STALKER 2 : Heart of Chornobyl
La plupart du temps, quand j'ai fini d'écrire sur un jeu, je le désinstalle. Mais pas toujours. Il existe une petite douzaine d'exceptions, des jeux qui n'ont jamais quitté mon SSD, que je conserve au cas où je serais saisi d'une brusque envie d'errance (Euro Truck Simulator) ou de fusillades (Ready or Not). Mais après ces quelques jours passés dans la Zone, je les ai tous effacés. Pas faute de place, pour libérer les 160 Go nécessaires à Stalker 2, non. Simplement parce je sais que je n'en aurai plus jamais besoin. Désormais, j'ai Stalker 2, le jeu vidéo ultime. Ce qui n'est pas forcément un compliment.