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Bridge returned error 0! (20435)

See https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html for description of the curl error code.

Details

Type: HttpException
Code: 0
Message: cURL error Could not resolve host: public.api.bsky.app: 6 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/app.bsky.feed.getAuthorFeed?actor=did%3Aplc%3Atoudj53egawswz2ypw3zyn2u&filter=posts_and_author_threads&limit=30
File: lib/http.php
Line: 185

Trace

#0 index.php(73): RssBridge->main()
#1 lib/RssBridge.php(39): RssBridge->{closure}()
#2 lib/RssBridge.php(37): BasicAuthMiddleware->__invoke()
#3 middlewares/BasicAuthMiddleware.php(13): RssBridge->{closure}()
#4 lib/RssBridge.php(37): CacheMiddleware->__invoke()
#5 middlewares/CacheMiddleware.php(44): RssBridge->{closure}()
#6 lib/RssBridge.php(37): ExceptionMiddleware->__invoke()
#7 middlewares/ExceptionMiddleware.php(17): RssBridge->{closure}()
#8 lib/RssBridge.php(37): SecurityMiddleware->__invoke()
#9 middlewares/SecurityMiddleware.php(19): RssBridge->{closure}()
#10 lib/RssBridge.php(37): MaintenanceMiddleware->__invoke()
#11 middlewares/MaintenanceMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#12 lib/RssBridge.php(37): TokenAuthenticationMiddleware->__invoke()
#13 middlewares/TokenAuthenticationMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#14 lib/RssBridge.php(34): DisplayAction->__invoke()
#15 actions/DisplayAction.php(54): DisplayAction->createResponse()
#16 actions/DisplayAction.php(89): BlueskyBridge->collectData()
#17 bridges/BlueskyBridge.php(164): BlueskyBridge->getAuthorFeed()
#18 bridges/BlueskyBridge.php(633): getContents()
#19 lib/contents.php(104): CurlHttpClient->request()
#20 lib/http.php(185)

Context

Query: action=display&bridge=BlueskyBridge&data_source=getAuthorFeed&user_id=tristankamin.bsky.social&feed_filter=posts_and_author_threads&include_reposts=on&format=Atom
Version: 2025-08-05 (git.master.6a0cc5b)
OS: Linux
PHP: 8.2.29

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Électricité nucléaire : comment fonctionne le VNU, remplaçant de l’ARENH ?

C’était un sujet de débats depuis plusieurs années : comment revendre l’électricité nucléaire après la fin de l’ARENH ? La solution semble avoir été trouvée, mais elle est particulièrement complexe. 

Pourquoi faire simple, quand on peut faire compliqué ? C’est la question que l’on pourrait naturellement se poser, à la lecture du mécanisme destiné à remplacer l’ARENH. Pour rappel, l’Accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH) est un dispositif qui a été créé en 2010 pour permettre aux fournisseurs d’électricité alternatifs d’acheter de la production nucléaire. Ce mécanisme obligeait EDF à vendre jusqu’à 100 térawattheures (TWh) d’électricité à un tarif fixé par l’État, à 42 € le mégawattheure (MWh). Il était vivement critiqué pour son tarif trop bas, qui obligeait EDF à vendre de l’électricité à perte.

Ce mécanisme arrivant à terme ce 31 décembre 2025, il fallait trouver un modèle de remplacement. C’est de cette manière qu’est né le Versement nucléaire universel, aussi appelé VNU. Ce nouveau mécanisme est jugé moins protecteur des consommateurs, puisque l’électricité nucléaire sera désormais vendue au prix du marché de gros. Néanmoins, un système de taxe devrait les protéger contre les envolées de prix.

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Des taxes pour limiter les flambées de prix

Dans les faits, le mécanisme s’établit sur le prix au MWh de l’électricité nucléaire défini il y a peu par la CRE. Actuellement annoncé à 60,3 €/MWh, ce tarif pourra être actualisé tous les 3 ans. À partir de ce prix de base, l’État fixera chaque année deux seuils à partir desquels la vente d’électricité sera taxée. Pour l’heure, ces seuils sont définis de la manière suivante :

  • Seuil 1 : marge fixée entre 5 € et 25 €/MWh de plus que le prix de base. En cas de dépassement de ce tarif, une taxe de 50 % sera appliquée.
  • Seuil 2 : marge fixée entre 35 € et 55 €/MWh de plus que le prix de base. En cas de dépassement de ce tarif, une taxe de 90 % sera appliquée.

L’argent récolté par l’État avec ces taxes sera ensuite reversé aux consommateurs par le biais d’une minoration des factures, notamment en fonction du tarif unitaire défini pour chaque client.

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Un mécanisme beaucoup plus complexe

Au-delà de cette base de calcul, des mécanismes complémentaires sont également prévus pour faciliter la mise en place du VNU, comme le versement d’acomptes aux fournisseurs pour limiter les problèmes de trésorerie. Ce nouveau mécanisme devrait permettre à EDF d’obtenir une rémunération plus en adéquation avec le coût réel de l’électricité nucléaire, tout en protégeant les consommateurs de potentielles envolées des prix. En revanche, aucun mécanisme ne prévoit une protection d’EDF en cas de prix du marché de gros durablement bas.

La complexité du VNU suscite les interrogations. EDF aurait, en effet, pu opter pour un mécanisme similaire au Contract for difference (CfD), largement adopté pour les énergies renouvelables. Celui-ci fonctionne autour d’un tarif prédéterminé, et permet de protéger le producteur en cas de prix faibles avec des subventions, et le consommateur en cas de prix élevés avec des taxes. Néanmoins, il semblerait que le recours à un CfD pour le nucléaire français aurait pu engendrer des complications auprès de la Commission européenne, comme une séparation structurelle des différentes activités d’EDF.

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L’article Électricité nucléaire : comment fonctionne le VNU, remplaçant de l’ARENH ? est apparu en premier sur Révolution Énergétique.

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Rust in Linux's Kernel 'is No Longer Experimental'

Steven J. Vaughan-Nichols files this report from Tokyo: At the invitation-only Linux Kernel Maintainers Summit here, the top Linux maintainers decided, as Jonathan Corbet, Linux kernel developer, put it, "The consensus among the assembled developers is that Rust in the kernel is no longer experimental — it is now a core part of the kernel and is here to stay. So the 'experimental' tag will be coming off." As Linux kernel maintainer Steven Rosted told me, "There was zero pushback." This has been a long time coming. This shift caps five years of sometimes-fierce debate over whether the memory-safe language belonged alongside C at the heart of the world's most widely deployed open source operating system... It all began when Alex Gaynor and Geoffrey Thomas at the 2019 Linux Security Summit said that about two-thirds of Linux kernel vulnerabilities come from memory safety issues. Rust, in theory, could avoid these by using Rust's inherently safer application programming interfaces (API)... In those early days, the plan was not to rewrite Linux in Rust; it still isn't, but to adopt it selectively where it can provide the most security benefit without destabilizing mature C code. In short, new drivers, subsystems, and helper libraries would be the first targets... Despite the fuss, more and more programs were ported to Rust. By April 2025, the Linux kernel contained about 34 million lines of C code, with only 25 thousand lines written in Rust. At the same time, more and more drivers and higher-level utilities were being written in Rust. For instance, the Debian Linux distro developers announced that going forward, Rust would be a required dependency in its foundational Advanced Package Tool (APT). This change doesn't mean everyone will need to use Rust. C is not going anywhere. Still, as several maintainers told me, they expect to see many more drivers being written in Rust. In particular, Rust looks especially attractive for "leaf" drivers (network, storage, NVMe, etc.), where the Rust-for-Linux bindings expose safe wrappers over kernel C APIs. Nevertheless, for would-be kernel and systems programmers, Rust's new status in Linux hints at a career path that blends deep understanding of C with fluency in Rust's safety guarantees. This combination may define the next generation of low-level development work.

Read more of this story at Slashdot.

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En Louisiane, la chasse aux migrants ordonnée par Trump met leurs défenseurs à rude épreuve

Le 3 décembre, l’ICE, la police fédérale de l’immigration, a lancé ses premiers raids sur La Nouvelle-Orléans, procédant à des arrestations en masse. Face à cette déferlante, les avocats sont dépassés. Confrontés à une justice expéditive qui les réduit à l’impuissance, ils peinent à croire encore en la force de la loi.

© Camille Farrah Lenain pour M Le magazine du Monde

Des manifestants anti-ICE dans les rues de Kenner, un quartier de La Nouvelle-Orléans.
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A Nantes, un animateur périscolaire jugé pour des agressions sexuelles sur 13 enfants

De nombreux témoignages d’enfants en bas âge, présentant pour certains des troubles post-traumatiques, mettent en cause Frédéric S., 53 ans au moment des faits. Son avocat conteste la méthodologie avec laquelle a été recueillie la parole des enfants, lui nie tout en bloc. Il comparaîtra devant le tribunal correctionnel, lundi 15 et mardi 16 décembre.

© LE MONDE

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En Allemagne, les Verts peinent à rebondir après leur défaite aux législatives

Affaiblis par un score de 11,6 % aux élections de février, les Verts ont du mal à dépasser 12 % dans les sondages fédéraux. Une stagnation que leurs dirigeants expliquent par une ligne jugée trop libérale et éloignée des préoccupations des électeurs.

© TOBIAS SCHWARZ / AFP

Les coprésidents du parti des Verts allemands, Franziska Brantner et Felix Banaszak, ainsi que les coprésidentes du groupe parlementaire des Verts, Katharina Droege et Britta Hasselmann, tiennent une conférence de presse à Berlin, le 10 mars 2025.
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Assurance : à quoi faut-il faire attention lorsque vous souscrivez un contrat obsèques ?

Les autorités et associations dénoncent des abus dans la commercialisation d’assurances-obsèques : démarchage abusif, cotisations excessives, clauses choquantes.

© « Le Monde »

Presque 6 millions de Français détenaient un contrat obsèques en 2024, soit 38 % de plus qu’en 2015.
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L’irrésistible ascension de la doudoune Moncler

Comme beaucoup de vêtements de sport, cet anorak conçu pour l’alpinisme est descendu en ville. Celui de la marque française née dans les années 1950, rachetée par l’Italien Remo Ruffini en 2003, est devenu un produit de luxe à la pointe de la mode sportswear, et de l’innovation. Fidèle à ses origines.

© FFME

L’alpiniste Lionel Terray lors de son expédition en Alaska, au mont Huntington, en 1964, vêtu d’une doudoune Moncler.
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