Ça y est, le messie est enfin arrivé ! S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl vient de sortir, et avec lui, les premières reviews des Grands Journalistes qui sont assez unanimes : c’est tout pété, mais c’est brutal et atmosphérique à souhait. Il semblerait que GSC Game World nous ait bien délivré un digne successeur à leur série qui s’était arrêtée en 2009 avec S.T.A.L.K.E.R.: Call of Pripyat.
PC Gamer dépeint une Zone toujours vivante indépendamment du joueur, avec des PNJ et créatures qui vaquent à leurs occupations, qui incluent de se mettre sur la gueule avec entrain. IGN nous rassure aussi sur le fait que S.T.A.L.K.E.R. 2 propose, comme ses ainés, une expérience de survie hardcore ou chaque prise de décision demande de peser bénéfices et risques. Chez GamesRadar, on souligne la beauté post-apocalyptique des environnements renforcée par des effets météorologiques très convaincants. Même le YouTuber BigfryTV, généralement très critique, s’est laissé séduire, et le classe parmi ses jeux favoris de l’année, malgré les gros soucis relevés.
Preuve encore qu’on est bien revenu à la maison, de nombreux bugs et glitches sont malheureusement à dénoter : des cadavres en T-pose, des assets qui flottent au-dessus du sol, des effets de lumière qui ne marchent tout simplement pas, des PNJ qui traversent les murs, et des quêtes qu’il n’est parfois pas possible de conclure. Comme on s’en doutait, les performances sont elles-aussi déplorables même sur des machines de guerre, mais sans atteindre le niveau d’un Cyberpunk 2077 à sa sortie. Même si le sacro-saint day-one patch a déjà permis d’améliorer la situation, la route sera sans doute longue avant de pouvoir explorer la Zone sans se battre contre le jeu lui-même plutôt que contre les dangers qui y résident.
Néanmoins, pour une vraie expérience slavjank, vous pouvez dès maintenant retrouver S.T.A.L.K.E.R. 2: Heart of Chornobyl sur GoG, Steam, Epic Games Store et le Game Pass. On vous recolle également notre petit pavé pour la promo que propose notre partenaire Gamesplanet : avec le code promo NOFRAGSTALKER, vous bénéficiez de –20 % sur toutes les éditions du jeu (standard, deluxe, ultimate).
À la rédac, c’est évidemment l’effervescence, et chacun (ou presque) va se lancer dans l’aventure. Comme on n’a pas pu avoir accès en avance, n’espérez pas un test tout de suite. Mais par contre, on a prévu une émission spéciale lundi prochain, à 21 h, sur la chaîne Twitch de NoFrag, pour en parler en long, en large et en travers. Et il y aura des clefs du jeu à gagner. On fera une news spéciale demain ou après-demain pour l’annoncer.
On ne va pas passer par quatre chemins, le compte officiel X d’Arena Breakout: Infinite a publié un post mercredi dernier pour annoncer une idée saugrenue qu’est l’intégration de personnages féminins dans le jeu. Déjà qu’EA Games et Patrick Söderlund avec son fameux « If you don’t like it, don’t buy it » avaient tenté de nous la faire à l’envers avec Battlefield V. L’accueil de cette nouvelle par le public n’avait pas été des plus chaleureux. Tout le monde sait que les femmes ne jouent pas aux jeux vidéo et ne font pas la guerre, ces dernières préfèrent les activités culinaires ou pour les plus aventureuses, faire des streams en maillot de bain sur Twitch à l’attention d’un public averti.
Blague à part, et au risque d’en surprendre plus d’un, incarner un homme ou une femme dans un jeu vidéo ne va pas transformer votre organe génital. D’après des études récentes, il paraîtrait même que le skill du joueur ne dépende pas du modèle de personnage utilisé. Alors pas d’inquiétude, choisissez ce que vous voulez, d’autant plus qu’il semble y avoir pas mal d’options de personnalisation pour créer le soldat de vos rêves.
Pour rappel, Arena Breakout: Infinite est un extraction shooter copié/collé d’Escape FromTarkov, mais en pay-to-win. En effet, il est possible d’acheter du matériel et des armes d’un niveau supérieur à ce que la majorité des joueurs peuvent atteindre en jouant gratuitement. C’est très dommage, car le gunplay, les mécaniques de jeu et les visuels sont de très bonne qualité. Du coup, on s’en bat un peu les couilles (ou les steaks) que la saison 1 d’Arena Breakout: Infinite sorte le 20 novembre prochain. Cependant, si vous souhaitez en apprendre davantage, vous pouvez consulter la page du site officiel, on n’est pas votre daron. À noter qu’il existe une page Steam, mais rien n’indique quand ou si le jeu sera disponible sur la plateforme de Gaben.
Tous les mois, la rédaction vous fait profiter de sa culture éclectique et douteuse. Cette fois, on vous propose une constellation musicale, une BD cinquantenaire et une activité reposante pour entrepreneurs de la tech en quête de quiétude.
Steam Néo Fest, l’événement quadrimestriel qui propose de nombreuses démos plus ou moins bien, fait son grand retour. Cette fois-ci, on a pu en tester un paquet, et on vous indique comme à notre habitude si ça en vaut la chandelle. On a même mis de jolis pictogrammes pour être sûrs que vous ayez bien compris.
Bloodshed, un rétro-FPS plutôt sympa avec des mécaniques de rogue-lite et une direction artistique qui nous rappelle Cultic. Ça fait évidemment penser à Vampire Hunters, en plus inspiré niveau direction artistique, mais moins fun au niveau des armes. Il faut survire à des vagues infinies d’ennemis pendant un temps limité. Vous avez le choix entre différentes armes plus ou moins efficaces, mais quasiment toutes avec un feeling plutôt sympa. Il y a également plusieurs personnages, ce qui fait un peu varier l’expérience de jeu. Le gameplay est assez basique, mais nerveux.
Un rétro-FPS qui se déroule dans le Japon des année 90. Hormis quelques améliorations graphiques, on n’a pas remarqué d’énormes changements depuis la démo disponible en avril dernier. Vous jouez un détective qui devra éliminer des Yakuza à coup de cartouches de fusils à pompe et de rafales de d’Uzi dans la tronche. C’est sympa, mais sans plus. Les ennemis sont particulièrement cons.
Mon Dieu que c’est moche. Et ça pèse 27 putain de gigaoctets. Merci à l’Unreal Engine 5 de permettre à de petits développeurs de nous proposer un festival d’assets gratuits dans des niveaux générés procéduralement, garantis sans aucune direction artistique. Mais les mouvements ont l’air nerveux en vidéo.
Dotée d’une direction artistique très réussie, et d’un univers post-apocalyptique emprunt de nostalgie, la démo de Hail to The Rainbow nous propose plusieurs types de gameplay. Tout d’abord, on a une séquence proche du walking sim, avec un peu d’exploration, et même un peu de combat au corps à corps. Une seconde partie, un peu différente, nous propose un jeu de cache-cache dans des placards pour éviter de se faire dépecer par un robot. Tous les membres de la rédaction n’ont pas franchement accroché à ce passage, résolument tourné vers l’horreur. Mais dans tous les cas, la réalisation est très bonne et l’ambiance vraiment chouette.
KARMA: The Dark World propose une qualité de réalisation au-dessus de la moyenne : c’est très beau, les doublages sont chouettes, et il semble raconter une histoire un minimum originale. Il plaira à coup sûr aux fans de jeux d’horreur. Dommage que ce soit limité à 60 FPS.
Impossible de ne pas évoquer Neverlooted Dungeon lors d’un Steam Néo Fest, c’est l’un des jeux les plus attendus de la rédaction. Comme à son habitude, le développeur solo profite de l’événement pour mettre à jour sa démo, en attendant la sortie du jeu à la fin de l’année ou au début de l’année prochaine. Pour rappel, on vous propose de piller un donjon rempli de pièges mécaniques à déjouer de la manière que l’on souhaite. Il y a aussi des ennemis, que vous pouvez combattre avec vos armes, ou grâce à l’environnement. Et en plus, il y a pas mal d’humour. Si vous ne l’avez pas encore testée, allez-y, c’est super bien.
Rien de très original pour ce walking sim dans des environnements liminaux, mais la direction artistique est plutôt chouette. Ça doit tout de même être très chiant.
Prenez l’Unreal 5, ajoutez-y des assets tout faits, saupoudrez d’un effet bodycam, puis assaisonnez avec des contrôles bien pourraves. Vous obtenez une bonne base de merde pour un jeu sans aucune originalité. Réglez l’optimisation sur 0° pendant 15 minutes, puis préparez la boucle de gameplay : surtout, n’allez pas imaginer quelque chose, reprenez ce qui existe déjà ! Un soupçon de SCP pour faire boucler une rame de métro tant qu’on n’a pas trouvé une lettre cachée, par exemple, vous assurera une saveur d’une parfaite neutralité.
Alors qu’il semblait tout mou dans sa vidéo de présentation, il s’avère finalement très nerveux et assez sympa à jouer. On débloque régulièrement des modificateurs qui modifient un peu de gameplay. Une très bonne surprise.
Avec une direction artistique correcte, Second Sun semble nous emporter dans un univers magique, où les images par seconde disparaissent mystérieusement sans aucune raison. On suppose que la quête ultime de ce RPG à la Skyrim est de récupérer la puissance de son PC pour le faire tourner correctement. Malgré le côté très clunky et amateur du titre, le gunfeel du pistolet est plutôt réussi, contrairement à l’arbalète, qui est une purge.
Quand on n’a pas d’idée, on regarde ce que font les copains et on copie en changeant un truc ou deux. C’est sans doute ce que ses sont dit les développeurs d’Irreversible, qui repompent sans vergogne The Invincible, que ce soit pour l’ambiance générale ou les éléments scénaristiques, allant même jusqu’à proposer un jaquette Steam dans le même ton. Mais c’est en VR, évidemment beaucoup moins beau et il y a un flingue, donc ça n’a rien à voir. D’ailleurs, le jeu a l’air globalement sympa, mais les combats, eux, paraissent vraiment désagréables dans la vidéo de présentation.
Delta Force a beau être un free-to-play chinois, ce qu’il nous a montré en août dernier nous avait épaté. Le mode à la Battlefield était très agréable à jouer, et on avait bien apprécié la synergie des différents personnages. La modification des armes nous avait également bien plu, tout comme le feeling, franchement sympa. On avait un peu moins aimé la partie extraction shooter, calquée sur DMZ de Call Of, mais plus pour une question de goût qu’à cause de vrais soucis. On n’a pas relancé pour ce Steam Néo Fest, mais vu les retours, on peut raisonnablement vous conseiller de le tester, si c’est votre genre de jeu.
C’est Echo Point Nova en moche, sans destruction, avec uniquement le grappin, des contrôles moins biens, et une démo qui pèse plus lourd que le jeu complet de Greylock Studio. Ce n’est pas nul pour autant, mais il y a du boulot à faire pour arriver à quelque chose d’intéressant.
Un rétro-FPS qui avec une direction artistique qui semble s’inspirer de DOOM 3 et Warhammer, mais avec des graphismes de la génération précédente. Et le gameplay aussi, on ne va pas se mentir. Sauf qu’ils ont pris comme modèle une sombre merde. Du coup, c’est complètement naze. On s’y est mis à deux pour être sûrs.
On n’était déjà pas chauds avant de le lancer, mais c’est encore pire clavier et souris en main. Certes, on voit qu’il y a eu pas mal de boulot du côté de la direction artistique, mais le reste est très compliqué : l’optimisation est inexistante et les animations sont risibles. Côté gameplay, c’est du rogue-lite plutôt classique, mais avec un feeling pas ouf.
Le prochain jeu de David Szymanski (Dusk, Gloomwood). Le gameplay est plutôt simpliste, mais efficace, et l’ambiance est très réussie. Malgré un setup qui pourrait faire croire à un pur jeu d’horreur, le côté humoristique est très présent, notamment avec la paraphilie embarrassante du personnage principal. Prévu pour début 2025, ce ne sera sans doute pas le jeu de l’année, mais une petite expérience sympathique.
Un rogue-lite style Bordel landBorderlands pour son côté cel-shading avec un gameplay et des mécaniques quasiment identiques au très bon Roboquest, sauf qu’ici, c’est pas si bon. Double saut, dash, compétences, tout y est, pourtant. Mais les armes manquent cruellement de patate, rendant les combats peu amusants. Même si on apprécie la bonne grosse musique de bourrin dans les oreilles, elle masque un sound-design qui a du mal à convaincre.
On sent que le développeur aime les FPS comme F.E.A.R., mais avoir de la bonne volonté ne suffit pas toujours. Les contrôles sont étonnamment assez peu précis et pas franchement agréables. La mise en joue sur certaines armes est même vraiment à chier, ce qui complique le combat contre la mauvaise optimisation du jeu. Les ennemis, quant à eux, ne réagissent qu’une fois sur deux, et sont cons comme des ballons.
La particularité de cet extraction shooter, c’est qu’avec votre équipe de quatre militaires, vous devez récupérer un disque dur dans un hélicoptère crashé sur la map, puis vous devrez vous extraire sur un point aléatoire. Comment ? Quoi ? Ah oui pardon, c’est exactement comme tous les autres extraction shooter. Sauf qu’ici, la réalisation est affreuse : direction artistique inexistante, des animations très rigides, un gunfeel pas ouf, et un sound design risible. Bon courage au dev solo pour en faire quelque chose d’intéressant.
Il ne paye pas de mine, avec ses graphismes style Nintendo 64, mais ce petit jeu tactique solo est bien sympathique. On part en mission avec quelques coéquipiers pour capturer des « ouvrier ennemis » ou des ressources, afin de faire prospérer notre camp. La partie tactique est légère, mais déjà très amusante, avec la possibilité de donner des ordres à son équipe, menotter les otages, ou utiliser ses différentes grenades. À tester.
Très bon petit rogue-lite avec des graphismes minimalistes. Les sensations sont bonnes, et la boucle de gameplay est cool. Le jeu complet devrait sortir le 28 octobre.
Une très grosse production value pour un concept éculé. On n’a pas réussi à rejoindre une seule partie. Peut-être parce que personne n’a envie de jouer à un énième hero shooter, fusse-t-il coloré et commenté avec une voie super enjouée ?
Auparavant appelé Tactical Squad, puis Tactical Squad: SWAT Stories, SWAT Commander n’en est pas moins toujours aussi nul. C’est vraiment comme Ready Or Not, mais en moins bien à tous niveaux. La dernière fois qu’on avait testé, le gunfeel était vraiment à chier, et les animations, risibles. On n’a pas eu le courage de retenter pour l’instant.
On avait déjà testé la démo de VOIN, et on avait trouvé ça bien. Ça n’a pas changé : c’est toujours aussi viscéral, nerveux et la direction artistique est vraiment sympa. Sans doute l’une des meilleures démos de ce Steam Néo Fest.
Tous les mois, la rédaction vous fait profiter de sa culture éclectique et douteuse. Cette fois, on vous propose un cinéma à la programmation exemplaire, une BD post-apo' et un livre sur l'amour, l'amitié et la conception de jeu vidéo (pas nécessairement dans cet ordre).
RoboCop: Rogue Citya mis en ligne une démo afin que vous puissiez essayer ce magnifique jeu. Les professionnels du pad de chez IGN ont aussi publié une vidéo présentant les 23 première minutes de gameplay.
On a pu mettre les mains dessus, et on peut vous dire qu’on est plutôt mitigé. Déjà, RoboCop: Rogue City est très facile, car même avec la difficulté la plus élevée, il faut être né avec un pad dans les main pour pouvoir mourir. Du coup, les affrontements n’ont aucun enjeu, on se contente de cliquer sur la tête de nos adversaires, cons comme des balais. C’est dommage, car c’est plutôt gore et les armes semblent avoir un peu de patate. Sinon, ce n’est pas beau, d’une part car c’est très générique, et en plus, on a tendance à vouloir baisser ses options graphiques, car ça se permet de tourner aussi bien qu’une brique dans une machine à laver. Mais même tout au minimum, il y a des stutters toutes les 15 secondes sans aucune raison apparente.
Au niveau du gameplay, outre les gunfights, aussi intéressants qu’un rapport de stage de troisième sur le métier d’expert comptable, RoboCop: Rogue City présente la particularité de proposer des phases de jeu dans le commissariat, demandant de traiter les plaintes ou d’aider vos coéquipiers à ouvrir leur casier. C’est aussi bien fait que le gribouillage de votre enfant de trois ans, mais comme pour celui-ci, c’est un peu touchant quand même. C’est original, et on peut le saluer. Enfin, la dernière section de la (longue) démo, vous propose de parcourir un mini open-world, dans lequel vous aurez quelques affaires à traiter, se terminant généralement en un paquet de cervelles dégoulinantes sur les murs, même pour un simple vol de voiture. La représentation vidéo-ludique des rêves mouillés de Gerald Darmanin, en somme. Mais la mise en scène et les chargements feraient passer Starfield pour un jeu moderne et dirigé par David Fincher. Donc au final, cette démo montre que les développeurs sont pleins de bonne volonté et pas radins. Ce sont de très bonnes qualités, mais dommage que la réalisation soit si bancale. S’ils mettent les bouchées doubles sur les performances, ça pourrait au moins en faire un nanard rigolo à parcourir en une soirée ou deux.
Si notre petit retour vous a convaincu, vous pouvez dès à présent vous faire enfumer avec la précommande de RoboCop: Rogue City pour la somme, pas modique du tout de 50 € pour l’édition de base et 60 € pour la collector sur Steam et l’Epic Games Store. Le jeu est aussi disponible chez notre partenaire Gamesplanet qui vous fera “gagner” quelques euros, avec sa promotion sur l’édition de base et collector. Il sortira le 2 novembre.
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