Dans le chaos des écoles françaises de jeu vidéo
Chaque année, des milliers d’étudiants se pressent aux portes ouvertes d’écoles spécialisées dans le jeu vidéo. Il y a quinze ans, j’étais de ceux-là. C’est un jeune élève en costard qui m’a accueillie et donné quelques informations sur le parcours, avant de très vite me parler d’argent : « J’ai réussi à payer ma propre formation grâce à un héritage », m’avait-il alors expliqué.