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Dans le chaos des écoles françaises de jeu vidéo

Chaque année, des milliers d’étudiants se pressent aux portes ouvertes d’écoles spécialisées dans le jeu vidéo. Il y a quinze ans, j’étais de ceux-là. C’est un jeune élève en costard qui m’a accueillie et donné quelques informations sur le parcours, avant de très vite me parler d’argent : « J’ai réussi à payer ma propre formation grâce à un héritage », m’avait-il alors expliqué.

La crise du jeu vidéo, vue par les étudiants

Pour la seconde partie de ce dossier, nous sommes allés directement à la rencontre des étudiants en jeu vidéo qui s’apprêtent à mettre le pied dans le monde du travail, afin de recueillir leurs avis sur la crise que traverse actuellement le secteur.

Cairn

C'est une expérience assez étrange de se lancer dans Cairn entre deux rendez-vous Gamescom, à côté d'un stand de mojitos assailli par des journalistes pressés de terminer leur journée, tant le jeu invite au calme et à la concentration.

The Crush House

S’il y a bien quelque chose qu’on ne peut pas reprocher au studio Nerial, c’est de ne pas avoir des concepts canons sur le papier. « Tu dois gérer ton royaume, mais ça se joue comme sur Tinder » pour Reigns (et ses trouze-mille déclinaisons). « C’est un simulateur de tricherie aux cartes, mais ça se passe dans la France du XVIIIe siècle » pour Card Shark. Et encore là, pour The Crush House, le jeu qui nous intéresse : « Tu dois produire une télé-réalité dans une villa tout en résolvant un grand complot qui s’y trame. » Je suis partant, c’est où qu’on signe ?
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