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Acer Predator Triton 14 AI : un 14.5″ gaming OLED avec stylet actif

Compact, performant et exploitable comme une tablette. Le Acer Predator Triton 14 AI semble répondre à pas mal de critères chez les utilisateurs aujourd’hui.

Le Acer Predator Triton 14 AI répond à un vœu que j’ai formulé il y a plusieurs années pour inciter les marques à sortir leurs machines du lot. Je parle d’un temps assez lointain où les constructeurs proposaient tous les mêmes netbook 10 pouces équipés des mêmes composants. À l’époque, j’avais suggéré de proposer des engins spécialisés. Un modèle abordable avec un petit clavier musical intégré par exemple, un autre avec une tablette tactile. L’idée étant de pouvoir balader sa minimachine pour autre chose que ce que proposaient tous les constructeurs tout en ajoutant un petit clavier classique Bluetooth au package pour une exploitation plus traditionnelle.

Un paquet d’année plus tard, voilà que le Acer Predator Triton 14 AI se présente. Alors ce n’est pas tout à fait le même concept, car l’engin n’est pas vraiment taillé pour enfiler des habits low-cost, mais il propose bien une surface exploitable avec un stylet actif sur son pavé tactile haptique. Sous un clavier de type chiclets rétroéclairé, on retrouve une surface en verre Gorilla Glass de Corning qui permet la manipulation d’un stylet actif. Ce dernier offre 4096 niveaux de pression, prend en charge l’orientation du trait et réagit à des pressions de 10 à 450 grammes. Mieux, Acer a fait l’effort d’assurer une large compatibilité pour son stylet. Celui-ci est compatible avec les normes AES 2.0, USI 2.0 et MPP 2.5 pour utiliser des modèles que vous avez déjà.

Dans le triton tout est bon

Le nouvel Acer Predator Triton 14 AI propose un châssis fin et léger. Avec 32.2 cm de large pour 22.1 cm de profondeur, le constructeur a réussi une très belle intégration. Si on considère la dalle et l’équipement de l’engin, le résultat est encore plus incroyable quand on considère son épaisseur de 17 mm et un poids total de 1.6 Kg.

Je ne connais pas le secret d’Acer pour intégrer les composants de cet engin, mais c’est impressionnant. On retrouve une dalle de 14.5 pouces OLED tactile en 2880 x 1800 pixels avec un rafraichissement de 120 Hz, un rafraichissement de 1 ms et une colorimétrie contrôlée correspondant à 100% de la gamme DCI-P3. Chaque dalle est testée en usine pour proposer un affichage parfait. 

Pour alimenter ces 5 184 000 pixels on retrouvera des puces Lunar Lake pouvant aller jusqu’au Core Ultra 9 288V. La partie graphique est confiée à un circuit NVIDIA GeForce RTX 5070. La mémoire vive « LunarLakienne » sera de la LPDDR5x-8533 dépendant de la puce et donc jusqu’à 32 Go embarqués. Le stockage est un classique M.2 2280 NVMe PCIE 4.0 pouvant grimper à 2 To.

Un module sans fil Intel Killer 1750i proposera du Wi-Fi7  et du Bluetooth 5.4. La connectique est assez complète avec un Thunderbolt 4, un USB 3.2 Type-C, deux USB 3.2 Type-A, une sortie vidéo HDMI 2.1, un jack audio combo 3.5 mm et un lecteur de cartes MicroSDXC. La machine pourra piloter trois écrans externes en plus du sien puisque le port USB Type-C prend en charge un signal DisplayPort 1.4. À noter par ailleurs qu’un des ports USB Type-A permet la recharge même PC éteint.

Une webcam FullHD est présente avec micro et détection biométrique infrarouge. La restitution sonore sera assurée par un dispositif DTS:X piloté par un ensemble de six haut-parleurs. Pas de détail sur l’autonomie, juste que la batterie est une 76 Whr sans précision de recharge rapide.

Un Acer Predator Triton 14 AI qui vise autant les créatifs que les joueurs

Chose intéressante chez Acer, son Triton n’est plus seulement à la recherche de clients orientés vers le jeu. La marque embrasse désormais les deux communautés : créateurs et joueurs. Il faut dire que cela fait un moment que ces deux communautés sont probablement très mixtes. Je connais peu de musiciens, graphistes ou vidéastes qui ne s’amusent pas un peu sur leurs machines. Inversement, je vois également pas mal de joueurs qui passent du temps à réaliser des vidéos, des images, de la musique ou des productions 3D. Il faut dire qu’avec une majorité de Français joueurs, il y a peu de chances de taper à côté de la cible en orientant les deux usages.

C’est néanmoins encore assez rare de voir des marques cibler aussi frontalement les deux usages mais je pense que c’est la bonne méthode. Surtout au vu des prix demandés. Le fait de recourir à des dalles calibrées en usines par Calman est un avantage pour les deux profils. La présence d’une solution Nvidia intéressera le joueur pour les capacités de calcul, le DLSS4 et les fonctions liées. Mais aussi les créateurs avec l’apport du Nvidia Studio. 

Les Lettres RGB du clavier, le châssis usiné en métal, le revêtement anti-traces, la partie audio évoluée, tout cela à du sens pour tous les utilisateurs et permettra de faire passer la pilule du prix plus aisément. Le tarif n’est en effet pas des plus abordable. La gamme démarre à partir de 2999€.

Acer Predator Triton 14 AI : un 14.5″ gaming OLED avec stylet actif © MiniMachines.net. 2025

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Labyrinth Of The Demon King, le Dungeon Crawler à la sauce teriyaki, est sorti

Découvert lors du Steam Neo Fest de février, Labyrinth Of The Demon King, un dunjeon crawler se déroulant dans le Japon féodal, s’était distingué par son esthétique emprunté des jeux de l’ère PSone et ses combats lents et qui manquaient de punch. En ce début de semaine, le jeu est sorti et semble être apprécié par les joueurs qui ont laissé une note globale positive. Malgré tout, certains utilisateurs pestent sur le gameplay mal foutu du jeu et la présence de bugs qui entachent l’expérience. L’ambiance horrifique semble plutôt réussie et les ennemis tout droit sortis du folklore japonais ont l’air variés, mais cons comme leurs pieds.

Du côté de l’histoire, vous incarnerez un fantassin avide de vengeance et prêt à se lancer dans le labyrinthe du roi démon pour tuer ce dernier. Pour lutter contre des sbires monstrueux et atteindre votre objectif, vous pourrez utiliser diverses armes de mêlée et mousquets, ainsi que récupérer des talismans et des armures.

Si vous êtes intéressé par cette aventure horrifique japonaise, Labyrinth Of The Demon King est actuellement en promotion pour son lancement à -20 % sur Steam ou GoG, soit moins de 16 € pour le premier et quelques centimes d’euros de moins pour le second.

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How 2 Escape revient le 24 juin avec une suite : Lost Submarine

Il y a de cela quelques années, on vous avait brièvement parlé de notre expérience plutôt sympathique sur le puzzle game coopératif How 2 Escape. Un jeu pour le moins original, puisque le principe de ce dernier réside dans l’utilisation d’une appli mobile dédiée qui permet à un deuxième joueur d’intervenir, créant deux expériences complètement différentes en fonction de votre rôle. Pour être clair, la communication est la clé de la réussite dans ce jeu qui fait bosser vos méninges et la coordination de votre binôme !

Alors que ce premier titre développé à Lyon par le petit studio BreakFirst Games se déroulait dans un train, ce second opus aura lieu – vous l’aurez deviné – dans un sous-marin ! C’est d’ailleurs via la chaîne Youtube de l’éditeur Maximum Entertainment que l’on apprend la date de sortie fixée au 24 juin prochain. Au programme donc, escape room sous les flots avec toujours plus d’énigmes à résoudre à l’aide de vos deux cerveaux.

Pour les curieux, How 2 Escape premier du nom est toujours dispo, tandis que vous pouvez dès à présent mettre le nouveau How 2 Escape : Lost Submarine en wishlist. Une démo est également disponible sur la page Steam, si vous voulez voir ce que ça donne en attendant la release. Et si vous vous décidez à précommander le jeu avant le 8 juin, vous aurez droit à 20% de réduction sur le titre, qui vous reviendra donc à 10€.

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Un boitier à imprimer en 3D pour travailler avec votre Steam Deck

Proposé à 9€ sur Cults3D, l’ensemble des fichiers nécessaires à cette impression sur Cults3D permet de retrouver dans une coque de protection solide, la console Steam Deck et un clavier Logitech Pebble Keys 2 K380s Bluetooth ou Peeble 2 Combo. Un duo qui fonctionne extrêmement bien puisque les deux appareils ont sensiblement la même taille.

Le boitier peut être imprimé dans différents matériaux même si l’auteur a préféré utiliser un filament PET-G pour plus de solidité. Du TPU a été utilisé pour les protections anti-dérapantes mais cela peut être remplacé par des éléments externes facilement.

Le boitier permet de poser face à face la console Steam Deck et le clavier comme une sorte de netbook pour travailler ou pour adresser certains jeux qui se satisfont plus de l’interface classique du PC. La présence d’un mode « bureau » sur le Deck autorise en réalité l’emploi de logiciels permettant la saisie et le format peut donc être intéressant en mobilité.

Le reste du boitier propose des fonctions intéressantes comme une béquille, une poignée mais aussi un support VESA pour pouvoir le fixer à un pied.

La partie technique est assez classique même s’il faut une grosse imprimante 3D pour pouvoir imprimer l’objet. Au moins 300 mm de large pour une impression en un unique morceau. Une version en deux éléments ne nécessitera qu’une imprimante classique avec plateau divisé en deux. Les réglages appliqués pour les impressions sont indiqués par l’auteur. 

Il faudra ajouter quelques vis M2 et M3 et inserts pour réaliser les différentes charnières de l’objet. L’auteur a également disposé un « lit » en mousse EVA pour protéger la console en interne en la calant dans son épaisseur.

Le résultat est assez réussi, il rapproche la console d’un objet que j’affectionne beaucoup et devrait pouvoir être décliné et/ou adapté à différents modèles concurrents au Steam Deck. Il n’est pas spécialement plus grand que ce que propose la pochette officielle de Valve et propose un emballage peut être plus résistant. 

Evidemment, si vous cherchez un vrai netbook avec un écran un peu plus grand, je ne peux que vous conseiller de partir visiter la page de présentation du Chuwi Minibook X 2025 actuellement en promo.

Chuwi MiniBook X 2025 : le netbook 10.51″ Intel N150 à 264€ !

Un boitier à imprimer en 3D pour travailler avec votre Steam Deck © MiniMachines.net. 2025

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PIGFACE, le rétro-FPS violent et malsain, se trouve un éditeur

Découvert l’année dernière, PIGFACE, développé par le dev solo tito, est un rétro-FPS dans lequel vous incarnerez une personne ensanglantée se réveillant dans un entrepôt abandonné. Soudainement, une voix mystérieuse vous sommera de tuer quiconque se dressera sur votre chemin et cerise sur le gâteau, une bombe implantée dans votre tête s’activera si vous n’obéissez pas. À la rédac, on avait bien apprécié la démo pour son gunplay et son ambiance. Cette dernière est d’ailleurs toujours disponible sur sa page itch.io.

Sans nouvelle depuis, ce n’est qu’en début de semaine dernière que l’éditeur Dread XP (The Mortuary Assistant, Red Tape, My Friendly Neighborhood ou encore Dread X Collection) a​ publié un trailer sur sa chaîne officielle YouTube pour annoncer que PIGFACE rejoint leur catalogue de jeux et dispose désormais d’une page Steam. On y apprend que le synopsis a quelque peu changé, à savoir que vous incarnerez un individu au passé horrible contraint de remplir des contrats d’assassinat pour ne pas voir sa tête exploser. Avec l’argent obtenu à la fin de chaque partie, vous pourrez acheter de nouvelles armes et débloquer des masques offrant des capacités spécifiques.

Pour le moment, PIGFACE n’a pas de date de sortie prévue. En attendant de nouvelles infos, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

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Lenovo Legion Tab Y700 G4 : la tablette se prend pour une console

C’est une option, la Legion Tab Y700 G4 proposera un accessoire pour s’enfermer dans un format de console plus classique. Afin de rivaliser avec les Switch et autres Steam Deck, Lenovo propose une coque plutôt intéressante.

Le constructeur propose ces tablettes depuis un moment avec des évolutions intéressantes à chaque itération. On a eu la Y700 de 2023 par exemple, puis une version 2024 encore plus musclée. Le modèle 2025 va essayer de peaufiner son ergonomie.

Ne pas confondre : un système sous Android et des mains d’androïde.

Les basiques ne changent pas trop, la Lenovo Legion Tab Y700 G4 est une tablette de 8.8 pouces désormais en 3040 x 1904 pixels grâce à une dalle IPS 165 Hz affichant une luminosité de 600 nits ainsi qu’une couverture à 100% de la norme DCI-P3. Plus lumineuse et mieux définie que le modèle précédent, elle sera également plus rapide. Son nouveau SoC est un Qualcomm Snapdragon 8 Elite qui embarque des cœurs Oryon et non plus le modèle à base de Kryo de l’année dernière. Sa mémoire est de type LPDDR5x-9600 avec de 12 à 16 Go au total. Son stockage est confié à une solution UFS 4.1 très rapide allant de 256 à 512 Go avec la possibilité de l’étendre grâce à un lecteur de cartes MicroSDXC annoncé comme compatible avec des cartes de 2 To.

La tablette propose toujours un encombrement assez classique grâce à des bordures fines, elle mesure 20.8 cm de large pour 12.9 cm de profondeur et 7 mm d’épaisseur. Son poids total culmine à 340 grammes avec une batterie 7600 mAh. Elle se recharge grâce à un bloc secteur en USB Type-C en 68W.

Mais le coup de génie de Lenovo est de proposer en option un accessoire pour transformer la tablette en console. Il ne s’agit pas d’une paire de manettes qui se connectent de chaque côté de l’engin mais d’une véritable carcasse qui vient enfermer l’écran dans la coque. On dispose la Legion Tab Y700 G4 contre la partie avant de son accessoire avant de replacer une solution qui viendra la coincer en l’enfermant.

On retrouve alors toute la jouabilité d’une console : double joystick, croix directionnelle, boutons ABXY classiques, quatre boutons programmables à l’arrière et gâchettes en plus de l’écran qui reste tactile. Surcoût attendu pour cette option ? 499 Yuans soit une soixantaine d’euros HT. Pas grand-chose par rapport au prix de la console elle-même qui débutera à 3299 Yuans sur le marché local. Soit 399€ HT.

Source : Weibo et ITHome

Lenovo Legion Tab Y700 G4 : la tablette se prend pour une console © MiniMachines.net. 2025

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Le fauteuil de bureau Newtral MAGICH003 à 169.99€

Le MAGICH003 de Newtral est en promotion suite à la demande de Tom en commentaire. Il a été testé par le passé par un autre lecteur répondant au pseudo de « Syracuse ». Ce dernier m’a fait un retour en octobre 2024 du modèle MAGICH002 qui est la révision précédente du même fauteuil. Geekbuying propose donc la mise à jour au prix à 169.99€ avec un code promo.

Syracuse a reçu son fauteuil Newtral MAGICH002 il y a presque un mois et me fait un retour très positif sur la solution. Après avoir été tenté par d’autres modèles depuis mon billet sur les solutions Autonomous – des solutions devenues hors de prix aujourd’hui malheureusement – il a fini par craquer devant ce fauteuil signé Newtral. 

Son retour est excellent. S’il partait de loin avec une chaise de bureau noname achetée en grande surface et dont le confort se résumait à un coussin en mousse couvert de tissu et un réglage en hauteur, l’arrivée de ce fauteuil est un gros gain en termes de confort. N’ayant pas testé moi-même le produit, je ne peux pas juger à sa place, mais ses remarques semblent pertinentes. Ainsi, il met en avant trois points essentiels pour lui.

 

D’abord une assise confortable, ni trop rigide, ni trop molle. Un coussin suffisamment solide pour « tenir la journée » à son poste de travail et capable d’accueillir en tout jusqu’à 130 kilos. Le fauteuil est lui-même prévu pour des personnes de 160 à 195 cm. Ensuite, un repose-tête qui, conjugué avec la possibilité de se basculer en arrière, apporte un vrai confort pour faire des pauses ou « suivre une conférence caméra éteinte ». Anecdote sympathique d’une fin de semaine où le fauteuil provoque une légère somnolence en fin de meeting virtuel… Pensez à éteindre vos micros en télétravail pour ne pas partager vos ronflements.

Le fait que l’appuie tête soit réglable et qu’il s’ajuste automatiquement encourage à l’employer et donc à relaxer son cou. Enfin, un support du dos qui permet de conserver une position ergonomique et confortable dans la durée évite les mauvaises positions et le mal de dos.

D’autres éléments sont intéressants même s’ils sont jugés secondaires. Le Newtral MAGICH002 met ainsi en avant un ressort qui maintient le siège contre l’utilisateur et sert « d’amortisseur » à l’usage. Il est jugé plutôt secondaire par Syracuse qui ne le trouve pas si utile. Cela permet de garder une position ergonomique au repos. Les bras du fauteuil sont également jugés peu pratiques même si, pour avoir longtemps travaillé dans une chaise avant de passer au fauteuil, je sais qu’il m’a fallu un certain temps pour m’y acclimater. 

Le dos en toile n’a pas encore prouvé son utilité, faute de fortes chaleurs où on apprécie le fait d’avoir une maille respirante au lieu d’un dossier qui conserve l’humidité et la température… Petit bémol, les roulettes ne sont pas formidables et Syracuse envisage de les remplacer à terme. Attention, le fauteuil arrive en kit et il faut une bonne demi-heure pour le monter avec la visserie fournie. Un jeu de LEGO qu’il faut prendre en compte avant d’acheter.

C’est un fauteuil que l’on retrouve en place de marché sur diverses boutiques en France à 229-299€, un investissement conséquent face à une solution à 49€ comme on en trouve partout. Mais si le confort est au rendez-vous, ce n’est pas cher payé pour un produit de ce type.

J’ai donc demandé à Geekbuying un code promo pour ce modèle mis à niveau dans la version Newtral MAGICH003 et avec le code NNNFRNM3C il est possible de l’obtenir à 169.99€ depuis un entrepôt Européen de la marque sans frais de port.

Voir l’offre sur Geekbuying

 

La marque Newtral propose également des chaises MagicH-GPRO avec un repose-pied en plus. Elle est disponible en noir et en blanc avec des codes promo différents depuis des entrepôts Européens.

La version grise est à 255.00€ au lieu de 279.80€ avec le code NNNFRMGP.

La version noire est à 249.99€ au lieu de 279.80€ avec le code NNNFRBPHC.

Billet mis à jour. Les précédentes commandes sur cette chaise ont eu de bons retours avec des acheteurs dans l’ensemble satisfaits du rapport qualité prix.

Le fauteuil de bureau Newtral MAGICH003 à 169.99€ © MiniMachines.net. 2025

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36000$, la surprise salée de la douane US à Adafruit

Adafruit vient de recevoir sa première facture saupoudrée des taxes douanières de l’administration Trump. Et elle est assez épicée avec 36000$ de frais supplémentaires réclamés par DHL pour les douanes américaines.

C’est un bon exemple de ce qui va commencer à impacter les vendeurs US dans leurs importations de Chine. Et, par un effet de ricochet logique, tous leurs acheteurs. Adafruit explique que les 36000$ sont liés à des frais de douanes qui s’additionnent : 125% + 20% + 25% pour un total qui ne peut pas passer inaperçu dans le prix final de ses produits.

Le revendeur explique qu’il n’a qu’une semaine pour payer ce montant à DHL. Ce qui va impacter ses finances et ses capacités d’achat. Contrairement à des taxes sur les bénéfices, ce montant n’est pas lié à des ventes, mais doit être réglé en amont de toute commercialisation. Ce qui va, de fait, augmenter le prix de chaque composant pour ses clients. Adafruit précise que les éléments importés le sont auprès d’un vendeur et que les composants concernés ne sont pas trouvables aux US. Leur importation de Chine est donc obligatoire pour alimenter leur catalogue. Le site US commercialise, comme Radiospares ou Mouser, des dizaines de milliers de références de composants électroniques dont la majorité est importé d’Asie. 

La marque conçoit et distribue beaucoup de produits en interne, avec une grosse équipe de Recherche et Développement. Mais ses produits nécessitent des composants qui ne sont tout simplement pas disponibles aux US. Certains d’entre eux n’auraient juste aucune rentabilité possible dans une production locale, faute d’un volume suffisant.

L’impact sur cette entreprise qui livre également en Europe risque d’être colossal. Les clients US vont probablement ralentir leurs commandes ou acheter en gros chez des revendeurs Européens. Des revendeurs qui factureront des frais de port mais pour lesquels les produits subiront moins de taxes. Ce qui rendra les factures finales moins élevés que des commandes chez leurs propres distributeurs nationaux. Quant aux clients Européens qui achetaient régulièrement sur ce type de sites US… Ils iront commander directement en Asie, sur AliExpress, ou ailleurs. J’ai commandé quelques dizaines de fois chez Adafruit pour des produits spécifiques. Ils livrent en général d’excellents matériels à des prix relativement compétitifs. Mais si leurs créations doublent de tarifs, je ne pourrai pas me permettre de commander à nouveau chez eux. Je me tournerais vers des magasins Européens ou Asiatiques.

Cette facture DHL est le spectre qui s’agite devant énormément de revendeurs locaux aux US. C’est également la grande peur des entreprises manufacturières qui dépendent de composants introuvables ailleurs qu’en Chine pour concevoir leurs produits. Imaginez l’impact sur le prix final d’un simple panneau de contrôle ou un équipement électronique lambda avec 80% de composants Chinois. Beaucoup de chefs d’entreprises ont anticipé cette problématique de taxes en emmagasinant un gros stock de composants avant que le couperet ne tombe. Mais il va arriver le moment où ce stock va finir par s’épuiser et l’impact de ces droits de douane va commencer à se faire vraiment sentir.

36000$, la surprise salée de la douane US à Adafruit © MiniMachines.net. 2025

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Vous ne rêvez pas, la 1.0 d’Escape From Tarkov est prévue pour cette année !

Depuis quelques semaines, Battlestate Games enchaîne les annonces et les mises à jour autour de ses jeux Escape From Tarkov et Escape From Tarkov: Arena. Autant vous dire que la communauté n’est pas habituée à autant de communications sans drama et à des mises à jour aussi rapprochées.

Tout commence début avril avec la sortie d’Escape From Tarkov: Arena sur l’Epic Games Store. Pour rappel, Arena propose des matchs PvP en 5v5 avec des modes très classiques : capture de zone, pose de bombe, team deathmatch… Battlestate garde le gunplay maitrisé de Tarkov et tente de le transposer sur la scène esport. D’ailleurs, on voit bien que le studio souhaite faire connaitre Arena, car outre sa mise à disposition surprise sur l’Epic Games Store et les compétitions retransmises sur Twitch, le jeu accueille aussi son tout premier Battle Pass. Il s’agit d’un système de progression avec des niveaux et des récompenses à débloquer en remplissant des objectifs. Vous pouvez débloquer des tenues tactiques, des camouflages d’armes, équipements, pièces GP, médailles Lega, caisses de ravitaillement, etc… et les conserver d’un wipe à l’autre. Si tout n’est pas purement cosmétique, ce premier Battle Pass est gratuit et accessible à tous. Nous verrons bien ce qu’il advient pour les prochaines saisons.

Et si le studio a probablement été bien occupé par Arena, il a aussi été très actif sur son extract shooter Escape From Tarkov. Un nouvel événement temporaire a été lancé avec une carte temporaire inédite, The Λabyrinth, accompagnée d’une série de quêtes et de nouveaux succès dédiés. Selon Battlestate, 669 669 joueurs ont participé à l’événement avec plus de 5 millions de raids en quelques semaines. Face à ce succès et suite à un sondage auprès de sa communauté, les devs ont d’abord prolongé l’événement, puis décidé de laisser la carte disponible après la fin de l’event. Battlestate a aussi partagé sa roadmap jusqu’à fin 2025. Le studio est dans sa dernière ligne droite et met l’accent sur la correction de bugs, des améliorations de qualité de vie (QoL) et des optimisations pour sortir enfin du statut d’accès anticipé. On n’ose pas y croire, mais il semblerait même que la 1.0 soit effectivement prévue pour cette fin d’année, avec notamment l’ajout de sa dernière map, Terminal, et surtout, une arrivée sur Steam, au moins pour Arena !

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La police te nique dans la nouvelle bande-annonce de RoboCop: Rogue City – Unfinished Business

En ce début de semaine, Teyon, le studio derrière Robocop: Rogue City et son standalone Unfinished Business, ont partagé une nouvelle vidéo de gameplay sur la chaîne YouTube d’IGN. Dans la première partie, on y voit Robocop faire le ménage tout en se déplaçant comme un tank. Ce dernier pourra effectuer des coups mortels sur des ennemis avec certains éléments environnementaux. Les malfrats seront également lourdement armés et arriveront souvent à mettre en difficulté notre flic d’acier. En dehors de ça, le gameplay est quasi identique au jeu de base.

Dans la second partie, on y découvre le passé d’Alex Murphy où ce dernier défonce de la racaille à la pelle. Contrairement à Robocop, sa santé pourra se régénérer à la COD. En tout cas, son flingue envoie de la patate vu les giclées de sang et les ragdolls des adversaires. Pour varier les plaisirs, on espère qu’Alex pourra utiliser d’autres armes pour éborgner et fracasser ces malotrus.

RoboCop: Rogue City – Unfinished Business est toujours prévu pour le 17 juillet 2025. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam et profiter de la promotion à -15 % de notre partenaire Gamesplanet sur RoboCop: Rogue City, l’édition de base ou l’Alex Murphy Edition, si vous ne le possédez pas déjà.

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Minisforum UM880 Plus : Ryzen 7 8845HS 32Go/1To à 599€

Le Minisforum UM880 Plus embarque les mêmes composants que le UM880 Pro sorti en juin 2024. On retrouve la même puce AMD Ryzen 7 8845HS, 32 Go de mémoire SODIMM DDR5 et 1 To de stockage SSD NVMe. Sur le papier, il s’agit exactement de la même machine.

Le nouveau venu propose bien un Ryzen 7 8845HS, un excellent processeur mobile. Il permet de quasiment tout faire de manière convaincante. Il s’agit d’une puce 8 cœurs proposant 16 Threads sur une architecture Zen 4 dans des fréquences de 3.8 à 5.12 GHz. Il emploie un circuit graphique Radeon 780M avec 12 Compute Unit RDNA 3. Il embarque également un NPU 16 TOPS. À bien examiner sa connectique et ses possibilités, on se rend compte que ces deux engins partagent précisément les mêmes composants. Le SSD interne est intégré sur un port M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 et un second port M.2 de même type est laissé libre pour une évolution vers deux stockages. La mémoire vive SODIMM DDR5-5600 peut évoluer dans les mêmes conditions vers 96 Go au maximum.

Il faut se pencher sur la connectique pour commencer à voir des différences par rapport au modèle « Pro ». Sur la face avant, on retrouve deux ports USB 3.2 Type-A, un jack audio combo 3.5 mm, un petit micro et un bouton de démarrage illuminé d’une LED. Par rapport au modèle « Pro », il manque donc un port USB4.

À l’arrière, on peut voir un jack d’alimentation 19V, deux sorties vidéo en HDMI 2.1 et DisplayPort 1.4, un connecteur OCuLink, un USB4, deux USB 2.0 Type-A et un seul port Ethernet 2.5 Gigabit contre deux pour le modèle précédent. Trois éléments différents, donc, avec la disparition de ce port USB4 avant, d’un port Ethernet et le remplacement des ports USB 3.2 arrière par des USB 2.0. Mais surtout une grosse nuance puisque ce modèle renverse sa carte mère afin de positionner les ailettes de ventilation au-dessus de la connectique.

On en a déjà parlé à de multiples reprises et j’avais rencontré un ingénieur spécialisé dans la conception de ce type d’appareils m’expliquant que le fait de positionner un processeur « tête en bas » ne posait pas de problèmes sur un portable. La ventilation est suffisante pour que la puce ne soit pas moins bien refroidie par ce type d’implantation. Mais si ce positionnement du processeur « à l’envers » est possible sur des portables, il est plus embêtant sur des MiniPC. Du simple fait de la différence d’espace disponible sur l’engin. Sur un portable, tout est pensé sur le même étage. Les connecteurs sont situés à côtés des ouïes de ventilation. De telle sorte que rien ne gène l’expulsion de l’air réchauffé par la machine. Sur un MiniPC, les éléments sont empilés et il arrive souvent que la connectique se retrouve au-dessus de l’extraction d’air chaud. Ce qui pose parfois le souci de câbles qui viennent empêcher la machine de respirer.

Le UM880 Pro et son extraction d’air sous la connectique

C’est le cas du UM880 Pro, par exemple. On peut voir ci-dessus que ce modèle de 2024 propose une connectique très riche positionnée au-dessus des ailettes de ventilation. Je n’ai pas eu de mauvais échos de cette solution, mais techniquement parlant, les nombreux câbles viennent tomber devant l’extraction d’air quand la machine est à plat. Si on compte deux câbles vidéo, deux ports Ethernet, les deux USB, l’alimentation et l’USB4 Type-C, cela fait un vrai « mur » derrière ces ailettes. La solution UM880 Plus proposera donc, à priori, une meilleure solution de dissipation. Ce qui est un atout pour un processeur calibré pour fonctionner dans un TDP pouvant atteindre 65 watts.

L’accès aux composants se fera donc par le dessous de la machine de manière assez classique en enlevant une trappe avec quatre vis. Il est à noter que les SSD seront recouverts par un dissipateur métallique, lui-même refroidi avec une ventilation active. L’engin proposera par défaut un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3. Il sera livré avec un bloc secteur, un support VESA pour l’accrocher derrière un écran et un câble HDMI.

Le Minisforum UM880 Plus est actuellement en promotion sur Amazon, lancé à 749€ il est proposé à 599€ dans une configuration très musclée ! 32 Go de mémoire vive DDR5-5600 en double canal évolutif jusqu’à 96 Go et 1 To de stockage NVMe également extensible. Cela en fait un excellent produit pour un prix beaucoup plus accessible. Si vous cherchez un MiniPC puissant et efficace, c’est une valeur sûre pour vous équiper.

Voir l’offre sur Amazon France

Minisforum UM880 Plus : Ryzen 7 8845HS 32Go/1To à 599€ © MiniMachines.net. 2025

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Game Bub : une console Open Source qui clone le Game Boy

De Game Boy à Game Bub, il n’y pas beaucoup de nuances et si on lance un jeu de la console de Nintendo sur cette nouvelle venue en Open source, on ne devrait pas non plus voir beaucoup de changements. C’est parce qu’à l’intérieur de ce boitier translucide, on retrouve un FPGA qui va se comporter comme le circuit d’origine de la minimachine japonaise.

Un FPGA c’est un composant qui peut se transformer pour se comporter exactement comme une autre puce. Ici, il s’agit d’un Xilinx XC7A100T qui a été configuré comme une sorte de Doppelgänger de la puce d’origine de Nintendo. Une autre puce, un ESP32-S3 sert de chef d’orchestre pour gérer cette configuration et ce changement d’état. Au bout du compte, le Game Bub se comportera précisément comme une console d’origine, sans aucune émulation logicielle. Les jeux lancés sur la plateforme seront exécutés comme du temps de la bonne vieille Game Boy.

L’intérêt de ce procédé est de retrouver une jouabilité identique et de demander à la machine de s’adapter pour devenir une autre console. En l’occurrence, les Game Boy Color et Game Boy Advance. Il sera également possible de ne pas jouer du tout à des vieux titres des années 90 et de s’appuyer sur le côté Open Source de l’engin pour mettre à profit son FPGA pour développer d’autres puces et d’autres usages. Ce n’est pas le genre de loisir à la portée de tout le monde, même si cela peut justement être une solution de découverte de ce petit monde particulier. 

Le joueur plus classique pourra profiter d’interfaces et de services un peu plus modernes que ce que les machines d’origine proposaient. On retrouve un lecteur de cartouches de console, de manière à pouvoir lire et sauvegarder ses jeux d’origine. Un lecteur de cartes MicroSD permettra de piocher dans un très large catalogue d’images de jeu et de sauvegarder ses parties.

L’écran n’aura rien à voir avec celui des premières consoles mobiles de Nintendo, ici, il s’agira d’un modèle IPS de 3.5 pouces en 480 x 320 pixels et il sera également possible de profiter d’une sortie HDMI pour alimenter un affichage externe depuis un dock. On retrouvera un module Wi-Fi et du Bluetooth LE et l’engin se rechargera grâce à une connectique USB Type-C qui permettra de faire circuler des données.

De la console Game Bub comme support d’apprentissage en électronique

La solution Game Bub sera bientôt lancée en financement participatif via Crowdsupply, on ne connait pas encore son tarif. Pour en savoir plus, le site du créateur de la minimachine est ici. Et je voudrais insister sur ce dernier point. Si vous êtes un créateur dans l’âme de ce genre de produit, si les problématiques électroniques vous intéressent, si vous êtes suffisamment anglophone, la publication de ce billet est extrêmement précieuse. L’auteur y détaille tout son parcours poste par poste, de la gestion de l’affichage à la recharge de ses batteries en passant par les problématiques de création de boutons comme de la schématisation de son PCB sous KiCad. Cette documentation soulève les problèmes rencontrés et explicite les moyens mis en œuvre pour les résoudre.

Ce parcours donne une bonne idée du travail effectué pour un projet de ce type. Les heures passées en développement matériel et logiciel. Les différents casse-têtes posés par l’ingénierie de Nintendo sur les différentes consoles. Les solutions de contournement et les problématiques de fabrication et d’assemblage. 

Ce document est à mon avis très précieux pour toute personne qui s’est dit un jour qu’elle allait construire un objet de ce type. Elle montre le monstrueux travail nécessaire pour y parvenir. Celui qui ne se voit pas plus que le dessous d’un Iceberg et qui représente la partie la plus importante de ce type de défi.

Game Bub : une console Open Source qui clone le Game Boy © MiniMachines.net. 2025

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Fabriquer sa propre télécommande universelle vidéo et domotique

L’idée d’une télécommande universelle libre et documentée, adaptable suivant les besoins de chacun, est excellente. Ici développée sous une solution ESP32, elle parait encore un peu complexe pour le néophyte mais pourrait être déployée à plus grande échelle très facilement.

Que faire en cas de casse ou de panne de votre télécommande ? Il existe bien la solution d’une télécommande universelle qu’on va dénicher en magasin… mais il faut bien avouer que l’offre actuelle est plutôt catastrophique. Pendant un temps, de grandes marques comme Logitech avaient des produits de qualité, puis, au fur et à mesure que les produits entrée de gamme se sont développés, leur intérêt pour ces produits a disparu. Il faut dire qu’il devenait difficile de vendre de bonnes télécommandes universelles à 80€ et plus quand les concurrents en proposaient des médiocres à moins de 10€.

La solution donc, c’est celle trouvée par The Stock Pot, un vidéaste qui propose sur sa chaine une télécommande universelle construite autour d’un ESP32. Celle-ci permet non seulement une programmation fine pour piloter divers appareils classiques comme un téléviseur ou un ampli, mais elle propose également d’interagir avec tout votre univers domotique grâce à un dialogue avec ESPHome. Mieux encore, il propose sur son blog tous les éléments pour fabriquer la vôtre : code, fichiers à imprimer en 3D, circuit imprimé à réaliser par un prestataire et même la configuration nécessaire pour piloter ESPHome.

La télécommande universelle de base, très complète

Une version simplifiée avec un gros bouton vers un service de streaming facilement accessible

Une version pour enfant plus limitée avec l’impossibilité de monter le volume trop haut et des programmes pré-approuvés

Un point capital de sa proposition vient du fait qu’il est possible d’adapter très simplement une télécommande à ses besoins. Si vous recherchez un outil complexe pour piloter finement des scénarios précis, c’est tout à fait possible. Si vous voulez au contraire une télécommande simplissime pour lancer des programmes pour enfant ou mettre en route des interactions pour des scénarios domotiques dans une pièce. Ce n’est pas un problème. Le principe de cette télécommande universelle est de pouvoir s’adapter suivant n’importe quel projet. Le fait que l’on puisse prendre en compte un appui court et un appui long est également un bonus. Cela permet de programmer de multiples actions et scénarios.

La liste de course est assez courte, en plus du boitier imprimé en 3D vous aurez besoin du PCB, de quelques boutons, d’une batterie 1100 mAh, d’un module de charge USB type-C2 et de quelques vis M2.

Le projet est parfait, l’objet fini est juste adapté à l’emploi et la méthode déployée pour partager les ressources est également à applaudir. Si je puis me permettre, une petite remarque, pour parfaire totalement ce projet, j’aurais mis en place sur la page du blog de The Stock Pot un moyen de partager ses propres designs. Ainsi un internaute qui modifie le circuit imprimé ou le boitier de la télécommande pour faire une télécommande universelle plus orientée vers un usage particulier, pourrait proposer des liens vers ses fichiers hébergés, par exemple, sur Github. A noter que l’auteur propose des éléments partagés sous formats modifiables facilement dans des logiciels standards.

Enfin, je tiens à souligner un truc important sur ce projet. En ce moment, les sites qui fabriquent les PCB pour les hobbyistes, qu’il s’agisse de PCBway ici ou JLCPCB ailleurs. Des services qui sont peut-être les plus connus et qui poussent énormément d’internautes à faire des vidéos sur des projets de ce genre. Contre rémunération. Je n’ai rien à reprocher à cela, c’est un moyen de faire financer sa passion pour l’électronique et à partir du moment où c’est spécifié dans la communication de l’opération, je trouve cela tout à fait normal. Le souci que je rencontre c’est que certains internautes, et beaucoup de vidéastes en particulier, se mettent à proposer des projets absolument idiots juste pour toucher l’argent promis par ces plateformes dans leurs partenariats. Des projets qui n’ont aucun sens si ce n’est de faire des vues et de la publicité pour leurs partenaires. Ce n’est pas le cas ici et le projet répond à une vraie problématique tout en proposant une solution vraiment intéressante avec son approche vers ESPHome. Et je tiens à applaudir The Stock Pot pour cela.

Merci à Thomas pour le lien.

Fabriquer sa propre télécommande universelle vidéo et domotique © MiniMachines.net. 2025

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Les médecins le détestent : Gearbox trouve le remède à l’insomnie avec Borderlands 4

La semaine dernière, Gearbox a partagé une longue vidéo « deep dive » pour Borderlands 4, leur prochain tireur-pilleur. Mais si on n’a pas pu vous en parler avant, c’est parce qu’on s’est endormis au bout de quelques minutes de visionnage de gameplay, d’une mollesse incroyable. Pensant pouvoir ruser, on a mis la vitesse en x2 pour tenter d’atteindre la fin sans tomber de sommeil, mais on a constaté avec effroi que c’était toujours aussi mou ! C’est donc après quatre expressos, trois Red Bull et une crêpe au sucre glace, qu’on peut enfin vous faire un compte rendu de cette atroce vidéo.

Bon, le premier choc, c’est Randy Pitchford, déguisé en gourou de secte, et qui débite son texte d’une manière aussi naturelle que la poitrine d’Aya Nakamura. Le second, c’est de voir du gameplay qui oscille entre 20 et 30 FPS. Combiné avec l’utilisation de la manette, on a l’impression que la vidéo est au ralenti. Au moins, ils ne mentent pas sur les perfs déplorables qu’est capable de sortir une PS5 Pro sur ce jeu. Sinon, les combats sont horriblement lents et inintéressants, contre des adversaires qui avalent les balles, mais qui ont heureusement parfois des réactions aux impacts. Ça doit dépendre de l’ennemi, sans doute. Côté armes, on nous promet des possibilités infinies avec des combinaisons d’effets des différents manufacturiers habituels sur les accessoires (chargeur, viseur, etc.), en plus de la pétoire en elle-même. Il y aura encore plus de loot, encore plus d’accessibilité pour rejoindre ses potes, et évidemment, des compétences garanties zéro skill, pour éviter de frustrer Jean-Kevin, affalé sur son canapé. Ils parlent aussi du scénario, qui ne volera certainement pas très haut, avec notamment le retour de personnages de la série. Youpi.

Pour couronner le tout, Gearbox nous annonce que Borderlands 4 ne sortira pas le 23 septembre, comme initialement prévu, mais le 12 septembre, soit 11 jours avant, pour nous faire souffrir encore plus tôt. Si, pour une raison étrange, le jeu vous chauffe, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits depuis sa page Steam ou Epic Games Store.

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StarRupture dévoile sa planète Arcadia-7 et les plaisirs de l’exploitation industrielle

La semaine dernière, Creepy Jar, le studio derrière le développement de StarRutpure, a publié une nouvelle vidéo pour découvrir le monde d’Arcadia-7 avec du gameplay à la Satisfactory. On y découvre des biomes variés et prêts à être dénaturés grâce à des machines de toutes sortes (extraction minière, production d’énergie…), des bâtiments (recherches, logements…) et des réseaux tentaculaires de tapis automatisés. De quoi faire salir les draps de tout bon patron du CAC 40.

Au delà des passages chiants à l’extracteur laser, il y a tout de même un peu d’action mais les devs ne semblent pas s’être trop foulés en mélangeant certaines portions de gunplay d’un ancien trailer avec quelques nouvelles séquences. Même si une évolution du gameplay avait été soulignée dans une précédente news, rien n’a vraiment bougé dans cette bande-annonce.

StarRupture est toujours prévu de sortir en accès anticipé courant 2025. En attendant de nouvelles infos sur des tapis automatisés, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

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Tainted Grail: The Fall of Avalon quittera son accès anticipé le 23 mai

Après avoir déployé un ultime patch avant la fin de l’accès anticipé de Tainted Grail: The Fall of Avalon, le studio Questline a enfin dévoilé la date de sortie de la 1.0 via un long billet de blog Steam. Ce sera donc le 23 mai que vous pourrez explorer trois immenses régions remplies de PNJ, de sorts, d’armes, de quêtes secondaires, de donjons et d’ennemis pour satisfaire votre soif d’aventure. Certainement que des nigauds l’ont demandé aux devs, il sera possible de jouer à la troisième à personne. Enfin, si vous êtes de nature généreuse, une supporter edition verra le jour comprenant l’artbook, les ost et surtout des cosmétiques pour votre poney tout doux, ce qui n’est pas sans rappeler un certain Oblivion.

Depuis la preview de notre cher Xan K, le studio semble avoir mis à profit ces deux années de développement pour peaufiner les aspects technique et esthétique. En soi, ça paraît correct sans pour autant révolutionner le genre. À la rédac, on se lancera probablement dans l’aventure vers la fin de l’été pour savoir si ça s’est réellement amélioré ou si c’est toujours aussi chiant qu’au premier jour.

La 1.0 de Tainted Grail: The Fall of Avalon sortira donc le 23 mai prochain. En attendant, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits et vous procurer son accès anticipé sur Steam ou GoG pour 44 €.

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’83 a besoin de vous et son développement avance

En ce moment sur Steam, et ce, jusqu’au 5 mai, se déroule le festival de la simulation de guerre. The Wargames Fest, quoi ! L’occasion pour ‘83 d’annoncer via un trailer leur participation et ainsi nous rappeler que leur jeu arrivera fin d’année en accès anticipé. Le FPS tactique en 40V40 de Blue Dot Games est toujours en développement et continue d’étoffer le studio avec de nouveaux membres. Comme annoncé dans leur dernière mise à jour de développements, le jeu avance bien et c’est une très bonne nouvelle quand on connaît un peu le passif du projet.

On profite également de cette news pour vous inviter à consulter les différents jeux qui se partagent l’affiche de ce festival avec des prix très intéressants comme Arma Reforger, Squad, Hell Let Loose ou encore Six Day In Fallujah. Notre expert en bons plans vous en parlera certainement en fin de semaine.

Si vous aimez les simulateurs de meurtres pendant la guerre froide, vous pouvez ajouter ’83 à votre liste de souhaits Steam.

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Préparez votre combinaison de plongée pour l’accès anticipé de Subnautica 2

Dans le courant de la semaine, Unknown Worlds Entertainment, le studio derrière la série des Subnautica, a publié un devlog sur leur chaîne Youtube. Dans la présente vidéo nommée subtilement road to early access, Anthony Gallegos, responsable de la conception de Subnautica 2, annonce que l’accès anticipé sortira bien au cours de l’année 2025 et vous convie à rejoindre leur Discord pour faire part de vos idées. Hormis tout le baratin habituel, il vous rappelle que le jeu sera coopératif et que l’équipe de développement continue de travailler sur les différents aspects (biomes, véhicules, craft, léviathan…) de ce nouvel épisode.

L’accès anticipé de Subnautica 2 est donc toujours prévu pour cette année. En attendant plus d’informations, vous pouvez l’ajouter à votre liste de souhaits Steam ou Epic Games Store, si vous êtes intéressé.

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On pourra défoncer Cthulhu à coups de super shotgun dans DOOM: The Dark Ages

Après une première bande-annonce en ce début de semaine, Bethesda semble intensifier la communication autour de DOOM: The Dark Ages en dévoilant une seconde bande-annonce. Cette fois-ci, Hugo Martin, le game director d’id Software, annonce que le Doom Slayer devra se frotter au royaume des enfers et au royaume cosmique qui se sont alliés. Ce nouveau monde apportera son lot d’ennemis inédits dont le variant cosmique du baron et du cacodémon. Du côté de l’arsenal de notre héros, le reaver chainshot (un fusil qui projette un boulet lié à une chaîne) est mis en lumière et le gunplay semble s’être peaufiné entre temps. Hugo souligne également l’emploi du ray tracing pour la gestion des lumières et du moteur maison id Tech 8 pour l’amélioration du gameplay. Et pour conclure, ce dernier ajoute : « Il s’agit du jeu épique le plus grand et le plus complet que nous ayons jamais réalisé. » (jusqu’au prochain épisode bien évidemment)

En attendant le 15 mai prochain, vous pouvez ajouter DOOM: The Dark Ages à votre liste de souhaits Steam. On le répétera jamais assez que précommander, c’est le mal, mais sachez que notre partenaire Gamesplanet propose le code promo DOOMFRAG pour la précommande, ce qui le fait à un peu moins de 71 €, si vous êtes tenté. Également, le titre sera disponible dans le Xbox Game Pass day one.

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A.I.L.A essaie de nous faire peur avec son gameplay

Dans le courant de la semaine, Pulsatrix, le studio derrière le FPS horrifique A.I.L.A, a dévoilé un court extrait de gameplay sur leur chaîne officielle YouTube (en anglais ici). Pour rappel, vous incarnerez un testeur de jeux vidéo générés par une IA nommée A.I.L.A qui créera des expériences de plus en plus troublantes. Dans l’extrait publié, le héros se retrouve dans une forêt obscure et habitée par des hommes arbres qui ne font pas particulièrement peur. En revanche, le gunplay lui, est effrayant, avec une IA ennemie bête comme ses pieds et qui semble encaisser pas mal de dégâts. Du côté des graphismes, on ne peut pas dire qu’ils rendent honneur à la précédente bande-annonce.

Initialement, A.I.L.A était prévu courant 2025, mais ni la page Steam, ni la bande-annonce, ne le mentionnent. En attendant de nouvelles infos sur la date de sortie, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits Steam, si vous êtes intéressé.

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