Vue lecture

Glitch is Basically Shutting Down

Glitch, the coding platform where developers can share and remix projects, will soon no longer offer its core feature: hosting apps on the web. From a report: In an update on Thursday, Glitch CEO Anil Dash said it will stop hosting projects and close user profiles on July 8th, 2025 -- but stopped short of saying that it's shutting down completely. Users will be able to access their dashboard and download code for their projects through the end of 2025, and Glitch is working on a new feature that allows users to redirect their project subdomains. The platform has also stopped taking new Pro subscriptions, but it will continue to honor existing subscriptions until July 8th.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Comment mesurer et tester le débit de sa connexion internet ?

Vous avez l’impression de revivre les débuts d'Internet, quand chaque image se chargeait ligne par ligne et qu’on avait le temps d’aller se faire un café avant qu’une page Google n’apparaisse en entier ? Si votre connexion vous donne ce goût amer de nostalgie, il est peut-être temps de vérifier que tout fonctionne correctement. Votre opérateur (Orange, SFR, Free, Bouygues) tient-il vraiment ses promesses en matière de débit ? Voici la marche à suivre pour tester la vitesse réelle du débit de votre connexion Internet.

  •  

Vol d’asset par Bungie : Marathon part du mauvais pied

On vous en a parlé brièvement pendant le dernier NoScope, il y a comme une odeur de pourri chez Bungie. Il y a quelques jours, l’artiste Antireal dénonçait l’utilisation de son travail sans autorisation dans Marathon, le futur extraction shooter sans âme des créateurs de Destiny.

the Marathon alpha released recently and its environments are covered with assets lifted from poster designs i made in 2017.@bungie.net @marathonthegame.bungie.net

N² (@antire.al) 2025-05-15T18:11:31.947Z

Dès le lendemain, le directeur artistique s’excusait en disant « c’est pas nous, c’est un ancien employé », pour se dédouaner. Une excuse bancale, mais qui pourrait passer si ce n’était pas une habitude. Le souci, c’est que ce n’est pas la première fois que ça arrive, comme l’explique très bien le YouTuber Zil dans sa vidéo sur le sujet :

Il considère – et ce n’est pas le seul – que c’est le résultat d’une mentalité de merde dans le studio. Des anciens employés ont d’ailleurs révélé que l’ambiance n’était pas géniale au bureau.

Bungie n’avait clairement pas besoin de cette pub, les retours des influenceurs sur la version alpha n’étant déjà pas fameux. En tout cas, rien de suffisamment intriguant pour nous donner envie de nous y intéresser. Mais si contrairement à nous, vous êtes curieux de voir le résultat, vous pouvez toujours ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam en attendant sa sortie, prévue – pour l’instant – pour le 23 septembre.

  •  

Cloud Imperium Games s’associe au groupe français Lactalis pour encore mieux traire les joueurs de Star Citizen

Il y a quelques semaines, nous apprenions que Cloud Imperium Games s’était rapproché du groupe Lactalis, géant de l’agro-alimentaire français, notamment spécialisé dans les produits laitiers. D’après nos sources, des fermiers mayennais auraient été aperçus dans les locaux de CIG à Manchester ces derniers mois. Ils auraient été sollicités par la direction du studio pour trouver de nouveaux moyens de traire les joueurs de Star Citizen. Il faut croire que cette collaboration incongrue a porté ses fruits, puisque le 15 mai dernier, la commercialisation des Flight blades était lancée. Une opportunité unique d’acheter des composants pour améliorer les performances de certains de ses vaisseaux, avec de la monnaie sonnante et trébuchante. Attention, choisissez bien, car chaque blade est spécifique à son vaisseau. Pas question de l’utiliser sur un autre modèle : il faudra repasser à la caisse. Leur prix ? Seulement de 8,64 € à 37,80 €, selon la catégorie de l’engin de destination. Une aubaine ! Mais profitez-en rapidement, car les prolos pourront y avoir accès avec du crédit in-game à partir de juin prochain, et viendront réduire à néant votre avantage en jeu.

Star Citizen - Flight Blades

De manière assez surprenante, de nombreux joueurs se sont plaints, estimant qu’il s’agissait de pay-to-win. Très à l’écoute de la communauté, comme à son habitude, CIG a rapidement répondu pour rassurer tout le monde : « Après réflexion, nous avons décidé que les composants les plus petits, tels que les flight blades ou les racks de bombes, auraient dû être disponibles dans le jeu en même temps qu’ils apparaissent dans la boutique ». Ah, la tuile ! Quel dommage que tout soit déjà sur le store en ligne, et qu’il ne soit plus possible de faire machine arrière. Vraiment pas de chance.

Si on prend un peu de recul, on peut aussi considérer que l’achat des nouveaux vaisseaux avec de l’argent réel est du pay-to-win, mais les fans de Star Citizen ne sont pas à une incohérence près. Pour rappel, à l’introduction d’un nouveau modèle, il est impossible de l’avoir sans payer, puisqu’il faut attendre en général deux patchs majeurs, soit trois à six mois pour qu’il soit disponible dans les magasins en jeu et payable avec de la monnaie in-game, comme l’indiquent plusieurs posts sur reddit. Mais il faut croire que c’est la bonne solution, puisque le projet a mobilisé plus de 800 millions de dollars depuis son lancement. À plus de le Verse !

  •  

Furieux de s’être fait dépasser, EA envisage d’attaquer Randy Pitchford en justice après sa déclaration sur les « vrais fans » de Borderlands 4

« Je n’arrive pas à y croire ! Il nous a bien niqué, le fumier ! », entendait-on crier dans les bureaux de Redwood City, siège d’Electronic Arts, un peu plus tôt dans la journée. Kayla Shepherd, à l’accueil, avait vu défiler l’organigramme complet de la société pour une réunion de crise, qui ne se déroulait manifestement pas très bien. La cause ? Elle l’avait apprise avec stupeur à la machine à café : c’était Randy Pitchford, patron de Gearbox sous l’égide de Take-Two, éternel rival d’EA. En effet, dans la soirée précédente, le sémillant dirigeant, prompt à survendre son prochain jeu Borderlands 4, avait répondu à un tweet, relatif au futur prix hypothétique du jeu :

A) Not my call. B) If you’re a real fan, you’ll find a way to make it happen. My local game store had Starflight for Sega Genesis for $80 in 1991 when I was just out of high school working minimum wage at an ice cream parlor in Pismo Beach and I found a way to make it happen.

A) Ce n’est pas moi qui décide. B) Si vous êtes un vrai fan, vous trouverez un moyen d’y arriver. Mon magasin de jeux local proposait Starflight pour Sega Genesis pour 80 dollars en 1991, alors que je sortais tout juste du lycée et que je travaillais au salaire minimum dans un magasin de glaces à Pismo Beach, et j’ai trouvé le moyen de l’acheter.

Une déclaration qui, étonnamment, a fait un peu réagir, comme l’indiquent nos confrères d’IGN. C’est pourtant une solution simple : il suffit d’être un véritable fan pour que l’on trouve une solution pour acheter l’objet de ses convoitises. Par exemple, à la rédac, on est de vrais fans de RTX 5090, et on trouve toujours le moyen d’en acheter. Au fait, rien à voir, mais n’oubliez pas notre Patreon, notre Paypal, notre Tipeee et d’acheter des t-shirts sur notre boutique Spreadshirt. Quoi qu’il en soit, le message de Randy n’a sans doute pas fait plaisir aux dirigeants Electronic Arts, en lice pour être les plus gros connards de l’industrie, et qui se retrouvent donc dos au mur. Il ne serait pas étonnant que l’on ait une nouvelle annonce de leur part d’ici les prochains jours, afin de rétablir leur position dans le classement.

Il est onze heure trente, et les conversations semblent s’être calmées dans la grande salle de réunion. La porte s’ouvre, et l’hôtesse d’accueil est appelée par Andrew Wilson : « Dites voir, Kayla, vous qui êtes… Comment dit-on déjà ? Prolétaire, voilà. Est-ce que vous pourriez nous donner votre avis sur ce message pour les réseaux sociaux ? ».

Si vous êtes un vrai fan, vous pouvez aller vous faire foutre !

  •