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Pampero

Désolé, mais mes amis sont de sacrés ingrats. Ah ça, pour aller boire des coups à 22 heures parce que « le bar est juste à côté de chez toi, alllllllez promis après tu rentres », ils débarquent à quinze dans mes DM. Mais quand il faut leur demander de me rendre un service pour essayer un jeu de gestion du parc d’éoliennes de l’Uruguay pendant 4 heures, étrangement là plus personne n’a de réseau sur son téléphone.

Asmodee règle l’ardoise d’Embracer

Dans le monde du jeu vidéo, Embracer est connu comme le loup blanc, mais jamais pour les bonnes raisons. La triste réputation du groupe le suit depuis des années, bien souvent lorsqu’il s’agit de relayer des fermetures de studios ou des licenciements. Alors forcément, on sent que ça arrangeait bien leurs affaires d’avoir « séparé leurs activités » en trois groupes distincts il y a quelques mois, annonçant officiellement abandonner le nom d’Embracer et rendant son indépendance financière au colosse du jeu de société Asmodee. Enfin, la lui rendant… avec un petit cadeau empoisonné au passage.

La crise du jeu vidéo, vue par les étudiants

Pour la seconde partie de ce dossier, nous sommes allés directement à la rencontre des étudiants en jeu vidéo qui s’apprêtent à mettre le pied dans le monde du travail, afin de recueillir leurs avis sur la crise que traverse actuellement le secteur.

Cyberpunk 2077 : Gangs of Night City

Cyberpunk 2077 : Gangs of Night City, c’est un peu une adaptation d’adaptation. La version jeu de plateau d’un jeu vidéo à succès, lui-même basé sur un jeu de rôle vieux de bientôt quarante ans. Et aujourd’hui, c’est en effet à l’intérieur d’un beau bébé cartonné de plus de deux kilos que Cmon et CD Projekt entendent nous faire vivre les guerres de gangs de Night City, avec ce que ça sous-entend en matière de pisto-flingues du futur, de puces 5G et évidemment, de Keanu Reeves.
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