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N’oubliez pas vos déguisements pour les soirées endiablées à venir de Painkiller

Après avoir dévoilé le mode Rogue Angel et décalé de quelques semaines la sortie de Painkiller, le studio Anshar dévoile un peu plus de gameplay pour rappeler aux puristes vieux cons que la coop c’est so 2025 et surtout que ça le restera. Avec un HUD surchargé et une surenchère d’hémoglobine, votre équipe devra se frayer un chemin au travers des vagues de démons décérébrés pour atteindre l’ange déchu Azazel et sa progéniture. N’oubliez pas, au passage, de sortir vos costumes poussiéreux de vos anciennes soirées déguisées et vos armes colorées pour vous faire trembler de peur vos ennemis.

Quitte à se farcir un nouveau trailer en mode précommandez moi svp car je suis trop fun en coop, on aurait bien aimé voir un peu plus en détail le système de cartes de tarot, ou encore, el famoso avantage propre à nos quatre héros tellement charismatiques que personne à ce jour n’est capable de se rappeler de leurs noms. À moins que l’on ait raté quelque chose, c’est tout même étrange que cet aspect ne soit toujours pas abordé pour un jeu qui semble se centrer sur la synergie d’équipe, d’après le descriptif de la page Steam.

Painkiller est toujours prévu pour le 21 octobre. Mais si vous faites partie des gens qui craignent que le jeu démat soit en rupture, vous pouvez toujours précommander ce dernier pour environ 40 € et pour 10 € supplémentaires, profiter de skins ridicules ainsi que du season pass, sur Steam.

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Ce n’est pas le Doliprane qui provoque l’autisme, mais le prochain Painkiller

Publiée hier sur la chaîne officielle YouTube de l’éditeur 3D Realms (l’une des filiales appartenant à Saber Interactive), une nouvelle bande-annonce de Painkiller nous dévoile Rogue Angel, quelle surprise ! Après avoir été subjugués par les émotions en voyant la vidéo de gameplay d’IGN, on aurait pu penser qu’il était difficile de faire pire. Mais c’est mal connaître le tigre à dents de sabre qui, pour bien enfoncer le pieux dans le cadavre de Daniel Garner, a dû susurrer à l’oreille du studio Anshar d’intégrer un mode « roguelike » coopératif à part de la campagne principale. Difficile de savoir si c’était prévu de longue date ou s’ils tentent d’ajouter des choses pour limiter les dégâts, mais tout ce qu’on sait, c’est que le jeu est reporté deux semaines plus tard, ce qui donne un peu de répit avant l’inévitable.

Même si le trailer est monté pour faire croire que le jeu est ultra-frénétique, on n’est pas dupes : on s’attend vraiment au pire pour ce nouveau Painkiller. À moins que vous n’ayez plus d’amour pour ce que fut la licence, vous pouvez ajouter ce suppôt de Satan 2.0 à votre liste de souhaits Steam, en attendant le 21 octobre.

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IGN semble apprécier Painkiller, mais on se demande pourquoi

Dans le courant de la semaine dernière, nos confrères d’IGN ont publié un article au titre très évocateur « Painkiller Is a Mindless Co-op FPS, and That’s Just Fine » (trad: Painkiller est un FPS coopératif bête et méchant, et c’est très bien comme ça), accompagné d’une vidéo de gameplay. D’emblée, soyons clair, ce n’est vraiment plus le Painkiller que vous avez connu. Comme prévu, il vous faudra former une équipe de trois joueurs qui pourront être remplacés par l’IA alliée afin de vaincre les vagues d’ennemis et de réussir les objectifs vous donnant l’accès à l’arène suivante. Avant de débuter le massacre, vous devrez sélectionner l’un des quatre personnages disponibles ayant chacun leur propre capacité, ainsi que les cartes de tarot préalablement débloquées vous octroyant divers bonus depuis le hub central.

Côté gameplay, l’IA ennemie est la définition même de la chair à canon en fonçant tête baissée sous vos balles. De plus, la surenchère d’hémoglobine, bien qu’amusante au début, semble finalement n’être qu’un cache misère pour éviter de faire de vraies animations gores. Le gunplay a l’air plutôt correct avec un arsenal varié et personnalisable, mais la gatling faisant également office de lance-roquettes parait peu convaincante. Et on espère que vous n’êtes pas allergique au scoring ni aux barres de vie, le jeu en est bardé, sans compter les différentes jauges à remplir pour activer les capacités spéciales.

Bien que cette version revisitée de Painkiller semble être une insulte aux fans de la première heure, tout n’est pas à jeter. Les devs visent clairement un nouveau public adepte de coop fun sans prise de tête avec d’immenses giclées de sauce tomate. Et ne comptez pas sur une brique de scénario, car tout le monde s’en fout ici. Si vous n’êtes pas réfractaire à la langue de Shakespeare, vous pouvez en apprendre davantage en consultant l’article d’IGN, dont le rédacteur semble conquis.

Toujours prévu pour le 9 octobre, Painkiller est disponible en précommande sur Steam pour une d’une quarantaine d’euros, si vous aimez vous faire du mal.

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