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[AG French Direct 2024] Lifelong, un voyage fantastique et critique dans le monde du salariat

À l’occasion du l’événement AG French Direct 2024, le studio indépendant Red Rabbit a présenté Lifelong, un jeu d’exploration et de résolution d’énigmes à la première personne. Dans ce monde surréaliste peuplé d’êtres étranges, vous y incarnerez Marcel Dämlich, un employé esclave de la pire entreprise qui soit, Scopesoft. Votre quotidien se retrouvera chamboulé avec la présence d’une télécommande posée par inadvertance sur votre bureau. Cette dernière dispose de pouvoirs qui vous permettront de vous échapper de ce bâtiment labyrinthique et de vos supérieurs tyranniques. Vous pourrez ainsi lire les pensées de vos collègues, activer des mécaniques ou encore transférer votre conscience dans un autre individu.

L’ambiance musicale et la direction artistique du jeu ont l’air très réussies. La mécanique de gameplay liée à la télécommande est plutôt originale. Quant aux énigmes observées durant la bande-annonce, ces dernières ne semblent pas très inspirées, mais on se doute bien que la difficulté se corsera au fil de l’aventure.

Si vous êtes séduit par l’univers de Lifelong, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, en attendant l’annonce d’une date de sortie.

[AG French Direct 2024] Murky Divers, une plongée dans l’horreur avec les potos

Durant le stream de l’AG French Direct 2024, le studio Embers a dévoilé Murky Divers, un jeu d’horreur coopératif dans les profondeurs marines qui sortira en accès anticipé le 19 juin. Employés de Pharma Corps, vos amis et vous-même serez missionnés pour détruire toutes les preuves d’expériences ratées dans des laboratoires abandonnées sous l’océan. À l’aide d’un sous-marin low-cost et d’un caddy, vous naviguerez vers les différentes structures dans lesquelles vous récupérerez les bouts de cadavres. Cependant, les dangers et les créatures présentes, ainsi que le peu d’oxygène dont vous disposerez ne vous faciliteront pas la tâche. Si vous réussissez à vous s’en sortir, l’argent glané vous permettra d’acheter de l’équipement et des modules pour votre prochaine expédition.

Ça sent bon le jeu pour streamers qui crient dans tous les sens, avec un concept qui a l’air bien loufoque. Les graphismes ont l’air pas mal et l’ambiance horrifique est bien retranscrite avec le jeu de cache-cache entre le monstre marin et les joueurs. En somme, c’est Lethal Company, mais sous la flotte. Bien loin des massacres à coups de fusil à pompe, vous comprendrez aisément que c’est pas trop le délire de notre rédac, mais peut-être y trouverez-vous votre compte ?

Si vous souhaitez faire disparaître toutes les preuves des méfaits d’une corporation pharmaceutique, Murky Divers sortira en accès anticipé le 19 juin sur Steam.

Une campagne Kickstarter dévoilée pour le jeu Macabre

Dévoilé l’année dernière durant le PC Gaming Show, le studio Weforge, en charge de Macabre, un jeu horrifique d’infiltration et d’extraction en coopération, a publié une nouvelle bande-annonce depuis leur page officielle YouTube. Au travers de cette vidéo, un pnj vous explique le concept du jeu, à savoir survivre et extraire des objets lors de vos différents voyages dans une faille temporelle. Vous pourrez ainsi créer de nouveaux équipements, qui vous permettront de lutter plus efficacement contre des créatures sanguinaires et faciliteront votre fuite de cet enfer temporel. Mais ce n’est pas tout, une campagne Kickstarter est également lancée et a déjà dépassé son objectif de base, à savoir 56 000 dollars environ. Il semblerait que Macabre ait eu son petit effet auprès des joueurs d’Australie, pays dont est originaire le studio.

C’est pas comme si on saturait de jeux d’extraction ces derniers temps, mais Macabre essaie au moins d’innover dans les mécaniques qu’il propose. Par exemple, le comportement de la créature qui pourfend les joueurs devrait évoluer et s’adapter à la situation pour corser les prochaines parties. De plus, les graphismes sont dans l’ensemble pas mal et l’aspect procédural des niveaux promet une certaine rejouabilité.

Si vous êtes convaincu par Macabre, vous pouvez toujours participer à sa campagne Kickstarter, et également l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, en attendant l’annonce d’une date de sortie.

En Bref : le futur des jeux de tanks sur PC en une vidéo

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Piloter un tank n’est pas une mince affaire, il y a plusieurs rôles cruciaux dans un de ces véhicules. Cela est reflété dans certains jeux qui prennent en compte tous ces postes. C’est parfois fait de manière « automatisée », d’autres fois c’est réellement tout un équipage humain qui s’anime dans un véhicule virtuel. Entre le commandant, le pilote, le tireur, celui qui charge les munitions et l’opérateur radio, cela fait drôle de monde dans un petit espace.

L’idée développée dans cette vidéo est de rendre plus réaliste certains rôles de l’équipage. Ces internautes ont donc monté quatre postes dans une approche beaucoup plus tangible que ce que proposent les interfaces clavier habituelles.

On retrouve un poste de pilote qui dirigera le véhicule avec un volant et si je n’ai aucune idée de comment se pilote réellement un de ces monstres d’acier, cela semble plus réaliste qu’un pilotage au clavier ou à la manette. Un commandant voit ce que voit le tank au travers de ses optiques remplacées ici par un casque virtuel. Les autres opérateurs devant se fier à un écran qui est censé afficher le visuel obtenu en regardant au travers du blindage par de petits espaces.

Mais ensuite et surtout on a deux postes très originaux avec un opérateur qui charge des munitions et un tireur. Pour les munitions, c’est un petit « canon » qui a été construit. Un appareil qui se charge avec des bouteilles de soda que l’on glisse dans un cylindre avant de le refermer. Je ne sais pas exactement comment cela fonctionne mais il semble qu’une pression soit relâchée pour effectuer le tir ce qui éjecte une munition vide et fumante. Cela participe grandement j’imagine au réalisme de la simulation.

Enfin, le tireur pilote la tourelle et le canon pour viser l’ennemi avec deux manivelles qui guident les axes de rotation et d’élévation du canon. C’est également lui qui déclenche le tir en appuyant sur un gros bouton.

Si je ne suis pas fan des jeux de guerre en général, je trouve l’idée de rendre cela plus réaliste très réussie. Les postes sont bien simulés et l’ambiance doit être assez incroyable même si le réalisme voudrait que les différents opérateurs soient enfermés dans un espace beaucoup plus étroit. C’est en tout cas une très belle réalisation.

Source : @MapleKestrel et merci au petit Julien pour le lien !

PS : Qui a eu peur d’un billet sponsorisé par un jeu de tank en ligne très connu ?

Un simulateur de char rénové avec un Raspberry Pi

En Bref : le futur des jeux de tanks sur PC en une vidéo © MiniMachines.net. 2024.

BoostR : un dock GPU sous Radeon RX 7600M XT en crowdfunding

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Les plus attentifs d’entre vous auront réalisé immédiatement que ce BoostR n’est autre qu’une version rebadgée d’un GPD G1 annoncé en avril 2023 par la marque éponyme. Il s’agit ici de donner une nouvelle chance au produit au travers d’un autre type de commercialisation… le financement participatif.

Lorsque GPD annonce le G1, le constructeur le fait très tôt en exposant des prototypes qui ne seront pas tout de suite mis en vente et sur un marché encore peu habitué à ce type de produit. En 2024, tout cela a changé et l’arrivée du BoostR pourrait redonner une chance au produit. Sur le papier pas de changement, on garde un même circuit Radeon 7600M XT avec 32 CU et 6 Go de mémoire. La connexion vers un PC se fera en USB4 ou en OCuLink pour un maximum de compatibilité avec le marché.

La connectique du GPD a été modifiée avec des connecteurs différents disponibles sur le boitier pour jouer son rôle de dock : un seul port USB 3.0 Type-A, un port Ethernet Gigabit, un lecteur de cartes SDXC mais surtout quatre sorties vidéo au total. Deux en DisplayPort et deux en HDMI. Des choix différents de GPD qui avait misé sur 3 USB 3.2 Type-A, le même lecteur de cartes, deux DP 1.4a et un HDMI 2.1.

Un support M.2 2280 sous le dock permettra également de lui adjoindre le SSD NVMe de votre choix. L’alimentation du BoostR ne se fera plus en direct grâce à une prise tripolaire et un transformateur interne de type GaN comme sur le GPD mais via un bloc secteur externe et une entrée jack classique.

L’objet propose la même fonction de réglage d’alimentation vidéo. On retrouve avec un mode classique qui offrira 100 watts de consommation pour le circuit graphique et un interrupteur pour le passer à 120 watts. Une fonction utile pour « booster » une session de travail ou de jeu. Chez GPD, le choix avait été différent puisque le fonctionnement normal laissait la puce graphique tourner à 60 watts mais le mode Turbo enclenché par le bouton ne la poussait qu’à 100 watts au lieu de 120… Difficile de savoir les conséquences positives comme négatives de ce nouveau réglage sur la vitesse de jeu comme sur la chauffe du châssis. A ce propos, le dock proposera une solution de ventilation complète avec une « Vapor Chamber » – sorte de caloduc géant – surmonté d’un dissipateur en cuivre ventilé activement.

Un prototype du BoostR 01 testé par ETA Prime

Le BoostR devrait être mis en vente sous Indiegogo avec un prix de base de… 499$ (HT et hors frais de port et de dédouanement…). Un prix très attractif mais qui cache comme d’habitude une accroche commerciale très spécifique. On ne connait pas le nombre de BoostR qui seront mis en vente à ce prix. Il est fort possible que cela corresponde à un « Super Early Price » limité à 10 unités par exemple avant que le tarif ne remonte à un prix plus élevé très rapidement. Pour info le dock GPD G1 se négocie à 749€ en import et 830€ sur Amazon aujourd’hui.

Source : Notebookcheck

BoostR : un dock GPU sous Radeon RX 7600M XT en crowdfunding © MiniMachines.net. 2024.

Fin du voyage pour l’accès anticipé de RIPOUT

À peine 7 mois après sa sortie en accès anticipé, RIPOUT a décidé d’écourter ses explorations horrifiques dans les couloirs obscurs de vaisseaux infestés de mutants, en annonçant l’arrivé de sa version 1.0 via un billet de blog Steam, ce 28 mai. Le succès et les joueurs n’étant pas au rendez-vous, vous vous doutez bien que l’on a subtilement fait comprendre au studio Pet Project Games d’arrêter les frais. Ne vous attendez donc pas à avoir une myriade de nouveautés à vous mettre sous la dent, vu que ce lancement 1.0 s’apparente plus à un patchnote de correctifs, d’équilibrages et d’améliorations du contenu existant. Pour preuve, les devs débutent leur billet avec un récap des mises à jours déployées à ce jour.

On exagère un peu, il y a tout de même l’ajout d’un nouvel objectif nommé Kill Zone, de niveaux et de quelques fonctionnalités, mais pas de quoi casser trois pattes à un canard. À la rédac, nos experts MathMoite et Stuka n’étaient pas absolument convaincus par RIPOUT à sa sortie, et ce ne sont pas non plus les diverses mises à jours (1, 2, 3 et 4) arrivées entretemps qui les auront fait changer d’avis.

Si vous êtes intéressé par le solo ennuyeux et la coop déserte de RIPOUT, ce dernier est en promotion à -20 % sur Steam jusqu’au 4 juin, soit moins de 20 €.

Un terminal inspiré de Fallout a partir d’un RPi 400

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Issue de la licence de jeux du même nom, la série Fallout a relancé un intérêt pour cette ambiance particulière qu’est son univers post-apocalyptique bourré d’un humour très grinçant. Assez pour que certains s’en soient inspirés pour construire un terminal qui aurait toute sa place dans son décor.

C’est un certain Rick Pannen qui publie sur Hackaday des images de sa création. Une solution Raspberry Pi 400 déployée dans un châssis imprimé en 3D en PETG et peint de manière à faire apparaitre les traces du temps. Dans la série Fallout, l’action se passe 200 ans après une guerre nucléaire lancée en 2077. L’humanité bricole donc tant qu’elle le peut des appareils qui ont résisté à la vitrification de la surface de la planète en restant terrés dans des abris anti atomiques.

75 heures d’impression et 2.2 Kg de filament plus tard, l’objet est prêt a être monté. Mais pour rester dans le ton, il fallait que le châssis apparaisse comme rouillé, usé par le temps et non pas sorti tout droit d’une imprimante 3D. Il a donc d’abord été nécessaire de le poncer très finement puis de le maquiller. Une solution de peinture à base de fer recouverte d’une solution générant de la rouille a été appliquée aussi bien sur le boitier que sur le clavier du Pi 400.

Certaines parties, comme la protection noire à l’avant de l’affichage, ont été recouvertes d’une peinture provoquant un aspect caoutchouc sur la surface afin de mélanger les textures. L’épaisseur des parois du châssis de l’écran explique pourquoi l’impression été si couteuse en matériau. L’ensemble sera très solide.

Enfin, pour parfaire l’illusion globale, l’écran LCD 7 pouces utilisé a été caché derrière une lentille Fresnel dans la partie écran. Cela donne un aspect « CRT » à l’ensemble avec de fortes ressemblances à nos  anciens Minitel en France.

Le dispositif pilote une IA Open source intégrée sur le Pi 400 et qui sert de pilotage domotique en local. Il faut pianoter un ordre du type  « allume les lumières du salon » sur le clavier pour pouvoir effectuer cette action. C’est une sorte d’assistant personnel mais qui ne réagit pas – volontairement – à la voix. Et cela colle parfaitement avec l’univers de Fallout.

Un terminal inspiré de Fallout a partir d’un RPi 400 © MiniMachines.net. 2024.

Battez-vous pour votre roi dans la mise à jour Regicide de Chivalry 2

Dans le courant de la semaine, le studio Torn Banner, en charge de Chivalry 2, a publié un billet sur leur site officiel pour le déploiement de la nouvelle mise à jour, Regicide. Cette dernière introduit un nouvel objectif coopératif nommé Regicide at Trayan Citadel, où vous prendrez part à un ultime et épique assaut de citadelle, pour mener à la victoire le roi auquel vous aurez prêté allégeance. Une nouvelle arme, Goedendag, s’ajoutera également à l’arsenal des classes Poleman et Engineer, pour que vous puissiez fracasser vos ennemis. Les gueux pourrons profiter d’un pass de campagne gratuit et sans limite de temps, pour débloquer certains éléments cosmétiques. Mais les vassaux pourront s’offrir le pass premium de campagne en échange de monnaie de singe, afin d’obtenir bien plus de contenu. Cette mise à jour s’accompagne aussi de changements dans le système de combat et d’améliorations de QoL (Quality of Life), que vous découvrirez en consultant le billet en anglais.

Si vous souhaitez marquer l’histoire de la chevalerie dans une bataille épique, Chivalry 2 est disponible sur Steam à 36 € euros environ, ou sur l’Epic Games Store à moins de 15 € jusqu’au 13 juin avec la promotion à -60 %.

Daylight Computer DC-1 : une tablette à encre numérique d’un nouveau genre

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Avec un rafraichissement à 60 Hz, la première tablette à encre numérique de Daylight Computers semble corriger le principal défaut que l’on fait à ce type d’engin. L’encre numérique n’est pas réputé pour sa réactivité et ce qu’elle apporte en confort visuel au quotidien, elle le perd en général en terme de vivacité à l’écran.

Ici, cette Daylight Computer DC-1 semble avoir dépassé cette problématique et permet d’afficher du contenu avec une dalle réflective qui affiche une interface aussi fluide qu’une dalle à cristaux liquides classiques. Si on ne sait pas exactement quelle est la technologie utilisée, on sait qu’il s’agit d’une solution signée IGZO capable d’aller afficher l’interface Android 13 embarquée à 60 images par seconde.

Elle sait également se transformer au besoin en solution éclairée frontalement d’une couleur ambrée. L’idée étant de pouvoir utiliser la tablette aussi bien en plein soleil que dans la pénombre. La présence d’un stylet avec la technologie EMR de Wacom assurera la possibilité de dessiner et de prendre des notes à l’écran.

Ce que ne sait pas faire cet affichage par contre, c’est de rester lisible machine éteinte. Il ne s’agit donc pas d’encre numérique d’un même type que les technologies e-Ink qui déplacent physiquement des microbilles pour teinter l’écran et qui n’ont bas besoin d’énergie pour rester en place.

Cette DC-1 propose une dalle de 10.5 pouces de diagonale en 1600 x 1200 et abrite une version modifiée d’Android 13 baptisée Sol:OS qui vous laissera un accès à des applications choisies. Il s’agit d’une version remaniée du système présentée comme étant « sans distractions »… La tablette est pilotée par un Soc Mediatek Helio G99 accompagné par 8 Go de mémoire vive non détaillée et 128 Go de stockage probablement en eMMC. Hormis l’écran donc, il s’agit d’une tablette plutôt moyenne gamme sans véritables points forts. On retrouvera tout de même un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.0, un USB Type-C et un lecteur de cartes MicroSDXC. Une paire d’enceintes et un micro sont également de la partie même si l’engin ne propose pas de webcam. Une batterie de 8000 mAh est présente mais ne donne pas d’autonomie. L’ensemble pèse 550 grammes et propose également des boutons programmables.

La Daylight Computer est tout de même annoncée à 729$ HT, ce qui n’est franchement pas donné même si on imagine que le duo écran IGZO et stylet Wacom doivent avoir un impact assez important sur ce tarif. Des accessoires supplémentaires comme un support de charge ou un clavier sont également prévus mais ne font pas partie de l’offre annoncée pour le moment.

Difficile de se prononcer sur cette technologie aujourd’hui. Au prix demandé, 800€ environ TTC avec juste l’ajout d’une TVA à 20%, il est difficile de craquer. Il faudrait voir l’engin de visu, sentir sa réactivité et celle de la solution Wacom au minimum. Pouvoir éprouver sa capacité à réfléchir le soleil et pouvoir jauger son autonomie. En l’état, faire confiance à cette Daylight Computer DC-1 est assez hasardeux. Même si les promesses de la marque ont certains côtés rassurants. Le constructeur assure vouloir fournir, par exemple, une solution permettant aux développeurs de proposer d’autres systèmes sur la tablette. Pour le moment, l’annonce d’un début de livraison pour le mois de juillet est encourageant… le fait que la marque s’intéresse à d’autres produits l’est également. Il est possible que l’ont voit un jour des portables, des téléphones et des écrans équipés de cette technologie.

Daylight Computer DC-1 : une tablette à encre numérique d’un nouveau genre © MiniMachines.net. 2024.

[tinyBuild Connect 2024] VOIN met à jour sa démo

À l’occasion du tinyBuild Connect 2024, Nikita Sozidar, le développeur solo de VOIN, a diffusé un court devlog pour annoncer la mise à jour de la démo hier. Dans ce hack & slash rogue-lite, vous pouvez désormais explorer un nouveau lieu, une immense grotte gelée. De plus, des cinématiques et des effets météorologiques ont été ajoutés. Du côté du tutoriel, ce dernier a été retravaillé afin de permettre une meilleure assimilation des mécaniques du jeu, à l’attention des joueurs qui n’ont rien à foutre des textes explicatifs. Le dev a également apporté des améliorations sur les contrôles, les habilités et sur bien d’autres aspects, que vous pourrez découvrir en jouant à la démo accessible depuis la page Steam du jeu.

Au visionnage de la vidéo, le feeling semble toujours aussi réussi avec des ennemis découpés ou réduits en pièces sous les coups des armes. Et la direction artistique, mêlant visuels modernes et effet pixelisé, apporte un certain charme. Avec son aspect RPG, il faudra s’attendre à loot des items plus ou moins rares sur les ennemis ou dans les coffres à dénicher ici et là.

VOIN n’a toujours pas de date de sortie officielle. En attendant, vous pouvez toujours l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et jouer à la démo pour vous faire un avis.

[tinyBuild Connect 2024] Level Zero: Extraction, zéro nouveauté à l’horizon mais un teasing

Pendant le tinyBuild Connect 2024, les devs du studio DOGHOWL Games n’avaient visiblement pas grand chose de très intéressant à partager sur Level Zero: Extraction, hormis ce court teasing annonçant la date du 09 juin. On pourrait donc s’attendre soit à l’annonce d’une date de sortie officielle, ou à une sortie en accès anticipé, mais de pas de quoi sauter au plafond. Pour rappel, sentant le bon filon de l’extraction shooter, le studio avait changé de fusil d’épaule concernant le concept de base de leur jeu. Il n’était plus question d’une équipe de quatre scientifiques tentant de fuir deux aliens (contrôles par des joueurs), mais de trois équipes de mercenaires devant ramasser plein de babioles inutiles et s’extraire par la suite, en évitant les deux aliens (contrôlés par des joueurs également). Faute à un gunplay manquant cruellement de punch, la rédac n’avait pas été convaincue au visionnage d’une précédente bande-annonce et à ce jour, on ne l’est toujours pas.

Prévu courant 2024 et en attendant l’annonce du 09 juin, vous pouvez toujours ajouter Level Zero: Extraction à votre liste souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

[tinyBuild Connect 2024] SAND, un enfer pour les aventuriers ammophobes

Lors du live tinyBuild Connect 2024, les studios Hologryph et TowerHaus ont dévoilé quelques minutes de gameplay de SAND, leur jeu multi en PvPvE se déroulant sur une planète désertique nommée Sophie. À bord de votre Trampler customisable (une base robotique mobile) servant à vous déplacer et à stocker vos ressources, vos coéquipiers et vous-même devrez explorer les ruines d’une ancienne colonie humaine dévastée par une catastrophe écologique. Durant votre périple, vous serez confronté à d’autres aventuriers et leurs Tramplers, ainsi qu’à des créatures hostiles et des menaces environnementales non-dévoilés. De plus, les devs ont d’ores et déjà annoncé qu’une bêta arrivera prochainement. Si vous êtes intéressé, vous pouvez vous y inscrire depuis la page Steam du jeu.

Aux premiers abords, le gunplay et la session d’abordage des Tramplers ont l’air pas mal, ce qui n’est pas rappeler Sea of Thieves d’une certaine façon. Par contre, ça risque d’être chiant à mourir de parcourir des régions désertiques pour récupérer des ressources et abattre des ennemis à la longue. Il reste à espérer que la gameplay soit assez varié avec la présence d’événements spécifiques tels que des aléas climatiques, des ennemis spéciaux, des quêtes temporaires,…

Pour le moment, SAND n’a pas de date de sortie annoncée. En attendant de profiter des dunes à perte de vue sur votre Trampler, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam. Vous pouvez également vous inscrire à la prochaine session de playtest depuis la page de ce dernier.

Microsoft annonce Copilot+, une IA intimement mêlée à Windows

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Copilot+ est un argument important pour le futur de Microsoft et en particulier du succès de Windows 11. Cette IA intégrée au système fait appel à Chat-GPT 4o de OpenAI mais fait également la part belle à des outils purement maison.

Copilot+ est le nouvel argument de Microsoft pour faire basculer les utilisateurs vers Windows 11. Poussée dans les futures mises à jour du système, cette « suite » logicielle offrira une IA totalement intégrée au reste de l’interface de l machine. Proposant des fonctions très visibles et d’autres éléments plus discrets pour des usages plus experts.

L’intégration de Chat-GPT 4o est un premier élément de l’équation Copilot+. Cette IA vous permettra de dialoguer de multiples manières avec votre PC. Elle saura générer du texte, répondre oralement à vos questions et même comprendre ce que vous lui montrez à l’écran. Microsoft annonce une capacité de traitement en temps réel des données échangées… à condition de posséder un ordinateur équipé d’une puce capable de prendre en charge cette IA. Un ensemble de machines assez larges dont le processeurs embarquent un NPU assez puissant pour se voir labellisées « PC Copilot+ ».

Cette intégration est mise en avant comme un moyen d’utiliser sa machine de multiples  façons. Un exemple simple, dans un jeu, une demande orale à Copilot+ permet de trouver des ressources dans son inventaire ou une manière de combiner celles-ci pour en obtenir une autre. Plus besoin de retenir des « recettes » fastidieuses, la machine peut vous aider dans ces tâches. L’idée étant de pouvoir, sur un jeu compatible, vous aider a rester concentré dans votre histoire plutôt que de devoir en sortir pour lire un guide.

Copilot+ assurera la traduction dans des dizaines de langues

Un des point fort de cette présentation est lié à la traduction automatique en local. Le NPU – la partie spécialisée des processeurs dédiée aux calculs particuliers des IA – permettra de piloter plus de quarante langues différentes même en étant déconnecté de tout réseau. Microsoft assure que le dispositif restera rapide et fluide tout  en conservant une bonne maitrise des langues prises en charge. L’idée étant de pouvoir se servir de sa machine à l’oral ou à l’écrit pour tout type de tâches : vidéo conférence, rédaction de textes mais aussi traduction en temps réel de vidéos enregistrées ou génération de transcriptions dans la langue de votre choix. 

L’idée est de pouvoir profiter par exemple de sous titrages automatiques en Français d’une vidéo en Allemand même hors ligne. De profiter d’une voix de synthèse compréhensible pour les personnes malvoyantes et autres tours de passe passe linguistiques.

Cocreator et Photos, des applications graphique gavées à l’IA

Windows 11 proposera un outil baptisé Super Resolution dans Photos pour améliorer significativement la qualité des images. On retrouvera un ensemble de fonctions et de filtres assez classiques du monde smartphone pour gommer les principaux défauts des images numériques : bruit, contraste et autres fonctions de nettoyage ou d’interpolation seront magnifiés à la sauce IA. 

Une fonction Restyle permettra également de retoucher les images en utilisant un prompt. Si vous voulez une photo de vacances qui ressemble à une aquarelle ou un traitement particulier d’une photo de famille, l’outil pourra vous le générer directement depuis votre machine. Photos apportera également une fonction de génération descriptive à partir des images soumises. Ce qui permettra probablement de proposer assez de données pour pouvoir retrouver ses photos facilement. A la manière des mots clés des archivistes qui notent des négatifs pour les classer, ce moteur décrira vos images pour pouvoir y naviguer.

Je préfère la tortue de gauche.

Un outil de création d’images sera également disponible. Cocreator vous offrira une interface exploitable dans toutes les applications compatibles pour « imaginer » des éléments graphiques à partir d’une description textuelle. Il sera également possible de faire un schéma simple qui sera repris par la machine pour générer des images. Il faudra évidemment compter sur un NPU performant pour  que cette génération soit fluide. Microsoft associe donc ce type de fonctionnalité secondaire à la possession d’un ordinateur certifié « Copilot+ ». Une certification qui devrait recouper les prérequis d’autres normes comme l’AI PC d’Intel.

Total Recall

Recall est le nom d’une autre fonctionnalité IA aussi intéressante qu’inquiétante. Pour juger de l’inquiétude a avoir sur une fonction de votre système il suffit de lire combien la société qui la promeut prend des gants pour vous la présenter. Et pour le cas de Recall, Microsoft a été fort diplomate.

L’idée de Recall est de vous fournir un outil fonctionnant en sous marin dans votre système qui notera tout ce que vous faites avec votre machine. Ce bout d’IA organisera et classera la totalité de votre activité. L’historique de votre navigation, vos scans de documents, vos impressions, vos conférences en ligne, vos documents et évidemment vos passionnantes conversations avec votre IA. Cet ensemble de données permettra de relire votre passé et donc de retrouver l’élément dont vous vous souvenez vaguement mais qu’il vous faut impérativement. Une bribe de conversation, un site web dont on vous a parlé mais que vous n’avez pas mis en favori, une expression technique ou ce fameux scan transformé en PDF que vous avez annoté et commenté il y a une semaine.

Evidemment, la totalité de votre historique d’usage de votre PC généré par Recall et un bien précieux. Pour plein de raisons, personne n’a envie de voir ce minutage de votre activité être aspiré par un tiers. Imaginez ce qu’un internaute indélicat pourrait en faire. Ce qu’une société concurrente pourrait y lire. Ce que votre employeur pourrait déterminer de votre temps en y ayant accès. Ce que votre conjoint ou autre pourrait y trouver. Cet ensemble de données est sans doute devenue ce qui se rapproche le plus d’un journal intime pour beaucoup d’utilisateurs aujourd’hui. sauf que si l’écriture de ce type de journal a toujours été une activité marginale, quasiment tout le monde passe un peu de temps sur un PC aujourd’hui.

Face au risque de fuite de données personnelles, Microsoft annonce donc un traitement des données purement hors ligne. Recall fonctionnera uniquement sur la machine qui héberge Windows sans aucun traitement dans les nuages. Cette étanchéité martelée par Microsoft est  évidemment le signe d’un vrai problème de confidentialité. Microsoft est conscient qu’en cas de brèche, la somme des éléments enregistrés qui disparaitraient dans la nature serait forcément problématique pour l’utilisateur.

Loki, dans la série éponyme, se retrouve confronté à son propre Recall

Car la force de Recall tient surtout en la capacité que cette fonction offre à l’utilisateur de remonter dans ses souvenirs grâce à l’IA. En analysant l’ensemble des mouvements effectués sur sa machine, le moteur offrira la possibilité de retrouver rapidement aussi bien une photo, un scan de document, une conférence, un texte ou une facture. Cette facilité mise à portée de main d’un tiers serait évidemment problématique. Microsoft annonce donc une exploitation locale avec Copilot+ pour éviter la peur d’une exploitation « anonyme » de votre usage d’un PC par l’éditeur lui même. Et on peut supposer également qu’un chiffrement assez lourd sera posé comme une chappe de plomb sur les données générées par Recall pour éviter tout usage abusif.

Ce qui amène à la question logique qui suit cette étape. Quid d’un usage législatif de Recall ? Imaginons un pays où si on refuse de donner son mot de passe de smartphone on peut avoir une amende ou, pire, une peine de prison. Que se passera t-il sur le PC Copilot+ d’une personne suspectée d’une activité jugée illégale ? Si on lui demande ses accès Recall par exemple. L’utilisateur offrira alors une voie royale vers l’ensemble de ses activités avec son PC. Si vous avez déjà pris l’avion ces dernières années vers les US vous aurez remarqué que certains douaniers n’hésitent pas a vous demander l’accès à votre machine. Et votre employeur qui vous fournit  votre PC ? Qui se pose la question de son droit de regard sur votre activité ? Demandera t-il la justification de cette discussion avec un ami en milieu de journée ? De cette session de surf pour trouver une location de vacances en pleine après midi ?

Recall est un outil à double tranchant, tenir compte de votre activité est peut être un outil puissant mais il a également des conséquences assez lourdes sur votre vie privée… Même dans un usage purement local.

Avec Copilot, Microsoft s’offre une touche de publicité

Microsoft annonce Copilot+, une IA intimement mêlée à Windows © MiniMachines.net. 2024.

Killing Floor a déjà 15 ans

Alors que Tripwire nous tease régulièrement un peu de son Killing Floor 3, les développeurs viennent de publier une vidéo pour fêter les 15 ans de Killing Floor, premier du nom. On y apprend que l’équipe avait été surprise de l’accueil positif à la sortie du jeu, alors qu’ils pensaient avoir fait de la merde, et qu’ils étaient au bord du gouffre financièrement. Mais ils étaient plus jeunes et avaient de l’énergie. Cela sous-entend qu’ils n’en ont plus maintenant, ce qui est toujours rassurant à entendre pendant la phase de développement. Mais pas de panique, ils ont troqué leur hargne et leur motivation contre des compétences glanées à gauches et à droite au fil de débauchages d’experts auprès d’autres studios. Et ils sont aussi beaucoup plus nombreux.

Tripwire nous explique également qu’une phase de prototypage s’est déroulée pour Killing Floor 3, permettant d’itérer sur certains aspects et abandonner les idées de chiotte. On croise les doigts pour que ce soit assez différent des deux premiers opus, et ainsi nous intéresser un peu plus.

En attendant Killing Floor 3, qui n’a toujours pas de date de sortie, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, ou vous reporter sur Killing Floor 2, actuellement en promo jusqu’au 23 mai à –95 % sur Steam, soit 1,39 €.

AYA Neo Air 1S : le console 5.5″ AMOLED évolue vers le 8840U

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Mise à jour du 20/05/2024 : La console AYA Neo Air 1S change de processeur sans changer de nom. Il faut dire que la seule différence entre le modèle 2023 et ce nouveau modèle en 2024 est un passage du Ryzen 7 7840U à un Ryzen 7 8840U  qui sont quasiment identique mis à part leur TDP. Le nouveau venu oscille de 15 à 28 watts contre 15 à 25 watts pour le précédent. La batterie pourrait être adaptée en conséquence à moins que Aya décide de brider la pue à 25 watts ?

Billet original du 30/06/2023 : La dernière née des ConsolePC de Aya change un peu la mécanique habituelle. Avec un écran haut de gamme mais de plus petite diagonale, la AYA Neo Air 1S cherche à jouer sur la corde de l’encombrement pour lutter contre la concurrence.

Et ce n’est pas un mauvais pari, d’autant que cette nouvelle venue ne semble pas vouloir démériter sur la performance proposée. En choisissant un excellent processeur AMD Ryzen 7 7840U, la AYA Neo Air 1S proposera les mêmes capacités que la majorité de ses concurrentes. Elle le fera simplement dans un engin au châssis plus facilement transportable.

L’écran choisi utilise une dalle AMOLED pour proposer un FullHD raisonnable dans ce type de diagonale. Avec son processeur qui embarque un circuit graphique Radeon 780M, les capacités d’affichage seront excellentes en 1920 x 1080 pixels. La densité de pixels atteindra 404 pixels par pouce et les caractéristiques de la dalle seront assez évoluées : 350 nits de luminosité, et une colorimétrie contrôlée proposant 100% du spectre sRGB, et 96% de l’Adobe RGB. En clair, Aya a choisi une dalle plus que correcte pour démarquer sa petite console.

La puce déployant 8 cœurs Zen4 et 12 RDNA3 sera accompagnée par un montant inconnu de mémoire vive en LPDDR5x. Et donc soudée à la carte mère. On ne connait pas ce montant, ce qui signifie que Aya n’est pas encore très sur de lui sur ce poste. J’imagine que suivant les négociations on retrouvera ici de 8 à 32 Go de mémoire vive. Difficile de justifier plus ou moins. A mon sens 16 ou 32 Go sont parfaitement adaptés à cette solution, le partage de la mémoire système avec le circuit graphique ayant un impact sur les performances globales, les 8 Go sont un peu maigres au vu du cours actuel de la mémoire vive.

Le stockage est monté sur un slot M.2 2280 non identifié. Là encore je doute que le choix d’autre chose qu’une solution NVMe soit retenue. Les prix de ces stockages sont désormais plus bas que leurs homologues en SATA 3. On ne connait pas les montants de ce stockage. Là encore le choix entre des solutions 256/512 Go semble logique même si les constructeurs sont désormais habitués à proposer des machines avec de grosses capacités sur leur haut de gamme.

Un lecteur de cartes MicroSDXC permettra d’étendre le stockage de la console facilement. On retrouve également deux ports USB4, un port jack audio combo 3.5 mm et un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.2.

Le tout entre dans un châssis de 22.4 cm de large pour 8.95 de haut et 2.16 cm d’épaisseur. Un petit gabarit très dense qui porte son poids à 450 grammes et permet d’embarquer une belle collection de fonctions. C’est vraiment l’argument phare de la console puisqu’il promet une meilleure portabilité que l’ensemble des solutions concurrentes actuelles.

Face à la console de Valve, la AYA Neo Air 1S propose une toute autre portabilité. L’engin est moins large et moins haut et pourra plus facilement vous suivre tout au long de la journée.

Même chose face à la ROG Ally d’Asus. La nouvelle venue est beaucoup plus compacte et portable. Bien entendu cette limitation de poids et de taille pose question. Aya assure être arrivé à proposer une ventilation équivalente en température… mais on ne sait pas si cela se fait au détriment du confort à l’usage. Si la console parvient à rafraichir sa puce en échange d’une ventilation bruyante ou non. Autre questionnement, quel impact cela aura sur l’autonomie de la console ? Combien d’heures de jeu seront réellement atteignables avec ce gabarit. Si l’engin est plus portable mais ne propose que l’ombre de l’autonomie de ses concurrentes, cela n’a pas grand intérêt.

Pour le reste, on retrouve une belle panoplie de fonctions avec un capteur 6 axes servant de gyroscope, un moteur de vibration, une paire d’enceintes stéréo et une panoplie de contrôleurs complète pour une bonne jouabilité. Double joystick à effet Hall, gâchettes également analogiques, boutons ABXY et croix directionnelle. Le tout fonctionnera sous Windows 11 et la marque promet une surcouche logicielle de pilotage baptisée AYA Space 2.0 pour profiter au mieux de la console. On note aussi la présence d’un lecteur d’empreintes sur le bouton de démarrage pour s’identifier facilement et retrouver des sessions et des bureaux différents suivants les utilisateurs.

Je vous propose le lien vers la vidéo de 53′ présentant la console mais elle est malheureusement difficile à suivre. Elle débute réellement à 11’30 et le patron de Aya y parle en chinois avec une traduction en Anglais par dessus qui rend l’ensemble parfois difficile à suivre. Mais si ce modèle vous intéresse vraiment, vous pourrez y retrouver des informations supplémentaires.

AYA Neo Air 1S : le console 5.5″ AMOLED évolue vers le 8840U © MiniMachines.net. 2024.

Préparez-vous à un voyage gastronomique sans précédent avec la sortie de PO’ed: Definitive Edition

Dévoilé le 1er avril, il n’aura pas fallu attendre longtemps pour le studio Nightdive de sortir ce rétro-FPS peu ragoutant, PO’ed: Definitive Edition, ce 16 mai. Au menu, un cuistot vénère équipé d’un jetpack et d’armes plus atypiques les unes que les autres, pour affronter une horde d’aliens au design très douteux, dans des niveaux ouverts en 3D. Par exemple, si vous êtes un amateur de spécialités « cul »inaires, vous aurez le plaisir de rencontrer cette paire de fesse avec des jambes, qui vous attaquera avec ce qui semble être une flatulence. Pour apprécier dans les meilleures conditions votre plat de résistance, cette édition s’accompagne d’améliorations sur le gameplay, de corrections de bugs, du support écran large et d’un nouveau mode de difficulté.

On ne va pas se le cacher, ce jeu ne met pas l’eau à la bouche par la qualité de ses graphismes, et encore moins par son gunplay. À la rédac, on n’arrive toujours pas à comprendre ce qui a motivé les devs à plancher sur PO’ed. Du côté de Steam, les avis ne se bousculent pas au portillon, avec trois évaluations au moment où l’on écrit la news.

Si vous avez un quelconque intérêt pour PO’ed: Definitive Edition, ce dernier est disponible sur Steam au prix de 19,50 €, et sur GoG pour un euros de moins.

La sortie de Mullet Mad Jack relance la tendance de la coupe mulet

Êtes-vous nostalgique de l’univers des animés des années 90′, ou bien souhaitez-vous simplement changer d’air après une très mauvaise expérience vidéoludique ? Eh bien, sachez que Mullet Mad Jack, un rétro-FPS avec une bonne dose d’action frénétique, est sorti comme prévu ce 15 mai accompagné de sa bande-annonce de lancement. Dans un futur dominé par des robots mégalos, vous incarnerez un modérateur du nom de Jack devant sauver une belle influenceuse pour se voir récompensé d’une magnifique paire de Sneakers. Problème, vous ne disposerez que de 10 secondes de vie, qui seront récupérables qu’en enchaînant des meurtres stylés et sanglants. Avec sa composante rogue-lite, vous pourrez bénéficier de bonus temporaires, ainsi que d’armes améliorables et diverses. De plus, chaque étage visité aura des pièces générées aléatoirement, comprenant des pièges, des ennemis et un boss.

À la rédac, notre expert Loulou a très apprécié la proposition du studio HAMMER95, et si vous souhaitez en savoir davantage, le test est déjà disponible.

À l’occasion de sa sortie, Mullet Mad Jack est en promotion sur Steam à moins -10 % jusqu’au 24 mai, soit moins de 18 €, si vous êtes intéressé.

Anbernic RG35XXSP : une console d’émulation au look GBA

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Pas vraiment un montre en terme de puissance d’émulation, la Anbernic RG35XXSP embarquera un SoC AllwinnerH700 accompagné de 1 Go de mémoire vive LPDDR4 et de 64 Go de stockage sur une carte MicroSDXC. Suffisant pour piloter des émulateurs de console basiques.

La puce de la Anbernic RG35XXSP est un SoC quadruple cœur Cortex-A53 cadencée à 1.5 GHz et accompagnée d’un circuit graphique ARM G31 MP2. C’est une solution déjà employée par la marque dans la Anbernic RG35XXH ci-dessus qui propose de très bonne performances jusqu’à la PSX.

Son écran est un 3.5″ IPS en 640 x 480 pixels et l’engin propose à la fois un Wi-Fi5 et du Bluetooth 4.2. La batterie embarquée est une 3300 mAh qui est donnée pour offrir  au mieux 8 heures de jeu à la console. A ce propos un capteur permet d’éteindre immédiatement l’écran à la fermeture du clapet, pour éviter de laisser l’engin se décharger inutilement. On retrouve également un port USB Type-C qui permettra de dialoguer avec elle mais aussi de l’alimenter via une batterie portable et une sortie HDMI. A noter que comme souvent sur  ce type de console, le système propose deux lecteurs de cartes MicroSDXC. Le premier embarquera le système d’exploitation et de la place pour le stockage d’images de jeux. Le second sera disponible pour rajouter plus de ROMs. Un port jack pour brancher un casque est disponible.

La RG35XXSP propose une croix directionnelle et 4 boutons en plus de gâchettes pour une manipulation très classique. L’écran est rabattable sur un format de poche pratique bien qu’un petit peu plus épais qu’une Game Boy classique. Un moteur de vibration et un haut parleur mono complètent l’équipement.

Pas d’information sur le prix de l’engin, la boutique AliExpress de la marque n’a toujours pas été mise à jour.

Anbernic RG35XXSP : une console d’émulation au look GBA © MiniMachines.net. 2024.

ROG Ally X : Asus parle du futur de sa console

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Mise à jour du 23/05/2024 : Un document, visible chez Videocardz, semble avoir fuité et précise les évolutions de la console ROG Ally X. si sur la forme l’objet ne change pas avec le même écran 7 pouces FullHD 120 Hz et la même ergonomie. La ROG Ally X passe à la vitesse supérieure sur d’autres postes. 

La mémoire vive semble ainsi basculer de 16 Go de LPDDR5-6700 à 24 Go de LPDDR5x-7500 plus rapide. Une solution qui épaulera mieux le processeur Rzyen Z1 Extreme et son circuit graphique Radeon 780M. Autre nuance, le stockage pourra monter jusqu’à 1 To de NVMe PCIe Gen4 x4 par défaut contre 512 Go pour le modèle 2023. Il s’agira toujours d’un format M.2 2280. La ventilation serait également plus efficace de 10% grâce à l’emploi d’un nouveau dispositif. 

La batterie est le poste le plus important puisque celle-ci serait doublée ! Passant de 40 à 80 Wh ! On peut donc s’attendre à une bien meilleure autonomie et on a déjà un détail de l’impact de ce changement sur le poids de la machine qui passe de 608 grammes à 678 grammes. Les dimensions sont également différentes avec une console de même largeur mais la ROG Ally X serait moins haute – 11.4 cm de haut contre 11.7 cm de haut pour le modèle 2013 – et plus épaisse de 5 mm. Asus fait évoluer la carcasse de 3.2 cm à 3.7.

Autre détail marquant, le port Asus XG Mobile disparait pour laisser place à un double port USB Type-C : un USB4 classique et un USB 3.2 Gen2. Pas d’autres changements à priori même si on peut s’attendre à une évolution de la connectique ou du moins à son placement. Pas d’information sur le prix pour le moment, du moins rien d’officiel. La rumeur parle d’un ticket d’entrée à 799$ HT. L’officialisation de l’offre devrait toujours avoir lieu en juin, probablement pour le Computex.

Billet original du 11/05/2024 : Prévue pour le tout début du mois de Juin, la ROG Ally X serait plus une version améliorée de la machine actuelle qu’une véritable révolution. Beaucoup des éléments principaux de l’offre ne bougeraient pas mais des mises à jour techniques et logicielles devraient être proposées.

Ainsi la puce embarquée ne serait pas modifiée, faute d’un successeur viable aux Ryzen Z1 et Z1 Extreme proposé par AMD. On resterait donc sur des capacités de calcul identiques même si la mémoire vive pourrait gagner en capacités. Pour le moment disponible en 16 Go maximum, la nouvelle pourrait donc choisir de basculer vers des versions 32 Go. Mêmes évolutions possibles pour le stockage qui resterait un NVMe PCIe mais qui pourrait évoluer vers une solution plus « classique ». En l’occurrence un stockage M.2 2280 qui offrirait plus de choix pour Asus comme pour les utilisateurs.

Autre point qui ne devrait pas changer, l’affichage qui serait identique avec un écran de 7″ de diagonale, toujours en IPS et 120 Hz. On parle également de modifications de batterie pour obtenir une meilleure autonomie ce qui aurait un impact sur le poids de l’engin. Diverses améliorations notamment pour les contrôles et divers réglages des soucis relevés par les premières versions seraient également prévues, à commencer par un déplacement du lecteur de cartes MicroSDXC qui avait connu des soucis de chauffe.

Enfin, et c’est peut être le mouvement principal, Asus semble avoir énormément travaillé sur sa suite logicielle avec une mise à jour majeure. Armor Crate, c’est son nom, serait amélioré pour rendre l’usage de la console plus efficace et moins dépendant de l’interface de Windows. Un changement important qui impacterait non seulement ce modèle Asus ROG Ally X mais également les consoles actuelles avec une mise à jour globale.

Pas de détail précis sur le tarif de la nouvelle version mais un probable repositionnement plus haut de gamme correspondant aux prix d’origine de la console à sa sortie.

Source : The Verge

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