Ackboo aimait déjà bien les Polonais de Creepy Jar, qui lui avaient fait passer de belles vacances, entre dysenterie et enfer tropical, avec leur Green Hell (un comble pour la patrie d’adoption des allergiques aux couleurs). Avec StarRupture, le studio tente de l’embrasser directement sur la bouche : un jeu de survie sur une planète pénitentiaire, qui regroupe ses trois passions, la construction de base, l’industrialisation à la Satisfactory et les douches collectives. Le tout avec des cataclysmes réguliers, du froid extrême aux vagues de chaleur, en passant par des concerts de Bernard Menez. Et là, au milieu du rendez-vous, le faux pas bête : il y a aussi un aspect FPS contre des vagues d’aliens locaux et le jeu peut se jouer en coop’ jusqu’à quatre. Red flag ou l’amour est-il plus fort que tout ? Réponse pendant l’accès anticipé, cet automne. P.