Cette semaine s’est déroulée le Galaxies Gaming Showcase 2025 et de nombreuses annonces plus ou moins intéressantes ont été faites. Parmi elles, on retrouve une vidéo de Painkiller nouvelle génération, un FPS coopératif où vous devrez détruire du démon à la chaîne pour mériter votre place au paradis. Pour les nostalgiques et les néophytes de la licence, le trailer vous spoile sans remord presque toutes les armes qui seront présentes dans le jeu. Hormis les armes de poing, tout le reste sont les pétoires iconiques du jeu avec des tirs alternatifs. Dans l’ensemble, le gunfeel a l’air pas mal, même si c’est encore joué à la manette.
On notera également que le gatling/rocket gun permet de tirer des projectiles auto-guidés, ceci va ravir nos amis consoleux adeptes de l’aide à la visée. En somme, les devs ne prennent pas trop de risques en jouant la carte de la nostalgie. C’est bien dommage que plus de dix ans après Painkiller Hell & Damnation, il n’y ait pas l’introduction de nouvelles armes plus inventives et impactantes pour marquer le coup.
Sinon, Painkiller est toujours prévu pour l’automne prochain. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez toujours ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.
Dans le courant de la semaine, Fumi Games, le studio derrière le développement du rétro-FPS Mouse P.I. For Hire, a publié une vidéo pour dévoiler quelques armes du jeu. Catégorisées comme expérimentales, ces dernières comprennent :
The COOL-D permettant de geler vos adversaires et les briser en mille morceaux pour en faire des glaçons apéritifs,
NO MORE LUKEWARM SODA transformant quiconque touché par un projectile en liquide,
CLEAN-D projetant de l’acide pour dissoudre la chair de vos ennemis et ne laissant que leur squelette,
MIND-D faisant exploser n’importe quelle tête grâce à des ondes
Les animations de mort qui s’en suivent sont plutôt marrantes et permettent profiter de la puissance de chaque arme. Le jeu a l’air toujours aussi fun, que ce soit dans sa direction artistique ou son gameplay. Pour rappel, vous incarnerez une souris détective luttant contre la pègre ayant corrompu la ville de Sourisville. En parallèle de la distribution de plombs, vous devrez mener une enquête pour découvrir la vérité derrière la présence de ces gangs tous aussi loufoques les uns que les autres.
La date de sortie est toujours prévue courant 2025. En attendant une annonce plus précise, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
pres un Kingdom Come: Deliverance qui aveiet convencut les joeors, malgré une realisation dung aultres temps & des combats très rigoureus, les Polonais de Warhorse Studios sont retornés sur la suite artiser, Kingdom Come: Deliverance II, mais avecques des deniers bien plus encores. Cela se senteit sur tout du coste de la communication, qui moltepliait les anonces & representations avecques les comediens pris comme essamples por le gieu. Por autant, on nestoit points soucieux sur ço que la compaignee estoit capable de produire, a veüt de lor parcours. Il ne restoit plus qu’à croisier les deitz por que les grosses lacunes du premiers opus söent corrigiées, tot en conservant à moins les qualités descripture. Mais plus on sapprochieit de la date de publication, plus on estoit confiants. Certes, il y a encores des soucis menors, mais cest indubitable : Kingdom Come: Deliverance II est une excellente oevre, & sans dote le meillor gieu de role à la première persone jamais realisé.
Genre : RPG |Développeurs : Warhorse Studios| Éditeur : Deep Silver (Embracer Group)| Plateforme : Steam, GoG, Epic Games Store|Prix : 60 €|Configuration recommandée : i7-13700K, 7800X3D, 32 Go de RAM, RTX 4070, RX 7800 XT |Langues : Tchèque, Français, Anglais… |Date de sortie : 04/02/2025 | Durée de jeu : jusqu’à 120 h
Test effectué sur une version Steam fournie par notre partenaire Gamesplanet.
Quelle descoverte !
ingdom Come: Deliverance II n’est pas comme les autres RPG. C’est un long périple, quelquefois fastidieux, mais extrêmement attachant. Quel jeu peut se vanter de toujours surprendre le joueur après une centaine d’heures, au détour d’un chemin, à la vue d’un panorama d’une crédibilité incroyable ? Le CryEngine a repris du service pour ce deuxième volet, mais on sent que l’équipe artistique s’est démenée pour en tirer le meilleur. Les performances sont admirables, et le rendu est parfois extraordinaire, surtout en pleine nature, grâce à une modélisation superbe et une gestion de la lumière magistrale. À de très nombreuses reprises, alors que je voyageais à cheval entre deux villages, j’ai mis pied à terre pour admirer la composition. Quelques arbres par-ci, un bosquet par-là, le tout sur un terrain aux reliefs très réalistes, qui font inévitablement penser à nos campagnes, même si l’action se déroule ici beaucoup plus à l’est, en Bohème. On sera également amenés à visiter des places fortes, des châteaux et une grande cité, tous admirablement réalisés. On sent que les développeurs ont énormément apporté d’attention aux détails, alors qu’ils ont tout de même créé un vaste monde ouvert, divisé en deux cartes. Ils l’ont peuplé de personnages qui font globalement illusion et apportent de la vie à l’univers, bien qu’ils ne brillent pas spécialement par leur « intelligence ». Il est assez facile d’exploiter leurs faiblesses, et leur comportement est typique du jeu vidéo, mais ce n’est pas choquant, ni réellement gênant.
Une belle estoire
a narration est sans doute la pièce maîtresse de Kingdom Come: Deliverance II. L’histoire débute a priori quelques jours ou semaines après les événements du premier épisode – dont je n’avais fait que l’introduction de quatre heures. Pas d’inquiétude, tout est compréhensible même si vous débutez par cet épisode. Il vous manquera uniquement quelques références peu importantes. La quête principale comporte son lot de rebondissements et de cinématiques de très bonne facture, et nous met rapidement dans une position classique du jeu vidéo : on a tout perdu, et il faut remonter la pente. Si cette aventure est très bien réalisée, la myriade de quêtes secondaires est peut-être la plus grande réussite du titre. Ce qui le différencie de la quasi-totalité de la production vidéoludique, c’est qu’il y a quasiment toujours un imprévu, même pour la moindre des rencontres. C’est bien écrit et j’ai souvent été surpris par les retournements de situations. Les dialogues sont pleins d’humour, mais ce n’est pas trop lourd – en tout cas, à mon goût. J’ai vraiment été transporté, et j’ai pris plaisir à incarner notre héros Henry. J’ai été tiraillé par des choix à faire ou révolté par certains événements. Certes, on voit qu’on est dans un jeu vidéo : les animations ne sont pas parfaites, les échanges dans les dialogues manquent parfois de naturel ou sont un peu trop hachés, et on ne peut pas toujours choisir la nuance que l’on voudrait. Mais on s’y croit quand même et on ressent réellement des émotions.
Des combats de grande arduité
Il est encouragé de parcourir Nexusmods pour façonner l’aventure à sa guise. J’ai par exemple utilisé le mod permettant de supprimer l’animation insupportable pour ramasser les plantes.
ien que je n’aie pas pu le constater par moi-même, la réputation d’avoir des combats catastrophiques précédait Kingdom Come: Deliverance. Aussi, j’appréhendais un peu cette mécanique, d’autant plus que Warhorse persistait à les définir comme « historically acurate ». Finalement, il s’avère que j’ai énormément apprécié. Au lieu des six possibilités d’attaque du premier, on retrouve trois ou quatre angles – selon le type d’arme –, et c’est donc fatalement moins difficile de contrer les assauts adverses. Les animations et l’impact des coups sur les ennemis donnent une très bonne impression de puissance, et les combats singuliers peuvent parfois durer quelques minutes, avec des entrechoquements de lames aussi exaltants que dans un film de chevaliers. On est dans un RPG, c’est en forgeant qu’on devient forgeron – au sens propre, comme au sens figuré. Les combats sont donc difficiles au début, surtout lorsqu’il y a plus d’un adversaire. Mais ils deviennent assez rapidement gérables, et on peut utiliser des préparations pour augmenter sa force ou son endurance afin d’avoir de meilleures chances. D’autre part, il est possible d’user de discrétion pour assassiner les cibles qui ne nous ont pas remarqué et ainsi réduire leur nombre avant un assaut frontal. Les armes de jet sont également difficiles à manier au début de l’aventure, et il faudra beaucoup pratiquer pour maitriser l’arc, l’arbalète et même le canon à main. Mais si l’on a parcouru le monde pour les quêtes secondaires avant de suivre la trame principale, on explose très facilement tout le monde, même à cinq ou six contre un, ce qui peut parfois briser un peu l’immersion. Cela dit, c’est parfois bien utile d’avoir augmenté ses capacités, notamment en infiltration, puisqu’une séquence obligatoire nécessite de se balader dans un château sous le nez des gardes. Un passage plutôt frustrant, heureusement unique dans l’aventure.
Cest dens les vielz pots…
mpossible de se tromper, Kingdom Come: Deliverance II est un RPG pur jus, en droite lignée du précédent jeu : on a des dizaines de compétences que l’on améliore en pratiquant, en étudiant des livres, ou en apprenant auprès de PNJ. Il y en a de globales, comme la force, l’agilité ou l’éloquence, et d’autres plus spécifiques, comme le maniement de l’épée, la fabrication ou l’alchimie. Tous les deux niveaux, on gagne un bonus supplémentaire, souvent situationnel. On aura, par exemple, un gain d’endurance au combat, plus de chances d’impressionner ses interlocuteurs, ou encore, permettre à son chien de chasser. Cette mécanique fonctionne bien : on est toujours impatient de découvrir quelle nouvelle capacité on va pouvoir choisir. Malgré un peu plus de 120 heures de jeu, je n’ai pas pu monter l’ensemble des stats. Cependant, certaines arrivent rapidement au niveau max – notamment celle de l’épée –, ce qui facilite grandement quelques phases de gameplay.
ingdom Come: Deliverance II propose plusieurs activités qui peuvent s’apparenter à des mini-jeux : les dés, l’alchimie et le forgeage. Je ne vais pas vous expliquer le principe des dés, donc passons directement à l’alchimie. Il s’agit d’une méthode très sympa pour réaliser des potions, et j’ai passé pas mal de temps à en fabriquer. Le but est de suivre une recette détaillée dans notre livre, et il faut suivre les instructions. Deux poignées d’ortie, on fait bouillir pendant un sablier, puis on ajoute de la camomille broyée… Vous voyez le principe. A priori, c’est une mécanique reprise du précédent opus, et c’est une très bonne idée, car ça fonctionne parfaitement. Par contre, j’ai beaucoup moins apprécié le travail à la forge, que j’ai trouvé plus répétitif, puisque, je vous le donne en mille, il faut taper à de nombreuses reprises avec son marteau sur la pièce à forger, préalablement chauffée à blanc.
lle aussi reprise du précédent titre, l’interface est un modèle du genre. La carte est magnifique et l’inventaire est très bien réalisé. Il est à la fois esthétique et compréhensible. D’autre part, les objets que l’on peut ramasser font apparaître un petit label en parchemin, qui n’a évidemment aucun sens du point de vue réalisme, mais qui s’intègre à merveille dans le gameplay.
ors de la publication des premières previews, quelques semaines avant la sortie du jeu, la presse et les influenceurs francophones avaient été unanimes : le doublage était à chier. Assez rapidement, l’éditeur Plaion (qui possède Deep Silver) avait indiqué qu’un nouvel enregistrement était en cours, et qu’il serait proposé en partie à la sortie du jeu, puis complètement dans un patch ultérieur. D’un naturel moqueur, j’étais donc plutôt enthousiaste de découvrir la catastrophe le jour de la sortie. Mais j’ai été assez déçu : finalement, le doublage des quêtes du début du jeu avait été corrigé en priorité, et c’était déjà de très bonne qualité. Comme j’ai avancé plutôt lentement dans l’aventure, le patch complet est arrivé avant que je ne rencontre trop d’incohérences. Cependant, il reste quelques PNJ atrocement doublés, mais c’est tellement nul qu’il est difficile de savoir si c’est le produit d’une intelligence artificielle ou celui d’un aphasique sous Lexomil. Heureusement, c’est largement compensé par le très bon travail effectué sur tous les autres personnages, notamment les principaux, dont l’interprétation fait plaisir à voir. Les intonations sont pertinentes et collent parfaitement aux situations, c’est vraiment chouette. De son côté, la musique médiévale est également superbe. Certains morceaux restent en tête – surtout après 100 heures de jeu –, et il m’est souvent arrivé de siffloter quelques airs. On peut d’ailleurs trouver l’OST sur les différentes plateformes de streaming et sur YouTube.
Vive le roy !
ingdom Come: Deliverance II est une expérience incroyable. Le monde ouvert créé par Warhorse Studio est à la fois très crédible, mais aussi extrêmement beau, surtout en pleine nature, avec la lumière du crépuscule rasant les hautes herbes. Pour autant, il tourne plutôt bien et ne devrait pas poser trop de soucis de performances. Mais si on est attiré par ses atours, c’est pourtant bien sa narration qui nous retient : pleine de rebondissements, de surprises et d’humour, l’histoire nous emporte volontiers, même dans les nombreuses quêtes secondaires. Côté gameplay, on craignait que les mécaniques de combat soient un peu rugueuses, compte tenu de l’attachement des développeurs à la précision historique. Cependant, il s’avère que c’est très plaisant, voire exaltant en duel. Certes, on est dans un RPG, donc mieux vaut développer les compétences des domaines que l’on apprécie pour profiter au mieux du titre. L’inconvénient, c’est que certains passages pourront devenir un peu trop faciles après quelques dizaines d’heures, notamment les affrontements contre plusieurs adversaires, qui prennent une tournure parfois comique. L’immersion reste néanmoins très bonne, notamment grâce à la cohérence de l’univers, uniquement brisée de-ci, de-là par le comportement de quelques PNJ. Et les activités annexes que sont le forgeage et l’alchimie apportent des mécaniques intéressantes, voire amusantes. Tout cela se fait dans une ambiance musicale admirable, et avec des doublages français globalement très réussis, sauf rares exceptions. Si vous avez une centaine d’heures devant vous, n’hésitez pas, lancez-vous, même si vous n’avez pas fait le premier.
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On avait testé la démo de Necrophosisl’année dernière, et on avait trouvé ça plutôt sympa, bien qu’un peu décevant graphiquement. En effet, malgré la direction artistique assez particulière, inspirée de Zdzisław Beksiński, le manque de détails et les animations bancales ne nous avaient pas vraiment convaincus. À priori, ça n’a pas beaucoup évolué, comme on peut le voir dans la vidéo annonçant la sortie du jeu pour le 25 avril prochain.
Par contre, on espère que les puzzles seront un peu plus compliqués que dans la démo – toujours disponible –, car on ne peut pas dire qu’ils faisaient chauffer le cerveau. Ils étaient plus un prétexte pour explorer les lieux qu’une véritable mécanique de gameplay. Reste l’ambiance, qui semble plutôt réussie, pour tenter de nous transporter tout au long de l’aventure.
En attendant sa sortie la semaine prochaine, vous pouvez ajouter Necrophosis à votre liste de souhaits Steam s’il vous fait de l’œil.
Alors qu’on vous parlait en début de mois de FIEFDOM, un nouveau jeu inspiré de Chivalry ou Mordhau, mais avec de la magie, un autre représentant des First Person Slashers a pointé le bout de son épée dans une sombre bande-annonce il y a quelques jours : Ad Mortem. Exit les sorts kikoolol, on est ici plongé dans les ténèbres avec une direction artistique que ne renierait pas votre petit cousin emo. À priori, c’est le premier jeu du studio britannique Head On Studio, tout de même composé d’une quinzaine de personnes, dont des « melee slasher veterans » et des développeurs expérimentés. Ils nous promettent un mode de jeu compétitif en 5v5, mais aussi de la coopération jusqu’à 5 joueurs avec une petite touche de roguelite en PvE.
Les développeurs bossent dessus depuis presque cinq ans et ce qu’on voit semble plutôt réussi. Espérons qu’ils maitrisent suffisamment l’Unreal Engine 5 pour qu’on ait une expérience fluide. Comme ses modèles, Ad Mortem a l’air de proposer un gameplay plutôt technique et exigent, ainsi que du gore et des démembrements assez amusants. On nous promet également du lore, des factions et différentes classes de guerriers, qu’on vous laissera consulter directement sur le site officiel. À noter qu’une campagne Kickstarter est prévue à une date ultérieure.
Pour l’instant, aucune date de sortie n’a été évoquée. Mais en attendant d’en savoir plus, vous pouvez ajouter Ad Mortem à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Durant le live du Lovecraftian Days 2025 Showcase, le dev indé et solo Davit Andreasyan a dévoilé sa vision de l’horreur dans le froid glacial et meurtrier de l’Antarctique avec NEDRA. Au cours d’une expédition, vous captez un signal de détresse menant à un mystérieux cratère, mais un incident survient et vous vous retrouvez isolé. Comme si cela ne suffisait pas, vous vous réfugiez dans une ancienne station soviétique envahie de créatures difformes et d’humains complétement fous. Afin de survivre, vous devrez percer les mystères entourant ce lieu en surveillant la température de votre corps et en affrontant des monstres qui peuvent vous repérer par la chaleur.
L’ambiance horrifique et oppressante semblent plutôt réussies avec de puissantes tempêtes de neige et une IA ennemie agressive. L’aspect survie se traduira par la gestion de la température de votre corps pouvant mener à une mort certaine et des combats qui l’ont air plutôt mous.
Pour le moment, NEDRA n’a pas de date de sortie annoncée, mais dispose déjà d’une page Steam depuis laquelle vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits, si vous êtes intéressé.
Vous ne le saviez sans doute pas, mais Starbreeze possédait un studio à Paris, dont les membres travaillaient sur PAYDAY 3 et Project Baxter, leur futur titre dans l’univers de Donjons et Dragons. Ces derniers mois, les journalistes de 80 Level ont successivement rapporté une série d’événements louches effectués par la maison mère, menant à la fermeture de l’antenne française. L’affaire commence probablement au moment où Starbreeze annonçait réduire la voilure, en indiquant réorienter son staff vers les nouveaux projets. Il s’avère qu’en décembre, la société a licencié une dizaine de personnes, sans aucune annonce particulière. Après sollicitation, les suédois ont indiqué que les salariés en question n’étaient affectés à aucun projet particulier, d’où le licenciement. Une semaine plus tard, les journalistes découvraient que ces 10 personnes n’étaient pas les seules à prendre la porte, et qu’une vingtaine d’autres avaient été remerciées. D’autre part, un employé, resté anonyme, a contredit la direction, précisant que 70 % d’entre eux étaient bien affectés à des tâches, et que certains étaient même sur des positions assez critiques sur Project Baxter. Il rapportait aussi le fait que le studio parisien était sur le point de fermer, chose que les journalistes n’ont pas pu vérifier à ce moment.
Mais à la mi-février, quelques jours après la grève nationale du secteur du jeu vidéo, un autre employé de Starbreeze, toujours anonyme, a partagé des informations avec 80 Level concernant le licenciement de 23 autres membres du studio parisien, c’est-à-dire la totalité de l’antenne française. On vous épargne les détails, mais si ça n’avait pas été fait avant, c’était uniquement à cause de « la rigueur du droit du travail français en matière de licenciements ». La source indique que c’est pourtant cette équipe qui a, entre autres, « corrigé de nombreux bugs majeurs, divisé par cinq la consommation cpu des serveurs, et corrigé toutes les erreurs afin d’atteindre des performances décentes ». En gros, ce sont eux qui ont bossé d’arrache-pied pour faire remonter la pente (encore longue) des mauvaises critiques.
Enfin, entre autres magouilles et menaces de la direction, 80 Level a appris, il y a quelques jours, que le directeur démissionnaire de Starbreeze tentait d’entuber les ex-employés français sur des indemnités de télétravail qu’ils devaient percevoir suite à la fermeture des locaux en avril 2019. En effet, il indique dans un courrier adressé aux anciens salariés qu’aucun versement ne serait dû, puisque les locaux ont été fermés à cause du covid… Onze mois avant le premier confinement… Outre l’aspect comique de la situation, on assiste surtout à l’emploi de méthodes de truands pour tenter de gratter partout où c’est possible. D’autre part, des notes internes oubliées dans des documents officiels révèlent que le coût d’entretien d’un studio en France est beaucoup plus élevé que l’équivalent en Suède, ce qui a précipité les décisions menant à sa fermeture. Il n’empêche qu’une communication honnête n’aurait sans doute pas empiré les choses.
Si vous souhaitez plus d’informations, n’hésitez pas à consulter les articles très détaillés et factuels de chez nos confrères de 80 Level (1, 2, 3, 4 & 5).
PAYDAY 3 vs PAYDAY 2, et ce n’est pas près de s’arranger.
Pour en revenir aux joueurs, on peut donc en déduire que PAYDAY 3 a peu de chances de rebondir, puisque seul un service minimum est assuré pour le faire tourner. Cela se traduit par une fréquentation très basse malgré une nette amélioration des notes, tandis que PAYDAY 2 continue de réunir pas loin de 20 000 joueurs quotidiens. Néanmoins, si vous êtes curieux, vous pouvez retrouver le dernier opus de la licence à 30 € sur Steam et l’Epic Games Store.
À l’occasion du Lovecraftian Days 2025 Showcase, le studio indépendant Sublexical Interactive a dévoilé son arena-shooter roguelite nommé It Consumes. Présenté comme un subtile mélange entre Devil Daggers et Vampire Survivors, vous incarnerez un démon devant combattre ses semblables dans l’obscurité totale. Le seul moyen de pouvoir les détecter sont les échos issus des battements de son propre cœur. Plus vous survivrez longtemps, plus vous évoluerez en obtenant de nouvelles aptitudes temporaires. À chaque fin de partie, vous aurez la possibilité de débloquer de nouvelles armes, perks et des modificateurs.
It Consumes sortira courant 2025. En attendant plus de précisions, vous pouvez participer à des playtests et jouer également à la démo, accessibles depuis la page Steam du jeu, si vous êtes intéressé.
Dans le courant de la semaine, Evil Guinea Pig, le studio derrière le rétro-FPS KVLT, a participé au Lovecraftian Days 2025 en publiant un billet de blog Steam pour donner des nouvelles du jeu. D’emblée, les devs annoncent que le développement prendra plus temps que prévu, étant donné qu’ils le font sur leur temps libre. Ils partagent également quelques screenshots de niveaux et de concepts art d’ennemis ressemblant à un chirurgien psychopathe ou à un monstre pustuleux.
Du côté de l’arsenal, il s’étoffe avec l’introduction du Übershotgun (un shotgun à trois canons) et de deux armes supplémentaires qui seront dévoilées ultérieurement. Si vous souhaitez participer aux playtests des prochains niveaux, l’équipe de dev vous invite à rejoindre leur serveur Discord. Pour en découvrir davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam.
Pour l’instant, KVLT n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant de nouvelles news, vous pouvez ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam ou tester la démo, si vous êtes intéressé.
Pendant le Lovecraftian Days 2025 Showcase, le studio ThePrinceOfMars a dévoilé son rétro-FPS à la sauce lovecraftienne, Quartermain and the Cult of Cthulhu, qui sortira le 22 mai. En gros, vous incarnerez l’aventurier Aloysius Quartermain devant récupérer un puissant et ancien artefact tombé entre les mains des nazis et des adorateurs du culte de Cthulhu. Il sera possible d’utiliser différentes armes pour combattre moult ennemis et boss. Même si les pixels piquent les yeux, le jeu a l’air plutôt intéressant avec son gameplay rapide et nerveux, et il rendra probablement nostalgique pas mal de joueurs.
Si vous aimez dézinguer du nazi et des cultistes lobotomisés, vous pourrez vous procurer Quartermain and the Cult of Cthulhu sur Steam pour environ 3 € dès le 22 mai prochain. En attendant, vous pouvez toujours tester la démo.
Durant le Lovecraftian Days 2025 Showcase, Incantation Games, le studio derrière le développement de Decadent, tease enfin l’arrivée d’une bande-annonce de gameplay pour le 6 mai. Les devs étaient bien sympas avec leurs cinématiques (1 et 2), mais il n’y avait rien concret à se mettre sous la dent. Le court teaser nous permet de voir quelques armes plutôt classiques (hormis le fusil à trois canons), des environnements sombres et brumeux, une IA ennemie teubée qui se jette sous nos balles et un monstre dégueulasse pour attiser notre curiosité. Dans l’ensemble, ça a l’air pas mal et on verra si ça se confirme au mois de mai.
Pour le contexte, Decadent vous mettra dans la peau de John Lorn devenu l’hôte d’un parasite (c’est l’œil pervers que vous voyez sur sa main) et devant coûte que coûte sauver un proche, quitte à ce qu’il soit poussé au bord de la folie. Vous combattrez monstres et humains dégénérés à l’aide d’un arsenal personnalisable pour vous frayer un chemin jusqu’à votre famille. Il ne tiendra qu’à vous de faire la différence entre la réalité et l’illusion pour maintenir votre santé mentale intacte.
Decadent n’a pas de date de sortie prévue. En attendant plus d’infos le 6 mai, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, GoG ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé.
À l’occasion du Lovecraftian Days 2025 Showcase et comme annoncé, Stygian: Outer Gods est sorti en accès anticipé ce 14 avril. Sans surprise, le lancement du jeu est assez mitigé, en cause, l’optimisation aux fraises et quelques crashs en prime d’après les commentaires Steam. Cependant, les devs du studio Mysterial Games sont sur le qui-vive et ont déjà déployé un premier patch. Ils informent également que le second arrivera prochainement pour régler les problèmes de performances du jeu. Du côté des joueurs optimistes voyant toujours un potentiel inexploité, ces derniers ont apprécié l’ambiance lovecraftienne, les aspects RPG et survie, mais reconnaissent qu’il y a de sacrées chutes de fps rendant le jeu injouable par moment.
Pour rappel, vous incarnerez un mercenaire devant accompagner une jeune fille vers Kingsport. Durant votre périple, vous rencontrerez des créatures qui tenteront de vous barrer la route et mettront mal votre santé mentale. Heureusement, vous pourrez compter sur un arsenal varié, des compétences à débloquer et des objets à crafter pour en venir à bout.
Si vous n’êtes pas effrayé par l’optimisation cauchemardesque de Cthulhu, vous pouvez vous procurer l’accès anticipé de Stygian: Outer Gods sur Steam et GoG, tout en profitant d’une promotion de lancement à -10 % jusqu’au 21 avril, soit environ 18 € pour le premier et quelques euros de moins pour le second. Le jeu sortira plus tard sur l’Epic Games Store.
Même si les joueurs ne se bousculent plus au portillon, le studio Torn Banner continue d’y croire et déploie de nouvelles mises à jour pour No More Room in Hell 2, telles que REANIMATION. La bande-annonce nous permet de découvrir deux nouvelles cartes (Pottsville et Lewiston) à explorer, un système de combat amélioré, trois slots permettant de sélectionner et conserver les Responders associés à un système de reroll (générer de manière aléatoire un nouveau personnage), de nouveaux zombies, de nouvelles armes (cleaver et tree trimmer) et divers attachments. Pour en apprendre davantage, vous pouvez consulter le billet de blog Steam en anglais.
À la sortie en accès anticipé du jeu, la liste des points négatifs était plutôt longue (une optimisation à la zob, des serveurs à chier, bugs à foison, une hitboxe pétée et un prix trop élevé pour le contenu proposé). Depuis, l’eau a coulé sous les ponts, l’avis des joueurs semblent plus nuancé avec un évaluation globale moyenne. Il semblerait que les diverses mises à jour aient rassuré les utilisateurs Steam, qui le font savoir, bien qu’ils reconnaissent que le lancement de l’accès anticipé ait été catastrophique. Peut-être que les devs pourront finalement se rattraper jusqu’à l’arrivée de la 1.0 en continuant de peaufiner le jeu.
No More Room in Hell 2 est toujours en accès anticipé et vous coûtera environ 30 € sur Steam, si vous êtes toujours intéressé. Sinon, un week-end gratuit est organisé du 17 au 21 avril prochain.
La semaine dernière, durant l’événement FYNG Show organisé par nos confrères allemands de GameStar, le studio Mirebound Interactive a dévoilé Causal Loop via une bande-annonce. Dans ce jeu d’énigmes et de boucles temporelles, vous incarnerez un xénoarchéologue nommé Bale, qui a malencontreusement activé un artefact alien et fracturé l’espace-temps de la planète Tor Ulsat. Pour vous échapper et sauver votre collègue, il vous faudra découvrir la vérité derrière cette anomalie en utilisant les échos de votre passé et de votre futur.
Le concept du jeu semble pour le moins intéressant avec l’utilisation de boucles temporelles pour résoudre diverses énigmes. Les graphismes ont l’air plutôt beaux dans l’ensemble. En termes de gameplay, il est difficile de se prononcer pour le moment, mais ne vous attendez à des gunfights frénétiques. En l’occurrence, ce sont vos neurones qui seront mis à l’épreuve.
Pour le moment, Causal Loop n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant plus d’informations, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, GoG ou Epic Games Store.
Il y a quelques jours, les développeurs de Dark and Darker ont publié la saison 6 de leur extraction slasher en accès anticipé. Pour rappel, c’est un dungeon crawler mêlant plusieurs éléments, dont l’extraction shooter et le battle royale, mais adapté à l’heroic fantasy. Les mouvements sont assez lents et ce n’est pas joli, mais le feeling est plutôt chouette. Dans cette nouvelle saison, une grosse nouveauté fait son apparition : le mode PvE.
Comme vous le savez si vous avez déjà fait quelques parties, Dark and Darker est un jeu assez rugueux. En tant que petit nouveau sur le titre, que diriez-vous de découvrir les donjons pendant quelques minutes, puis de vous faire ramoner le fondement par un joueur connaissant la map sur le bout des doigts ? C’est l’expérience la plus probable que vous rencontrerez si vous lancez un raid classique. Surtout que de son côté, Iron Mace a poussé des patchs favorisant encore plus les vétérans, petit à petit. Mais à l’instar de Battlestate Games pour Escape From Tarkov, les développeurs pensent enfin aux noobs et aux gens normaux, qui n’ont pas trois ou quatre heures à consacrer quotidiennement pour pouvoir profiter de leur jeu. Le mode PvE permet enfin d’explorer les donjons et de combattre les monstres – tout de même plutôt ardus –, sans craindre de se faire décapsuler par un mec en armure dorée planqué derrière une porte.
Cela nous semble donc une bonne nouvelle, mais pour l’instant, les notes Steam restent plutôt basses, sans explication vraiment évidente. D’un autre côté, la popularité est repartie à la hausse, puisque le titre atteint pas loin de 20 000 joueurs en pic par jour. Si vous voulez tenter l’aventure, l’accès aux premiers niveaux est gratuit. Et si vous êtes convaincu et que vous voulez avoir accès à tout le contenu, la version payante de Dark and Darker est en promotion jusqu’au 24 avril à –30 % sur Steam, soit un peu moins de 20 €.
Toujours prévu pour 2025, The Outer Worlds 2 s’est un peu plus dévoilé par une (trop) longue vidéo de gameplay publiée par IGN. Outre la lenteur incroyable de toutes les actions effectuées par le joueur à la manette, on peut constater que le jeu profite d’une direction artistique très soignée. Et on s’arrêtera là pour les compliments.
En effet, tout cela s’annonce on ne peut plus classique, avec des ennemis fort bêtes et catatoniques, et des dialogues peu intéressants. Au moins, Obsidian a arrêté de faire des gros plans sur la tête des PNJ. On ne pourra pas s’empêcher de relever les incohérences amenées par le compagnon, très bavard, qui nous crie dans les oreilles alors qu’on s’approche discrètement d’un malandrin, ou encore qui voit parfaitement bien les ennemis invisibles alors que seul notre personnage a le scanner permettant de les révéler. Quant au « puzzle », qui nous demande de suivre le bon fil pour enclencher les bons interrupteurs, cela nous semble être une insulte pas vraiment dissimulée à notre intelligence.
En attendant la sortie de ce futur chef-d’œuvre, vous pouvez ajouter The Outer Worlds 2 à votre liste de souhaits depuis sa page Steam. Sinon, il sera également présent day one sur le Game Pass.
Alors qu’on se plaignait, en début de semaine, que Bungie (Halo, Destiny 2) ne montrait pas de gameplay de leur futur extraction shooter Marathon, ils ont finalement diffusé un long live-stream pour le révéler. Heureusement, les développeurs ont également proposé une vidéo de cinq minutes pour nous expliquer comment fonctionne un extraction shooter. Merci les gars, ce n’est pas comme si on découvrait le principe après sept ou huit ans.
Donc niveau originalité, on repassera, puisqu’on se retrouve face à un jeu ultra-classique du genre : en équipe de trois ou en solo, il faudra s’équiper pour partir en raid sur une carte peuplée d’IA débiles et de 18 joueurs, puis s’extraire. En cas de mort, on perd son équipement. Il y aura évidemment du loot de différente qualité, et a priori des quêtes pour faire monter sa réputation auprès de différentes factions, comme on peut retrouver dans Escape From Tarkov. Celles-ci vous donneront de quoi vous équiper si vous n’avez plus de thunes, sans doute à la manière de ce que propose peut-être encore DMZ de Call of Duty: Warzone, ou faisait The Cycle: Frontier avant de mourir. D’autre part, il y aura aussi un peu de hero shooter, puisque les opérateurs, ici nommés Runners, auront des capacités spécifiques, comme dans le mode extraction de Delta Force. Apparemment, les développeurs ont indiqué que le TTK (Time To Kill) sera très court si l’on n’a pas d’armure ou que l’on vise la tête, ce qui est plutôt encourageant. Ils précisent même que l’équipement ne sera pas réellement déterminant, mais que ce sont surtout le skill et la stratégie qui compteront. Mais on demande à voir, connaissant leur passif. On ne va pas plus détailler, parce que c’est globalement la même chose que tous les autres extraction shooters. Si vous voulez plus d’infos, vous pouvez vous farcir la présentation d’un peu plus d’une heure en entier ou le billet de blog Steam. Sinon, il y a aussi un montage avec quelques influenceurs invités pour découvrir le jeu :
Mais on ne peut décemment pas passer sous silence l’étrange direction artistique : pour le coup, elle est très atypique. Les présentations cinématiques étaient plutôt enthousiasmantes, mais on doit avouer qu’on a été un peu déçus. Si les intérieurs sont assez colorés – quand les développeurs ont daigné y coller des textures –, les extérieurs semblent assez mornes et fades, principalement à cause du ciel gris dégueulasse, que ne renieraient pas les Briochins. Il faut croire que leur système de météo dynamique est inspiré d’une journée typique d’un mois d’août en Bretagne.
Pour finir, une alpha fermée débutera le 23 avril, mais est réservée aux résidents d’Amérique du Nord. Rendez-vous sur leur serveur Discord si vous aimez les gros 4×4 et que ça vous tente. Sinon, en attendant le 23 septembre prochain, si Marathon vous intéresse, n’hésitez pas à l’ajouter à votre liste de souhaits Steam.
En début de semaine dernière, le studio kazakh Contrast Games a présenté son premier jeu, Welcome to Brightville. Ce ne sont pas des noobs pour autant, car ils travaillent dans l’industrie en tant que prestataires pour d’autres studios depuis quelques années. Dans Welcome to Brightville, on incarnera une sorte d’automate qui fait un bruit de Robocop, dans un monde à la BioShock, avec d’autres automates qui n’ont pas l’air contents de vous voir. Le joueur devrait pouvoir combattre en lançant des sorts et la fiche Steam évoque même le terme « immersive sim ». Ce qui est présenté est annoncé comme du « pre-alpha footage », mais ça ressemble quand même vachement à du « target render », c’est-à-dire à une cinématique précalculée qui simule du gameplay. On n’est donc aucunement assuré qu’il y ait déjà un vrai jeu derrière.
Pour l’instant, le seul truc positif est la direction artistique : le steampunk, ça fait toujours son petit effet. Pour le reste, mieux vaut rester prudent. De toute façon, le titre est annoncé pour 2027, ce qui leur laisse encore le temps de changer de direction ou d’abandonner.
En attendant d’en savoir un peu plus, si Welcome to Brightville vous intéresse, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
Sorti initialement en 2014, Deadcore, un FPS de parkour se déroulant dans un univers futuriste où le joueur doit gravir une tour gigantesque, revient sur le devant de la scène avec une édition Redux. Toujours développé par l’équipe de devs du studio 5 Bits Games dont l’un des membres est un nofragé, ce remaster vous proposera en plus du contenu de base, un système de classement solo, de nouveaux graphismes et sons, ainsi qu’un niveau supplémentaire nommée The Gateway pour le mode histoire.
Pour le moment, Deadcore Redux est prévu pour le second trimestre 2025. En attendant plus d’infos, vous pouvez ajouter ce dernier à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.