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Jean-Pierre Robin: «En pleine hystérie fiscale à l’Assemblée nationale, le consentement à l’impôt se rappelle à notre bon souvenir»

ANALYSE - Quasi-championne mondiale des dépenses publiques et des prélèvements obligatoires, la France se trouve dans l’obligation de faire admettre à sa population de consentir à des financements plus massifs qu’ailleurs.

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Pour Laurent Saint-Martin, ministre du Budget et des Comptes publics, «si nous taxons trop, nous briserons le consentement à l’impôt».

Aurélie Jean : «Si nos boîtes étaient gérées comme l'État gère sa dette, elles couleraient»

FIGAROVOX/CHRONIQUE - La volonté du gouvernement d’augmenter les impôts pour redresser nos finances publiques traduit son absence totale de vision à long terme, estime notre chroniqueuse.

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Vue extérieure du bâtiment du ministère français de l'économie et des finances sur la berge de la Seine dans le quartier parisien de Bercy.

«Le Canada a montré que remettre de l'ordre dans les comptes publics tout en baissant les impôts, c'est possible !»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans les années 1990, le Canada est passé d'une situation de déficit avoisinant les 10 % à une situation d'équilibre en baissant en même temps les dépenses publiques et la fiscalité, expliquent Kevin Brookes, chercheur associé à l'Institut économique de Montréal et Louise Baroin.

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L’ancien premier ministre canadien Jean Chrétien, au Forum économique de Djeddah, le 26 février 2007.

Jordan Bardella : «La croissance, cette arme méprisée face au mur de la dette»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Si le redressement des comptes publics est un impératif absolu pour résorber la dette, il est avant tout nécessaire de stimuler la croissance en déverrouillant les contraintes qui pèsent sur notre économie, plaide le président du Rassemblement national.

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Jordan Bardella au Parlement européen, à Bruxelles, le 12 mars 2024.

Emmanuel Macron et Bruno Le Maire étaient-ils «trop intelligents» pour gérer l’économie française ?

TRIBUNE - Contrairement à ce qu’ils déclarent, le président de la République et son ancien ministre de l’Économie ont mené les finances publiques au bord du gouffre, et miné la confiance nécessaire à une économie saine, argumente Hervé Morin, le président (Les Centristes) de la région Normandie.

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Hervé Morin.

Jean-Pierre Robin : «Un effort de 1474 euros par foyer français en 2025 pour sauver les finances publiques»

ANALYSE - Dans la présentation du projet de loi de finances, la clarté fait clairement défaut. Il est pourtant possible de mesurer à l’euro près les sacrifices demandés aux Français.

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Le dérapage des comptes publics est sans précédent sous la Ve République et demeure «inexpliqué», selon Pierre Moscovici, le premier président de la Cour des comptes.

Arnaud Montebourg : «Déjà dépendante des médicaments étrangers, la France ferait une grave erreur en cédant le Doliprane»

ENTRETIEN - Pour l’ancien ministre de l’Économie, l’exécutif doit à tout prix s’opposer à cette cession au fonds d'investissement américain CD&R, dont la France paierait très cher les conséquences.

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Selon Arnaud Montebourg, la fréquence de ces pénuries a été multipliée par 20 entre 2008 et 2018.

«Taxer davantage l’électricité aurait des conséquences délétère sur la décarbonation, la souveraineté et l'économie du pays»

FIGAROVOX/TRIBUNE - Le gouvernement, qui envisage d’augmenter la taxe sur l’électricité dès février prochain, devrait plutôt chercher à réduire la dépendance française aux combustibles fossiles, coûteux et polluants, expliquent les experts en énergie Maxence Cordiez et Nicolas Goldberg.

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«Pour que les consommateurs – particuliers et professionnels – choisissent l'électricité par rapport au pétrole ou au gaz fossile, encore faut-il qu'ils y voient un intérêt économique.»

Jean-Pierre Robin : «Taxer les pauvres, demander plus à l’impôt et moins au contribuable, les deux conseils d'Alphonse Allais»

ANALYSE - Pour redresser les finances publiques, l’écrivain formulait deux conseils sur le ton de l’humour. Mais ne faudrait-il pas les prendre au pied de la lettre ?

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L'écrivain humoriste touche-à-tout qui vécut du second Empire à la Belle Époque (1854-1905), se révèle être un fiscaliste d'une grande originalité.
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