Une plainte déposée contre X pour facturation d'anesthésies jugées fictives sur des patients opérés de la cataracte
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Mise à jour : Le Minix Elite EU715-AI vient de subir une cure de tarif. Son prix public annoncé en avril m’avait fait lever les sourcils puisqu’il plaçait l’engin à la même hauteur que des marques internationales classiques. C’est désormais du passé avec une baisse importante des prix. La version Core Ultra 7-155H en 32 Go / 1 To était lancé à 1200$ HT ! Soit 1037€ au cours du jour. Un prix Hors Taxes qui devenait 1240€ TTC environ une fois importé.
Je ne sais pas si la mayonnaise n’a pas pris ou si ce tarif officiel indiqué était là pour valider une certaine qualité du produit, mais aujourd’hui, on découvre cet engin pour bien moins cher. Stocké en Europe chez Geekbuying, il est listé à 949€ sur ses pages et bénéficie du code promo NNNFRME715
qui le fait baisser de 160€ pour tomber à 789€ TTC. La livraison est gratuite et prendra une semaine au maximum. Un bien meilleur tarif pour ce modèle musclé et évolutif. J’ai ajouté un MiniScore pour l’engin en bas du billet.
Billet du 18/04/2025 : Que se passe-t-il avec ce constructeur ? La sortie des Minix Elite juste après l’annonce des nouveaux modèles Z97 est assez inhabituelle chez Minix. D’habitude, non seulement la marque sort peu de modèles, mais en plus, elle a tendance à ne proposer que des évolutions de ses machines et non pas de nouveaux châssis.
Puis, coup sur coup, deux minimachines sortent la même semaine. Le Minix Elite EU715-AI qui embarque un processeur Core Ultra 7 155H et le EU512-AI sous Core Ultra 5 125H. Des engins pas inintéressants, assez évolutifs même s’ils sont proposés à des tarifs qui font un peu peur. Le modèle Core Ultra 7 est annoncé à 1204$ dans une version 32 Go DDR5-5600 et 1 To de stockage M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4. Le modèle Core 5 est listé à 900$ en version 16/512 Go avec des composants de mêmes catégories.
Le Core Ultra 7 155H est un 16 cœurs composé de 6 cœurs Performances et 8 Coeurs Efficients en plus de 2 cœurs Super Efficients pour un total de 22 Threads. Il tourne en fréquence à 4.8 GHz en mode Turbo maximal et embarque 24 Mo de cache. Son TDP de base est de 28 w pour un maximum de 115 w en mode turbo. Il embarque un processeur Intel Arc avec 8 cœurs Xe et une fréquence de 2.25 GHz.
La mémoire vive est montée sur deux slots SODIMM de DDR5-5600 pour un maximum de 96 Go. La partie stockage est confiée à un SSD de 2 To intégré à un des deux ports M.2 2280 NVMe PCIe 4.0 x4 disponibles. On pourra donc faire évoluer la capacité de l’engin à 8 To.
La connectique est très complète avec, en face avant, un Thunderbolt 4, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm. Et sur la partie arrière, deux ports Ethernet 2.5 Gigabit, un USB 3.2 Type-A supplémentaire, un DisplayPort 1.4, un HDMI 2.1 et un USB 3.2 Type-C avec fonction d’alimentation Power Delivery 3.0 et DisplayPort 1.4.
Les Minix Elite pourront donc piloter quatre affichages UltraHD en simultané. Le tout dans un châssis de 6.95 cm d’épaisseur pour 13.88 cm de large et 14 cm de profondeur. Un module sans fil Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 sera également intégré et un Antivol type Kensington Lock est visible. L’engin pourra se fixer en mode VESAau dos d’un écran. Le Minix Elite EU715-AI mesure 13.88 cm de large pour 14 cm de profondeur et 3.95 cm d’épaisseur.
A noter que l’alimentation de ces machines se fera via le connecteur USB Type-C avec un chargeur externe 100 watts en 20V et 5A. Difficile néanmoins de justifier ces tarifs, je suppose que cela est lié à une cible professionnelle visée par Minix. Le niveau de performance des puces est évidemment élevé et tous les usages classiques, même le jeu 3D récent en définition moyenne et en 720 ou 1080p sera possible avec le circuit Intel Xe embarqué. Cela n’empêche pas l’engin de se positionner en concurrence directe d’acteurs comme Asus, HP ou MSI niveau tarif. Une mission difficile.
Minix Elite EU715-AI : le MiniPC Meteor Lake-H baisse de prix © MiniMachines.net. 2025
Il y a un an presque jour pour jour, la version non pro de ce modèle débarquait en Wi-Fi et en niveau de gris. Aujourd’hui, la Onyx BOOX P6 Pro se dévoile en proposant à la fois un écran couleur E Ink mais également une connectivité 5G avec un emplacement pour une carte SIM.
La Onyx BOOX P6 Pro garde son format « poche » avec 16.18 de haut pour 8.16 cm de large et 8.85 mm d’épaisseur. Elle pèse 175 g et propose une dalle de 6.13 pouces de diagonale en 1684 x 824 pixels. La densité change comme toujours entre son mode niveaux de gris qui affiche en 300 ppp et l’affichage couleur moitié moins dense. Elle propose un éclairage frontal et son encre Kaleido 3 permettra de consulter des images et autres documents en couleurs.
Mieux encore, la liseuse proposera un pilotage complet au stylet actif ce qui la rendra exploitable pour de la prise de notes format carnet. La surface de l’écran est désormais recouverte d’un film en verre plus résistant. Le dos de l’engin est toujours texturé d’une surface imitant un tannage de cuir.
Toujours pilotée par une solution Android largement retravaillée sous le nom de Boox OS 4.1, la liseuse propose 8 Go de mémoire vive et 128 Go de stockage de base. Un lecteur de cartes MicroSDXC permettra d’ajouter une carte pouvant aller jusqu’à 2 To sur le même support que la carte SIM embarquée.
On retrouvera également un capteur photo dorsal de 16 Mégapixels accompagnée d’une LED Flash qui sera parfait pour des usages documentaires comme capturer un plan, une carte ou un texte pour l’afficher ensuite à l’écran. La Onyx BOOX P6 Pro devrait supporter des applications tierces et il est donc possible qu’elle s’ouvre à des solutions de reconnaissance de caractères ou à des applications de navigation. Toutefois, il n’est pas fait mention d’un GPS embarqué, tout au plus d’une formule Wi-Fi5 et Bluetooth 5.0. La puce embarquée étant un Snapdragon huit cœurs non détaillé, il y a de fortes chances qu’un module GPS soit présent. Ce qui en ferait une solution très intéressante pour se guider.
Des haut-parleurs stéréo sont présents et la batterie de 3950 mAh embarquée devrait offrir une autonomie classique pour un engin sous Android. L’avantage de l’écran E-Ink d’un point de vue consommation énergétique est bien présent même s’il ne devrait pas permettre de compenser la gourmandise du reste de la machine. Dépasser les deux à trois jours d’autonomie avec un modem 5G me parait difficile, il faudra donc l’éteindre entre les usages pour en profiter plus longtemps. La recharge et la communication se feront avec un port USB Type-C. Seul connecteur embarqué sur l’engin.
Dans la vidéo d’introduction, on peut voir la jeune femme passer un appel avec l’engin. Il s’agit d’un appel via une application qui utilise la 5G pour communiquer, il ne sera pas possible de passer des appels via le réseau téléphonique classique avec la liseuse.
Comme d’habitude, il faudra un peu de temps avant que la Onyx BOOX P6 Pro nous parvienne, le temps notamment de « parfaire » la traduction de son système. Aucune idée du prix en Europe, en Chine par contre elle est proposée à un prix public de 3299 Yuans soit 400€ environ, hors taxes.
Onyx BOOX P6 Pro : la liseuse de poche qui embarque la 5G passe à la couleur © MiniMachines.net. 2025
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Le Minisforum M1-1295 est un MiniPC original puisque, contrairement à l’écrasante majorité des modèles actuels, il ne propose aucune connectique en façade. La marque a cherché à conserver une ligne épurée au maximum avec une surface uniforme en aluminium brossé.
Le constat n’est pas idiot, si on apprécie d’avoir beaucoup de connectique, il est vrai que dans beaucoup de cas, elle ne sert pas franchement tous les jours. Pour beaucoup d’utilisateurs donc, le fait de poser sur son bureau un objet plus neutre esthétiquement parce que dépourvu de connecteurs de formats différents en façade peut avoir du sens. On ne connecte pas forcément une clé USB tous les jours et pour le reste, une fois que c’est en place, cela ne bouge qu’assez peu.
Ici on retrouve donc sur le Minisforum M1-1295 une façade avant avec uniquement un bouton de démarrage rond et rien d’autre. Pas forcément des plus pratiques lorsqu’il s’agira de brancher un périphérique USB donc, mais pour un poste de travail standard, probablement largement exploitable. Toute la connectique se retrouve à l’arrière.
La marque a fait des choix étranges au premier abord, comme le fait de proposer trois sorties jack audio 3.5 mm. Un choix qui correspond aux cartes de format ITX et qui est corroboré par le positionnement vertical de certains composants comme la mémoire vive et un SSD visibles dans la vidéo plus haut. Ce choix de ports jack séparés a pourtant du sens dans le cadre d’une exploitation sédentaire. Avec une entrée micro et une entrée ligne d’un côté comme une sortie audio que l’on pourra diriger vers un amplificateur externe, le MiniPC sera parfait pour un usage lié à un système Hi-Fi. La prise jack casque micro classique pouvant être remplacée par une liaison Bluetooth.
Le nombre de ports USB est limité avec deux USB 3.2 Gen2 Type-A et deux USB 2.0 Type-A seulement. Suffisant pour des usages classiques sans être au niveau de formules intégrées dans des boitiers plus compacts. Un USB 3.2 Gen2 Type-C avec sortie vidéo DisplayPort et PowerDelivery 15 watts est aussi là pour connecter un éventuel hub. Une sortie vidéo HDMI 2.1 et un DisplayPort 1.4 sont visibles et l’engin pourra piloter jusqu’à trois écrans. Un port Ethernet 2.5 Gigabit sous chipset RTL8125 est visible et épaulera un module sans fil Wi-Fi6E et Bluetooth 5.2 MT79021. L’alimentation est assurée par un jack qui recevra du 19V en 6.32A et 300 watts. Enfin, un Antivol type Kensington Lock est visible.
On note le choix de placer le processeur sous la carte mère qui amène à positionner les évents d’aération sous les connecteurs. Pas souvent la meilleure idée puisque la chute des câbles empêche l’air chaud de s’évacuer facilement. Ici, il faut reconnaitre que la machine est suffisamment large et la connectique assez légère pour que cela ne se transforme pas en gros souci. Il faudra peut-être veiller à rassembler les câbles entre eux pour libérer le passage. À noter que ce Mini-PC ne propose pas de se monter en mode VESA.
Le Minisforum M1-1295 mesure 19.5 cm de large pour 19.3 cm de profondeur. L’engin mesure également 5.19 cm d’épaisseur. Une taille suffisante pour embarquer une carte mère au format Mini-ITX de 17 x 17 cm même si je n’ai pas de certitude à ce sujet. C’est en tout cas plus grand que les formules plus classiques de MiniPC généralement en dessous des 15 x 15 cm. La puce embarquée est une solution Intel Mobile de génération Alder Lake lancée en 2022. Un Core i9-23950HX composé de 16 cœurs répartis en 8 cœurs Performants et 8 Coeurs Efficients. Les cœurs P étant multithreads, la puce développe en tout 24 Threads au total.
Le Minisforum M1-1295 profite de ses larges aérations sur les côtés
Point important à prendre en compte, le TDP de cette puce. Il oscille de 55 watts en fonctionnement de base à 157 watts en mode Turbo Max. Tout en assurant une puissance minimale de 45 watts. C’est à la fois beaucoup et assez peu. Beaucoup parce que pendant les brefs instants où la puce tournera à 157 watts il faudra encaisser la chaleur dégagée. Assez peu, car 45/55 watts dans une machine sédentaire plus de deux fois plus épaisse que les portables prévus pour ce type de puce mobile, c’est facilement gérable.
Le dispositif de dissipation est confié à une base de cuivre secondée par trois caloducs qui transportent la chaleur vers des ailettes. Le tout sera ventilé activement avec une prise d’air massive depuis les côtés alvéolés de la coque. La marque n’indique aucune mesure de bruit pour la minimachine.
La partie graphique du processeur est un Intel UHD de 12e Gen avec 32 Unités d’Exécution et une fréquence de 1.55 GHz. L’ensemble propose des performances très convaincantes pour tous types d’usages. Accompagné de deux slots SODIMM de DDR4-3200 et pouvant accueillir jusqu’à 96 Go de mémoire vive, la machine sera à même de lancer tout type d’applications classiques : bureautique, navigation, création 2D, retouche photos, modélisation 3D, programmation, montage vidéo et même jeu. Sans aller dans les performances les plus élevées sur ce dernier poste, j’ai déjà pu lancer de nombreux jeux avec cette puce sur une machine équipée de 16 Go de mémoire vive avec d’excellents résultats en FullHD.
Mais je suppose que ce que recherche le Minisforum M1-1295, c’est plutôt d’être à l’aise avec des applications métier. C’est la solution qu’un médecin posera sur son bureau pour piloter son logiciel de patientèle. Une minimachine aussi bien adaptée au métier d’avocat qu’à la comptabilité d’un artisan ou au travail quotidien en bureautique. Dans ces postes, pas besoin de fioritures, on appréciera la ligne épurée de l’engin, son encombrement réduit, ses performances et son prix.
La partie stockage, enfin, est confiée à un double port M.2 NVMe PCIe Gen 4.0 x4. Le premier sera équipé d’un SSD au format 2280 sur un support en slot. Quant au second, il pourra être installé en 2242, 2260 ou 2280 au choix sur un support horizontal classique. Les deux ports peuvent accueillir des SSD de 4 To chacun. Une version préactivée de Windows 11 sera installée sur le stockage. L’accès aux composants se fera par le dessus de l’engin, probablement en libérant le capot avec les quatre vis en dessous de la machine.
Disponible dès ce mois d’octobre dans la boutique française et depuis le stock européen de la marque, le M1-1295 est annoncé à 499€ en version 32 Go de mémoire vive et 1 To de stockage. Il est possible de le précommander dès maintenant et de bénéficier d’une remise de 25€ avec le code MSCB25
à entrer dans votre panier avant le paiement. Le prix de la machine tombe alors à 474€ et la livraison sera gratuite.
Minisforum M1-1295 : un Core i9-12950HX dans un boitier épuré © MiniMachines.net. 2025
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Il y a plein d’excellentes raisons qui font qu’on préfère utiliser Windows avec un compte local plutôt que de montrer patte blanche à Microsoft en se connectant à ses services. L’éditeur voit des machines sans compte Microsoft comme des engins mal configurés. On y voit plutôt des engins moins susceptibles de leur rapporter plus de bénéfices.
La première raison de ne pas vouloir de compte Microsoft, et la plus évidente, c’est que l’utilisateur n’a pas forcément d’accès à Internet. Tout le monde n’a pas besoin d’un accès à Internet et surtout toutes les machines n’ont pas la vocation d’être connectées. Empêcher l’utilisateur qui s’offre un ordinateur avec Windows de pouvoir l’utiliser parce qu’il n’a pas accès à Internet est assez compliqué à justifier. Je peux tout à fait utiliser un MiniPC pour piloter une machine, faire du traitement de texte ou installer mon jeu préféré.
La seconde raison qui touche plus de monde, c’est qu’une fois dûment identifié par Microsoft, on s’en prend plein la gueule. De la pub, des news people, des applications, de la météo qui vous géolocalise, des indices boursiers, des contenus dont on ne veut pas. Des jeux qu’on ne toucherait pas avec un bâton et des liens vers des services débiles qui s’immiscent sur votre bureau, ralentissant votre système. Des contenus soi-disant pensés pour nous intéresser mais qui, par un renversement logique très classique de notre monde moderne, semblent surtout intéresser les annonceurs. Personnellement, je n’ai pas besoin de contenus qui viennent me déconcentrer quand je travaille. Par contre, une fois identifié, Microsoft peut tout à fait me catégoriser finement et vendre mon profil à des marques qui vont estimer que me parler de leurs produits est censé m’intéresser.
Pas plus que l’incitation à m’abonner au Pass XBox Games ou à télécharger une version de Microsoft Office ou encore à stocker chez Microsoft OneDrive ne vont m’intéresser d’ailleurs. Je n’achète pas un panneau publicitaire, mais bien un système d’exploitation.
Enfin, et c’est mon cas, utiliser des machines sans compte Microsoft me permet une gestion plus aisée. Je co-gère un parc de multiples machines sous Windows au sein de l’association dont je suis membre2. Machines que l’on confie à des enfants pour leur apprendre la programmation, la 3D, le montage vidéo entre autres. Et toutes les machines sous Windows sont installées avec un compte local. C’est plus pratique, plus simple et cela évite d’exposer des enfants à des applications de rencontre ou autres starlettes en bikini. Cela évite également de se farcir des mises à jour indésirables.
Et surtout, Windows fonctionne très bien avec un compte local. Microsoft a beau dire que cela joue sur la sécurité, il n’en est rien. On peut très bien se connecter après l’installation et procéder aux mises à jour de sécurité sans se taper la pub qui emballe le service.
Ceux qui pensaient passer encore une fois par la fameuse ligne de commande oobe\bypassnro ne peuvent déjà plus compter dessus. Pire encore, les éléments présents dans le registre pour outrepasser l’obligation d’un compte local ont été supprimés. Tout est fait pour suivre le chemin optimisé tracé par Microsoft. Mais il faut comprendre que cette optimisation n’a pas pour objet de vous rendre service mais plutôt d’être le plus rentable possible. Quitte à pourrir votre expérience avec la machine et le système d’exploitation que vous avez payé.
Dernière solution, Rufus ! Le logiciel de préparation de clés USB pour installer, entre autres, Windows 11, permet de faire sauter cette obligation depuis sa version 3.19. Je m’en vais refaire ce que j’ai fait du temps de Windows XP (pour d’autres raisons). Je m’en vais acheter une clé USB à 10€ et installer dessus une image générée par Rufus d’une solution Windows 11 installable sans compte Microsoft. Et la garder précieusement dans un coin pour installer toutes les machines que j’ai besoin d’installer sous Windows sans me casser la tête. Quitte à faire de longues mises à jour a posteriori. Je préfère cela plutôt que de me fader le contenu MSNesque que Microsoft tente de me faire avaler dans une barre de tâche avant que je réussisse a le désactiver.
Windows 11 sous compte local : mission quasi impossible © MiniMachines.net. 2025