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Imperium : un retro-FPS indé dans un univers heroic-fantasy

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Par : Fluxx

On ne l’avait pas vu passer mais ce 7 novembre est sorti un trailer de gameplay d’un nouveau jeu : Imperium. Oubliez les pistolets, le C4 et les drones, l’ambiance du jeu, c’est plutôt épées, haches et sortilèges. Une grande guerre a éclaté entre l’Impérium et une secte de nécromanciens. Vous, vaillant paladin, devez conquérir des forteresses au nom de l’empreur. Pour ça, il est possible d’ensorceler des armes, apprendre des sorts et concocter des potions. Rien de réellement extraordinaire, mais pourquoi pas, si c’est bien fait ?

Imperium est un round-based FPS (mais si, comme le mode zombie de Call of Duty !), dans lequel il faut survivre à des hordes de nécromanciens radicaux qui cherchent à attaquer nos forteresses. Dans le trailer, on peut apprécier l’effet rétro qui est assez bien rendu ainsi que les combats bien nerveux comme on les aime. Dommage qu’on ne puisse pas en voir plus sur ce qui nous attend pour les armes de mêlée. Heureusement, on peut déjà entrevoir une belle diversité de sorts.

Aucune date pour la sortie du jeu n’a été communiquée pour le moment. Cependant, si Imperium vous fait de l’œil, restez à l’affût des dernière informations sur sa page Steam.

[TEST] Kvark, le jeu qui Tchèque toutes les cases du bon rétro-FPS

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Par : Fluxx

On vous en parlait pour la première fois en mai 2023, Kvark avait attiré notre curiosité pour ses similitudes esthétiques avec Half-Life et de son gunplay bien bourrin. Le jeu avait dans l’ensemble emballé la rédac. À titre personnel, je dois reconnaître que j’avais de gros à priori et je m’attendais vraiment à tester un jeu bien chiant, sans grand intérêt. Pourtant, j’aurais dû faire confiance à mes chers collègues (comme souvent) et notamment à Fcp qui avait eu un bon feeling lors de sa sortie en accès anticipé en juin 2023. Énigmes, rapidité, ambiance au poil et entrailles sur les murs, pas le temps de s’ennuyer dans Kvark.

Genre : Rétro-FPS – action – horreur | Développeur : Latest Past, Perun Creative | Éditeur : Perun Creative | Plateforme : Steam | Prix : 19,50  | Configuration minimale : Processeur 2,4 GHz Quad Core, 4 Go de RAM, carte graphique intégrée | Langues : Anglais, sous-titres en anglais | Date de sortie : 03/10/2024 | Durée : de 10 à 15 heures

Test réalisé avec une version fournie par l’éditeur.

Un scénario discret, voire inexistant

Jouer à Kvark pour l’ambiance : oui. Y jouer pour le gunplay : bien sûr. Par contre, faire le jeu pour son scénario : clairement pas. On ne va pas se mentir, on sent que l’accent n’a pas été mis là-dessus. Il est, dans le meilleur des cas, très timide. Et dans le pire, totalement invisible. Concrètement, une courte vidéo de propagande soviétique nous apprend qu’on est un ouvrier en République Tchèque dans les années 80. Sans transition, on se réveille au milieu d’une espèce de bunker où visiblement, il ne fait pas bon vivre. Forcément, histoire de ne pas être dans le cliché, nucléaire et radioactivité sont au programme. Gardiens du souterrain mécontents, rats mutants ou gros monstres en tous genres, tout le monde semble nous en vouloir. L’ambiance de Kvark est plutôt étouffante. Les couloirs sombres, la musique inquiétante et les ennemis qui surgissent de n’importe où, entrainent un sentiment d’asphyxie même dans les moments calmes. C’est clairement l’une des grosses réussites du jeu.

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 Des armes plutôt classiques, mais un gunplay réussi

Heureusement, on peut se défendre avec un arsenal au gunplay bien vénère comme on les aime chez NoFrag. Les armes sont dans l’ensemble plutôt classiques, mais assez variées. Pistolets, fusils à pompes, fusils d’assaut ou encore snipers, il y en a pour tous les goûts. L’obtention progressive d’armes plus exotiques vient vraiment donner un rythme à la progression. Dans la deuxième moitié du jeu, il est possible d’en trouver de plus atypiques, avec notamment une arbalète ou un pistolet électrique, qui donnent une autre dimension aux fights. Seul petit bémol : les munitions. À plusieurs moments dans le jeu, elles se font rares, ce qui vient compliquer grandement certains combats. Mais au final, Kvark offre quelques bons quarts d’heure de rage pour notre plus grand bonheur.

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Un gameplay qui se renouvelle

Pour avancer dans Kvark, c’est au joueur d’utiliser sa matière grise, car très peu d’informations sont communiquées sur les actions à effectuer. Même si les tâches sont plutôt simples, il est quand même possible de se sentir un peu perdu au début. Comme pour les armes, le gameplay se développe tout au long de l’histoire et nous maintient en haleine malgré le scénario relayé au second (voire troisième) plan.  Avec des séquences de combats, d’autres de réflexion ou d’exploration, on redécouvre le jeu à chaque niveau avec également des nouvelles tâches ou des nouveaux éléments de décors. À la fin du premier chapitre par exemple, on doit se déplacer avec des wagons de mineurs pour ne pas tomber dans un liquide toxique. Bien qu’anecdotique, ça donne de la nouveauté dans le gameplay et évite l’impression d’explorer, tirer, réexplorer et re-tirer bêtement.

Une atmosphère lourde et étouffante

L’ambiance est clairement l’un des points forts de Kvark. On se croirait réellement dans ce souterrain soviétique des années 80 en pleine guerre froide. Je me suis d’ailleurs aperçu de l’absence totale de dialogues à plus de la moitié du jeu. La musique, les bruits d’ambiance et autres effets sonores suffisent à nouer le ventre et dresser les poils sur les bras. L’atmosphère, lourde et étouffante, ne laisse aucun répit même dans les moments les plus calmes du jeu. Autres réussites : le gunplay bien nerveux et le gameplay qui ne cesse de se renouveler. Malgré quelques petites lacunes dans le scenario et quelques longueurs dans le premier chapitre, Kvark s’avère un rétro-FPS bien palpitant. 

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à trier le bon grain de l’ivraie.

The Outlast Trials : encore des nouveautés avec Project Geister

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Par : Fluxx

On vous a beaucoup parlé de The Outlast Trials, le dernier opus – en coop – de la saga. Notre cher MathMoite avait passé un bon moment sur le jeu et vous l’avait fait découvrir lors d’un stream il y a un an. Aujourd’hui, l’événement temporaire Project Geister apporte son lot de nouveautés, avec une première partie du 29 octobre au 12 novembre et d’une seconde du 12 au 26 novembre. Au programme : nouvelles quêtes, mini-jeux ou encore une initiation à la médecine avec des fouilles d’organes.

Si cette mise à jour ne semble pas révolutionner le jeu, le studio Red Barrels propose quand même pas mal de nouveautés. Un nouveau catalogue est disponible, contenant des éléments à débloquer grâce à des jetons d’événement. Pour en gagner, il faut accomplir des quêtes en allant notamment prélever des organes dans des cadavres pour ensuite les analyser (miam). Côté psychologique, les pseudos des joueurs ont été masqués et le nombre d’imposteurs augmenté. Des petits ajouts et correctifs ont également été ajoutés avec notamment le cadavre des coéquipiers qui apparaît aux rayons X.

Si pour Halloween, l’expérience Project Geister vous tente et que vous êtes en quête de tripes et d’entrailles, The Outlast Trials est disponible en promotion à 26 euros sur Steam et à 24 euros sur l’Epic Games Store.

STRAFTAT : un 1 vs 1 online, rapide et gratuit

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Par : Fluxx

On l’avait raté lors de sa sortie ce 24 octobre 2024, pourtant Straftat semble plutôt fun pour de petites parties rapides entre potes. Les plus perspicaces auront repéré le coup de patte de Sirius et Léonard Lemaitre. Ils avaient sorti en 2022, le jeu d’exploration urbaine en vu subjective Babbdi. Aujourd’hui, ils ont changé de style pour un FPS 1 vs 1 online avec un gamedesign qui n’est pas sans rappeler le premier Half-Life.

Uniquement en ligne, Straftat est un jeu PVP où seuls deux joueurs s’affrontent. Au total ce sont 70 maps qui sont proposées, avec son lot d’armes pour chacune d’entre elles. Le gunplay semble plutôt sympa avec des armes classiques (fusil d’assaut, double pistolets, pompes, sniper etc.), mais aussi des armes plus originales comme un blaster digne des vieux classiques de la science-fiction. Les mouvements paraissent fluides et les déplacements assez rapides. Si le personnage ressemble à un alien un peu dégueu, il sera possible de le customiser avec des chapeaux et d’autres accessoires de mode pour le rendre encore plus moche.

Si vous souhaitez défier des potes ou d’autres joueurs, Straftat est disponible gratuitement sur Steam.

Merci à Toninus pour l’info.

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