Qualcomm avait ouvert le bal et aurait approché Intel en vue d’un rachat. On apprenait aussi qu‘Apollo Global Management aurait approché Intel, mais pour un investissement. Quelques jours plus tard, c’était au tour d’Arm d’entrer dans la danse.
Selon Bloomberg, un nouveau challenger viendrait se joindre à la « fête » : Lattice Semiconducteur. La société ne serait pas intéressée par Intel dans sa globalité, mais par une partie seulement : Altera, une branche spécialisée dans le FPGA (circuit logique programmable).
Altera a pour rappel été fondée en 1985, puis rachetée par Intel en 2015. Elle a alors été intégrée au fondeur et renommée PSG (Programmable Solutions Group). Durant l’automne 2023, Intel annonce en faire une filiale, dont la mise en place est finalisée en mars de cette année.
Selon Bloombergrepris par TechPowerUp, Lattice Semiconducteur travaillerait « activement avec des conseillers et chercherait le soutien du secteur privé ». Toujours selon nos confrères, « la préférence d’Intel semble être de ne vendre qu’une petite partie de ses actions Altera, ce qui peut être un facteur décisif dans les négociations à venir ». En effet, Lattice Semiconducteur voudrait plutôt racheter l’intégralité d’Altera.
Toujours selon Bloomberg, d’autres entités seraient intéressées par une prise de participation dans Altera : Francisco Partners, Bain Capital et Silver Lake Management. Intel devrait finaliser la transaction (à voir sous quelle forme) au début de l’année prochaine. Altera serait valorisée aux alentours de 17 milliards de dollars, un montant proche des 16,7 milliards de dollars déboursés en 2015.
Qualcomm avait ouvert le bal et aurait approché Intel en vue d’un rachat. On apprenait aussi qu‘Apollo Global Management aurait approché Intel, mais pour un investissement. Quelques jours plus tard, c’était au tour d’Arm d’entrer dans la danse.
Selon Bloomberg, un nouveau challenger viendrait se joindre à la « fête » : Lattice Semiconducteur. La société ne serait pas intéressée par Intel dans sa globalité, mais par une partie seulement : Altera, une branche spécialisée dans le FPGA (circuit logique programmable).
Altera a pour rappel été fondée en 1985, puis rachetée par Intel en 2015. Elle a alors été intégrée au fondeur et renommée PSG (Programmable Solutions Group). Durant l’automne 2023, Intel annonce en faire une filiale, dont la mise en place est finalisée en mars de cette année.
Selon Bloombergrepris par TechPowerUp, Lattice Semiconducteur travaillerait « activement avec des conseillers et chercherait le soutien du secteur privé ». Toujours selon nos confrères, « la préférence d’Intel semble être de ne vendre qu’une petite partie de ses actions Altera, ce qui peut être un facteur décisif dans les négociations à venir ». En effet, Lattice Semiconducteur voudrait plutôt racheter l’intégralité d’Altera.
Toujours selon Bloomberg, d’autres entités seraient intéressées par une prise de participation dans Altera : Francisco Partners, Bain Capital et Silver Lake Management. Intel devrait finaliser la transaction (à voir sous quelle forme) au début de l’année prochaine. Altera serait valorisée aux alentours de 17 milliards de dollars, un montant proche des 16,7 milliards de dollars déboursés en 2015.
Le Pico 2 de Raspberry Pi passe en version « W » avec du Wi-Fi 4 et du Bluetooth 5.2. Le micro-contrôleur garde les deux cœurs ARM ou RISC-V (au choix) et le reste des caractéristiques techniques du Pico 2 de base. On le trouve pour environ 8 euros et la fondation promet d’autres surprises pour l’année prochaine sur sa gamme Pico 2.
Elle remet le couvert avec un Raspberry Pi Pico 2 W. Les amateurs de la marque l’auront certainement deviné (W pour wireless), il s’agit d’une version sans fil du Pico 2 annoncé en août de cette année. Comme son petit frère, il est articulé autour du micro-contrôleur maison RP2350.
Série Pico 2 : nouveau micro-contrôleur RP2350
La fondation avait pour rappel présenté son premier micro-contrôleur en janvier 2021 : le RP2040. Il était intégré à la première carte Pico. Le nouveau RP2350 s’appuie sur l’héritage de son prédécesseur, avec « des cœurs plus rapides, plus de mémoire, une prise en charge des virgules flottantes, un OTP [One-Time-Programmable Memory de 8 ko, ndlr] sur la puce, une consommation d’énergie optimisée et un modèle de sécurité amélioré construit autour de la TrustZone d’Arm pour Cortex-M ».
Dans le détail, le micro-contrôleur passe de deux cœurs Arm Cortex-M0+ à 133 MHz avec 264 ko de SRAM et 2 Mo de mémoire flash pour le stockage, à deux cœurs Arm Cortex-M33 à 150 MHz avec 520 ko de SRAM et 4 Mo de stockage. Pas de changement pour le reste. Les dimensions sont les mêmes (21 x 51 mm), GPIO à 26 broches, alimentation de 1,8 à 5,5 volts, etc.
Architecture Arm ou RISC-V, au choix
Le RP2350 dispose aussi de deux cœurs open-hardware en RISC-V : des Hazard3. Vous pouvez utiliser l’une ou l’autre des paires (mais pas les deux en même temps) via une « sélection logicielle ou en programmant la mémoire OTP sur puce », rappelle la fondation. De plus amples détails se trouvent par là. On y apprend par exemple que la puce peut redémarrer seule si elle détecte que l’architecture n’est pas la bonne face aux instructions demandées.
Wi-Fi et Bluetooth sur le Pico 2 W
Sur le Pico 2 W, la nouveauté est donc le modem CYW43439 de chez Infineon, ajouté pour fournir du Wi-Fi 4 (ou 802.11n) sur les 2,4 GHz (largement suffisant vu le produit) et du Bluetooth 5.2. En plus des traditionnelles C et C++, le Pico 2 W est compatible avec MicroPython.
Le Pico 2 W est annoncé à 7 dollars, alors que le Pico 2 de base est à 5 dollars, selon la fondation. En France, Kubii propose le Raspberry Pi Pico 2 pour 6 euros, le Pico 2 W pour 8,28 euros, en stock dans les deux cas. De son côté, Reichelt est à respectivement 5.55 et 7,56 euros.
La fondation donne enfin rendez-vous en 2025 pour d’autres surprises autour du Raspberry Pi Pico 2. Elle indique avoir « quelques idées supplémentaires en tête », sans donner plus de détails.
Plusieurs médias locaux, dont le Bangkok Post, rapportent deux histoires assez folles de tentatives d’arnaques par appels et par messages textes. Dans le second cas, on parle aussi de smishing (phishing par SMS).
La police locale, en collaboration avec AIS (le plus grand opérateur de téléphonie mobile de la Thaïlande, selon Wikipédia), a arrêté un ressortissant chinois de 35 ans qui « a utilisé de fausses stations de bases installées dans une voiture pour envoyer près d’un million de faux SMS à des personnes sur Sukhumvit Road, en l’espace de trois jours ».
L’équipement comprenait aussi une alimentation électrique et des smartphones. Selon plusieurs médias, notamment Commsrick, le « SMS Blaster » aurait une portée de 3 km et serait capable de diffuser jusqu’à 100 000 SMS par heure, excusez du peu. Le message serait une incitation à récupérer un cadeau avant que vos points ne disparaissent, avec un lien vers un site piégé pour récupérer des données personnelles et bancaires.
Dans une autre enquête, les forces de l’ordre ont démantelé « un syndicat du crime » qui utilisait pas moins de 10 000 numéros pour « appeler des victimes et les persuader de participer à des programmes d’investissement frauduleux ».
Toujours selon les autorités, ces numéros auraient été utilisés plus de 730 millions de fois par trois entreprises « ayant des liens avec des ressortissants chinois ». Des mandats d’arrêt ont été lancés contre 25 personnes, dont 15 Thaïlandais. Une dizaine ont pour le moment été appréhendées (neuf Thaïlandais, un Myanmarais).
Le Pico 2 de Raspberry Pi passe en version « W » avec du Wi-Fi 4 et du Bluetooth 5.2. Le micro-contrôleur garde les deux cœurs ARM ou RISC-V (au choix) et le reste des caractéristiques techniques du Pico 2 de base. On le trouve pour environ 8 euros et la fondation promet d’autres surprises pour l’année prochaine sur sa gamme Pico 2.
Elle remet le couvert avec un Raspberry Pi Pico 2 W. Les amateurs de la marque l’auront certainement deviné (W pour wireless), il s’agit d’une version sans fil du Pico 2 annoncé en août de cette année. Comme son petit frère, il est articulé autour du micro-contrôleur maison RP2350.
Série Pico 2 : nouveau micro-contrôleur RP2350
La fondation avait pour rappel présenté son premier micro-contrôleur en janvier 2021 : le RP2040. Il était intégré à la première carte Pico. Le nouveau RP2350 s’appuie sur l’héritage de son prédécesseur, avec « des cœurs plus rapides, plus de mémoire, une prise en charge des virgules flottantes, un OTP [One-Time-Programmable Memory de 8 ko, ndlr] sur la puce, une consommation d’énergie optimisée et un modèle de sécurité amélioré construit autour de la TrustZone d’Arm pour Cortex-M ».
Dans le détail, le micro-contrôleur passe de deux cœurs Arm Cortex-M0+ à 133 MHz avec 264 ko de SRAM et 2 Mo de mémoire flash pour le stockage, à deux cœurs Arm Cortex-M33 à 150 MHz avec 520 ko de SRAM et 4 Mo de stockage. Pas de changement pour le reste. Les dimensions sont les mêmes (21 x 51 mm), GPIO à 26 broches, alimentation de 1,8 à 5,5 volts, etc.
Architecture Arm ou RISC-V, au choix
Le RP2350 dispose aussi de deux cœurs open-hardware en RISC-V : des Hazard3. Vous pouvez utiliser l’une ou l’autre des paires (mais pas les deux en même temps) via une « sélection logicielle ou en programmant la mémoire OTP sur puce », rappelle la fondation. De plus amples détails se trouvent par là. On y apprend par exemple que la puce peut redémarrer seule si elle détecte que l’architecture n’est pas la bonne face aux instructions demandées.
Wi-Fi et Bluetooth sur le Pico 2 W
Sur le Pico 2 W, la nouveauté est donc le modem CYW43439 de chez Infineon, ajouté pour fournir du Wi-Fi 4 (ou 802.11n) sur les 2,4 GHz (largement suffisant vu le produit) et du Bluetooth 5.2. En plus des traditionnelles C et C++, le Pico 2 W est compatible avec MicroPython.
Le Pico 2 W est annoncé à 7 dollars, alors que le Pico 2 de base est à 5 dollars, selon la fondation. En France, Kubii propose le Raspberry Pi Pico 2 pour 6 euros, le Pico 2 W pour 8,28 euros, en stock dans les deux cas. De son côté, Reichelt est à respectivement 5.55 et 7,56 euros.
La fondation donne enfin rendez-vous en 2025 pour d’autres surprises autour du Raspberry Pi Pico 2. Elle indique avoir « quelques idées supplémentaires en tête », sans donner plus de détails.
Plusieurs médias locaux, dont le Bangkok Post, rapportent deux histoires assez folles de tentatives d’arnaques par appels et par messages textes. Dans le second cas, on parle aussi de smishing (phishing par SMS).
La police locale, en collaboration avec AIS (le plus grand opérateur de téléphonie mobile de la Thaïlande, selon Wikipédia), a arrêté un ressortissant chinois de 35 ans qui « a utilisé de fausses stations de bases installées dans une voiture pour envoyer près d’un million de faux SMS à des personnes sur Sukhumvit Road, en l’espace de trois jours ».
L’équipement comprenait aussi une alimentation électrique et des smartphones. Selon plusieurs médias, notamment Commsrick, le « SMS Blaster » aurait une portée de 3 km et serait capable de diffuser jusqu’à 100 000 SMS par heure, excusez du peu. Le message serait une incitation à récupérer un cadeau avant que vos points ne disparaissent, avec un lien vers un site piégé pour récupérer des données personnelles et bancaires.
Dans une autre enquête, les forces de l’ordre ont démantelé « un syndicat du crime » qui utilisait pas moins de 10 000 numéros pour « appeler des victimes et les persuader de participer à des programmes d’investissement frauduleux ».
Toujours selon les autorités, ces numéros auraient été utilisés plus de 730 millions de fois par trois entreprises « ayant des liens avec des ressortissants chinois ». Des mandats d’arrêt ont été lancés contre 25 personnes, dont 15 Thaïlandais. Une dizaine ont pour le moment été appréhendées (neuf Thaïlandais, un Myanmarais).
Dans un billet de blog publié vendredi, Microsoft annonce que la préversion 26120.2415 (KB5046723) de Windows 11 pour Insiders est disponible sur le canal Dev. Elle permet aux portables équipés d’une puce Snapdragon (les PC Copilot+) de tester Recall et Click to Do, en préversion tous les deux.
Recall a pour rappel été annoncé en mai, avec une rapide levée de boucliers face aux risques sur la vie privée ainsi que les dangers sur les correspondances et les violences conjugales, entre autres exemples. Ce service doit en effet permettre de retrouver n’importe quelle information. Pour cela, il prend régulièrement des captures d’écran et peut s’appuyer sur Click to Do, qui analyse les informations contenues dans les images via de petits modèles locaux d’IA.
Lors du premier lancement de Recall, la fonctionnalité vous demandera d’accepter l’enregistrement des instantanées (opt-in). Il faudra activer Windows Hello, BitLocker et Secure Boot. De plus amples détails sont disponibles dans ce billet de l’Assistance de Microsoft.
Recall prend en charge le chinois (simplifié), l’anglais, le français, l’allemand, le japonais et l’espagnol. « La prise en charge des PC Copilot+ équipés d’AMD et d’Intel sera bientôt disponible », ajoute Microsoft, sans plus de détails.
Pour basculer sur le programme Windows Insider, il suffit de se rendre dans les Paramètres de Windows, puis dans Windows Update. Attention toutefois, le canal Dev sert à tester les dernières nouveautés et contient souvent des bugs. Le passage à un canal de test n’est pas recommandé sur une machine de production.
Dans un billet de blog publié vendredi, Microsoft annonce que la préversion 26120.2415 (KB5046723) de Windows 11 pour Insiders est disponible sur le canal Dev. Elle permet aux portables équipés d’une puce Snapdragon (les PC Copilot+) de tester Recall et Click to Do, en préversion tous les deux.
Recall a pour rappel été annoncé en mai, avec une rapide levée de boucliers face aux risques sur la vie privée ainsi que les dangers sur les correspondances et les violences conjugales, entre autres exemples. Ce service doit en effet permettre de retrouver n’importe quelle information. Pour cela, il prend régulièrement des captures d’écran et peut s’appuyer sur Click to Do, qui analyse les informations contenues dans les images via de petits modèles locaux d’IA.
Lors du premier lancement de Recall, la fonctionnalité vous demandera d’accepter l’enregistrement des instantanées (opt-in). Il faudra activer Windows Hello, BitLocker et Secure Boot. De plus amples détails sont disponibles dans ce billet de l’Assistance de Microsoft.
Recall prend en charge le chinois (simplifié), l’anglais, le français, l’allemand, le japonais et l’espagnol. « La prise en charge des PC Copilot+ équipés d’AMD et d’Intel sera bientôt disponible », ajoute Microsoft, sans plus de détails.
Pour basculer sur le programme Windows Insider, il suffit de se rendre dans les Paramètres de Windows, puis dans Windows Update. Attention toutefois, le canal Dev sert à tester les dernières nouveautés et contient souvent des bugs. Le passage à un canal de test n’est pas recommandé sur une machine de production.
Comme le rapporte TechCrunch, une enquête de la Competition and Markets Authority (CMA) britannique est arrivée à la conclusion provisoire que la politique d’Apple « freine l’innovation dans les navigateurs que nous utilisons pour accéder au Web sur les téléphones mobiles ».
Deux griefs : l’accord Google-Apple et Webkit
Le rapport explique également qu’un « accord de partage des revenus entre Google et Apple a réduit les motivations à se concurrencer dans le domaine des navigateurs mobiles sur les appareils Apple », détaille Reuters.
Toujours selon nos confrères, « Apple oblige les navigateurs mobiles concurrents au Royaume-Uni à utiliser le moteur d’Apple, Webkit, ce qui limite les capacités des navigateurs à se différencier ». Pour rappel, Apple a bien ouvert les vannes au début de l’année pour se conformer au DMA… mais en Europe seulement, au grand dam de Mozilla.
Apple crie au scandale (ou presque)
Bien sûr, Apple n’est pas du même avis et craint que les éléments évoqués dans le rapport « pour examen futur en vertu de Digital Markets, Competition, and Consumers Act compromettent la confidentialité et la sécurité des utilisateurs, et n’entravent [sa]capacité à créer le type de technologie qui distingue Apple ».
La CMA laisse jusqu’au 13 décembre 2024 aux parties intéressées pour faire leurs commentaires. Ils seront examinés en décembre, avec des audiences. Enfin, la CMA rappelle qu’à cause des délais légaux, elle est « tenue de publier son rapport final avant le 16 mars 2025 ».
Le cloud gaming aussi était dans le viseur du régulateur, mais le sujet est finalement abandonné. Les modifications déjà faites par Apple « semblent avoir des implications positives pour la concurrence sur ce marché ».
Vous êtes perdus dans la jungle des forfaits en fibre optique sur le fixe ? Next vous aide à choisir en mettant l’accent sur les options incluses, notamment les abonnements à des plateformes de streaming. On vous propose un grand tableau comparatif dans lequel vous pouvez cocher les options que vous souhaitez puis comparer les montants sur un et deux ans.
Avec le lancement de B&You Pure Fibre qui ne propose que de la fibre et rien d’autre, Bouygues Telecom prend le contre-pied de Free qui n’a de cesse d’ajouter des options dans ses offres, faisant ainsi grimper le prix pour les clients, mais aussi les revenus de l’opérateur.
Mais il n’est pas toujours facile de choisir entre les différentes propositions commerciales. Vous regardez Netflix et Disney+, mais le reste ne vous intéresse pas ? Pure Fibre est-elle une offre plus intéressante que la Freebox Ultra ou que la Livebox Max sur le long terme ? Qu’en est-il si on ajoute Amazon Prime et La Chaine Live de Canal+ ?
Perdu dans les calculs ? Next est là !
Comment se positionnent les autres opérateurs ? La même question se pose avec Orange qui propose 5 euros de remise par mois sur vos abonnements Disney+, Netflix et HBO. Chez SFR, vous avez Netflix, Bouquet famille et RMCS Sport qui sont inclus pendant six à neuf mois seulement, alors que l’engagement est d’un an.
Pour vous aider à y voir plus clair, nous avons regroupé les principales caractéristiques techniques des forfaits des opérateurs dans un grand tableau dynamique. Dynamique car vous pouvez cocher les cases derrière les plateformes de streaming qui vous intéressent et ainsi voir le tarif sur un ou deux ans des différentes offres des opérateurs.
Voilà à quoi cela ressemble pour Bouygues Telecom, sans Disney+ et Netflix dans la première capture, et avec dans la seconde (les autres opérateurs sont dans le tableau complet) :
La Freebox Ultra par exemple vous coûtera 649 euros sur un an et 1 369 euros sur deux (avec Disney+, Netflix, Amazon Prime, Universal+ et Canal+ La Chaine en live. Pure Fibre sera respectivement à 336 et 624 euros.
Si on reprend le même calcul en ajoutant Netflix, Disney+ et Amazon Prime, le forfait de Bouygues Telecom passe à 564 et 1 079 euros. Pure Fibre garde l’avantage, mais le perd avec la Chaine Live de Canal+. Bref, à chacun de choisir en fonction des options qui l’intéressent.
Sur le lien ci-dessous, vous retrouvez le tableau comparatif sous la forme d’une feuille de calcul Spreadsheet de Google. Il est en lecture seule (vous ne pouvez donc pas cocher les cases), mais vous pouvez en créer une copie sur votre compte et le modifier ensuite comme vous le souhaitez.
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Lancé en octobre 2022, NumSpot est pour rappel une alliance entre quatre acteurs afin de développer une offre de « cloud souverain et de confiance ». On y retrouve Docaposte (filiale numérique du groupe La Poste et chef de file du projet), la Banque des Territoires, Dassault Systèmes et Bouygues Telecom.
En cette fin de semaine, « NumSpot annonce la commercialisation de sa plateforme de services au premier trimestre 2025 ». La plateforme, actuellement testée en version bêta, « intègrera des services d’infrastructure (IaaS) et des services de plateforme (PaaS) managés offrant ainsi aux utilisateurs une expérience complète ».
Au deuxième semestre, de nouvelles fonctionnalités seront ajoutées, notamment le multi-zones. Pour l’autoscaling, « mécanique de passage à l’échelle automatique, des services autour des données et des conteneurs », il faudra attendre 2026.
Certifications SecNumCloud et HDS en cours
NumSpot explique que sa solution « s’appuie sur des services disposant des qualifications et certifications conformes aux attentes de ces secteurs (HDS, SecNumCloud…), qui garantissent une mise en conformité plus facile et rapide avec les réglementations en vigueur telles que DORA, NIS2… ».
Mais la certification SecNumCloud n’est pas héréditaire, NumSpot n’en profite pas directement et doit en faire la demande. « Le dépôt du dossier de demande de qualification sur le périmètre de la plateforme cloud de NumSpot a été réalisé en septembre 2024 », ajoute la plateforme. Quant à HDS, « les travaux de mise en conformité de la plateforme NumSpot sont en cours. La certification est visée pour le premier semestre 2025 ».
Bleu (Orange, Capgemini et Microsoft) aussi est dans le processus de certification SecNumCloud, tandis que S3NS a pris un peu d’avance puisque le « jalon 0 » est déjà validé, « sans réserve ». S3NS (Thales et Google) espère une certification durant l’été 2025, soit un an après l’étape J0.
Lancé en octobre 2022, NumSpot est pour rappel une alliance entre quatre acteurs afin de développer une offre de « cloud souverain et de confiance ». On y retrouve Docaposte (filiale numérique du groupe La Poste et chef de file du projet), la Banque des Territoires, Dassault Systèmes et Bouygues Telecom.
En cette fin de semaine, « NumSpot annonce la commercialisation de sa plateforme de services au premier trimestre 2025 ». La plateforme, actuellement testée en version bêta, « intègrera des services d’infrastructure (IaaS) et des services de plateforme (PaaS) managés offrant ainsi aux utilisateurs une expérience complète ».
Au deuxième semestre, de nouvelles fonctionnalités seront ajoutées, notamment le multi-zones. Pour l’autoscaling, « mécanique de passage à l’échelle automatique, des services autour des données et des conteneurs », il faudra attendre 2026.
Certifications SecNumCloud et HDS en cours
NumSpot explique que sa solution « s’appuie sur des services disposant des qualifications et certifications conformes aux attentes de ces secteurs (HDS, SecNumCloud…), qui garantissent une mise en conformité plus facile et rapide avec les réglementations en vigueur telles que DORA, NIS2… ».
Mais la certification SecNumCloud n’est pas héréditaire, NumSpot n’en profite pas directement et doit en faire la demande. « Le dépôt du dossier de demande de qualification sur le périmètre de la plateforme cloud de NumSpot a été réalisé en septembre 2024 », ajoute la plateforme. Quant à HDS, « les travaux de mise en conformité de la plateforme NumSpot sont en cours. La certification est visée pour le premier semestre 2025 ».
Bleu (Orange, Capgemini et Microsoft) aussi est dans le processus de certification SecNumCloud, tandis que S3NS a pris un peu d’avance puisque le « jalon 0 » est déjà validé, « sans réserve ». S3NS (Thales et Google) espère une certification durant l’été 2025, soit un an après l’étape J0.
Nous terminons notre tour des solutions pour dépasser cette satanée limite du Gb/s sur nos ordinateurs avec une carte PCI Express dotée d’un port RJ45 à 2,5 Gb/s. Pour 17 euros et le sacrifice d’un emplacement PCIe sur votre machine, elle « fait le job ».
Début septembre, l’un de nos premiers Nextpresso (des tests express de produits informatiques) était consacré à un adaptateur USB vers RJ45 (Ethernet) à 2,5 Gb/s. Il coutait 17 euros seulement et faisait le job, sans trop chauffer.
Tour du propriétaire, Realtek aux commandes
On teste aujourd’hui un très proche cousin avec la version PCIe, elle aussi vendue 17 euros, mais on en trouve d’autres à partir de 15 euros. Il existe également des cartes avec deux ports RJ45 à 2,5 Gb/s pour moins de 40 euros.
On ne se refait pas : première opération avant même d’installer la carte : on enlève le radiateur pour découvrir, sans surprise, une puce Realtek RTL8125BG.
Le fabricant annonce une prise en charge du PCI Express 2.1 et la carte est au format x1. Cela signifie qu’elle peut prendre place dans un emplacement PCIe x1 sur une carte mère, mais aussi sur des emplacements x4, x8 et x16. Nous l’avons d’ailleurs installé sur l’unique port PCIe x16 de notre AB350 Gaming-ITX/ac de chez ASRock.
Avec une seule ligne (d’où le x1), le PCIe 2.1 propose un débit de 500 Mo/s, largement suffisant pour du 2,5 Gb/s en Ethernet qui plafonne aux alentours de 300 Mo/s en théorie, souvent un peu moins en pratique. Pour le reste, rien à signaler.
L’installation de la carte ne demande aucune attention particulière : on éteint son ordinateur, on la positionne dans un emplacement PCIe, on redémarre et le tour est joué. Elle est automatiquement reconnue sous Windows et Linux.
Dans les options, on retrouve des Jumbo Frame de 4k, 9k et 16k (4088, 9014 et 16128 bytes respectivement). On peut changer le VLANID et de quoi régler la fonction Wake on Lan pour démarrer une machine à distance en lui envoyant un « magic packet ».
2,5 Gb/s : promesse tenue ?
Reste donc la question des débits : on ne va pas tourner autour du pot : on s’approche des 2,5 Gb/s d’après le gestionnaire des taches de Windows (Windows 11 à jour, sur un Athlon 220G d’AMD avec 16 Go de mémoire vive.
Nous avons utilisé le générateur de fichiers intégré à la Freebox (via la commande http://adresseIpFreebox/gen/5G pour récupérer un fichier de 5 Go. Plusieurs mesures nous donnent un résultat moyen de 244 Mo/s, soit 2 Gb/s avec une conversion bête et méchante. Le résultat était le même avec plusieurs navigateurs : Brave, Edge et Firefox.
Temps moyen pour télécharger 5 Go : 21 secondes, soit 244 Mo/s
Attention à la charge CPU sur notre Athlon 220G
Par contre, notre processeur était à plus de 90 % d’utilisation pendant la quinzaine de secondes de téléchargement du fichier. Afin de vérifier si cela ne venait pas de notre système d’exploitation, nous avons réinstallé intégralement Windows sur un autre SSD (M.2 NVMe qui tient 1,4 Go/s en lecture et écriture), avec le même résultat.
Notre processeur (Athlon 220G avec 2C/4T) est clairement un CPU d’ancienne génération et daté, mais on voit qu’il est quand même capable de tenir les 2 Gb/s. Nous avons également installé une carte PCIe ASUS XG-C100F (PCIe 2.0 x4 et cage SFP+, pour 90 euros) afin de voir quel débit nous pouvions atteindre. On dépassait parfois les 500 Mo/s, mais on était plus souvent entre 300 et 400 Mo/s. Dans tous les cas, on ne saturait pas le lien à 10 Gb/s, contrairement au processeur qui était bien chargé.
Qu’importe, même sur un CPU poussif comme l’Athlon 220G la différence de débits entre une connexion à 1 Gb/s et une autre à 2,5 Gb/s se fait bien ressentir, sur une machine plus puissante cela ne pourra qu’aller mieux.
Maintenant qu’on a fait le tour des cartes, adaptateurs et switchs, on se retrouve la semaine prochaine pour un bilan et un tuto sur comment passer son réseau local en 2,5 Gb/s pour moins de 100 euros !
Nous terminons notre tour des solutions pour dépasser cette satanée limite du Gb/s sur nos ordinateurs avec une carte PCI Express dotée d’un port RJ45 à 2,5 Gb/s. Pour 17 euros et le sacrifice d’un emplacement PCIe sur votre machine, elle « fait le job ».
Début septembre, l’un de nos premiers Nextpresso (des tests express de produits informatiques) était consacré à un adaptateur USB vers RJ45 (Ethernet) à 2,5 Gb/s. Il coutait 17 euros seulement et faisait le job, sans trop chauffer.
Tour du propriétaire, Realtek aux commandes
On teste aujourd’hui un très proche cousin avec la version PCIe, elle aussi vendue 17 euros, mais on en trouve d’autres à partir de 15 euros. Il existe également des cartes avec deux ports RJ45 à 2,5 Gb/s pour moins de 40 euros.
On ne se refait pas : première opération avant même d’installer la carte : on enlève le radiateur pour découvrir, sans surprise, une puce Realtek RTL8125BG.
Le fabricant annonce une prise en charge du PCI Express 2.1 et la carte est au format x1. Cela signifie qu’elle peut prendre place dans un emplacement PCIe x1 sur une carte mère, mais aussi sur des emplacements x4, x8 et x16. Nous l’avons d’ailleurs installé sur l’unique port PCIe x16 de notre AB350 Gaming-ITX/ac de chez ASRock.
Avec une seule ligne (d’où le x1), le PCIe 2.1 propose un débit de 500 Mo/s, largement suffisant pour du 2,5 Gb/s en Ethernet qui plafonne aux alentours de 300 Mo/s en théorie, souvent un peu moins en pratique. Pour le reste, rien à signaler.
L’installation de la carte ne demande aucune attention particulière : on éteint son ordinateur, on la positionne dans un emplacement PCIe, on redémarre et le tour est joué. Elle est automatiquement reconnue sous Windows et Linux.
Dans les options, on retrouve des Jumbo Frame de 4k, 9k et 16k (4088, 9014 et 16128 bytes respectivement). On peut changer le VLANID et de quoi régler la fonction Wake on Lan pour démarrer une machine à distance en lui envoyant un « magic packet ».
2,5 Gb/s : promesse tenue ?
Reste donc la question des débits : on ne va pas tourner autour du pot : on s’approche des 2,5 Gb/s d’après le gestionnaire des taches de Windows (Windows 11 à jour, sur un Athlon 220G d’AMD avec 16 Go de mémoire vive.
Nous avons utilisé le générateur de fichiers intégré à la Freebox (via la commande http://adresseIpFreebox/gen/5G pour récupérer un fichier de 5 Go. Plusieurs mesures nous donnent un résultat moyen de 244 Mo/s, soit 2 Gb/s avec une conversion bête et méchante. Le résultat était le même avec plusieurs navigateurs : Brave, Edge et Firefox.
Temps moyen pour télécharger 5 Go : 21 secondes, soit 244 Mo/s
Attention à la charge CPU sur notre Athlon 220G
Par contre, notre processeur était à plus de 90 % d’utilisation pendant la quinzaine de secondes de téléchargement du fichier. Afin de vérifier si cela ne venait pas de notre système d’exploitation, nous avons réinstallé intégralement Windows sur un autre SSD (M.2 NVMe qui tient 1,4 Go/s en lecture et écriture), avec le même résultat.
Notre processeur (Athlon 220G avec 2C/4T) est clairement un CPU d’ancienne génération et daté, mais on voit qu’il est quand même capable de tenir les 2 Gb/s. Nous avons également installé une carte PCIe ASUS XG-C100F (PCIe 2.0 x4 et cage SFP+, pour 90 euros) afin de voir quel débit nous pouvions atteindre. On dépassait parfois les 500 Mo/s, mais on était plus souvent entre 300 et 400 Mo/s. Dans tous les cas, on ne saturait pas le lien à 10 Gb/s, contrairement au processeur qui était bien chargé.
Qu’importe, même sur un CPU poussif comme l’Athlon 220G la différence de débits entre une connexion à 1 Gb/s et une autre à 2,5 Gb/s se fait bien ressentir, sur une machine plus puissante cela ne pourra qu’aller mieux.
Maintenant qu’on a fait le tour des cartes, adaptateurs et switchs, on se retrouve la semaine prochaine pour un bilan et un tuto sur comment passer son réseau local en 2,5 Gb/s pour moins de 100 euros !
C’est, en effet, le 18 novembre 2014 que le projet a été annoncé officiellement. Son ambition était de devenir une autorité de certification gratuite permettant à tout un chacun d’avoir un certificat SSL/TLS. Il était alors lancé par l’Internet Security Research Group (ISRG), qui regroupait notamment Mozilla, l’Electronic Frontier Foundation (EFF), l’Internet Society, Akamai, Cisco et Automattic.
L’attente aura été longue avant que la beta publique n’arrive, en décembre 2015. Un mois avant, Let’s Encrypt signait un accord avec l’autorité de certification IdenTrust, permettant à ses certificats d’être reconnus par pratiquement tous les navigateurs existants. Un rappel toujours salutaire : un cadenas ne signifie pas qu’un site est fiable, simplement que la liaison est sécurisée.
Début 2016, nous avions publié un long dossier sur l’arrivée de Let’s Encrypt et la tentative ratée CAcert, une « Autorité de Certification communautaire qui émet gratuitement des certificats pour tous » fondée en 2003. Problème, faute d’accord comme celui entre let’s Encrypt et IdenTrust, CAcert n’a jamais vraiment pu décoller.
On parle d’une époque lointaine où Next INpact (c’était notre nom de l’époque) entamait sa transition vers HTTPS… Depuis, nous avons toujours eu à cœur de respecter la confidentialité et la vie privée. Notre site est pour rappel sans aucune publicité, ni trackeur, ni cookies tiers pour l’ensemble des visiteurs (abonnés ou non). C’est d’ailleurs pour cela que nous n’avons pas besoin de vous afficher de bandeau RGPD.
C’est, en effet, le 18 novembre 2014 que le projet a été annoncé officiellement. Son ambition était de devenir une autorité de certification gratuite permettant à tout un chacun d’avoir un certificat SSL/TLS. Il était alors lancé par l’Internet Security Research Group (ISRG), qui regroupait notamment Mozilla, l’Electronic Frontier Foundation (EFF), l’Internet Society, Akamai, Cisco et Automattic.
L’attente aura été longue avant que la beta publique n’arrive, en décembre 2015. Un mois avant, Let’s Encrypt signait un accord avec l’autorité de certification IdenTrust, permettant à ses certificats d’être reconnus par pratiquement tous les navigateurs existants. Un rappel toujours salutaire : un cadenas ne signifie pas qu’un site est fiable, simplement que la liaison est sécurisée.
Début 2016, nous avions publié un long dossier sur l’arrivée de Let’s Encrypt et la tentative ratée CAcert, une « Autorité de Certification communautaire qui émet gratuitement des certificats pour tous » fondée en 2003. Problème, faute d’accord comme celui entre let’s Encrypt et IdenTrust, CAcert n’a jamais vraiment pu décoller.
On parle d’une époque lointaine où Next INpact (c’était notre nom de l’époque) entamait sa transition vers HTTPS… Depuis, nous avons toujours eu à cœur de respecter la confidentialité et la vie privée. Notre site est pour rappel sans aucune publicité, ni trackeur, ni cookies tiers pour l’ensemble des visiteurs (abonnés ou non). C’est d’ailleurs pour cela que nous n’avons pas besoin de vous afficher de bandeau RGPD.
Il y a quelques semaines, Refuznik nous a proposé une vidéo de Nota Bonus (la chaine bonus de Nota Bene) dans laquelle il reçoit avec Anthony Galluzzo autour du sujet : « Le mythe de l’entrepreneur : on casse les clichés ».
Dans un précédent LIDD, Anthony Galluzzo était déjà revenu sur « le “mythe de l’entrepreneur”, une contre-histoire d’Apple » dans le cadre d’un podcast chez France Culture. Rien de surprenant sur le fond puisqu’il a écrit un livre sur le sujet.
« Quand on parle de Steve Jobs, plusieurs idées peuvent nous venir en tête, comme ses débuts dans un garage où il serait parti de rien, le fait qu’il serait un génie, un modèle à suivre… Et cette figure de l’entrepreneur, elle est loin de ne concerner que lui, et ne date d’ailleurs pas d’aujourd’hui, puisqu’elle remonte à la fin du 19e siècle, avec Thomas Edison par exemple ! Une figure, qui n’est d’ailleurs pas si réelle que ça… ».
Il y a quelques semaines, Refuznik nous a proposé une vidéo de Nota Bonus (la chaine bonus de Nota Bene) dans laquelle il reçoit avec Anthony Galluzzo autour du sujet : « Le mythe de l’entrepreneur : on casse les clichés ».
Dans un précédent LIDD, Anthony Galluzzo était déjà revenu sur « le “mythe de l’entrepreneur”, une contre-histoire d’Apple » dans le cadre d’un podcast chez France Culture. Rien de surprenant sur le fond puisqu’il a écrit un livre sur le sujet.
« Quand on parle de Steve Jobs, plusieurs idées peuvent nous venir en tête, comme ses débuts dans un garage où il serait parti de rien, le fait qu’il serait un génie, un modèle à suivre… Et cette figure de l’entrepreneur, elle est loin de ne concerner que lui, et ne date d’ailleurs pas d’aujourd’hui, puisqu’elle remonte à la fin du 19e siècle, avec Thomas Edison par exemple ! Une figure, qui n’est d’ailleurs pas si réelle que ça… ».
Avec ses nouvelles puces Snapdragon X Plus et Elite, Qualcomm est revenu en force sur le marché des ordinateurs portables. Ce n’est pas sa première tentative, mais elle porte cette fois ses fruits. Ces puces utilisent des cœurs CPU maison Oryon (architecture Arm).
Il y a tout juste un mois, Qualcomm annonçait son SoC Snapdragon 8 Elite pour les smartphones, avec là encore des cœurs Oryon. Le fabricant précisait qu’il s’agissait de cœurs de seconde génération, sans plus de détails.
Lors de sa journée Investor Day, Qualcomm a parlé de sa troisième génération de cœur Oryon, de nouveau pensé pour les ordinateurs portables… Ce qui n’est pas des plus simples à suivre et promet quelques mélanges entre les cœurs « Oryon » pour smartphones et ceux pour ordinateurs.
Quoi qu’il en soit, cette troisième génération (mais qui serait la seconde itération pour les ordinateurs portables) devrait être présentée en fin d’année prochaine lors du Snapdragon Summit. Elle pourrait s’appeler Snapdragon X Elite Gen 2, sauf si Qualcomm décide encore une fois de chambouler ses gammes…
Selon cette capture partagée par ComputerBase, les performances de la 2e génération des cœurs Oryon seraient 30 % supérieures à consommation égale et la consommation en baisse de 57 % à performances égales, le tout sur Geekbench avec un seul cœur actif. Mais ce n’est pas ce cœur qu’on devrait retrouver dans les Snapdragon X Elite Gen 2, mais bien la troisième génération qui devrait encore améliorer les choses.
Qualcomm devrait aussi continuer de décliner ses puces vers l’entrée de gamme, et prévoit des machines à partir de 600 dollars. Cet été, le fabricant a pour rappel lancé son premier SoC Snapdragon X Plus avec 8 cœurs seulement, au lieu de 10 auparavant.
Avec ses nouvelles puces Snapdragon X Plus et Elite, Qualcomm est revenu en force sur le marché des ordinateurs portables. Ce n’est pas sa première tentative, mais elle porte cette fois ses fruits. Ces puces utilisent des cœurs CPU maison Oryon (architecture Arm).
Il y a tout juste un mois, Qualcomm annonçait son SoC Snapdragon 8 Elite pour les smartphones, avec là encore des cœurs Oryon. Le fabricant précisait qu’il s’agissait de cœurs de seconde génération, sans plus de détails.
Lors de sa journée Investor Day, Qualcomm a parlé de sa troisième génération de cœur Oryon, de nouveau pensé pour les ordinateurs portables… Ce qui n’est pas des plus simples à suivre et promet quelques mélanges entre les cœurs « Oryon » pour smartphones et ceux pour ordinateurs.
Quoi qu’il en soit, cette troisième génération (mais qui serait la seconde itération pour les ordinateurs portables) devrait être présentée en fin d’année prochaine lors du Snapdragon Summit. Elle pourrait s’appeler Snapdragon X Elite Gen 2, sauf si Qualcomm décide encore une fois de chambouler ses gammes…
Selon cette capture partagée par ComputerBase, les performances de la 2e génération des cœurs Oryon seraient 30 % supérieures à consommation égale et la consommation en baisse de 57 % à performances égales, le tout sur Geekbench avec un seul cœur actif. Mais ce n’est pas ce cœur qu’on devrait retrouver dans les Snapdragon X Elite Gen 2, mais bien la troisième génération qui devrait encore améliorer les choses.
Qualcomm devrait aussi continuer de décliner ses puces vers l’entrée de gamme, et prévoit des machines à partir de 600 dollars. Cet été, le fabricant a pour rappel lancé son premier SoC Snapdragon X Plus avec 8 cœurs seulement, au lieu de 10 auparavant.