La machine marketing de Bethesda s’est enclenchée, puisqu’après les previews « exclusives » de dizaines de médias et influenceurs, voici le « deep dive » de gameplay pour Indiana Jones and the Great Circle. Dans cette nouvelle vidéo, les développeurs nous présentent toutes les mécaniques de gameplay que l’on pourra rencontrer. On vous a mis la version française, pour profiter du doublage de Richard Darbois.
Personnellement, on aurait préféré les découvrir en jeu, alors on n’a pas prêté beaucoup d’attention aux détails. Il y aura des séquences d’infiltration avec des IA débiles et sourdes, qui n’entendent pas un claquement de fouet à 3 mètres d’eux, mais à part ce bémol, le reste a l’air sympa : des combats au corps-à-corps rigolos, des environnements plutôt jolis, et des énigmes qui semblent plutôt intéressantes. Le tout saupoudré d’un soupçon de RPG avec des compétences à débloquer. Globalement, on n’en apprend pas beaucoup plus, mais on le voit. Donc si vous voulez la surprise, ne regardez pas la vidéo. De notre côté, on l’a déjà oubliée, car en tant que grands fans du héros au fedora, on se plongera à fond dans l’aventure, même si ce n’est pas terrible.
En 1440p, sans doute la résolution la plus utilisée par la communauté NoFrag, on peut voir que sans DLSS, même la surpuissante 4090 n’atteint pas les 80 FPS. Cependant, on constate qu’on obtient à peu près la même chose avec la 4080 SUPER, ce qui pourrait trahir une limitation côté CPU. C’est encore plus flagrant en 1080p, qui montre que la 4070 Ti SUPER est à 82 FPS, soit seulement 3 FPS de moins que la 4090. Mais ces graphiques proposés par Nvidia sont surtout là pour vanter les mérites du DLSS 3, puisqu’ils se gargarisent sur le fait qu’au minimum, on double le nombre de FPS dans chaque configuration. Néanmoins, ce qui permet un bond dans le nombre d’images par seconde est principalement la génération de frame, permettant d’insérer une image créée par IA entre deux autres qui sont calculées. Si avec un framerate haut à la base, le rendu est très correct, lorsque l’on passe sous les 60 FPS avant framegen, on ressent énormément l’input lag, malgré la compensation par la technologie Reflex – ou Anti-Lag+ côté AMD. On peut donc raisonnablement penser que le minimum pour bien profiter du jeu en 1440p sera d’avoir une RTX 4070 – et un CPU qui suit le rythme.
Pour ceux qui sont dotés d’un écran 4K, on peut voir que le DLSS 3 avec framegen est encore plus efficace, mais avec le risque, encore une fois, de proposer un feeling bien dégueulasse à cause d’un gros input lag. Si on est raisonnable, et qu’on enlève la framegen, soit 33 %, on ne dépassera sans doute pas les 80 FPS avec la carte graphique la plus puissante du marché. Bon, on a conscience qu’on ne s’adresse ici qu’à la crème de la crème, l’élite parmi l’Élite de la PC Master Race, ceux qui comptent leur salaire en brut annuel. D’ailleurs, avez-vous pensé à soutenir NoFrag.com ?
De toute façon, cela reste des benchmarks réalisés par un constructeur de cartes graphiques pour mettre en valeur ses produits, donc il faut rester prudent. En attendant, on peut se tourner vers les spécifications requises, publiées hier sur le site officiel. Comme d’habitude, les systèmes demandés sont le strict minimum pour faire tourner le jeu à 60 FPS, ce qui tend à être un peu limite pour une partie grandissante de joueurs, même pour un titre solo.
On imaginait bien que S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl serait exigeant, et pour l’instant, on a l’impression qu’on ne s’est malheureusement pas trompés. Il faudra évidemment juger sur pièces, mais n’espérez pas de miracles. On s’attend, de toute manière, à des patches après la sortie le 20 novembre. En attendant, vous pouvez retrouver les précommandes sur GoG, Steam, Epic Games Store et le Game Pass. On vous recolle également notre petit pavé pour la promo que propose notre partenaire Gamesplanet : avec le code promo NOFRAGSTALKER, vous bénéficiez de –20 % sur les précommandes du jeu (standard, deluxe, ultimate). Mais on vous conseille toujours d’attendre la sortie, d’autant plus que la promo sera toujours valide après la sortie du jeu.
À l’approche des 20 ans d’Half-Life 2 (le 16 novembre), les actualités liées de près ou de loin à la licence semblent s’enchaîner : le prochain chapitre de Black Mesa: Blue Shift par-ci, Project Borealis par-là, et hier, l’annonce de Rogue Point, un nouveau jeu par Crowbar Collective, les développeurs de Black Mesa, le remake d’Half-Life. Cependant, on s’éloigne tout de même rapidement de l’univers de Valve, puisqu’il s’agit ici d’un FPS tactique et coopératif, avec une pointe de rogue-lite dans un monde qui n’a rien à voir.
La description sur la fiche Steam est plutôt expansive et nous apprend qu’il y aura quatre environnements différents, avec des cartes agencées de manière aléatoire à chaque run. La position des ennemis, divisés en plusieurs archétypes (soldat, sniper, mitrailleur…), ne sera donc pas connue à l’avance. Chaque mission rapportera de l’argent permettant d’acheter de l’équipement et des armes plus puissantes. Bien que le concept semble plutôt orienté vers l’action et qu’il n’y ait pas de monstres, ça nous rappelle un peu GTFO. Si, sur le papier, c’est plutôt intrigant, on doit dire que la présentation vidéo ne nous a pas fait grande impression. Les animations font un peu peur et la direction artistique semble avoir le cul entre deux chaises : elle oscille entre le réalisme et le cartoon, mais sans réussir à bien mélanger les deux. Un peu curieux, vu la réussite esthétique de Black Mesa en 2020. D’un autre côté, ce n’est peut-être pour l’instant qu’une ébauche. Et le plus important reste tout de même le gameplay, que l’on ne peut qu’imaginer pour l’instant. Espérons que les développeurs n’aient pas perdu la main.
Rogue Point devrait proposer une sortie en accès anticipé en 2025. En attendant, si le jeu vous intéresse, vous pouvez d’ores et déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On vous en parlait en septembre dernier, Project Borealis: Prologue vient de sortir sur Steam. Il s’agit d’une courte démonstration des différentes mécaniques qui seront embarquées dans Project Borealis, un jeu développé par une armée de fans, prenant comme base les ébauches de script de Marc Laidlaw pour Half-Life 2: Episode 3.
Pour faire patienter les joueurs, et pour montrer qu’ils travaillent réellement, les développeurs ont donc publié le prologue, qui vous permettra de découvrir une petite zone pendant dix à quinze minutes. On l’a lancé pour voir ce que ça donnait, et on a été plutôt surpris par une très bonne maniabilité, ainsi qu’une gestion de la lumière plutôt sympathique. Globalement, c’est assez joli et le gunfeel est très similaire à celui de Half-Life 2. Si on n’avait initialement pas forcément beaucoup d’attentes, on est maintenant un peu plus intéressés par le projet. En parallèle de la sortie du prologue sur Steam, l’équipe a publié une vidéo sur l’avancement du développement.
Ils parlent un peu des techniques et des mécaniques qu’ils sont en train d’intégrer au jeu, et terminent en évoquant leurs besoins en main-d’œuvre. Pour rappel, c’est une équipe totalement bénévole qui développe tout ça, même s’ils sont soutenus par Valve et Epic, comme ils le rappellent à la fin du prologue.
Si vous voulez voir ce que ça donne, Project Borealis: Prologue est disponible sur Steam gratuitement. Même s’il tourne sous Unreal Engine 5, il s’agit d’un mod, donc il vous faudra Half-Life 2 pour le lancer – actuellement à moins de 10 €. Si vous souhaitez plus d’informations, vous pouvez également vous rendre sur le site officiel.
Cela fait quelques années que l’on suit l’ambitieux mod Black Mesa: Blue Shift, qui entreprend de refaire le standalone Half-Life: Blue Shift, sorti en 2001, avec le moteur de Black Mesa, lui-même un remake du légendaire Half-Life, mais en travaillant aussi bien sur l’aspect esthétique que sur le gameplay et le level design. C’est pourquoi ils prennent autant de temps. Pour rappel, le dernier chapitre disponible, le quatrième, était sorti fin 2022. Focal Point, le cinquième, était initialement prévu pour l’été dernier, mais nous n’avions eu droit qu’à une interview et un peu de gameplay. L’attente va enfin s’achever, car HECU Collective, en charge du développement, vient de publier un teaser pour annoncer la date de sortie : ce sera le 17 novembre.
On a plutôt hâte de mettre les mains dessus, les précédents chapitres étaient déjà de très bonne qualité. Ici, on devrait faire une petite incursion sur Xen, comme le montraient les vidéos des communicationsprécédentes. Cependant, ceux qui préféreraient attendre la fin du développement du mod devront s’armer de patience, car Blue Shift comprend neuf chapitres. Alors qu’on blaguait en 2022 sur une sortie finale en 2026, il faut se rendre à l’évidence, on était bien loin du compte : deux ans ont été nécessaires pour passer du quatre au cinq. Tablons plutôt pour 2028, s’ils réussissent à accélérer un peu le développement, pile-poil pour l’annonce de la sortie pour « très bientôt » de Star Citizen.
Il y a quelques jours, Blue Dot Games, le studio qui a repris le développement de ’83, un jeu tactique au « réalisme accessible », initialement développé par AntiMatter Games, a annoncé qu’il accueillait son premier investisseur. Celui-ci, fan de Rising Storm 2 et bêta testeur sur ce nouveau projet, a considéré que le jeu avait assez de potentiel pour percer dans un marché finalement assez pauvre actuellement. Pour rappel, ’83 avait été annoncé en 2019 comme un successeur spirituel de Rising Storm 2, mais pendant la guerre froide, avec des lignes de front évolutives et 40 joueurs par équipe. Il avait été mis en pause en 2022 au profit d’I.G.I Origins, pour enfin être totalement abandonné en 2023 lors de la dissolution du studio AntiMatter Games. Quelques mois plus tard, Blue Dot Games était créé par Tony Gillham, l’un des cofondateurs d’AntiMatter, pour reprendre le flambeau, mais a priori sans vraiment de thunes. L’arrivée d’un investisseur, ne serait-ce que pour cinq mois est donc une bonne nouvelle.
Mais ce n’est pas la seule information que l’on peut tirer de cette vidéo, puisque les développeurs parlent un peu plus de leur concept. Ils veulent, par exemple, que les parties ne dépassent pas 30 à 40 minutes, car ils savent à quel point le temps des joueurs est précieux. Ils veulent aussi éviter les phases pendant lesquelles il ne se passe rien comme on peut l’expérimenter dans Arma, par exemple. Cela raccroche bien avec leur volonté de faire un jeu au réalisme accessible, mettant de côté les éléments un peu chiants pour privilégier ceux plus ludiques. Ils nous parlent également des possibilités qu’apporte le nouveau financement : ils ont l’intention de réellement démarrer le développement et de produire un prototype afin de démarcher d’autres investisseurs. Espérons qu’ils atteignent cet objectif pour qu’on puisse enfin voir quelque chose d’intéressant de ’83.
D’autres sujets ont été abordés dans cette vidéo, notamment les rôles des différents membres de l’équipe et leurs précédentes expériences. Si ça vous intéresse, mais que vous n’avez pas 20 minutes à perdre en regardant la vidéo, un redditeur en a fait un résumé via IA.
En attendant d’en apprendre un peu plus, vous pouvez toujours ajouter ’83 à votre liste de souhaits depuis sa page Steam, ou rejoindre le serveur Discord officiel.
Cela faisait un moment qu’on ne vous avait pas parlé de Hell Let Loose. Et c’est bien dommage, car il reste l’un des meilleurs représentants de sa catégorie : de bonnes sensations et un gameplay tactique, sans pour autant avoir trop de séquences de balade avant de tomber sur de l’action. La semaine dernière, Team 17 a publié un teaser pour sa prochaine carte Tobruk, située en Afrique du Nord.
Il n’y a pas grand-chose à voir, donc on n’a pas grand-chose à dire, à part qu’elle est prévue pour début 2025.
En attendant, si vous n’avez pas déjà Hell Let Loose, vous pouvez bénéficier d’une promo de –50 % jusqu’à demain sur Steam, ce qui le fait à 25 €.
Cela fait maintenant plus de cinq ans que l’on suit les tribulations de Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2. Entre reports et changements de studio, on n’a pas pu oublier le projet, qui semble enfin sérieusement se rapprocher d’une vraie sortie. La dernière fois qu’on vous en parlait, c’était pour l’annonce d’un dernier report à Q1 2025, mais sans autre drame, puisque c’était pour débugger et proposer une expérience la plus polish possible. Il y a une petite dizaine de jours, les développeurs ont partagé un nouveau trailer, présentant quelques personnages.
On doit vous avouer que la vidéo ne nous a pas vraiment parlé, car nous ne sommes pas vraiment des experts de la licence. Cependant, peut-être que les fans de l’univers et du jeu de rôle papier seront super hypés de voir Benny, Tolly ou Lou. En tout cas, on a pu entrapercevoir quelques images de gameplay montrant des affrontements un peu bizarres, mais qui pourraient être intéressants. Espérons qu’ils nous en montrent bientôt un peu plus, pour savoir s’ils ont réussi à s’améliorer depuis la présentation tristement banale de février dernier.
En attendant, si Vampire: The Masquerade – Bloodlines 2 vous intéresse, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis Steam, Epic Games Store ou GoG.
C’est par le biais du compte X de KAMI que l’on a appris que Take-Two avait communiqué sur les dates de sorties prévisionnelles de ses futurs titres. Ce qui nous intéresse particulièrement ici, ce sont Borderlands 4 et Judas. Pendant la séance de questions/réponses de la conférence aux actionnaires du 6 novembre dernier, le CEO indique (page 3) que Borderlands 4 est prévu pour l’année fiscale 2026, soit entre avril 2025 et mars 2026. Une date finalement pas si loin pour un projet annoncé uniquement l’été dernier, sans aucun gameplay, lors de la dernière Gamescom.
De son côté, Judas ne bénéficie pas d’autant de confiance, car dans la présentation aux investisseurs publiée le même jour (page 26), on peut voir un laconique « Judas (Ghost Story Games) – TBA ». C’est finalement assez cohérent avec les retours de Geoff Keighley d’avril dernier, puisqu’il indiquait que le jeu n’était encore qu’à un stade d’ébauche. C’est d’autant plus compréhensible que ce n’est pas un bête looter-shooter comme Borderlands, mais un projet d’immersive sim à gros budget dans la lignée des BioShock.
À noter que BioShock 4 reste introuvable dans l’ensemble des documents récapitulant l’événement. On ne doit pas être très loin d’une annulation…
Dans tous les cas, si l’un ou l’autre des deux premiers jeux vous intéresse, vous pouvez les ajouter à votre liste de souhaits depuis leur page Steam respective, ici pour Borderlands 4 et là pour Judas.
Sorti en accès anticipé en février dernier, Nightingale promettait un jeu de survie coopératif dans un univers original. En effet, on devait naviguer de monde en monde, dans un univers victorien avec des pouvoirs magiques. Si l’esthétique semblait pas mal en vidéo lors des présentations, il s’est avéré que le jeu n’était finalement pas si beau une fois clavier/souris en main, trahissant une utilisation maladroite d’assets d’Unreal Engine 5. D’autre part, il était buggé et sans intérêt, car finalement beaucoup trop convenu et sans originalité. Assez logiquement, les joueurs ont trouvé ça nul et ont rapidement déserté les serveurs.
La semaine dernière, nos confrères de Gameindustry.biz rapportaient que le studio Inflexion Games, en charge du développement, se séparait de plus de la moitié de ses développeurs, soit 65 personnes, et fermant notamment sa branche britannique. Cela n’étonnera personne, mais le peu d’engouement pour le jeu ne permettait pas au studio de conserver autant de salariés. Rendez-vous compte : pendant plus de quatre ans, ils ont payé plus d’une centaine de développeurs sur un projet complètement osef, avec pour seule originalité sa direction artistique, qui finalement n’était pas si réussie. Quiaurait pu prévoir ?
Si vous êtes curieux, et que vous voulez voir pourquoi les notes sont moins catastrophiques qu’au lancement, l’accès anticipé de Nightingale est toujours proposé à 29 € sur Steam.
Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.
Les bons plans Gamesplanet
Encore deux semaines avant la sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, alors on continue le code promo NOFRAGSTALKER chez notre partenaire Gamesplanet pour avoir une réduction de 20 % sur les précommandes du jeu. Vous pouvez avoir l’édition standard à 48 €, l’édition deluxe à 64 €, et l’édition ultimate à 88 €. La promotion sera valide jusqu’à la fin de l’année, dans le cas ou vous préféreriez attendre notre retour après sa sortie le 20 novembre.
Les Fourmis, un jeu de stratégie inspiré des romans de Bernard Werber, vient de sortir. Si cette phrase ne vous a pas provoqué d’AVC, sachez qu’apparemment, c’est pas mal, et c’est à –10%, soit 36 € pour l’édition standard et 45 € pour l’édition deluxe.
Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !
Hier, GSC Game World a partagé une petite vidéo de gameplay de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl pour nous parler des armes. Ils nous rappellent que la zone est dangereuse, et qu’il faudra trouver des armes pour se défendre. Il y aura plusieurs types de munitions, et on aura aussi la possibilité d’ajouter des accessoires, tels que des optiques ou des lasers. On devra aussi réparer nos pétoires, sous peine de les voir s’enrayer. Rien que du classique, mais on est toujours contents de voir que ça n’a pas été oublié.
Par contre, les affrontements n’ont pas l’air hyper dynamiques. On dirait presque un gameplay manette au début, mais comme les séquences ne durent pas plus d’une ou deux secondes chacune, il est un peu difficile de bien se rendre compte. D’autre part, on trouve que certaines armes n’ont pas un recul très prononcé, ce qui ne semble pas donner un super gamefeel. Pour autant, la dernière partie de la vidéo insiste sur le fait que les armes auront des gameplays et des ressentis différents, en montrant un fusil sniper doté d’un fusil à pompe sous le canon et d’un très bon sound design. Donc ne paniquons pas tout de suite.
La sortie de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl approche à grands pas, puisque c’est pour le 20 novembre. En attendant, on vous rappelle que notre partenaire Gamesplanet propose le code promo NOFRAGSTALKER pour bénéficier de –20 % sur les précommandes du jeu (standard, deluxe, ultimate). Mais on vous conseille toujours d’attendre la sortie – même si on est plutôt confiants –, d’autant plus que la promo sera toujours valide après la sortie du jeu. Et il sera aussi disponible sur GoG, Steam, Epic Games Store et le Game Pass.
Edit : il y a quelques heures, une nouvelle vidéo a été publiée sur la chaine de GSC Game World pour indiquer que le jeu était gold. Il n’y aura donc pas de retard !
ANNONCE : compte tenu du peu d’écoutes sur Soundcloud et du fait que contrairement à Spotify et toutes les plateformes de podcast, l’hébergement n’est pas gratuit, nous envisageons d’arrêter la diffusion des NoScope sur Soundcloud. Manifestez-vous en commentaire si vous n’êtes pas d’accord.
Jeudi dernier, la rédaction de NoFrag a enregistré l’épisode #65 de NoScope, notre émission bimensuelle consacrée à l’actualité du FPS. Pour début du mois de novembre, nous revenons sur le démarrage catastrophique de l’accès anticipé de No More Room In Hell 2, le nouveau mode de jeu pour Dead Island 2, ou encore la sortie du free-to-play 1v1 STRAFTAFT.
Après un petit quizz sur la série des Call of Duty qui n’a pas déchaîné les foules, nous avons enchaîné sur le test de Call of Duty 21: Black Ops 6. On a terminé avec un petit retour sur le walking sim While We Wait Here.
00:00:00 – Intro 00:02:19 – Les news (No More Room in Hell 2, Dead Island 2, SULFRUR, STRAFTAFT…) 00:39:04 – Quizz : des faits approximatifs rigolos sur Call of Duty 00:55:13 – Test : Call of Duty 21: Black Ops 6 01:21:30 – Test : While We Wait Here 01:25:19 – À venir
En espérant que ça vous fasse autant marrer à entendre que nous à le faire, on vous donne rendez-vous dans deux ou trois semaines pour un nouveau NoScope !
La semaine dernière, nos confrères d’Insider gaming rapportaient les propos d’Andrew Wilson, le CEO d’Electronic Arts lors de la dernière réunion des actionnaires. À une question portant sur les résultats d’Apex Legends, il a révélé qu’Apex Legends 2 n’était pas du tout envisagé, et qu’ils prévoyaient de continuer « à fournir du contenu créatif et innovant » pour tenter d’endiguer la perte de joueurs.
Quelques jours plus tard, on apprenait quelle était l’une des innovations via PC Gamer : Electronic Arts ferme tout accès au jeu depuis Linux, incluant malheureusement les joueurs Steamdeck. Si l’intérêt de jouer à Apex Legends sur une console portable est pour le moins discutable, il n’empêche que cela impacte quelques joueurs. La raison invoquée par les développeurs est que malgré l’infime proportion d’utilisateurs sous Linux, ils ont détecté qu’une partie non négligeable d’exploits et de cheats provenait d’usagers de la plateforme au manchot. D’autre part, dans leur communication officielle, ils indiquent que ces logiciels malveillants passant par Linux sont encore plus difficiles à détecter que ceux sous Windows. Ils expliquent que certains cheats simulent même un changement d’OS pour bénéficier de cette « protection ». On comprend donc que les joueurs légitimes sous Linux, et par extension, sous Steamdeck, sont les victimes collatérales de la lutte contre la triche. Il n’est pas difficile d’imaginer que les efforts à fournir pour protéger l’ensemble des joueurs de cette menace, sont sans doute beaucoup plus coûteux que d’envoyer bouler une partie marginale de leurs clients.
Même si Apex Legends vous en touche une sans faire bouger l’autre, vous pouvez toujours crâner devant les libristes barbus en récupérant le jeu free-to-play depuis sa page Steam.
Jeudi soir, le 7 novembre à 20 h, la rédaction de NoFrag enregistrera l’épisode #65 de NoScope. Attention au changement d’horaire, on commence une heure plus tôt pour éviter à Loulou de débuter à minuit. Au programme, comme d’habitude, on commencera par un petit tour d’horizon des news de ces dernières semaines, avec notamment le démarrage catastrophique de l’accès anticipé de No More Room In Hell 2, la fermeture du studio derrière Concord, ou encore les previews enthousiasmantes d’Indiana Jones and the Great Circle.
Pour les tests, on n’est pas encore tout à fait sûrs de vous parler de Kvark, peut-être qu’on aura un autre candidat. Mais ce qui est certain, c’est qu’on vous fera part de nos impressions sur Call of Duty 21: Black Ops 6, qui est plutôt un bon cru.
Alors réservez votre soirée, faites chauffer des churros et rejoignez-nous donc sur Twitch jeudi soir à 20 h pétantes. Ou à peu près, on verra.
Depuis l’annonce d’un FPS Indiana Jones développé par MachineGames (la série Wolfenstein depuis 2014), certains membres de la rédaction étaient fébriles. D’un côté, un studio qui a réussi à moderniser un classique avec brio, et de l’autre une licence légendaire. Mais on avait vraiment du mal à voir comment ils allaient marier les deux, tant l’aventure qui transpire de l’archéologue au chapeau semble peu se prêter à la vue subjective. La semaine dernière, tout un tas d’influenceurs et de Grand Journalistes ont été invités à tester Indiana Jones and the Great Circle dans les locaux de Bethesda, pour une session d’environ 1h30, si on a bien compris. Et comme vous avez sans doute pu le constater, tout le monde a l’air de beaucoup apprécier le travail de MachineGames. Quel soulagement ! Mais alors, comment ont-ils fait ?
Comme pour les previews de S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, nous nous sommes arrêtés sur les vidéos de nos confrères d’IGN et de GameSpot. Les journalistes indiquent que ce n’est clairement pas un FPS : certes, on aura bien accès à des armes à feu, mais elles seront sans doute anecdotiques et reléguées au dernier recours. En effet, le jeu sera focalisé sur l’infiltration, avec des phases qui ont rappelé Thief à l’un et les immersive sim à l’autre. Ça se tient. Même si les poings d’Indy sont ses principales armes, de nombreux objets pourront être utilisés pour fracasser le crâne des nazis – il faut en profiter tant qu’on a encore le droit. L’autre mécanique relevée par les journalistes est la partie exploration, donnant au joueur l’occasion de se balader dans des niveaux plus ou moins ouverts, et permettant des approches différentes pour chaque situation. D’autre part, il y aura aussi un petit aspect RPG, car on pourra attribuer des points dans un arbre de compétences afin de développer certaines facettes de notre héros. Enfin, ils semblent avoir été convaincus par l’aspect visuel, les animations et les doublages. Pour nous les Français, on aura la chance d’avoir l’interprétation de Richard Darbois, le doubleur historique d’Harrison Ford.
Comme vous pouvez vous en douter, on est donc plutôt rassurés sur le futur jeu Indiana Jones. On reste tout de même prudents, notamment sur la qualité des énigmes, qu’il faudra juger sur pièces une fois le jeu en mains. En attendant la sortie le 9 décembre, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam. Comme d’habitude, on ne vous le conseille pas, mais sachez que vous pouvez précommander le jeu chez notre partenaire Gamesplanet avec 10 % de réduc, ce qui fait l’édition standard à 63 € et l’édition premium à 90 €. Sinon, il sera également dans le Game Pass day one.
La semaine dernière, l’éditeur hongrois Gaijin Entertainment a publié une vidéo pour annoncer un nouveau projet très original : un extraction shooter tactique avec des anomalies et des monstres éthérés : Active Matter. C’est développé par Matter Team, qui avait déjà bossé sur le battle royale CRSED: Cuisine Royale, un jeu parodique surfant sur la popularité du genre en 2019. A priori, les devs n’ont pas du tout travaillé sur le free-to-play Enlisted, du même éditeur, ce qui laisse donc un espoir que leur nouveau jeu ne soit pas complètement naze.
Même si rien ne semble très original, ce teaser a au moins le mérite de montrer des affrontements contre des soldats qui n’ont pas l’air trop dégueu. On nous parle de mondes qui s’effondreraient, de torsion de la gravité et autres joyeusetés, ce qui semble plutôt sympa. Prudence tout de même, malgré l’indication « made with in-game footage », ça sent très fort le target render, et pas franchement les vraies séquences de jeu. On espère aussi qu’il n’y aura pas trop de créatures bizarres, qui ont l’air chiantes comme la pluie. En attendant d’en savoir plus, vous pouvez déjà vous enregistrer pour une bêta fermée, qui devrait avoir lieu avant la fin de l’année, en vous rendant sur le site officiel.
Active Matter est prévu pour 2025 sans plus de précisions. S’il vous fait lever un sourcil, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.
On ne va pas vous embêter avec une présentation de Call of Duty, vous savez ce que c’est. Ce que vous savez peut-être moins, c’est que Treyarch, bien qu’apparemment doué avec les hommes en collants, ne sait pas trop faire de FPS. Sur un malentendu, Call of Duty 5: World at War a eu un sacré succès en 2005, notamment grâce à un petit mode développé à l’arrache, bien que le jeu soit doté d’un feeling pourri. Il s’ensuivra une série héritant de la même tare, à cause d’une déclinaison du moteur IW, que le studio gardera heureusement pour lui. Mais qu’en est-il de Call of Duty: Black Ops 6, me direz-vous ? Par on ne sait quel miracle, au lieu de continuer sur leur bouse du précédent Black Ops, Treyarch a repris le moteur utilisé par Infinity Ward dans Call of Duty 19: Modern Warfare II et ils ont bien fait. En plus, contrairement à leurs petits copains de Sledgehammer l’année dernière, ils ont eu du temps pour développer un vrai jeu solo, qui apporte un peu de fraîcheur à la licence.
Genre : Call of Duty |Développeurs : Treyarch, Raven Software, Beenox, High Moon Studios, Activision Shanghai, Sledgehammer Games, Infinity Ward, Demonware | Éditeur : Activision| Plateforme : Steam, Battle.net, Game Pass|Prix : 79,99 €|Configuration recommandée : Ryzen 5 1600X / Core i7-6700K, 12 Go de RAM, RX 6600XT / GTX 1080Ti / RTX 3060 |Langues : Français |Date de sortie : 25/10/2024 |Durée : 8 à 9 heures pour le solo, des dizaines pour le multi et le mode zombie
Vous l’avez sans doute vu mille fois, tout le monde s’accorde à dire que le solo de ce Black Ops 6 est bon. Et je suis tout à fait d’accord. Je n’ai pas joué au précédent – Cold War –, qui était apparemment déjà pas mal, mais vous retrouverez a priori la plupart des personnages. Les doublages en français sont d’excellente qualité, avec parfois quelques tonalités surprenantes, mais très à propos. L’une des particularités du jeu est qu’entre les missions, on retrouvera notre équipe à laTour, une maison dans les Balkans, qu’on aura l’opportunité d’explorer. Je dois avouer que j’ai plutôt apprécié la partie énigme – certes, très accessible – permettant d’en découvrir un peu plus sur la bâtisse. Mais en opération, le gameplay est aussi plutôt varié. On aura évidemment les phases « à la Call of' », dans lesquelles vous apporterez la démocratie à coups de 5,56, mais il y aura également des phases d’infiltration si on le souhaite, et même un passage en semi open-world. Vous devrez alors aller de point d’intérêt en point d’intérêt pour remplir les objectifs et passer à la suite. Une autre séquence reprend, de manière plutôt maligne, le concept du mode zombies. Les animations sont toujours exceptionnelles, et le gunfeel est enfin très bon pour un Black Ops. J’ai donc passé un chouette moment, bien qu’entrecoupé de crashes toutes les deux heures – sans doute une méthode pour forcer les joueurs à faire des pauses. Comptez environ quatre plantages pour finir l’histoire sur un cliffhanger que je n’ai pas compris, car je ne connaissais pas le personnage.
Le mode zombies ne m’a pas spécialement intéressé, que ce soit tout seul ou en équipe. Mais comme tout le reste, c’est très propre et le gameplay est agréable. Il plaira aux fans du genre. C’est sans doute plus sympa avec quelques potes.
Si vous lisez NoFrag, vous savez qu’on n’est pas experts en Call of Duty. On sait néanmoins reconnaître lorsque les mécaniques sont bonnes. Et il n’y a pas à tortiller du cul pour chier droit, Black Ops 6 fait vraiment le taf. On le disait déjà lors de la bêta en septembre, c’est le mètre étalon du FPS compétitif grand public, et il enterre le pauvre XDefiant en un claquement de doigts. Le gunfeel est excellent, et la customisation des armes est toujours très sympa. On dispose toujours des inévitables atouts, et des séries d’élimination. Les mouvements omnidirectionnels tant vantés s’apprivoisent très rapidement : ils permettent de courir, glisser ou plonger dans n’importe quelle direction. Sans révolutionner le genre, ça rend les déplacements encore un peu plus nerveux, bien que parfois un peu ridicules vu de l’extérieur. Pas de surprise pour le matchmaking, on reste avec le très décrié SBMM. Si les premières heures sont plutôt accueillantes, il pourra être possible de rencontrer un peu de frustration lorsque vous commencerez à bien jouer : le jeu vous placera avec des adversaires de votre niveau et il faudra souvent batailler pour gagner de justesse. La majorité, les joueurs casu à la manette affalés sur leur canapé, ne s’en rendra peut-être jamais compte, ce qui ne sera sans doute pas votre cas, vous qui faites partie de l’Élite de la PC Master Race. Néanmoins, au hasard des rencontres, il est tout de même possible de passer de très bons moments.
Techniquement c’est plutôt bien : c’est joli et ça tourne sur n’importe quelle machine un tant soit peu récente. Dommage que ça crash aussi en multi. Une fois toutes les deux heures pour ma part, sur deux PC très différents, avec la version Game Pass.
Contrairement aux précédents opus, il y a déjà pas mal de modes de jeu dès la sortie. On a évidemment les traditionnels deathmatch et team deathmatch, les modes à capture de points, bombe sans réapparition ou kill confirmed. Le mode infectés est absolument naze, mais le nouveau Ordre d’exécution, qui désigne un VIP avec plus d’armure par équipe, est plutôt sympa. Pour chacune de ces variantes, on pourra sélectionner le mode classique, avec un TTK (time to kill) un poil plus court que celui de Modern Warfare III, mais privilégiant toujours l’aim assist abusé des consoles. Au contraire et comme d’habitude, en mode hardcore, une balle ou deux suffiront pour abattre son adversaire, et il n’y aura presque plus de HUD. Complètement con sur les minuscules cartes (Moshpit), ce mode de jeu privilégiant le temps de réaction est plutôt agréable sur les maps un peu plus larges. On regrettera tout de même la taille assez restreinte de la majorité des cartes. Enfin, le mode escarmouche, du 2v2, est proposé dès le départ, comme dans Call Of Duty 16: Modern Warfare. Et c’est cool, même si on aurait aimé un peu plus de maps – elles viendront sans aucun doute dans les prochaines saisons. On notera que de vrais designers ont été embauchés pour réaliser l’interface, car on peut enfin s’y retrouver pour customiser ses armes et équipements. À mille lieues de l’incompréhensible fouillis du précédent jeu.
Pour vous donner une idée des différents gameplays, voici un pot-pourri des expériences de Call of Duty 21: Black Ops 6 : du solo, du mode zombies, du Points stratégiques en mode hardcore, et enfin, de l’Ordre d’exécution en mode normal :
Une réussite sans surprise
Call of Duty 21: Black Ops 6 est indéniablement une réussite. Une première pour Treyarch ! Pas au point de lâcher 80 balles les yeux fermés, mais pourquoi pas craquer, si la série vous faisait du pied depuis un moment ? Le solo propose un gameplay varié et plutôt intéressant sur huit à neuf heures, tandis que le mode zombie semble faire le taf pour les fans du genre. Du côté du multi, sans surprise, il survole les concurrents malgré un SBMM un peu frustrant : un très bon gunfeel, des modes de jeu variés et efficaces, du plaisir immédiat. Nous ne sommes pas les seuls à le trouver bien, car d’après Microsoft, malgré la sortie simultanée sur le Game Pass, les ventes ont augmenté de 60 % sur Steam et Playstation par rapport à l’opus précédent. Un pari gagnant, qui montre également que quand l’équipe de dev a le temps de bosser, ça se passe toujours un peu mieux.
Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.
Pour certains, c’est les vacances, et pour d’autre, c’est la routine. Gothax fait partie de la seconde catégorie, et vous présente sa sélection de la semaine :
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Les bons plans Gamesplanet
Cette semaine, on continue le forçage sur S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl, avec le rappel que notre partenaire Gamesplanet vous propose un code promo pour avoir une réduction de 20 % sur les précommandes du jeu. Avec le code NOFRAGSTALKER, vous pouvez avoir l’édition standard à 48 €, l’édition deluxe à 64 €, et l’édition ultimate à 88 €. Ils nous indiquent cependant que cette promotion sera valide jusqu’à la fin de l’année, dans le cas ou vous préféreriez attendre notre retour après sa sortie le 20 novembre.
Les précommandes pour Indiana Jones and the Great Circle, qui sort le 9 décembre et qui a enthousiasmé les Grands Journalistes lors de leurs previews, sont à –10 % aussi. Cela fait la version normale à 63 € ou la version premium à 90 €.
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En début de semaine, nous avons découvert le trailer pour un nouveau jeu horrifique : Beyonder. Pour une fois, le concept semble plutôt original, puisqu’il a pour ambition de regrouper jusqu’à 32 joueurs, répartis dans trois factions différentes. De quatre à six personnes seront des soldats surarmés, trois ou quatre seront des monstres sanguinaires, et le reste, des cobayes bien décidés à s’enfuir. Ces derniers pourront looter des armes pour se défendre, et a priori, pourront soit coopérer, soit trahir leurs compagnons pour s’en sortir. L’objectif des soldats, par contre, est un peu plus ambivalent : si l’on a bien compris, ils doivent éliminer les anomalies, mais auront chacun des ordres pour soit escorter, soit exécuter les cobayes. Mais ils pourront aussi en recruter pour grossir leurs rangs. Dans tous les cas, c’est plutôt intrigant sur le papier.
Malheureusement, en mouvement, c’est un peu moins enthousiasmant. Si la direction artistique est résolument rétro et plutôt correcte, présenter un trailer qui rame à la moindre scène d’action ne donne pas spécialement envie. Espérons que ce ne soit qu’un faux pas dans la communication, et que les développeurs ne prennent pas l’optimisation à la légère. Ce serait dommage, pour une fois qu’on voit un projet un peu original émerger.
Pour l’instant, aucune fenêtre de sortie n’a été évoquée. Mais si Beyonder vous intéresse, vous pouvez d’ores et déjà l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.