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Télex

Citizen Sleeper 2 arrive en français le 29 octobre. Le RPG spatial, excellente suite du précédent, devient donc gratuitement accessible dans la langue de Molière et de JUL. On regrettera que le jeu ne se renomme pas « Dort mon p’tit républiquinquin », mais tant pis. P.
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Le programme du Stunfest est en ligne : le prochain NoScope sera en public, le vendredi 24 octobre

Le Stunfest approche à grands pas, puisqu’il aura lieu dans pile deux semaines, du 24 au 26 octobre. Et ça y est, le programme est enfin disponible sur le site de l’événement ! Vous pouvez y retrouver tout ce qui sera prévu, comme par exemple un NoScope enregistré en public au sein du 360, le vendredi 24 octobre de 16 h 30 à 18 h 45. On changera un peu nos habitudes, notamment parce qu’on aura du public et des invités, mais pas d’inquiétude, il y aura quand même un quiz débile, et on parlera de FPS. On essaye de faire en sorte que ce soit retransmis en live sur notre chaîne Twitch. On vous tient au courant.

Outre le NoScope, il y aura énormément de choses à retrouver tout au long du week-end, dont des conférences sur le travail dans l’industrie, sur la presse JV française, ou encore sur les problématiques de faire une thèse sur le jeu vidéo. On pourra également trouver une zone dédiée aux jeux indépendants, présentés par leurs créateurs. Il y en aura plus d’une trentaine, dont quelques titres en vue subjective, comme Deadcore Redux, Trigger of Time, Lifelong et CARIMARA: Beneath the forlorn limbs.

Stunfest indes

Si l’idée de toucher une manette ne vous révulse pas, vous pourrez profiter de consoles rétro, de bornes d’arcade et d’installations atypiques. Ce sera aussi l’occasion de rencontrer des gens dont le métier est d’utiliser le jeu vidéo pour transmettre un message, éduquer ou créer. Votre truc, c’est la compet’ ? Le Ring ou les micros-tournois seront là. Il y aura même un vrai gros tournoi sur Smash, à l’université de Rennes 2. D’ailleurs, vous pensez que vous êtes fort en jeux vidéo ? Il serait temps de se remettre en question, car il y aura des performances de speedrunners tout au long du week-end, pour bien vous rappeler à quel point vous êtes nuls, et que contrairement à vous, certains peuvent vraiment faire quelque chose d’impressionnant en passant des heures devant leur écran.

Parce qu’un festival ne peut décemment pas se dérouler sans concerts, le collège musique a concocté deux soirées : la boom du Stunfest le vendredi, avec une sorte de karaoké suivie d’un concert de 2080, puis de René Danger et xaxalxe le samedi. Prenez vos billets si ça vous tente. Et tout au long du week-end, des blind tests et autres jeux seront organisés pour animer les espaces du 360.

Stunfest prog scaled

Si vous avez l’occasion de venir, on sera très heureux de vous voir du 24 au 26 octobre au 360 à Rennes. Il est possible de réserver un pass 3 jours via HelloAsso pour 24 € (ou plus, si vous comptez votre salaire en brut), ce qui garantit une entrée au festival. Vous pourrez aussi y aller directement sans réservation, la place sera à prix libre, mais l’accès restera soumis aux limitations du lieu.

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12 minutes de gameplay avec un balai dans le cul pour HUNGER, la copie rigide d’Hunt: Showdown

La semaine dernière, les développeurs d’HUNGER ont publié une longue vidéo de gameplay pour leur copie d’Hunt: Showdown à l’époque napoléonienne. Et on n’est pas vraiment sûrs de comprendre pourquoi ils ont cru bon de montrer ça à tout le monde, vu la souffrance que semble représenter le moindre mouvement. Les déplacements sont d’une lenteur et d’une rigidité extrême, les ennemis IA semblent très résistants, les coups au corps à corps épuisent les joueurs en quelques secondes, et on a l’impression qu’il faut plusieurs minutes pour se soigner partiellement.

Niveau mécaniques de gameplay, a priori, rien d’original. On est face à un extraction shooter PvPvE très classique, qui se repose sur sa direction artistique, plus jolie dans ses trailers qu’en gameplay. Quand on dit classique, c’est uniquement pour ne pas dire « copie conforme d’Hunt: Showdown ». Parce qu’on n’a pas vraiment trouvé de différences, mis à part une utilisation un peu plus marquée des armes blanches, les armes à feu mettant trois plombes à se recharger. Par contre, le titre de Crytek est beaucoup plus dynamique que ce que nous montre le studio GOOD FUN CORPORATION, pourtant les développeurs originaux d’Hell Let Loose. Même si ce n’est que de la pré-alpha, il va vraiment falloir qu’ils se sortent les doigts et qu’ils retirent les balais du cul de leurs personnages.

Si ça vous tente quand même, vous pouvez toujours ajouter HUNGER à votre liste de souhaits depuis sa page Steam. L’accès anticipé est prévu pour 2026, sans plus de précisions.

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Télex

Une première sur Twitch : la streameuse Cady « Fandy » Hoffmann a diffusé en direct son… accouchement. Dans son salon, entourée d’une infirmière tout de même, elle a donné naissance à son premier enfant devant 300 000 personnes. Le premier mot du bébé sera donc « First ». Bonne thérapie à lui.
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Cagoules n’Ghosts

Un scoop révélé par Game File‘s, qui nous apprend qu’un jeu Ubisoft a été annulé, de peur de susciter la controverse. Sans doute un thème clivant, comme on dit, un sujet sur lequel les opinions se divisent, mais se comprennent. Voyons voir : un jeu Assasin’s Creed, dans lequel on aurait joué un ancien esclave noir revenant dans le Sud profond pour aller décimer le Ku Klux Klan. Ouhla, je comprends, la question de savoir si posséder des esclaves et pendre des noirs est une mauvaise chose est compliquée. En gros, le studio a pris peur juste après la tentative d’assassinat de Donald Trump et les huiles ont décidé que le climat politique américain n’était pas favorable. Vous verrez que dans quelque temps, on en viendra à se demander si la série des Wolfenstein, quelque part, ne serait pas un appel à la haine anti-nazi. P.
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Mis au moutard

Nintendo fait un teaser mystérieux. Sans crier gare, la firme japonaise a posté Close to you, un petit film d’animation à la Pixar – et plutôt très bien fait – dans lequel un bébé cherche à rattraper une tétine magique qui se met à voler partout dans la maison. C’est choupinou, rigolo, mais surtout… qu’est-ce que c’est ? Aucune annonce, aucun lien avec un jeu, rien. Les spéculations sur Internet vont bon train, certains y voyant un lien avec le futur film Super Mario Galaxy, d’autres imaginant même un teasing élaboré pour un futur Pikmin 5 [EDIT : C'était bien cela]. Canard PC est en mesure de vous révéler la vérité, en exclu : c’est sans doute l’annonce d’un NinToddlers à venir, comme un Nintendogs, mais avec des bambins, dont on pourra s’occuper amoureusement durant deux semaines avant de les oublier dans un tiroir, comme dans la vraie vie. P.
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Au forceps

La nature est cruelle. Suivez-moi pour observer une scène terrible : un jeune Marathon, qui veut naître malgré de mauvaises conditions et qui, péniblement, cherche pourtant encore à sortir de son œuf. Sa maman, Sony, ne l’a pas abandonné, mais elle semble partir chasser de plus en plus loin du nid, oubliant de lui donner sa becquée pour prendre des forces. Le petit lutte, essaye vaguement de relancer une bêta sous NDA, crie un peu pour qu’on s’occupe de lui, mais ne reçoit en retour que le silence assourdissant d’une nature qui l’ignore. Comme le Concord avant lui, une espèce disparue, il ne survivra vraisemblablement que quelques secondes une fois éclos. C’est aussi fascinant que terrible à observer, mais ne nous en mêlons surtout pas, laissons les choses se faire naturellement dans la vie sauvage. Chut, petit Marathon, laisse-toi aller. P.
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Sortie de CARIMARA: Beneath the forlorn limbs, un jeu indé, français et atypique

Comme prévu, CARIMARA: Beneath the forlorn limbs est sorti le 6 octobre dernier sur Steam. Il s’agit d’un walking sim narratif à l’esthétique se rapprochant de l’ère PSOne, et avec une mécanique de dialogue basée sur des cartes. Peut-être une petite inspiration du côté du deck-builder Inscryption ? L’ambiance semble particulièrement étrange, et colle très bien à la direction artistique décalée de l’éditeur, Critical Reflex, dont on évoque souvent les autres projets (Militsioner, Mouthwashing, THRESHOLD…).

A priori, les joueurs sont convaincus, car 97 % des 137 avis sont positifs. Ils décrivent une aventure courte, mais pleine d’humour, avec une jolie patte artistique et un doublage français réussi. À la rédac, on est assez curieux de voir ce que ça donne, alors on va essayer de le caser entre un roguelite et un blockbuster pour vous faire un petit retour.

Mais si vous êtes friands d’expériences un peu différentes et que vous voulez vous faire votre propre avis, vous pouvez déjà retrouver CARIMARA: Beneath the forlorn limbs à moins de 5 € sur Steam.

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Même en pré-alpha, le soulslike Valor Mortis envoie du bois

Après Ghostrunner et Ghostrunner 2, rien ne prédestinait One More Level à délaisser le cyberpunk pour embrasser l’ère napoléonienne, encore moins avec un soulslike. Et pourtant, c’est bien ce qu’ils ont annoncé pendant la dernière Gamescom avec Valor Mortis. Si parfois, on tord un peu les catégories pour faire rentrer les jeux dans des cases, on ne peut vraiment pas en dire autant pour celui-ci. Les développeurs eux-mêmes revendiquent que leur jeu fait partie du genre. Et ils l’expliquent dans une nouvelle vidéo, présentée par leur éditeur.

À la rédac, on n’est pas franchement experts des jeux From Software, mais on en connaît tout de même les codes. Et il suffit de lancer le playtest quelques minutes pour constater que les devs n’ont pas menti. Ils ont fait un copier/coller des concepts, mais en vue subjective : des combats durs, mais justes, avec des ennemis aux patterns à apprendre, une ressource pour améliorer ses capacités, que l’on perd en mourant, mais qu’on peut récupérer si l’on retrouve son cadavre, et des lanternes pour remplacer les feux de camp. Ça, c’est sans compter l’ambiance très sombre et malsaine, pleine de monstruosités et excroissances surnaturelles, dans un monde à la direction artistique excellente. Le gameplay est beaucoup plus sympa qu’on aurait pu craindre, et c’est agréable à prendre en main. Il y a un dash et des parades, mais c’est quand même un poil rigide. Attention, par contre, les performances sont atroces – presque aussi catastrophiques que celles de Borderlands 4, c’est pour dire ! –, mais les développeurs sont au courant et ont bien l’intention de le faire tourner correctement sur le maximum de machines.

Globalement, on a donc été très agréablement surpris par la proposition, à la fois pour son gameplay, sa direction artistique et son originalité. On parle depuis longtemps de soulslike, mais pour les jeux en vue subjective, outre la série des King’s Field évidemment, le seul qui nous vient à l’esprit est l’incroyable Witchfire, qui lui, lorgne beaucoup plus du côté fast-FPS. Ici, le corps à corps est prédominant, et pour une fois, utiliser la description « Dark Souls du FPS » ne serait pas la galvauder.

Quoi qu’il en soit, on vous encourage à aller tester Valor Mortis en vous inscrivant aux playtests, qui courent jusqu’au 13 octobre prochain. Pour cela, rendez-vous sur le site officiel. Et si vous êtes convaincus, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits depuis sa page Steam.

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Une démo pour Don’t Stop Girlypop! : on perd 2 dixièmes à chaque œil, mais les sensations sont bonnes

Découvert avec effroi l’année dernière, Don’t Stop Girlypop! sort enfin sa démo promise. On ne va pas vous mentir, on était assez curieux de la tester, pour voir si le feeling était autant à vomir que la direction artistique, volontairement un poil too much. Les précédentes vidéos laissaient penser que le studio uniquement féminin Funny Fintan Softworks aurait proposé un titre mou et sans aucune sensation. On n’aurait pas pu plus se tromper, car sous ses airs de jeu troll – qu’il reste par ailleurs avec ses visuels et son ambiance –, le gameplay est très solide.

Le principe est de rester en mouvement le plus possible, afin de gagner en puissance. Il y a un air control très prononcé, un dash, un double saut, un grappin… Tout ce qu’il faut pour rendre le jeu très dynamique et frénétique, d’autant plus que le level design est un peu étriqué. Côté armement, on dispose d’une sorte de fusil à pompe, qui n’a pas énormément de recul, mais son sound design est correct, et les dégâts qu’il provoque sur les ennemis robotiques procurent une sensation plutôt cool. Heureusement, car le reste est à prendre au dixième degré : la mise en scène est horriblement malaisante, et l’interface, en particulier celle pour customiser ses bras et son arme, donne envie de se crever les yeux avec une petite cuillère.

Si vous voulez oser l’expérience, vous pouvez retrouver la démo de Don’t Stop Girlypop! en vous rendant sur sa page Steam.

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Fort Fort Lointain

Des nouvelles du monde merveilleux du chômage, avec la fin de la série YouTube « Far Lands or Bust » de Kurt J. Mac. Une série en plus de 800 épisodes relatant son voyage vers le bord du monde, sur une ancienne version de Minecraft. Dans celle-ci, à environ 12 550 821 blocs du centre, un bug de génération procédurale produit un paysage déformé, un mur, que Notch avait surnommé les Far Lands, avant de préciser : « Marcher aussi loin prendra beaucoup de temps », considérant qu'il est « impossible d’atteindre ces terres lointaines », ce qui sonne comme un défi à ne jamais lancer à Internet. Il n’est pas le premier à atteindre cette limite, mais son voyage est désormais reconnu comme le plus long, sa série de vidéos YouTube ayant duré… 14 ans ! Espérons qu’il trouve un nouveau défi à sa hauteur, comme, je ne sais pas, disons tenir une conversation philosophique sur un tchat de Call of Duty. P.
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DAIMON BLADES est sorti en accès anticipé, et c’est beaucoup moins cassé qu’on pouvait imaginer

Après un report de quelques semaines, DAIMON BLADES est enfin sorti sur Steam en accès anticipé. Après avoir repris son indépendance, StreumOn Studio revient à ses premières amours dans l’univers d’E.Y.E. Divine Cybermancy, mais avec un roguelite coopératif au corps à corps. Les vidéos de présentation nous avaient déjà un peu titillés, notamment grâce à une direction artistique plutôt sympa et des mouvements qui semblaient plutôt fluides, mais on craignait une finition très bancale, vu les précédents titres du studio (Space Hulk: Deathwing, Necromunda: Hired Gun).

StreumOn nous a envoyé quelques clefs en avance pour commencer à tester, et on a été assez surpris par la finition globale. Certes, on a rencontré de gros bugs (peut-être déjà corrigés, on croise les doigts), mais l’impression générale est franchement bonne : le feeling est chouette, on a une très bonne impression de puissance, et même si c’est parfois un peu brouillon, on s’amuse beaucoup. La direction artistique est très réussie, mais c’est parfois compliqué d’avoir plus de 100 FPS. D’autre part, le billet de blog sur Steam précise que les portraits de daimons, auparavant générés par IA pour faire office de placeholders, ont été remplacés par de vrais visuels réalisés par le lead artist En quelques heures, on a seulement effleuré les compétences et le système de progression, donc on ne publiera pas de test tout de suite, mais on peut déjà dire qu’on aime bien. En attendant, vous pouvez regarder la dernière vidéo de présentation, qui montre les expéditions et le combat :

D’ailleurs, si vous voulez le voir en action, on l’a streamé hier soir sur notre chaîne Twitch. Si vous aussi voulez vous lancer dans l’aventure, DAIMON BLADES est disponible sur Steam à –10 % pour sa sortie, soit moins de 32 € jusqu’au 20 octobre, mais gare aux plantages.

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Sans fleurs ni couronnes

C’est officiel : Kingmakers, le jeu qui promettait de résoudre la guerre de Cent Ans avec un fusil d’assaut, est repoussé indéfiniment. Le studio Redemption Road, dans un élan de lucidité rare, a déclaré qu’il ne voulait pas « faire payer les joueurs avant de se sentir bien avec ça ». Traduction : « On a foutu trop de trucs dans le moteur, ça fume. » Le jeu devait simuler des batailles avec des dizaines de milliers de soldats, chacun doté d’une IA digne d’un AAA. Résultat : l’Unreal Engine 4 est en PLS, et les développeurs refusent de sabrer des features juste pour « sortir vite ». C’est la deuxième fois que Kingmakers est repoussé. On serait mauvaise langue que nous dirions que les développeurs ont eu les yeux plus gros que le ventre. Mais ce n’est pas notre style, contentons-nous d’espérer que ce retard soit synonyme de reculer pour mieux sauter. Au moins, Redemption Road promet de montrer très vite du gameplay et les mécaniques en profondeur, bientôt. Espérons que cela soit au moins aussi profond que ma déception. P.
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The Signal: Stranded on Sirenis, le FPS générique de survie et de construction, a lancé une campagne kickstarter

Découvert lors du Future Game Show à la Gamescom 2025, The Signal: Stranded on Sirenis se présentait comme un énième FPS de survie et de construction se déroulant sur une planète extraterrestre. À la rédac, on n’était ni convaincu par le gameplay extrêmement mou, ni par le scénario revu maintes et maintes fois. Cependant, le studio Goose Byte qui développe et auto-édite le jeu, y croit dur comme fer et c’est là que vous, les joueurs Jean-y-a-du-potentiel, intervenez pour financer leur projet via une campagne kickstarter (un peu plus de 27 000 €).

Sur la page de financement, il est mentionné que l’accès anticipé est prévu pour 2026 et entretemps, des playtests arriveront pour les backers. Les devs annoncent également que des paliers seront à débloquer en fonction des fonds récoltés et dévoilent les titres qui les ont inspirés pour The Signal: Stranded on Sirenis (qui est bien loin d’arriver à la cheville de ces derniers sur bien des aspects) que sont Subnautica, Bastion ou encore Deep Rock Galactic.

Pour le moment, l’équipe de dev a récolté un peu plus de 7 000 € et en dépit de leur bonne volonté, il se pourrait que l’objectif soit difficilement atteignable. De plus, il ne faut pas oublier que le studio se heurte à d’autres concurrents tels que Blind Descent par exemple, un autre FPS de survie dévoilé cette année.

Si vous êtes emballé par le projet du studio Goose Byte, vous pouvez participer à la campagne Kickstarter qui se termine à la fin du mois et ajouter The Signal: Stranded on Sirenis à votre liste de souhaits Steam.

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N’oubliez pas vos déguisements pour les soirées endiablées à venir de Painkiller

Après avoir dévoilé le mode Rogue Angel et décalé de quelques semaines la sortie de Painkiller, le studio Anshar dévoile un peu plus de gameplay pour rappeler aux puristes vieux cons que la coop c’est so 2025 et surtout que ça le restera. Avec un HUD surchargé et une surenchère d’hémoglobine, votre équipe devra se frayer un chemin au travers des vagues de démons décérébrés pour atteindre l’ange déchu Azazel et sa progéniture. N’oubliez pas, au passage, de sortir vos costumes poussiéreux de vos anciennes soirées déguisées et vos armes colorées pour vous faire trembler de peur vos ennemis.

Quitte à se farcir un nouveau trailer en mode précommandez moi svp car je suis trop fun en coop, on aurait bien aimé voir un peu plus en détail le système de cartes de tarot, ou encore, el famoso avantage propre à nos quatre héros tellement charismatiques que personne à ce jour n’est capable de se rappeler de leurs noms. À moins que l’on ait raté quelque chose, c’est tout même étrange que cet aspect ne soit toujours pas abordé pour un jeu qui semble se centrer sur la synergie d’équipe, d’après le descriptif de la page Steam.

Painkiller est toujours prévu pour le 21 octobre. Mais si vous faites partie des gens qui craignent que le jeu démat soit en rupture, vous pouvez toujours précommander ce dernier pour environ 40 € et pour 10 € supplémentaires, profiter de skins ridicules ainsi que du season pass, sur Steam.

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MISERY : une démo pour le cauchemar coopératif post-apo

Le 23 octobre 2025, préparez-vous à plonger dans l’enfer radioactif de MISERY, un jeu de survie coopératif développé par Platypus Entertainment et inspiré par des titres comme Lethal Company et S.T.A.L.K.E.R. Jouable en solo ou en coop jusqu’à cinq joueurs, le jeu vous propulse dans la Zone d’exclusion de Zaslavie, un territoire ravagé par la guerre nucléaire et peuplé d’anomalies, de créatures mutantes et de survivants hostiles.

Le pitch est simple et brutal : vous incarnez des mercenaires privés chargés de protéger un institut scientifique secret. Quand la sirène retentit, vous avez 60 secondes pour rassembler des ressources et vous réfugier dans le bunker. Ensuite, commence la vraie partie : chaque jour, vous partez en expédition dans des lieux générés procéduralement. Si vous survivez entre les radiations, la faim, la folie, les rencontres avec les autres survivants et les trahisons, vous pourrez améliorer votre bunker à votre retour.

La démo est disponible depuis peu, si vous aimez souffrir en bonne compagnie et que vous pouvez passer outre les graphismes atroces, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam.

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Citizen Pain : un nouveau First Person Slasher dark fantasy

Le paysage des jeux vidéo indépendants accueille un petit nouveau : Citizen Pain, un slasher dark fantasy développé en solo par Alessandro Capriolo. Le jeu est annoncé pour le 05 décembre 2025. La démo du jeu vient tout juste d’atterrir sur Steam et offre aux joueurs un avant-goût du gameplay brutal et stylisé.

Le monde de Citizen Pain est un mélange de villages en ruine, de catacombes hantées et de cavernes maudites, le tout porté par une bande-son atmosphérique et des combats au corps-à-corps exigeants. Le développeur promet une variété d’ennemis, des armes spéciales à découvrir, de l’amélioration du personnage, et une ambiance sombre et pesante.

Si la démo vous a convaincu, vous pouvez ajouter le jeu à votre liste de souhaits sur Steam en attendant la sortie complète prévue pour la fin de l’année.

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Les bons plans du week-end se préparent à la pluie

Ça y est, l’automne est là. Les derniers jours de beau temps sont terminés, et la pluie va redevenir notre quotidien. Pour les bons plans NoFrag du week-end, c’est l’occasion de faire de belles balades, sans se faire emmerder. Pour éviter d’être trop mouillé, il faudra s’équiper d’un joli poncho ou d’un ciré – uniquement dans le cas où vous seriez Breton. Au cas où, on pourra aussi prendre des bouchons d’oreilles pour éviter de prendre froid. Parce que c’est rigolo de sauter dans les flaques de boue, ces bottes seront indispensables. Évidemment, il ne faudra pas oublier un discret pantalon de circonstance. Si vous n’aimez pas trop les capuches, rassurez-vous, il existe plein d’alternatives toutes plus pratiques et fashion les unes que les autres. Il ne manque plus qu’un séchoir pour s’occuper de tout ça à votre retour, et une bonne tisane. Vous voilà fin prêt pour l’automne !

Les bons plans Amazon

Vous en avez marre de jouer à des jeux UE5 à 57 fps en 1080p ? Optez pour la machine de guerre de NoFrag, l’Annhilitor 1B, préparée par notre expert Gothax :

Et si aucun de ces produits ne vous fait de l’œil, vous pouvez tout de même nous soutenir en ajoutant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’URL de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous permettre de grappiller quelques euros fort utiles.

Gamesplanet S40

Les bons plans Gamesplanet

C’est l’automne pour tout le monde, et notre partenaire Gamesplanet en profite pour proposer une incursion dans le monde de la PlayStation avec ces titres portés sur PC. La plupart sont de très bons jeux, même s’il n’y a pas de FPS. Par exemple :

Évidemment, il n’y a pas que des promos sur les jeux Sony, puisqu’on peut trouver également ce genre de bons plans :

Et dans tous les cas, si vous trouvez des choses qui vous intéressent, vous pouvez ajouter ?ref=nofrag à la fin de l’URL pour nous faire gagner quelques centimes. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Merci à tous pour votre soutien !

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La bêta de Call of Duty 22: Black Ops 7 a débuté pour les pigeons, mais n’a pas l’air de déchaîner les passions

Hier, la bêta fermée de Call of Duty 22: Black Ops 7 a débuté pour celles et ceux qui ont précommandé ou pour certains usagers du Xbox Game Pass. D’après nos confrères d’Insider Gaming, l’engouement ne semble pas être au rendez-vous, puisqu’ils remontent un pic à moins de 75 000 joueurs, tous Call of’ confondus sur Steam, et un nombre de viewers Twitch atteignant difficilement les 200 000, soit quatre fois moins que pour la bêta de Battlefield 6. Pour tout vous avouer, le prochain titre d’Activision ne nous passionne pas non plus, et on n’a pas eu l’occasion de se pencher sur toutes les incroyables nouveautés prévues. On sait juste que les cheaters ont déjà investi les serveurs, mais que Treyarch a pensé à une solution infaillible pour les rendre obsolètes : intégrer un wallhack de base dans le jeu :

Oui oui, en plus de voir à travers les murs, ça tue les gens à travers les murs. 0% skill, 100 % résultat, comme dirait un certain docteur. Ok, c’est en récompense d’un killstreak, mais c’est tout de même particulièrement à chier.

Si vous êtes un sale pauvre, vous ne pourrez profiter de l’open bêta qu’à partir du 5 octobre prochain jusqu’au 8, comme l’indique la page officielle. Pas sûr qu’on ait la motivation ni le temps de lancer une partie, mais si on le fait, on vous fera un petit retour objectif.

À noter que si vous vouliez profiter d’un mois de Game Pass pour tester Call of Duty 22: Black Ops 7 à sa sortie le 14 novembre, sachez que Microsoft a fait sauter le bouchon de lubrifiant : les prix ont bondi de +50 %, faisant passer la version Ultimate de l’abonnement à 27 € par mois (la seule proposant le jeu dans son catalogue), tandis que le PC Game Pass disparaît des formules. Si vous voulez plus d’infos, jetez un œil à cet article récapitulatif de Frandroid. Sinon, le prochain Call Of sera aussi facturé au prix de 80 € sur Steam.

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