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Windmill Valley

Bien enfoui en vous se cache un horticulteur chevronné, un adepte de la main verte, un parangon du jardinage. Ne mentez pas, je vous ai vu accumuler des dizaines d’heures sur Stardew Valley. Alors forcément, si on se met à vous parler culture de tulipes et assemblage de moulins aux Pays-Bas, vous me dites ? Vous me dites qu’il est temps que je prenne mes médicaments. Pas faux.

Dans les coulisses de Cosmoludo

Si je vous parle de jeux abstraits, vous me répondez ? Les échecs ? Oui. Le go ? Certes. Les dames ? En effet. Mais tout ceci est un brin convenu. Et si je je vous disais qu’à l’heure de Kickstarter et de ses tombereaux de plastique, il existe un éditeur qui a fait le pari de se concentrer sur cette niche, que ses jeux sont malins et rapides à apprendre, et qu’en plus ils sont mignons tout plein, vous me dites ? Oui, que mon avis est totalement biaisé, mais là n’est pas la question.

Mythwind

Je n’aime pas l’indécision. Quand on me demande si j’aime quelque chose ou pas, j’ai tendance à trancher assez nettement dans l’une ou l’autre des directions, arguments à l’appui. C’est habituellement encore plus vrai dans le cadre du jeu de société. Or là, j’ai un épineux problème : je ne sais pas si j’ai aimé Mythwind.

Black Myth : Wukong

Quand j’étais petit, j’adorais les Kinder Surprise. Pas vraiment pour le chocolat, d’une qualité médiocre s’il en est, mais bien entendu pour la cochonnerie en plastique à l’intérieur. Cochonnerie qui perdait tout intérêt dans les trois secondes qui suivaient son assemblage un peu hasardeux. Du haut de mes 41 ans bien tassés, Black Myth : Wukong m’a fait un peu le même effet.

Slay the Spire

Les jeux de société inspirés de jeux vidéo ne sont pas une nouveauté. Dans les années 1980, certains éditeurs s’étaient fait une spécialité de publier des attrape-gogos nullissimes mais sous licence, aussi bons à séduire les grand-mères dans les grandes surfaces qu’à décevoir les enfants à qui ils étaient destinés. Mais force est de constater que, depuis quelque temps, les titres de qualité fleurissent au fil des financements participatifs. Avec Slay the Spire (et un peu plus tôt, Dorfromantik, Spiel des Jahres 2023, excusez du peu), on a franchi un nouveau cap dans la ludiception.
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