Cœur en peine
Heart Machine a décidé de ranger le défibrillateur et de ne pas pratiquer l’acharnement thérapeutique sur Hyper Light Breaker, leur roguelike sorti en accès anticipé en janvier. Le studio angelin se sépare aussi d’une partie de ses effectifs, comme l’annonce le site Game Developer. C’est la deuxième fois en moins d’un an qu’Heart Machine procède à des licenciements, bien qu’à l’époque, le studio escomptait qu’un lancement réussi d’Hyper Light Breaker puisse provoquer un rebond. Las, le jeu est étrillé à la sortie tant par la critique que par les joueurs. Il bénéficiera néanmoins d’encore une mise à jour en janvier sous la forme d’un « point final satisfaisant », comme le décrit un porte-parole d’Heart Machine. Reste Possessor(s), leur projet édité chez Devolver et prévu pour le 11 novembre. Un titre qui sonne de plus en plus comme celui de la dernière chance. K.