet, il est prévu du PvE, du PvP, en solo, en coop ou à plus grande échelle. Malheureusement, on soupçonne que nos adversaires monstrueux seront de gros sacs à PV dignes des meilleurs Borderlands, surtout quand on est accompagnés de sept ou huit potes. Et les aspects très World of Warcraft avec clans et donjons nous avaient rempli d’effroi.

Quoi qu’il en soit, on est toujours impatients de mettre les mains dessus, même si on a de nombreuses craintes sur la capacité de l’équipe russe de GFAGAMES à tenir ses promesses, ou tout simplement faire un truc qui marche réellement. Si vous voulez vous aussi suivre le projet, vous pouvez maintenant ajouter PIONER à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

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