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☕️ Tiktok va fermer son service de streaming TikTok Music en novembre

Tiktok va fermer son service de streaming TikTok Music en novembre

Depuis 2019, TikTok tentait de concurrencer Spotify, Apple Music et les autres plateformes de streaming de musique avec sa propre application, TikTok Music. 
Initialement lancée sous le nom de Resso, l’application était disponible au Brésil, en Australie, au Mexique et à Singapour.

En 2024, le géant chinois jette l’éponge : l’entreprise a annoncé prévoir de fermer le service le 28 novembre et de supprimer les données clients. Elle enjoint les usagers à transférer leurs playlists vers d’autres services d’ici au 28 octobre.

Au lieu de concurrencer les acteurs du streaming musical, TikTok prévoit de leur envoyer les internautes via sa fonctionnalité « Add to Music App ».

De fait, TikTok a essuyé des combats frontaux avec des entités comme Universal Music Group, ce qui avait eu pour effet de supprimer Drake, Rihanna et d’autres artistes signés chez la major de son catalogue.

☕️ Tiktok va fermer son service de streaming TikTok Music en novembre

Tiktok va fermer son service de streaming TikTok Music en novembre

Depuis 2019, TikTok tentait de concurrencer Spotify, Apple Music et les autres plateformes de streaming de musique avec sa propre application, TikTok Music. 
Initialement lancée sous le nom de Resso, l’application était disponible au Brésil, en Australie, au Mexique et à Singapour.

En 2024, le géant chinois jette l’éponge : l’entreprise a annoncé prévoir de fermer le service le 28 novembre et de supprimer les données clients. Elle enjoint les usagers à transférer leurs playlists vers d’autres services d’ici au 28 octobre.

Au lieu de concurrencer les acteurs du streaming musical, TikTok prévoit de leur envoyer les internautes via sa fonctionnalité « Add to Music App ».

De fait, TikTok a essuyé des combats frontaux avec des entités comme Universal Music Group, ce qui avait eu pour effet de supprimer Drake, Rihanna et d’autres artistes signés chez la major de son catalogue.

☕️ Sam Altman et d’anciens proches de Steve Jobs travaillent à un produit hardware centré sur l’IA

Sam Altman et d’anciens proches de Steve Jobs travaillent à un produit hardware centré sur l’IA

Le patron d’OpenAI Sam Altman, l’ancien directeur du design d’Apple Jony Ive et la veuve du fondateur d’Apple Laurene Powell Jobs travaillent ensemble à la création d’une nouvelle société, dont le but serait de vendre du hardware dédié à l’usage d’intelligence artificielle générative.

Relevé dès septembre 2023 par the Information, le projet a été un peu précisé par Johnny Ive dans un entretien publié fin septembre par le New York Times.

Ive et Altman se sont rencontrés par l’intermédiaire de Brian Chesky, le directeur exécutif d’AirBnb – cliente de LoveForm, la société créée par Jony Ive en 2019 à son départ d’Apple.

Ive explique avoir discuté avec Altman de la possibilité de créer un nouveau type de hardware, adapté à l’intelligence artificielle générative, dans la mesure où celle-ci pourrait servir à plus qu’à de simples tâches logicielles.

Les discussions sont allées suffisamment loin pour que les deux commencent à lever des fonds, auprès de Ive lui-même, d’Emerson Collective, la société de la veuve de Steve Jobs, Laurene Powell Jobs. Ils chercheraient à lever jusqu’à un milliard de dollars auprès d’autres investisseurs d’ici à la fin 2024.

Toujours selon le New York Times, Ive a trouvé des bureaux pour le projet : un bâtiment nommé the Little Fox Theater, juste derrière les bureaux de LoveFrom, dans lesquels il aurait dépensé 60 millions de dollars. Il aurait par ailleurs embauché une dizaine de personnes pour travailler sur le projet secret, dont Tang Tan, qui a dirigé le développement de l’iPhone, et Evans Hankey, qui a succédé à Ive à la tête du design chez Apple.

☕️ Pour faire face aux besoins énergétiques de l’IA, Microsoft se tourne elle aussi vers le nucléaire

Pour faire face aux besoins énergétiques de l’IA, Microsoft se tourne elle aussi vers le nucléaire

Oracle, Amazon, et maintenant Microsoft : alimentant leur propre buzz autour des grands modèles de langage, dont la consommation énergétique est exponentielle, les géants numériques sont de plus en plus nombreux à se tourner vers le nucléaire.

Microsoft vient ainsi de conclure un accord avec la centrale de Three Mile Island, afin de relancer son Unité 1. Un revirement d’autant plus notable que le développement de la filière énergétique états-unienne avait connu un brusque coup d’arrêt en 1979 suite à l’accident nucléaire qui avait affecté l’Unité 2 de Three Mile Island.

en 1979, avait mis un brusque coup d’arrêt au développement de la filière énergétique aux États-Unis.

En redémarrant la centrale, que son propriétaire Constellation avait arrêtée en 2019, le site étant déficitaire depuis des années, Microsoft compte sur une production d’environ 835 mégawatts d’électricité non carbonée — l’entreprise en profite pour renommer le lieu Crane Clean Energy Center (CCEC), du nom de Chris Crane, CEO de l’ancienne société mère de Constellation.

Elle y investirait 1,4 milliard d’euros d’ici 2028, selon le Financial Times.

La société, qui recrute depuis plusieurs mois des ingénieurs nucléaires, est loin d’être la seule intéressée par ce type d’énergie.

Alors que la frénésie autour de l’intelligence artificielle leur crée des pics de consommation d’énergie, le patron d’Oracle annonçait début septembre prévoir la construction d’un centre de données alimenté par trois réacteurs nucléaires, tandis qu’Amazon achetait en mars un campus de centres de données liés à la centrale de Susquehanna, en Pennsylvanie.

Un nombre croissant de patrons de la tech prennent position en faveur de l’énergie nucléaire, relève par ailleurs Le Monde. Ainsi d’Elon Musk, de Jack Dorsey, mais aussi de Bill Gates (qui a investi dans la start-up Terra Power) ou de Sam Altman (dans Oklo).

Interrogé par le quotidien, un membre du Shift Project, Think tank spécialisé dans la transition énergétique, s’inquiète de la fuite en avant que ces annonces présagent, et des risques qu’elles font peser sur des projets de décarbonation en cours.

☕️ Sam Altman et d’anciens proches de Steve Jobs travaillent à un produit hardware centré sur l’IA

Sam Altman et d’anciens proches de Steve Jobs travaillent à un produit hardware centré sur l’IA

Le patron d’OpenAI Sam Altman, l’ancien directeur du design d’Apple Jony Ive et la veuve du fondateur d’Apple Laurene Powell Jobs travaillent ensemble à la création d’une nouvelle société, dont le but serait de vendre du hardware dédié à l’usage d’intelligence artificielle générative.

Relevé dès septembre 2023 par the Information, le projet a été un peu précisé par Johnny Ive dans un entretien publié fin septembre par le New York Times.

Ive et Altman se sont rencontrés par l’intermédiaire de Brian Chesky, le directeur exécutif d’AirBnb – cliente de LoveForm, la société créée par Jony Ive en 2019 à son départ d’Apple.

Ive explique avoir discuté avec Altman de la possibilité de créer un nouveau type de hardware, adapté à l’intelligence artificielle générative, dans la mesure où celle-ci pourrait servir à plus qu’à de simples tâches logicielles.

Les discussions sont allées suffisamment loin pour que les deux commencent à lever des fonds, auprès de Ive lui-même, d’Emerson Collective, la société de la veuve de Steve Jobs, Laurene Powell Jobs. Ils chercheraient à lever jusqu’à un milliard de dollars auprès d’autres investisseurs d’ici à la fin 2024.

Toujours selon le New York Times, Ive a trouvé des bureaux pour le projet : un bâtiment nommé the Little Fox Theater, juste derrière les bureaux de LoveFrom, dans lesquels il aurait dépensé 60 millions de dollars. Il aurait par ailleurs embauché une dizaine de personnes pour travailler sur le projet secret, dont Tang Tan, qui a dirigé le développement de l’iPhone, et Evans Hankey, qui a succédé à Ive à la tête du design chez Apple.

☕️ Pour faire face aux besoins énergétiques de l’IA, Microsoft se tourne elle aussi vers le nucléaire

Pour faire face aux besoins énergétiques de l’IA, Microsoft se tourne elle aussi vers le nucléaire

Oracle, Amazon, et maintenant Microsoft : alimentant leur propre buzz autour des grands modèles de langage, dont la consommation énergétique est exponentielle, les géants numériques sont de plus en plus nombreux à se tourner vers le nucléaire.

Microsoft vient ainsi de conclure un accord avec la centrale de Three Mile Island, afin de relancer son Unité 1. Un revirement d’autant plus notable que le développement de la filière énergétique états-unienne avait connu un brusque coup d’arrêt en 1979 suite à l’accident nucléaire qui avait affecté l’Unité 2 de Three Mile Island.

en 1979, avait mis un brusque coup d’arrêt au développement de la filière énergétique aux États-Unis.

En redémarrant la centrale, que son propriétaire Constellation avait arrêtée en 2019, le site étant déficitaire depuis des années, Microsoft compte sur une production d’environ 835 mégawatts d’électricité non carbonée — l’entreprise en profite pour renommer le lieu Crane Clean Energy Center (CCEC), du nom de Chris Crane, CEO de l’ancienne société mère de Constellation.

Elle y investirait 1,4 milliard d’euros d’ici 2028, selon le Financial Times.

La société, qui recrute depuis plusieurs mois des ingénieurs nucléaires, est loin d’être la seule intéressée par ce type d’énergie.

Alors que la frénésie autour de l’intelligence artificielle leur crée des pics de consommation d’énergie, le patron d’Oracle annonçait début septembre prévoir la construction d’un centre de données alimenté par trois réacteurs nucléaires, tandis qu’Amazon achetait en mars un campus de centres de données liés à la centrale de Susquehanna, en Pennsylvanie.

Un nombre croissant de patrons de la tech prennent position en faveur de l’énergie nucléaire, relève par ailleurs Le Monde. Ainsi d’Elon Musk, de Jack Dorsey, mais aussi de Bill Gates (qui a investi dans la start-up Terra Power) ou de Sam Altman (dans Oklo).

Interrogé par le quotidien, un membre du Shift Project, Think tank spécialisé dans la transition énergétique, s’inquiète de la fuite en avant que ces annonces présagent, et des risques qu’elles font peser sur des projets de décarbonation en cours.

Comment fonctionne l’AI Act ?

AiAiAi
Comment fonctionne l’AI Act ?

Entré en vigueur en août 2024, l’AI Act entrera en application à partir de février 2025. En trois épisodes, Next détaille son fonctionnement et de ses effets attendus.

Entré en vigueur en août dernier, l‘AI Act, règlement sur l’intelligence artificielle (RIA) en français, entrera en application à partir de février prochain. Ce texte européen vise à établir des règles harmonisées au sujet de l’IA à travers l’Union européenne, à permettre l’émergence d’IA dites « de confiance », et à permettre à cette dernière de « jouer un rôle de premier plan au niveau mondial » puisqu’il s’agit de l’un des premiers textes de ce genre à l’échelle de la planète. Pour explorer le texte, Next vous propose une série en trois épisodes.

L’AI Act expliqué :
Comment fonctionne l’AI Act ?
(À venir) Systèmes à haut risque, modèles à usage général : ce que dit l’AI Act en pratique
(À venir) Gouvernance, sanctions : les outils de mise en conformité et de contrôle de l’AI Act


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☕️ De l’IA générative pour lutter contre les théories du complot ?

De l’IA générative pour lutter contre les théories du complot ?

GPT-4 Turbo, allié de la lutte contre certaines thèses complotistes ? C’est l’alliance improbable mais prometteuse qu’illustre l’étude de trois chercheurs, Thomas Costello de l’American University, Gordon Pennyccok de Cornell et David Rand du MIT.

Les trois scientifiques ont demandé à 2 190 personnes (choisies de manière à représenter la population états-unienne) de décrire des thèses conspirationnistes à laquelle ils étaient sensibles (sur l’inexistence du 11 septembre, le vol des élections de 2020, les illuminatis, etc).

Celles-ci ont ensuite été exposées à des conversations argumentées avec un modèle d’IA générative (en l’occurrence GPT-4 Turbo) dont les instructions sont de présenter des faits pour prouver l’absence de fondements des théories choisies. 
Résultat : les chercheurs indiquent avoir réussi à réduire de 20 % en moyenne les croyances des personnes testées dans les thèses conspirationnistes évoquées.

Auprès de Nieman Lab, David Rand indique préparer une deuxième publication au sujet d’une étude similaire, dans laquelle les participants ont été informés du fait que le modèle d’IA devait débattre avec eux et tenter de les convaincre. 
Il indique avoir observé d’aussi bons résultats dans ces conditions.

Si l’intention est intéressante (un robot, a priori, ne se fatigue pas d’entendre des thèses complotistes), la méthodologie de l’étude pose question, comme le souligne le journaliste Nicolas Kayser-Bril.

☕️ De l’IA générative pour lutter contre les théories du complot ?

De l’IA générative pour lutter contre les théories du complot ?

GPT-4 Turbo, allié de la lutte contre certaines thèses complotistes ? C’est l’alliance improbable mais prometteuse qu’illustre l’étude de trois chercheurs, Thomas Costello de l’American University, Gordon Pennyccok de Cornell et David Rand du MIT.

Les trois scientifiques ont demandé à 2 190 personnes (choisies de manière à représenter la population états-unienne) de décrire des thèses conspirationnistes à laquelle ils étaient sensibles (sur l’inexistence du 11 septembre, le vol des élections de 2020, les illuminatis, etc).

Celles-ci ont ensuite été exposées à des conversations argumentées avec un modèle d’IA générative (en l’occurrence GPT-4 Turbo) dont les instructions sont de présenter des faits pour prouver l’absence de fondements des théories choisies. 
Résultat : les chercheurs indiquent avoir réussi à réduire de 20 % en moyenne les croyances des personnes testées dans les thèses conspirationnistes évoquées.

Auprès de Nieman Lab, David Rand indique préparer une deuxième publication au sujet d’une étude similaire, dans laquelle les participants ont été informés du fait que le modèle d’IA devait débattre avec eux et tenter de les convaincre. 
Il indique avoir observé d’aussi bons résultats dans ces conditions.

Si l’intention est intéressante (un robot, a priori, ne se fatigue pas d’entendre des thèses complotistes), la méthodologie de l’étude pose question, comme le souligne le journaliste Nicolas Kayser-Bril.

☕️ Nintendo et The Pokemon Company poursuivent le développeur de Palworld en justice

Nintendo et The Pokemon Company poursuivent le développeur de Palworld en justice

Nintendo et The Pokemon Company attaquent Pocketpair, le développeur du jeu Palworld, en justice.

Lancé en accès anticipé en janvier 2024, Palworld ne s’était pas caché de ses similarités avec la franchise culte – au point de se retrouver fréquemment décrit comme un jeu de « Pokémon avec des flingues ».

En à peine trois jours, le jeu s’était écoulé à plus de 5 millions de copies… et the Pokémon Company n’avait pas tardé à annoncer qu’il enquêterait sur la potentielle violation de propriété intellectuelle.

Ce 19 septembre, Nintendo indique poursuivre ses créateurs pour violation de multiples brevets, sans donner plus de détails.

☕️ Nintendo et The Pokemon Company poursuivent le développeur de Palworld en justice

Nintendo et The Pokemon Company poursuivent le développeur de Palworld en justice

Nintendo et The Pokemon Company attaquent Pocketpair, le développeur du jeu Palworld, en justice.

Lancé en accès anticipé en janvier 2024, Palworld ne s’était pas caché de ses similarités avec la franchise culte – au point de se retrouver fréquemment décrit comme un jeu de « Pokémon avec des flingues ».

En à peine trois jours, le jeu s’était écoulé à plus de 5 millions de copies… et the Pokémon Company n’avait pas tardé à annoncer qu’il enquêterait sur la potentielle violation de propriété intellectuelle.

Ce 19 septembre, Nintendo indique poursuivre ses créateurs pour violation de multiples brevets, sans donner plus de détails.

☕️ Mobilisation chez Thales Alenia Space, qui prévoit la suppression de 980 postes

Mobilisation chez Thales Alenia Space, qui prévoit la suppression de 980 postes

700 salariés de Thales Alenia Space se sont réunis à l’entrée de son usine toulousaine le 17 septembre, à l’appel d’une intersyndicale FO, CFE-CGC, CFDT et CGT. En cause : un plan social « inédit », aux yeux d’un technicien syndiqué à Force ouvrière et présent dans l’entreprise depuis 1996.

De 2023 à 2025, la coentreprise détenue majoritairement par Thales et à 33 % par Leonardo prévoit de supprimer 1 237 emplois en Europe, dont 980 en France.

Le siège social de la branche française, à Toulouse, est directement concerné : sur 2 700 emplois, 650 devraient être supprimés, rapporte Le Monde. À Cannes, 330 postes sur 1 800 devraient être supprimés.

Auprès du Monde, l’entreprise indique prévoir de redéployer les personnes concernées ailleurs chez Thales, mais la promesse ne convainc pas : pour Cécile Larue, une ingénieure système interrogée par le quotidien, « l’entreprise liquide les compétences ».

Pour justifier le plan, l’entreprise indique que les commandes sont en baisse sur le marché des satellites de communication géostationnaires civils, et ajoute que les satellites de nouvelle génération, numériques et reconfigurables en orbite, nécessitent moins de main-d’œuvre.

Si le secrétaire adjoint CFDT au conseil social et économique (CSE) de Toulouse admet les difficultés de l’entreprise, il explique que la révolution technique en cours « implique des coûts » et qualifie la période de « moment-clé ». L’intersyndicale appelle donc à une réorganisation en interne et argumente en faveur de la captation de nouveaux marchés, dont le service après-vente et la maintenance.

☕️ Mobilisation chez Thales Alenia Space, qui prévoit la suppression de 980 postes

Mobilisation chez Thales Alenia Space, qui prévoit la suppression de 980 postes

700 salariés de Thales Alenia Space se sont réunis à l’entrée de son usine toulousaine le 17 septembre, à l’appel d’une intersyndicale FO, CFE-CGC, CFDT et CGT. En cause : un plan social « inédit », aux yeux d’un technicien syndiqué à Force ouvrière et présent dans l’entreprise depuis 1996.

De 2023 à 2025, la coentreprise détenue majoritairement par Thales et à 33 % par Leonardo prévoit de supprimer 1 237 emplois en Europe, dont 980 en France.

Le siège social de la branche française, à Toulouse, est directement concerné : sur 2 700 emplois, 650 devraient être supprimés, rapporte Le Monde. À Cannes, 330 postes sur 1 800 devraient être supprimés.

Auprès du Monde, l’entreprise indique prévoir de redéployer les personnes concernées ailleurs chez Thales, mais la promesse ne convainc pas : pour Cécile Larue, une ingénieure système interrogée par le quotidien, « l’entreprise liquide les compétences ».

Pour justifier le plan, l’entreprise indique que les commandes sont en baisse sur le marché des satellites de communication géostationnaires civils, et ajoute que les satellites de nouvelle génération, numériques et reconfigurables en orbite, nécessitent moins de main-d’œuvre.

Si le secrétaire adjoint CFDT au conseil social et économique (CSE) de Toulouse admet les difficultés de l’entreprise, il explique que la révolution technique en cours « implique des coûts » et qualifie la période de « moment-clé ». L’intersyndicale appelle donc à une réorganisation en interne et argumente en faveur de la captation de nouveaux marchés, dont le service après-vente et la maintenance.

☕️ Data centers : inquiet pour ses ressources en eau, le Chili freine un projet de Google

Data centers : inquiet pour ses ressources en eau, le Chili freine un projet de Google

Une cour chilienne a partiellement tranché en faveur des défenseurs de l’environnement le 17 septembre : l’instance oblige Google à reprendre sa candidature pour la construction d’un data center à 200 millions de dollars dans la ville de Santiago. 


L’entreprise avait reçu en 2020 une autorisation pour son projet de Data Center de Cerrillos, mais la population locale s’est battue contre, rapporte Semafor, argumentant que la construction viendrait aggraver les effets des sécheresses en utilisant de l’eau destinée aux habitants.

Une précédente passe d’armes devant la justice avait permis d’apprendre que le data center nécessiterait 7,6 millions de litres d’eau par jour.

Le géant numérique a ensuite déclaré qu’il modifierait ses plans pour adopter un système de climatisation à l’air. La promesse n’a pas suffi à convaincre la cour, qui lui intime de revoir son estimation des coûts environnementaux du projet.

☕️ Sept administrateurs de 23andMe démissionnent

Sept administrateurs de 23andMe démissionnent

Rendue publique début 2021, la société de biotechnologie 23andMe a vu sa capitalisation réduire sans cesse depuis.

En cause : un intérêt décroissant dans les kits de tests génétique, son principal produit, et la fuite des données de 6,9 millions de ses utilisateurs, volées par des hackers.

Pour faire face, un board d’administrateurs indépendants a été constitué en mars 2024, board auquel la fondatrice de 23andMe Anne Wojcicki a soumis en juillet une proposition pour rendre la société privée à nouveau. 


L’offre a été refusée, et les sept directeurs viennent de démissionner, regrettant de n’avoir toujours pas reçu de proposition convaincante – et ne pas être convaincus qu’une telle offre serait un jour formulée.

☕️ Data centers : inquiet pour ses ressources en eau, le Chili freine un projet de Google

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L’entreprise avait reçu en 2020 une autorisation pour son projet de Data Center de Cerrillos, mais la population locale s’est battue contre, rapporte Semafor, argumentant que la construction viendrait aggraver les effets des sécheresses en utilisant de l’eau destinée aux habitants.

Une précédente passe d’armes devant la justice avait permis d’apprendre que le data center nécessiterait 7,6 millions de litres d’eau par jour.

Le géant numérique a ensuite déclaré qu’il modifierait ses plans pour adopter un système de climatisation à l’air. La promesse n’a pas suffi à convaincre la cour, qui lui intime de revoir son estimation des coûts environnementaux du projet.

☕️ Sept administrateurs de 23andMe démissionnent

Sept administrateurs de 23andMe démissionnent

Rendue publique début 2021, la société de biotechnologie 23andMe a vu sa capitalisation réduire sans cesse depuis.

En cause : un intérêt décroissant dans les kits de tests génétique, son principal produit, et la fuite des données de 6,9 millions de ses utilisateurs, volées par des hackers.

Pour faire face, un board d’administrateurs indépendants a été constitué en mars 2024, board auquel la fondatrice de 23andMe Anne Wojcicki a soumis en juillet une proposition pour rendre la société privée à nouveau. 


L’offre a été refusée, et les sept directeurs viennent de démissionner, regrettant de n’avoir toujours pas reçu de proposition convaincante – et ne pas être convaincus qu’une telle offre serait un jour formulée.

Qu’est-ce que le spam ?

spam

Depuis que nous sommes ultra-connectés, un terme est apparu dans nos vies : le spam. Ce dernier désigne les courriers indésirables non sollicités, mais il peut également représenter une menace pour la sécurité des utilisateurs, notamment en tant que vecteur de phishing.

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