Ça y est, le messie est enfin arrivé ! S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl vient de sortir, et avec lui, les premières reviews des Grands Journalistes qui sont assez unanimes : c’est tout pété, mais c’est brutal et atmosphérique à souhait. Il semblerait que GSC Game World nous ait bien délivré un digne successeur à leur série qui s’était arrêtée en 2009 avec S.T.A.L.K.E.R.: Call of Pripyat.
PC Gamer dépeint une Zone toujours vivante indépendamment du joueur, avec des PNJ et créatures qui vaquent à leurs occupations, qui incluent de se mettre sur la gueule avec entrain. IGN nous rassure aussi sur le fait que S.T.A.L.K.E.R. 2 propose, comme ses ainés, une expérience de survie hardcore ou chaque prise de décision demande de peser bénéfices et risques. Chez GamesRadar, on souligne la beauté post-apocalyptique des environnements renforcée par des effets météorologiques très convaincants. Même le YouTuber BigfryTV, généralement très critique, s’est laissé séduire, et le classe parmi ses jeux favoris de l’année, malgré les gros soucis relevés.
Preuve encore qu’on est bien revenu à la maison, de nombreux bugs et glitches sont malheureusement à dénoter : des cadavres en T-pose, des assets qui flottent au-dessus du sol, des effets de lumière qui ne marchent tout simplement pas, des PNJ qui traversent les murs, et des quêtes qu’il n’est parfois pas possible de conclure. Comme on s’en doutait, les performances sont elles-aussi déplorables même sur des machines de guerre, mais sans atteindre le niveau d’un Cyberpunk 2077 à sa sortie. Même si le sacro-saint day-one patch a déjà permis d’améliorer la situation, la route sera sans doute longue avant de pouvoir explorer la Zone sans se battre contre le jeu lui-même plutôt que contre les dangers qui y résident.
Néanmoins, pour une vraie expérience slavjank, vous pouvez dès maintenant retrouver S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl sur GoG, Steam, Epic Games Store et le Game Pass. On vous recolle également notre petit pavé pour la promo que propose notre partenaire Gamesplanet : avec le code promo NOFRAGSTALKER, vous bénéficiez de –20 % sur toutes les éditions du jeu (standard, deluxe, ultimate).
À la rédac, c’est évidemment l’effervescence, et chacun (ou presque) va se lancer dans l’aventure. Comme on n’a pas pu avoir accès en avance, n’espérez pas un test tout de suite. Mais par contre, on a prévu une émission spéciale lundi prochain, à 21 h, sur la chaîne Twitch de NoFrag, pour en parler en long, en large et en travers. Et il y aura des clefs du jeu à gagner. On fera une news spéciale demain ou après-demain pour l’annoncer.
En août dernier, on vous annonçait l’arrivée d’Alien: Rogue Incursion pour le 19 décembre, un épisode en VR dans l’univers de Giger. A priori à mi-chemin entre action et infiltration, on espère qu’il sera moins raté que son homologue Metro Awakening, sorti il y a deux semaines. Alors qu’on reprochait à ce dernier d’être finalement plutôt moche, le dernier trailer pour Alien: Rogue Incursion semble montrer des environnements vraiment pas mal pour de la VR. Mais peut-être que casque sur la tête, le rendu ne sera pas aussi bon, qui sait ?
À la rédac, on est plutôt enthousiastes, même si on n’aura probablement pas le temps de le tester à sa sortie. Il est prévu sur Steam, Meta Quest et PS VR, à un prix allant de 29 € à 40 €, en fonction de la boutique numérique retenue. On vous conseille d’attendre les premiers retours après le 19 décembre : on n’est jamais trop prudents.
Comme prévu, THRESHOLD, un walking sim avec une petite touche d’horreur psychologique et développé en solo par Julien Éveillé – aussi développeur chez Crytek sur Crysis 4 et Hunt: Showdown 1896 –, est sorti hier. Comme vous pouvez le voir sur la miniature, le jeu « respire » la joie de vivre, mais propose un scénario assez intrigant : dans un poste-frontière en haut d’une montagne, là où l’air se fait rare, il faudra faire en sorte qu’un train a priori infini ne soit pas en retard. La direction artistique très marquée, style PSOne, semble bien participer à l’ambiance particulièrement glauque et pesante.
On avait testé la démo/prologue le mois dernier, et on avait bien aimé : il n’y a certes pas beaucoup d’interactions (c’est bien un walking sim), mais la narration et l’atmosphère, très réussies, sont au centre de l’expérience. D’autre part, le développeur indique que le jeu complet dure une heure et demie, si on est lent. L’occasion de profiter d’une histoire complète sans avoir à sacrifier toutes ses soirées pendant plusieurs semaines !
Si THRESHOLD vous intéresse, il est actuellement en promotion à 9 € sur Steam pour la semaine de sa sortie.
Le week-end dernier, Ubisoft révélait les détails de la future quatrième et dernière saison de la neuvième année de Rainbow Six: Siege, Collision Point (Y9S4). Les joueurs attendaient particulièrement un équilibrage du côté des boucliers, qui étaient a priori beaucoup trop puissants et difficiles à contrer. Les développeurs ont pris en compte les retours, et ont pas mal travaillé pour améliorer les choses. Le coup de bouclier ne fait plus de dommages, mais renverse l’adversaire ; la suppression a été augmentée, empêchant les opérateurs de sprinter ; et il sera possible d’avoir une fenêtre pour toucher l’opérateur protégé par son bouclier après quelques coups au corps-à-corps. Mais ce qui en a surpris plus d’un, c’est que Blackbeard a été complètement retravaillé. Son petit bouclier, auparavant placé sur son fusil pour abriter le haut du corps, s’est transformé en bouclier balistique complet. Certes, pour viser avec l’AR ou le DMR, la tête n’est plus protégée, mais il peut maintenant breach les murs fins. « Il ne passera jamais la phase de ban », dit le commentaire le plus apprécié sous la vidéo… À dans trois mois pour l’annonce du « nerf » de l’opérateur !
L’autre grande annonce, c’est l’arrivée du vrai crossplay entre console et PC, pour ceux qui le souhaitent. D’autre part, le système de réputation, enregistrant minutieusement le moindre pet de travers, a encore été peaufiné, afin d’éliminer les dernières traces de toxicités qui pouvaient encore subsister pendant les parties. Quoi ? On me dit que la communauté serait toujours aussi toxique, et que les joueurs trouveraient toujours un moyen de faire chier les autres ? Étonnant. On verra bien le résultat d’ici quelques mois, mais tous ces menus avec moult statistiques donneraient presque envie de se remettre au jeu, ne serait-ce que pour voir comment tout s’articule.
On est passés un peu vite sur certains points évoqués pendant la présentation, alors si vous souhaitez plus d’informations, vous pouvez jeter un œil sur le site officiel, ou la vidéo présentée au bord de la mer, pour aucune fucking raison. La saison 4 de la neuvième année est prévue pour décembre, sans plus de précisions. En attendant, vous pouvez retrouver le jeu en promo à –10 % chez notre partenaire Gamesplanet, à partir de 18 € et jusqu’à 81 €, en fonction de l’édition.
Alors que la date de la bêta ouverte approche à grands pas pour Delta Force, la Team Jade continue de rassurer sa communauté, tout en envoyant de petites piques à son cousin Morefun, qui développe Arena Breakout: Infinite. Pourquoi cousin ? Parce que les deux studios sont des filiales du géant chinois Tencent.
Ils rappellent qu’il n’y aura pas de vente de monnaie in-game, pas de pay-to-win, que le projet est orienté vers la communauté, prête à réagir aux retours des joueurs, que le jeu est bien optimisé et jouable sur une vaste gamme de machines, et qu’il n’y aura aucune tolérance envers les cheaters. On ne peut qu’être d’accord avec ces déclarations.
De son côté, Arena Breakout: Infinite, le clone d’Escape From Tarkov, est un vrai pay-to-win : on peut acheter de l’équipement top tier avec de l’argent réel, afin d’avoir un avantage très significatif sur les joueurs qui n’auraient pas mis la main au portefeuille. On a donc un peu l’impression que Tencent est en train de jouer sur deux fronts en même temps, pour voir lequel fonctionnera le mieux…
On avait plutôt été emballés par la proposition de Delta Force, notamment avec son mode Havoc – une copie de Battlefield 2042 en mieux – lorsqu’on l’avait essayé cet été et pendant le Steam Néo Fest d’octobre. On est donc assez impatients de le voir arriver avec un peu plus de contenu en bêta ouverte le 5 décembre prochain. En attendant, s’il vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
En 2022, Moon Mystery faisait parler de lui avec la proposition d’un scénario mêlant enquête, gunfight et exploration. Les premières images laissaient entrevoir des graphismes réussis, mais des doutes subsistaient quant au gameplay. La rédac testait la démo en 2023 sans être convaincue et en 2024, le jeu sort enfin. Et le verdict est simple : si je pouvais revenir dans le temps, j’enverrai un message radio au NoFrag de 2022 pour demander de ne jamais en parler…
Genre : action / exploration / énigmes |Développeurs : Cosmoscouts| Éditeur : Indie.io | Plateforme : Steam|Prix : 18,49 €|Langues : Anglais, sous titres en français |Date de sortie : 28/10/2024 |Durée : 7 à 8 heures
Test effectué sur une version commerciale.
Le mix improbable entre Interstellar et Sliders : les mondes parallèles
Vous êtes un scientifique en mission sur une base lunaire et assisté par un robot nommé Toby. Cela fait sept jours que vous n’avez plus de contact avec la Terre et que votre coéquipier est porté disparu après avoir manipulé une mystérieuse roche bleue. Un délai d’attente de sept jours avant d’agir ? Vous êtes sacrément patient, mais pourquoi pas.
Vous partez donc vers la base voisine pour reprendre contact avec la Terre, mais toute l’installation a été dévastée par un robot inconnu. Une fois ce dernier dézingué, vous recevrez un message alarmant d’un certain général Patton : la Terre est attaquée par des extraterrestres. Ni une ni deux, vous vous lancez à l’assaut de leur base, aidé par Toby qui semble soudainement connaître sa localisation bien que personne n’en ait jamais parlé avant.
Vous découvrez une usine de production de robots. Les aliens tentent de voyager dans l’espace (c’est déjà fait puis qu’ils sont sur notre Lune ?) et espionnent la Terre depuis des dizaines d’années pour copier nos technologies et nos armes. Notez qu’ils construisent des bases aussi grandes que les GigaFactory Tesla, mais vont copier le schéma d’un camion poubelle ou d’un vieux fusil à pompe merdique. Enfin bref, on apprendra que ces aliens utilisent différentes bases dans différents biomes (Lune, désert, aquatique, station spatiale et ville futuriste) et que chacune est soutenue par un ou plusieurs pylônes que nous allons détruire pour stopper l’invasion. La suite n’aura pas plus de sens et s’il y a bien un trou noir dans cette histoire, elle se situe dans le cerveau du scénariste.
Un gameplay varié, mais ennuyeux
Le jeu repose sur trois piliers : gunfights, plateforme, et énigmes. Malheureusement, aucun de ces éléments n’est suffisamment travaillé pour être abouti. Les combats cochent toutes les cases, mais manquent de fun. Il est possible de sauter, glisser, jeter des grenades et personnaliser ses armes. Malheureusement, celles-ci ne procurent pas vraiment de sensations, à cause d’un sérieux manque de recul et d’impact sur nos adversaires. Les ennemis, peu variés (cinq ou six types de robots seulement), ont des mouvements répétitifs et ne présente pas beaucoup de danger. Et même si l’IA pouvait être intéressante – elle cherche à se mettre à couvert, à nous contourner ou à charger notre position –, elle est souvent gênée par des bugs alternant entre choix débiles et immobilité complète. D’ailleurs, vous ferez face à un seul boss, dont le combat est mal équilibré et beaucoup trop long à mon goût.
Les séquences de plateforme, notamment dans les environnements en gravité réduite ou glissants, sont laborieuses et pas assez techniques pour être intéressantes. Quant aux énigmes, elles sont trop simples et trop redondantes pour nous captiver pendant 8 heures. Le jeu propose aussi des phases de conduite (rover, vaisseau spatial, dépanneuse, voiture de sport), mais cela n’apporte absolument rien de franchement palpitant.
Graphismes et musique : un bilan mitigé
Le jeu est capable de proposer des panoramas très sympathiques. Toutes les cartes sont conçues comme de fausses zones ouvertes, et offrent une entrée en matière très réussie visuellement. Mais tout se gâte une fois en intérieur où les environnements sont répétitifs et souffrent d’une gestion incohérente des textures et des lumières, brisant complètement l’immersion.
La bande-son, sans être inoubliable, est correcte. Différents types de musique accompagnent l’aventure : orchestrales pour les phases d’exploration et plus énergiques durant les combats. C’est assez cohérent dans l’enchaînement, voire plaisant quelques fois. Un bon point aussi pour la VO de qualité.
Misère lunaire
Dès le lancement, le jeu rappelle qu’il a été développé par une petite équipe, mais cela n’excuse pas tout : Moon Mystery est l’exemple typique d’un projet trop ambitieux pour ses moyens. Les gunfights sont mous, les énigmes sans intérêt et les phases de plateformes frustrantes. À trop vouloir en faire, l’équipe n’a pas pu travailler correctement un seul pan du gameplay et échoue même sur l’argument de l’enquête immersive dans l’espace. Si le jeu s’était concentré sur un seul aspect (jeu narratif, FPS pur et dur, ou puzzle-game) il aurait pu être très sympathique. Malheureusement, les développeurs s’éparpillent trop, ce qui aboutit à un ensemble ni convaincant, ni cohérent.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.
Lundi soir, nous avons enregistré l’épisode #66 de NoScope. Au programme, comme d’habitude, on a commencé par un petit tour d’horizon des news de ces dernières semaines, avec évidemment les dernières infos sur S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl avant sa sortie, ou l’arrivée du cinquième chapitre du mod Black Mesa: Blue Shift.
Pour ce NoScope, on n’a fait qu’un seul test, et pas forcément pour le meilleur des jeux, puisqu’il s’agit de Moon Mystery, qu’ANzer a eu la « chance » de tester.
On a enchaîné avec un quiz et une petite discussion autour des 20 ans d’Half-Life 2, qui a forcément marqué NoFrag et le chat Twitch depuis toutes ces années.
00:00:00 – Intro 00:02:22 – Les news (PIONER, S.T.A.L.K.E.R. 2, Rogue Point…) 00:42:41 – Test : Moon Mystery 00:59:53 – Quizz : des anecdotes sur Half-Life 2 01:19:53 – Dossier : les 20 ans d’Half-Life 2 01:44:21 – À venir 01:49:06 – Nos recommandations
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
Dans le monde merveilleux de Madfinger Games, les développeurs de Gray Zone Warfare, un bête cycle jour/nuit est un grand événement. Cela fait des semaines qu’ils se gargarisent du travail qu’ils ont réalisé sur les opérations de nuit. Avec la vidéo partagée il y a quelques jours, nous avons maintenant une date de sortie pour cette extraordinaire fonctionnalité : ce sera le 27 novembre. Vous pourrez, par exemple, utiliser des lunettes de vision nocturne, incroyable ! Du jamais vu ! Et il y aura aussi des lasers et des lampes torches… Bref, vous l’aurez compris, rien de quoi réellement nous éblouir.
Vous avez de la chance, ce teaser vous épargne une bonne heure de branlette autour de concepts que l’on trouve chez tous les autres concurrents, et pas toujours parce que c’est bien, comme la limitation des stocks chez les marchands pour augmenter le gear fear, par exemple. Par contre, n’espérez toujours pas voir le principal problème de Gray Zone Warfare traité tout de suite : l’IA, pourtant la priorité absolue depuis un moment, n’est pas au programme du futur patch. Les ennemis seront donc toujours aussi stupides, de jour comme de nuit. Bon, on est mauvaise langue, pas mal de petites choses, notamment du côté de la qualité de vie, ont été améliorées. Malheureusement, la qualité de vie ne fait pas un jeu…
En attendant le 27 novembre et la tombée de la nuit, si malgré tout, vous êtes convaincus qu’il faut acheter Gray Zone Warfare, vous pouvez le retrouver à partir de 35 € sur sa page Steam.
La semaine dernière, le YouTuber MoiDawg a publié une vidéo résumant le stream caritatif d’Offworld Industries du 11 novembre dernier. Ils ont notamment parlé de Squad, l’un des meilleurs jeux tactiques de ces dernières années. Et l’information majeure, c’est que les développeurs ont décidé de migrer de l’Unreal Engine 4 à l’Unreal Engine 5. Ils avaient d’ailleurs déjà partagé quelques images cet été, montrant le travail réalisé sur le rework de la carte Al Basrah. Mais ils n’avaient rien dit, les petits coquins. A priori, cela devrait permettre de redonner un petit coup de peinture bienvenu à un jeu qui commence à accuser le poids des ans. Un autre point abordé par l’équipe est que la dernière version du moteur d’Epic apportera également des solutions pour améliorer la physique des véhicules. Alors qu’un ridicule muret ou qu’un gros caillou peuvent actuellement réduire à néant une attaque d’un M1A2 Abrams sur un camp ennemi, l’Unreal Engine 5 devrait régler ce problème. Par ailleurs, le lead programmer évoque implicitement qu’ils travaillent actuellement sur un système de destruction. Ce ne sera sans doute pas pour des bâtiments, mais plutôt pour les petits murs ou les clôtures, actuellement immuables. Une révolution !
Quelques autres informations ont été distillées dans la vidéo de MoiDawg, notamment le contenu du prochain patch 8.2, ou les armes antiaériennes. On vous laisse la regarder si vous souhaitez plus d’informations.
Ne soyez tout de même pas trop impatients pour la mise à jour vers l’Unreal Engine 5, car aucune date n’a encore été envisagée. Il reste beaucoup de travail, notamment sur l’optimisation, pour éviter d’avoir la même rengaine, comme à chaque changement de moteur…
Pot pourri de plusieurs concepts repris ici et là (et encore là), Death Delivery se présente comme un FPS d’action sanglant à l’esthétique visuelle et musicale inspirée des films hongkongais des années 80. Sorti ce 12 novembre en accès anticipé, le jeu vous propose d’enchaîner les meurtres le plus rapidement possible et d’obtenir le meilleur score sans subir le moindre dégât. Pour ce faire, vous aurez accès à un large éventail d’armes et du bullet time pour vous faufiler entre les balles.
Bien que le studio GogaGames ne semble pas réinventer la roue, leur jeu a l’air plutôt sympa et se distingue par sa direction artistique et son ambiance musicale. Le gunplay, quant à lui, paraît correct et bien violent, en témoignent les effusions d’hémoglobine.
Si vous aimez défoncer du méchant à la pelle et avec du style, vous pouvez vous procurer Death Delivery en accès anticipé sur Steam à moins de 4 € pour son lancement jusqu’au 26 novembre.
À l’approche de la saison hivernale, Isonzo, le FPS multi se déroulant durant la Première Guerre mondiale sur le front italien, a reçu une nouvelle extension nommée The Adamello ce 14 novembre. Pour l’occasion, le studio BlackMill Games a publié un billet de blog Steam pour annoncer différentes infos. Sur cette nouvelle carte, vous risquez fortement de vous cailler les miches en effectuant des assauts à 3 000 mètres d’altitude. Pour élargir votre arsenal, vous pourrez user d’une arme allemande (Artillery Luger) et d’une grenade (Petardo Offensivo P.O). Également, pour ce week-end uniquement, les devs lancent une opération séduction vous permettant de joueur gratuitement à Isonzo. C’est l’occasion de vous y essayer si vous êtes intéressé. Aux amateurs d’escalade, le mode Ascent est de retour pour une période limitée. Pour plus de détails, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
Pour les aficionados de combats en haute altitude, Isonzo est actuellement en promotion à -67 % jusqu’au 27 novembre sur Steam, soit moins de 10 €.
En ce milieu de semaine, le studio Rebellion, en charge du développement d’Atomfall, a publié un trailer annonçant que leur FPS de survie sortira le 27 mars 2025. Vu qu’il n’y rien de nouveau à se mettre sous la dent, si ce jeu vous intrigue un tant soi peu, on vous invite à jeter un œil aux informations sur la zone dévoilées par les devs, ainsi qu’à une séquence gameplay peu convaincante et jouée par un confrère d’IGN. À la rédac, on reste toujours peu emballés par la proposition du studio Rebellion. À moins qu’il y ait quelques peaufinages sur le gameplay d’ici là, il y a peu de chance que l’on soit convaincus.
S’inspirant en partie des licences Fallout et S.T.A.L.K.E.R., vous mènerez donc une enquête pour découvrir les origines entourant l’accident de la centrale nucléaire de Windscale. Vous explorerez différents lieux (des bunkers abandonnés, des habitations en ruines, un village de rescapés…) afin de remplir diverses missions et côtoyer des factions amies ou ennemies. Pour vous défendre, vous aurez la possibilité de fabriquer et de ramasser des armes de corps-à-corps ou des armes à feu, qui seront pour la plupart en bien mauvais état et avec des munitions limitées.
Prévu pour le 27 mars 2025, vous pouvez d’ores et déjà précommander Atomfall sur Steam et l’Epic Games Store pour environ 50 €, si vous êtes intéressé. Le jeu sera également disponible day one sur le Game Pass.
Lundi soir, le 18 novembre à 20 h, la rédaction de NoFrag enregistrera l’épisode #66 de NoScope. Au programme, comme d’habitude, on commencera par un petit tour d’horizon des news de ces dernières semaines, avec évidemment les dernières infos sur S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl avant sa sortie, ou l’arrivée du cinquième chapitre du mod Black Mesa: Blue Shift.
Pour ce NoScope, on ne fera qu’un seul test, et pas forcément pour le meilleur des jeux, puisqu’il s’agira de Moon Mystery, qu’ANzer a eu la « chance » de tester.
On terminera l’émission avec une petite discussion autour des 20 ans d’Half-Life 2, qui a forcément marqué NoFrag depuis toutes ces années.
Alors attrapez quelques chips de légume, un jus de goyave, et rejoignez-nous donc sur Twitch lundi soir à 20 h pétantes. Ou à peu près, on verra.
Beaucoup de fans le sentaient arriver, Valve a bien préparé un « petit » quelque chose pour les 20 ans d’Half-Life 2. Comme pour les 25 ans d’Half-Life l’année dernière, une grosse mise à jour du jeu va être déployée (sans doute dans la journée), apportant, entre autres, des corrections de bugs, des améliorations de l’éclairage, ainsi que des options graphiques présentes sur les épisodes 1 et 2. D’ailleurs, ceux-ci sont maintenant intégrés au jeu de base. Le workshop est désormais utilisable et directement accessible depuis le menu principal. Enfin, des commentaires des développeurs sont disponibles tout au long de l’aventure, comme dans Portal ou les épisodes 1 et 2. Tout est décrit sur la page dédiée.
Lors de l’anniversaire précédent, le documentaire sur la création d’Half-life avait bien plu. Ils ont donc réitéré l’opération pour Half-Life 2, toujours avec l’équipe derrière l’excellente chaîne NoClip. Prévoyez tout de même deux bonnes heures pour le regarder. Mais ça devrait valoir le coup, ils promettent des infos exclusives sur la manière dont le projet a vu le jour.
En plus du documentaire, Valve partage des vidéos d’archives de démos réalisées pour quelques événements, mais qu’ils n’avaient finalement pas montrées, ainsi qu’une version en bonne qualité de l’annonce du jeu lors de l’E3 2003. Plutôt cool. Enfin, ils annoncent qu’ils feront une réédition du bouquin Raising the Bar sorti en 2004, enrichie d’informations sur le développement des épisodes 1 et 2.
On profite de l’événement pour vous raconter une anecdote parfaitement inutile : saviez-vous qu’Half-Life 2 est le jeu sur lequel NoFrag a fait le plus de news (1316) ? Il en a deux fois plus que le second, aussi un jeu de Valve, Team Fortress 2. Le troisième sur le podium, avec une centaine de news de moins, n’est autre que S.T.A.L.K.E.R.: Shadow of Chernobyl.
Pour l’occasion, Half-Life 2est gratuit sur Steam jusqu’au 18 novembre. Bon anniversaire !
Merci à Stannah pour l’info et Idaho pour le suivi assidu des dataminers.
Vous n’avez pas pu passer à côté, on vous rabâche presque tous les jours que S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl sortira la semaine prochaine, le 20 novembre. Les bons plans NoFrag du week-end aussi l’attendent avec impatience, et veulent se préparer au mieux pour l’événement. Avant de passer plusieurs jours devant votre PC, il faut aller acheter des provisions. Il vous faudra donc un vêtement chaud, un sac à dos pour tout transporter et une lampe frontale, car la nuit tombe vite. De retour à la maison, installez votre petit réchaud sur le bureau, et préparez tout le confort nécessaire près de vous. Évidemment, il faudra placer le groupe électrogène près de la fenêtre entrouverte, afin de pouvoir jouer même en cas de coupure de courant. Comme il ne fera pas très chaud, vous pourrez également y brancher un petit radiateur soufflant. N’oubliez pas le kit de survie en cas d’urgence. Enfin, parce que la famille aussi, c’est important, disposez quelques masques à gaz à l’extérieur du bureau, pour leur permettre de vous faire un petit coucou de temps en temps. Et voilà, vous êtes prêts pour la sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2 !
Les bons plans Amazon
Cette semaine, c’est la rédac (avec un peu d’aide de notre expert Gothax) qui tente de vous proposer une sélection pour vous faire un PC digne du prochain titre de GSC Game World, même si vous pourrez sans doute pas le faire tourner tout à fond :
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Allez, plus que quelques jours avant la sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, et on pourra vous lâcher avec le code promo NOFRAGSTALKER chez notre partenaire Gamesplanet pour avoir une réduction de 20 % sur les précommandes du jeu. Vous pouvez avoir l’édition standard à 48 €, l’édition deluxe à 64 €, et l’édition ultimate à 88 €. La promotion sera valide jusqu’à la fin de l’année, dans le cas ou vous préféreriez attendre notre retour après sa sortie le 20 novembre.
Sinon, il y a évidemment plein de réductions :
Les précommandes pour Indiana Jones and the Great Circle, qui sort le 9 décembre et qui a enthousiasmé les Grands Journalistes lors de leurs previews, sont à –10 %. Cela fait la version normale à 63 € ou la version premium à 90 €.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Les joueurs réguliers de Call of Duty l’attendaient avec impatience, la saison 1 de Call of Duty: Black Ops 6 est arrivée, et avec elle, la mise à jour du mode battle royale free-to-play, Warzone. Le gameplay du jeu de Treyarch vient donc remplacer le précédent, tandis que la map Area 99 vient succéder à Urzikstan. On a testé sur une partie ou deux, le TTK est affreusement long, c’est absolument à chier.
Du côté du jeu multi, énormément de contenu est mis à disposition, puisqu’il y a des nouvelles cartes et un nouveau mode de jeu. Certains éléments ne seront disponibles qu’à la mi-saison, mais on peut déjà profiter de Hideout et Extractionen 6v6, tandis que la petite carte Heirloom est proposée également en mode escarmouche. Du côté des modes de jeu, on a dès maintenant accès à saccage, qui demande aux joueurs de récupérer de l’or sur des points spécifiques pendant un certain temps, et de rapporter le butin à sa base. Mais les adversaires peuvent aussi récupérer l’or depuis le stockage de l’autre équipe, s’il n’est pas protégé. Pas désagréable, mais pas exceptionnel non plus. Le mode Prop Hunt sera disponible à la mi-saison.
Du côté des zombies, les développeurs ont intégré un nouveau mode, appelé « dirigé », qui permet aux joueurs de se focaliser sur l’aspect narratif. Pour cela, le nombre de vagues est limité à 15 et les activités annexes sont désactivées. C’est plutôt une bonne idée pour ceux qui auraient deux mains gauches, ou pas la volonté de try hard pour suivre l’histoire.
Enfin, comme vous pouvez le voir sur l’image au-dessus, il y a également de nouveaux perks, de nouvelles armes et des nouveaux opérateurs. Vous pouvez retrouver tous les détails de cette mise à jour, ainsi que les éléments prévus pour la mi-saison dans l’article dédié sur le site officiel de Call of Duty.
Si Call of Duty 21: Black Ops 6 vous tente, vous pouvez l’obtenir contre 80 € sur Steam ou Battle.net, ou sans supplément dans le Game Pass. Si seul Warzone vous intéresse, rendez-vous plutôt sur cette page Steam, vous aurez un bouton pour installer tout le bouzin sans rien payer, puisque c’est free-to-play.
On vous en parlait cet été à l’occasion d’une phase de bêta, le mode versus de Warhammer: Vermintide 2 est enfin sorti, cinq ans après son annonce ! Pour ceux qui n’étaient pas nés, il s’agit d’un jeu coopératif développé par Fatshark (Vermintide, Darktide), reprenant le concept de Left 4 Dead, mais dans l’univers de Warhammer, et avec un gros aspect loot, grind et RPG. En effet, il faut faire et refaire les différentes campagnes avec son personnage choisi parmi plusieurs classes pour débloquer des objets plus puissants, améliorer ses armes ou en fabriquer de nouvelles, gagner des points d’expérience à répartir dans un arbre, etc. Les antagonistes, les skavens, incluent des ennemis spéciaux très inspirés de ceux du jeu de Valve : un équivalent au smoker, un équivalent au hunter, au tank, etc. Il était donc plutôt étonnant de ne pas voir le mode versus arriver plus tôt.
On ne sait pas ce qui a pris autant de temps (peut-être le développement de Darktide entre-temps ?), mais c’est enfin disponible, pour le plus grand bonheur des joueurs, dont le nombre a été multiplié par trois. Cependant, il est assez difficile de trouver des avis pour l’instant. N’hésitez pas à faire votre retour en commentaires si vous avez testé.
Si le mode versus de Warhammer: Vermintide 2 vous intéresse, et que vous n’avez pas encore le jeu, sachez qu’il est actuellement en promotion à 1,39 € sur Steam jusqu’au 26 novembre.
Comme prévu, PAPERHEAD EP.0 est sorti sur Steam hier. Il s’agit d’un prologue pour PAPERHEAD, un fast-FPS dans un univers composé essentiellement de carton, annoncé en 2019. En plus d’une direction artistique particulière, le jeu propose un gameplay très nerveux et sanglant. On n’avait pas eu l’occasion de tester la démo proposée en 2023, mais on s’est rattrapés cette fois-ci en lançant le prologue.
Et on a bien fait, car c’est franchement sympa : on peut se déplacer très rapidement, notamment avec des glissades, des double-sauts et un dash avec un coup de pied, et les armes ont une sacrée patate. Tirer sur nos ennemis faits de carton est très jouissif, car il y a un bon feedback et de belles gerbes de sang.
Si vous appréciez un tant soit peu les fast-FPS viscéraux, n’hésitez pas à tester PAPERHEAD EP.0 en vous rendant sur sa page Steam, c’est gratuit. Au passage, vous pouvez aussi ajouter le futur jeu complet à votre liste de souhaits.
Si pour vous faire du bruit avec vos orifices est une passion inavouable ou un art de vivre, peut-être que le FPS multi Shout & Shoot, développé par le studio Shout Games, est fait pour vous. Dévoilé la semaine dernière sur la chaîne YouTube des devs, ce FPS atypique vous plonge dans le noir total et seule la puissance de votre voix vous permettra de vous repérer ou de tirer. Avec les différents modes de jeu prévus (PvP, battelroyale, capture de drapeau, team deathmatch et cache-cache), vous pourrez utiliser diverses armes ayant leurs propres spécificités et personnaliser également votre personnage.
Ça a l’air plutôt fun comme concept, et si le jeu perce assez, on risque de voir quelques vidéos chez les influenceurs pour qui gueuler H24 est une vocation. Et qui sait, peut-être que certains membres de la rédaction seront tentés par l’expérience ?
Pour le moment, Shout & Shoot n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant de nouvelles news, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Annoncé pour cette fin d’année, le studio Astrolabe Interactive Inc. a finalement revu son calendrier et reporte la sortie en accès anticipé de leur jeu Aloft pour le 15 janvier 2025. Dans cet univers d’îles flottantes infectées par un mystérieux champignon, seul ou accompagné, vous devrez survivre en récoltant des ressources, en craftant divers équipements, en cultivant votre potager et en élevant des animaux trop kawai. Également, vous pourrez utiliser la force du vent à votre avantage pour voyager grâce à votre île qui fait office de base ou en planant. En explorant les différents écosystèmes, il vous faudra trouver un antidote contre cette corruption et rétablir ce fragile équilibre en luttant contre des champignons humanoïdes vénères.
Si vous êtes animé par la cause écologique et la destruction de champignons envahissants, sachez qu’Aloft sortira le 15 janvier 2025 en accès anticipé sur Steam. En attendant, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam.