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Heat : Heavy Rain

Vous connaissez la gigantesque arnaque des imprimantes à jet d’encre ? Elles ne coûtent pas très cher à l’achat compte tenu de la technologie et de la taille du bestiau, mais dès qu’il faut remplacer les cartouches, souvent encore à moitié pleines, il faut hypothéquer biens et famille. Si l’on est ici à mille lieues des pratiques crapuleuses des fabricants de ces objets du diable, je ne peux néanmoins m’empêcher de ressentir une certaine familiarité dans le cas présent.

Neotopia

Il faut que vous compreniez l’une des bases de la religion des joueurs de jeux de plateau : l’apéro. Toutes les formes d’apéro, y compris ceux avec des pions, des jetons, des cartes. Non, on ne les mange pas.

Certains l’aiment shogun

Le nouveau Assassin's Creed, autrefois nommé Assassin’s Creed Codename Red en interne, a désormais un vrai nom : Assassin’s Creed : Shadows. Les premières images de gameplay seront dévoilées lors de la conférence Ubisoft Forward du 10 juin, mais pour le moment, on sait que ça se passera dans le Japon féodal, plus précisément durant l'époque Sengoku – et que ce sera un projet à grande échelle qui lorgnera plutôt du côté de Valhalla que de Mirage. Si on se fie à la première bande-annonce, les environnements ont l'air à tomber par terre, tandis que les dialogues sont à se taper la tête contre un mur : « Qui sers-tu ? – Nous agissons dans l'ombre... – ... pour servir la lumière » peut-on entendre de la bouche de trois personnages. Pas de doute c'est bien une grosse production Ubi, mais probablement celle qui me donne le plus envie depuis longtemps. Sortie prévue pour le 15 novembre 2024. ER.

INDIKA

Conte vaguement interactif, simulateur de marche à la troisième personne, jeu d’art et d’essai ? Ce qu’est INDIKA n’est pas clair au lancement, et guère plus quand déroule son générique de fin. Qu’importe, il faut bien essayer le LSD une fois dans sa vie.

Microsoft entre Xbox et Activision-Blizzard

Quelques mois après avoir finalisé le gros rachat d’Activision-Blizzard-King (ABK), Microsoft décide de fermer quatre studios Bethesda, son gros achat précédent. Est-ce le signe d’un changement de stratégie concernant le jeu vidéo ?

Laysara : Summit Kingdom

L’Ardèche me rassurait. C’était ma solution de repli face à la montée des eaux. Puis j’ai appris que pendant la canicule dernière (vous dites encore « l’été dernier » ? C’est très vintage, j’a-dore !), certains villages asséchés avaient dû être ravitaillés en eau par camion-citerne. Dès lors, que faire ? Mourir au sec, dévoré par mes chèvres ? Ou regarder la mort en face, et m’installer sur l’île de Ré pour attendre la soupe de sel ?

Lara et la matière

Amazon vient d’annoncer qu’une série en live action adaptée de Tomb Raider était en projet pour Prime Video, en plus de la série d’animation dont la bande-annonce avait été révélée par Netflix il y a quelques mois. Je ne sais pas trop quoi faire de cette information, dans un monde où on peut aussi bien avoir des séries réussies comme Arcane et The Last of Us, que des projets plus mitigés comme Fallout (« Une adaptation qui oublie ses racines mais réussit à accoucher d'une seconde moitié potable », a commenté notre expert Izual entre deux conférences sur la diplomatie nucléaire et les structures relationnelles des habitants d’Arroyo). La bonne nouvelle, c’est qu’on sait que la talentueuse Phoebe Waller-Bridges (Fleabag, Killing Eve) est associée au projet en tant que scénariste, et ça me suffit déjà pour lui donner sa chance. ER.

Boire le calice jusqu’à la Liche

Dead by Daylight, le jeu d’horreur asymétrique avec lequel je saoule mes collègues à raison d’une fois par jour, poursuit sa quête effrénée de licences : après Alien et Chucky, les prochain chapitres majeurs du jeu seront sur le thème de Donjons et Dragons et Castlevania (ce qui paraît très aléatoire dit comme ça, mais on parle quand même d’un jeu où on peut incarner un Nicolas Cage qui répare des générateurs sous le regard menaçant de Ghostface, ça fait quand même un petit moment que leur ligne éditoriale est ouverte à toutes les excentricités). Le jeu se verra aussi bientôt agrémenté d’un mode 2V8 : deux tueurs contre huit survivants sur une carte beaucoup plus grande, ce qui promet un merveilleux chaos. ER.

Stop Me or Let Me Go

Je vous le dis comme je le pense : grrrrngggngniiiiiiiiiiiiiiiiii. Stop Me or Let Me Go, c’est génial en matière de conception, une forme quasi artistique d’épure qui génère de l’originalité, le tout dans une frénésie peu commune pour un double guessing (si vous ne savez pas ce que c’est, je vous renvoie à la scène du poison dans Princess Bride, et si vous ne savez pas ce qu’est Princess Bride, vous aimez trop les effets spéciaux réussis).

No Rest for the Wicked

Roulez, parez, frappez, recommencez. Avec No Rest for the Wicked, les créateurs d’Ori se lancent dans le Souls-like et le moins que l’on puisse dire, c’est que les bases qu’ils ont jetées sont très intéressantes.

Captain Flip

Quand Antoine Bauza (7 Wonders, Oltrée, Hanabi…) et Thomas Provoost (fondateur de Repos Production), qui ne sont pas des perdreaux de l’année dans le milieu, ont décidé de créer la maison d’édition Playpunk, j’ai imaginé de l’anarchie, un coup de pied dans la mare. Mais ce sont des vrais punks : ceux qui font l’inverse de ce que l’on anticipe.

Hades 2

Selon IGN, il faudrait compter environ 23 heures pour boucler le premier Hades, mais aussi 48 heures en incluant les quêtes annexes et plus de 95 heures pour le platiner raisonnablement. Des statistiques optimistes, si vous voulez mon avis. Et si maintenant je vous disais que cette durée colossale a de bonnes chances de pâlir face au potentiel de son successeur, mmmh ?

Infection Free Zone

Oui, je sais, encore un génocide de zombies. Mais ne partez pas tout de suite, car Infection Free Zone ne fait rien comme les autres. Il s'agit en fait d'un jeu de gestion/construction, avec une grosse originalité : tout peut se passer dans votre quartier.

Rusty’s Retirement

Rusty's Retirement est paradoxal. D'un côté, c'est probablement l'un des jeux les plus casual auxquels il m'ait été donné de jouer : un jeu de gestion de ferme dans lequel on ne fait quasiment rien à part regarder les navets pousser, en matière de jeu de basse intensité, ça se pose là. De l'autre, c'est l'un des machins les plus curieux sur lesquels j'ai pu poser mes pattes.

Non mais cette fois-ci, ça se passera bien

De nombreuses pratiques calamiteuses se sont généralisées dans le jeu vidéo depuis 20 ans – les éditions collector à 90 €, Denuvo, les Season Pass, les DLC à 20 €, les microtransactions et j'en passe. Une seule peine encore à s'imposer : la publicité in-game. Oh bien sûr, il y a eu des tentatives, mais elles sont finalement restées isolées. « Attendez, on s'en occupe ! », annonce fièrement Electronic Arts lors d'une conférence avec ses investisseurs. Comme le rapporte Tom's Hardware, le boss de l'éditeur américain est dans les starting-blocks : « La publicité est un vecteur de croissance important pour nous. [...] Nous avons des équipes qui travaillent à la façon dont nous allons mettre ça en place de manière réfléchie. » Spoiler : ça ne sera pas réfléchi du tout, et il y aura des émeutes lorsque les gens se taperont des pubs McDonald's et Starbucks dans le jeu qu'ils ont payé 70 €. A.

Ripley

Dans les années 1960, un escroc new-yorkais minable rejoint une riche connaissance en Italie. Plutôt qu’un lieu de vacances, il y trouve un nouvel eldorado pour ses magouilles.

Eat Zem All

Il faut réhabiliter le Zombie. C’est un honnête travailleur, qui se tue – métaphoriquement – à la tâche, reste proactif pour que la start-up dans laquelle il bosse puisse croître et présenter des résultats. Pas un fainéant assisté, comme les vivants.

Wonderland’s War

Prenons Hans et Gunther, deux sémillants eurogamers pur jus. Ils aiment contrôler, développer une stratégie claire pour optimiser le rendement de leurs fermes et champs de choux verts, au XIe siècle en Basse-Saxe. Hans et Gunther vont souffrir.

Civil War

J’aime énormément le travail d’Alex Garland, que ce soit lorsqu’il écrit des romans pour backpackers (La Plage), des scénarios de films où le monde est parti en vrille (28 jours plus tard, Sunshine) – et je serai presque prête à défendre l’histoire de DmC : Devil May Cry juste parce qu’il l’a supervisée. Mais s’il y a bien un domaine où je trouve qu’il excelle encore plus, c’est en tant que réalisateur.
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