AT&T Has $6 Billion Deal To Buy CenturyLink Fiber Broadband Business
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Si vous n’avez rien compris au titre, c’est normal, n’allez pas consulter.
Après les échecs désastreux des assistants personnels basés sur l’IA qu’ont été l’AI Pin d’Humane et le Rabbit R1, voilà que Sam Altman en pince à son tour pour le développement de produits exploitant l’IA. Au vu du parcours pyrotechnique des précédents produits du genre, on s’attend à un nouveau joli moment de gloire.
Il faut dire que les fondamentaux sont excellents. On part sur du très lourd avec la reprise de IO par OpenAI. IO c’est une startup lancée par Jony Ive, l’ex-designer emblématique d’Apple qui a lancé LoveFrom dans la foulée de son départ de la société à la pomme. IO c’est un studio de développement qui n’a, pour le moment, rien produit. Pas de produit, pas de logiciel, rien. À vrai dire, la start-up n’a pour le moment même pas dégagé un seul dollar de chiffre d’affaires.
Pourtant, OpenAI propose de lâcher 6.5 milliards de dollars pour faire son acquisition. Alors ce ne sont pas des vrais dollars, ce sont des bouts de papier qui transfèrent des actions d’OpenAI d’un actionnaire à un autre. Ce n’est pas tout à fait la même chose, mais tout de même, logiquement, pour une si belle somme, on peut s’attendre à quelque chose de concret de l’autre côté de la balance.
Des gens tout à fait ordinaires sauf qu’ils viennent de s’échanger 6.5 milliards de dollars
Pour le moment, on ne sait rien de ce que propose IO, le boite emploie 55 ingénieurs en développement matériel même si on n’a vu aucun produit. De deux choses l’une. Soit l’IA continue de faire son travail de levure et nous lâche ici un magnifique boursouflement dont les bulles ont le secret. Soit l’équipe de Jony Ive a réussi un tour de passe-passe incroyable, « disruptif » comme disent les Business Angels, et un produit incroyable a été montré au boss d’Open AI. C’est ce que dit la vidéo mise en scène de la discussion ente les deux compères qui font ici joujou de manière très jubilatoire avec l’argent de leurs investisseurs.
Le premier produit de IO est attendu pour 2026 et, comme ils ne sont pas chiens et qu’il y a quand même un petit peu de pognon qui change de mains, les ingénieurs de LoveFrom feront la retape du design de ChatGPT pour être plus sexy.
J’ai hâte.
OpenAI achète IO à LoveFrom pour fabriquer des objets IA © MiniMachines.net. 2025
Il y a quelques semaines, nous apprenions que Cloud Imperium Games s’était rapproché du groupe Lactalis, géant de l’agro-alimentaire français, notamment spécialisé dans les produits laitiers. D’après nos sources, des fermiers mayennais auraient été aperçus dans les locaux de CIG à Manchester ces derniers mois. Ils auraient été sollicités par la direction du studio pour trouver de nouveaux moyens de traire les joueurs de Star Citizen. Il faut croire que cette collaboration incongrue a porté ses fruits, puisque le 15 mai dernier, la commercialisation des Flight blades était lancée. Une opportunité unique d’acheter des composants pour améliorer les performances de certains de ses vaisseaux, avec de la monnaie sonnante et trébuchante. Attention, choisissez bien, car chaque blade est spécifique à son vaisseau. Pas question de l’utiliser sur un autre modèle : il faudra repasser à la caisse. Leur prix ? Seulement de 8,64 € à 37,80 €, selon la catégorie de l’engin de destination. Une aubaine ! Mais profitez-en rapidement, car les prolos pourront y avoir accès avec du crédit in-game à partir de juin prochain, et viendront réduire à néant votre avantage en jeu.
De manière assez surprenante, de nombreux joueurs se sont plaints, estimant qu’il s’agissait de pay-to-win. Très à l’écoute de la communauté, comme à son habitude, CIG a rapidement répondu pour rassurer tout le monde : « Après réflexion, nous avons décidé que les composants les plus petits, tels que les flight blades ou les racks de bombes, auraient dû être disponibles dans le jeu en même temps qu’ils apparaissent dans la boutique ». Ah, la tuile ! Quel dommage que tout soit déjà sur le store en ligne, et qu’il ne soit plus possible de faire machine arrière. Vraiment pas de chance.
Si on prend un peu de recul, on peut aussi considérer que l’achat des nouveaux vaisseaux avec de l’argent réel est du pay-to-win, mais les fans de Star Citizen ne sont pas à une incohérence près. Pour rappel, à l’introduction d’un nouveau modèle, il est impossible de l’avoir sans payer, puisqu’il faut attendre en général deux patchs majeurs, soit trois à six mois pour qu’il soit disponible dans les magasins en jeu et payable avec de la monnaie in-game, comme l’indiquent plusieurs posts sur reddit. Mais il faut croire que c’est la bonne solution, puisque le projet a mobilisé plus de 800 millions de dollars depuis son lancement. À plus de le Verse !
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Revolut a choisi Paris pour son nouveau siège en Europe de l’Ouest. La société annonce aussi plus d’un milliard d’euros d’investissements et des centaines d’emplois à la clé. Mais qu'est-ce que cela change concrètement pour les clients ?
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© JEREMY BARANDE
Alors qu’on vous parlait le mois dernier du licenciement discret de l’intégralité du studio parisien de Starbreeze, nous avons été contactés récemment par une personne ayant accès à leur plateforme de lanceur d’alerte. Nous avons pu consulter l’un des cas remontés (#84829450). Le sujet concerne un membre du conseil d’administration de Starbreeze (qui a discrètement quitté sa fonction depuis) ainsi que le Chief Product Officer. Ils ont tous les deux acquis un nombre conséquent d’actions entre décembre et avril dernier, période pendant laquelle ils devaient être au courant des décisions liées au licenciement d’une partie des développeurs, sans pour autant que l’information ne soit publique. D’autre part, les différents rapports d’alerte remontés en interne sur ces points ont immédiatement été fermés sur la plateforme, sans explication, selon le lanceur d’alerte. À la rédac, nous ne sommes pas experts financiers, donc on ne pourra pas vous faire une analyse détaillée. On peut juste vous dire que d’un point de vue extérieur, ces transferts ressemblent beaucoup à la définition d’un délit d’initié. Ce ne sont néanmoins que des soupçons, et on suppose qu’une enquête va être menée pour tirer cela au clair.
D’autre part, on a appris, le 7 mai dernier via un communiqué, que Starbreeze avait racheté les droits d’édition de PAYDAY 3 à Plaion pour environ 2,7 millions d’euros, afin « d’accélérer de manière significative [leur] feuille de route de développement de contenu et de poursuivre des opportunités stratégiques plus larges pour la franchise PAYDAY dans son ensemble ». Situation plutôt étonnante, quand on sait qu’ils avaient décidé de réduire les investissements sur PAYDAY 3 en novembre dernier en virant une partie de leur personnel. Sur leur site officiel, on peut notamment voir que le studio cherche maintenant à recruter deux développeurs pour PAYDAY à Stockholm. Mais à moins d’un revirement de situation miraculeux, on a du mal à voir comment le jeu pourrait rebondir. Il stagne depuis quelques mois autour de 1000 joueurs simultanés en pic et ne semble toujours pas faire l’unanimité dans les avis Steam.
Si vous voulez aider de pauvres petits investisseurs en faisant rayonner la licence PAYDAY pour que les actions Starbreeze prennent de la valeur, vous pouvez retrouver PAYDAY 3 à 30 € sur Steam.
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