Vue lecture

La montre Suunto Run vous fait de l’œil ? On vous l’offre pour les 10 ans de Numerama !

La montre idéal pour se mettre à la course et exploser ses temps ? Sans hésiter, c'est une Suunto qu'on recommande de mettre au poignet. À l'occasion de nos 10 ans chez Humanoid, tentez de remporter la Suunto Run, une montre GPS d'exception, conçue pour le grand public, mise en jeu par Suunto que nous remercions pour leur générosité.

  •  

Le Lama Déchainé, campagne de l'April 2025

Certains s'en souviennent encore, d'autres sont passés à côté. Certains en ont rêvé, d'autres ont hâte de retrouver les mots croisés! Certains se demandent ce que l'April a fait cette année, d'autres ont d'autres associations à financer…

Le Lama Déchainé revient !

Bannière de la campagne du Lama Déchainé

À travers neuf éditions hebdomadaires du 15 octobre au 16 décembre, (sauf surprise, manque de temps, perte d'un journaliste, dissolution de l'assemblée nationale, voire démission d'un président).

Vous y retrouverez les éditos, de nouvelles anecdotes, des dessins humoristiques explicites, les mots croisés, les chiffres, de nouveaux logiciels libres. Comme l'année dernière, la plume invitée sera laissée à des personnes amies nous parlant d'elles ou de leurs projets. Toujours plus de trucs à savoir et à partager

De nouvelles rubriques ont également été mises en place, nous avons scindé les citations en deux, la première sera nourrie uniquement de citations de notre site Libre à lire! qui regroupe toutes les transcriptions réalisées (conférences, vidéos, podcasts, car le texte rend plus accessible les médias). Pour la deuxième, les citations seront des extraits des chroniques de notre émission radio Libre à vous! diffusée sur Cause commune et en podcast.

Autre nouvelles rubriques :

  • Distribution libre, qui sera composée de petits textes présentant succinctement différentes distributions. Avec l'opération Adieu Windows, bonjour le libre!, beaucoup de personnes nous demandent quelle distribution choisir. Nous espérons, avec cette rubrique, leur donner quelques pistes de réflexion.
  • L’écho des assos, pour vous parler des associations qui accueillent, rencontrent et aident le grand public au jour le jour (merci à elles).
  • IneptIA, tout est dans le titre, on vous laisse découvrir (et commenter, forcément).
  • Qui fréquente votre lama?, où n'importe qui pourra participer en (demandant puis) envoyant des photos de leur lama.

Grande nouveauté de cette année : Le Lama Photonique… Ce sera le feuilleton de la fin d'automne, chaque semaine, vous pourrez découvrir comment fabriquer votre propre Lama Photonique en dix étapes !

Tout peut arriver d’une semaine à l’autre alors, pour ne rien rater, suivez avec vigilance les mots clics #LeLamaDéchainé et #CampagneApril2025 sur les réseaux sociaux ou abonnez-vous au flux RSS.

Cette gazette vise à vous présenter l’étendue de nos actions, dans un format plus léger et humoristique que nos lettres d’informations (que nous vous encourageons malgré tout à lire pour vous convaincre de la pertinence de notre travail).

Afin d’assurer la pérennité de nos activités, nous cherchons à récolter une somme de 30 000€ avant le 31 décembre. Si vous pensez que l’April doit continuer à exister dans ce contexte où l’hégémonie des géants du logiciel privateur se fait toujours plus forte, vous pouvez adhérer ou faire un don.

Merci de votre lecture, de vos commentaires, de votre soutien!

Commentaires : voir le flux Atom ouvrir dans le navigateur

  •  

Protéger l’acier, couler l’industrie ?

Un sidérurgiste indien en passe de racheter un symbole européen de l’acier. Des discours martiaux sur la « souveraineté industrielle ». Non, nous ne sommes pas en 2006 mais bien en 2025. L’Europe aura-t-elle cette fois la trempe nécessaire pour ne pas en ressortir laminée ?

Le 16 septembre 2025, Thyssenkrupp Steel, la fierté de la Ruhr, a officiellement confirmé avoir reçu une offre de rachat de Jindal Steel International. Pour quiconque a encore en tête la saga Arcelor/Mittal de 2006, la scène a des airs de déjà-vu : même sidération politique, même électrochoc économique. Il y a dix-neuf ans, le géant indien Mittal s’offrait alors un morceau de l’histoire industrielle européenne à coup d’OPA et déclenchait les passions dans l’hexagone, toujours prompt à déceler les signes du déclin industriel français. Dix-neuf ans plus tard, on nous ressert le même plat, en plus sec, encore moins digeste. Mais entre-temps, l’industrie européenne a encore un peu plus perdu de sa superbe. Et par une ruse de l’histoire, au même moment, comme piquée à vif, l’Europe soudain se ressaisit et s’accroche à ses hauts fourneaux et se prend à rêver dans un ultime sursaut à sa souveraineté industrielle.

Car dans la foulée de cette annonce, Bruxelles vient en effet de dégainer son plan miracle : doubler les droits de douane sur l’acier importé (50 %) et couper les quotas d’importation de moitié. Un geste martial, censé protéger une industrie « au bord de l’effondrement », selon Stéphane Séjourné, désormais vice-président exécutif de la Commission européenne chargé de la Prospérité et de la Stratégie industrielle. « Il y a une prise de conscience des responsables politiques européens que le monde est de plus en plus protectionniste […] et que l’Europe était encore le seul marché ouvert, notamment dans le secteur de l’acier. »

L’Europe à l’offensive ?

L’Europe passe donc à l’offensive peut-être. Mais contre qui, exactement ? Et surtout au bénéfice de qui ?

La sidérurgie européenne n’a plus grand-chose d’offensif. Cela fait des années qu’elle encaisse les coups sans riposter. Ou alors timidement. En 2019, l’Europe s’est par exemple dotée d’une clause de sauvegarde, qui limite les importations d’acier chinois sur le continent, mais elle disparaîtra à la fin du mois de juin 2026. 

Avec son nouveau plan, l’ancien ministre des affaires étrangères français entend incarner une nouvelle posture plus musclée et durable, « j’assume le même agenda que Donald Trump », c’est-à-dire un mélange de patriotisme économique assumé et de foi en un « protectionnisme intelligent ». « L’Europe a été naïve pendant trop longtemps », martele Stéphane Séjourné. « Nous devons protéger nos filières stratégiques, sinon nous dépendrons demain entièrement des importations étrangères ».

Mais n’est-il pas déjà trop tard ? Pendant que l’Europe s’épuisait en discussions sur l’ouverture de son marché, la Chine avançait ses pions : le pays produit aujourd’hui dix fois plus d’acier que toute l’UE réunie. (voir encadré). Les aciéries asiatiques vendent à prix cassés, pendant que les européens subissent la flambée des prix de l’énergie, des normes environnementales plus strictes, et l’effondrement de la demande… Résultat : 18 000 emplois ont été détruits rien qu’en 2024, dans un secteur qui compte encore 300 000 directs et 2,5 millions indirects dans l’UE. Ils étaient 100 000 de plus il y a dix ans.

La Chine, ogre de l’acier

J’approfondis

Mais soit. Prenons Stéphane Séjourné au mot. Et acceptons ce changement de pied majeur.

Sauf que ce que Stéphane Séjourné ne dit pas trop fort, ou bien oublie de préciser c’est que cette politique a déjà été mise en œuvre. Outre Atlantique. Et que l’on connaît déjà la fin du film. En 2018, quand Donald Trump avait imposé des tarifs sur l’acier et l’aluminium, les aciéries américaines ont brièvement repris des couleurs. Quelques milliers d’emplois ont été « sauvés » ou recréés dans les hauts fourneaux. Mais les entreprises consommatrices d’acier — automobile, électroménager, machines-outils — ont pris une claque : explosion des coûts, répercussions en chaîne, délocalisations. Selon une récente enquête de la COFACE, 1000 emplois auraient été créés dans l’acier contre…75 000 détruits dans le secteur manufacturier national. Autrement dit : Trump a sauvé quelques hauts fourneaux, au prix d’une casse sociale massive en aval. La leçon américaine est sévère et rien ne permet de penser que l’Europe pourra échapper à ces mêmes mécanismes. 

Le prix de la souveraineté

L’acier, ce n’est pas un produit de niche : c’est la colonne vertébrale de l’économie industrielle. Automobile, aéronautique, BTP, machines, électroménager… on le retrouve partout. Augmenter son prix revient à injecter une dose d’inflation dans chaque voiture, chaque pont, chaque lave-linge.

Stéphane Séjourné d’ailleurs ne s’en cache pas « C’est le prix de la souveraineté ». Et quel est ce prix justement ? : « On a estimé la hausse à 50 € par voiture et à 1 € par machine à laver. » 50 € ici, 1 € là, ça semble anodin — jusqu’à ce qu’on multiplie ça par des millions d’unités produites.

Les constructeurs automobiles, déjà étranglés entre la transition électrique, la concurrence asiatique et les coûts énergétiques, risquent de voir leurs marges se réduire encore davantage. Et quand les marges fondent, les emplois fuient.

Cet élan protectionniste ne serait au final qu’une lubie ? Ce n’est pas vraiment le genre de la maison Von Der Leyen. 

Le plan européen n’est pas qu’une taxe. Il s’appuie aussi sur une promesse : transformer la sidérurgie européenne en championne de l’acier « vert ». Comment ? En « électrifiant » les fours, en remplaçant le charbon, et en investissant massivement dans l’hydrogène.

Car si en France, le secteur industriel est le quatrième le plus émetteur en gaz à effet de serre, il  en est le premier à l’échelle mondiale. Fabriquer de l’acier exige en effet des quantités d’énergie colossales comme l’a rappelé Anaïs Maréchal, journaliste et docteure en géosciences : « la fonte atteint par exemple 1 500 °C au sein du haut fourneau. Or, en 2019, les trois quarts de l’énergie consommée par le secteur étaient fournis par le charbon ». 

Le pari européen consiste donc à miser sur la décarbonation à coup de milliards pour faire baisser les prix. Comme l’avoue S. Séjourné, « c’est assez contre intuitif »…

Sans compter que ces promesses sont souvent lentes, conditionnées, et noyées dans des procédures kafkaïennes. C’est même ce qui jusqu’ici a conduit ArcelorMittal à suspendre le plan de modernisation de son usine de Florange. Une forme de chantage destinée à pousser l’administration européenne à aller au-delà des mots et à préférer l’acier made in Europe dans ses commandes publiques.

Ce qui se joue, ce n’est donc pas qu’une guerre commerciale. C’est un choix de modèle économique. L’Europe prétend défendre son industrie, mais elle n’y parviendra qu’à condition de réduire le coût de l’énergie, le fardeau réglementaire, et les délais d’investissement. Sinon ériger un mur tarifaire tout en laissant le sol industriel s’effriter, c’est ouvrir une sorte de parapluie dans un ouragan. Et les nouvelles taxes ne feront qu’enrichir quelques aciéristes sans sauver les emplois en aval. Le mur tarifaire risque alors de ne protéger que des ruines.

L’article Protéger l’acier, couler l’industrie ? est apparu en premier sur Les Électrons Libres.

  •  

Security updates for Thursday

✇LWN
Par :jake
Security updates have been issued by AlmaLinux (kernel and libsoup3), Debian (chromium and firefox-esr), Fedora (httpd), Oracle (cups, ImageMagick, kernel, and vim), Red Hat (libssh), Slackware (samba), SUSE (alloy, exim, firefox-esr, ImageMagick, kernel, libcryptopp-devel, libQt6Svg6, libsoup-3_0-0, libtiff-devel-32bit, lsd, python3-gi-docgen, python311-Authlib, qt6-base, samba, and squid), and Ubuntu (ffmpeg, linux-oracle-6.8, redict, redis, samba, and subversion).
  •  

V2G, V2L, V2H : voici les pouvoirs secrets des voitures électriques

Et si votre voiture électrique devenait une centrale de stockage d’énergie ambulante ? C’est la promesse du V2X (Vehicle-to-Everything), une technologie qui permet aux véhicules électriques d’injecter de l’électricité dans le réseau, une maison ou un appareil personnel. En collaboration avec nos confrères et amis d’Automobile Propre, Révolution Énergétique décrypte ce potentiel gigantesque encore largement inexploité en France. Une solution qui pourrait radicalement transformer la gestion des pics de consommation hivernaux et l’intégration des énergies renouvelables intermittentes.

Un potentiel équivalent à six réacteurs nucléaires

Les chiffres donnent le vertige. Avec 1,3 million de véhicules électriques fin 2024 selon l’Avere-France, le parc français représente une capacité de stockage de 45 GWh et une puissance cumulée de 9,1 GW. Pour donner un ordre de grandeur : l’équivalent de cinq à six réacteurs nucléaires EPR de dernière génération comme celui de Flamanville (1,65 GW), ou du double du système de pompage-turbinage de Montézic, deuxième plus grand dispositif de stockage hydraulique français avec 30 GWh de capacité.

Mieux encore : avec une moyenne de 35 kWh par batterie et 7 kW de puissance de recharge bidirectionnelle, chaque véhicule pourrait alimenter un foyer moyen pendant plusieurs jours hors chauffage. « Le potentiel est là, il suffit de l’exploiter », souligne Hugo, rédacteur en chef de Révolution Énergétique. Et ce n’est qu’un début : la part des véhicules électriques dans le parc roulant total ne représente que 2 à 3 %, mais les ventes atteignent déjà 13 % du marché neuf.

À lire aussi Où se trouvent les stations de transfert d’énergie par pompage (STEP) en France ?

V2G, V2L, V2H, V1G : des technos qui augmentent les fonctionnalités d’une voiture électrique

Quatre technologies coexistent aujourd’hui, chacune avec ses usages spécifiques. Le V2L (Vehicle-to-Load) équipe déjà 10 à 20 % des modèles neufs comme par exemple la Dacia Spring, la Renault 5, ou les coréennes Kia EV6 et EV9. Cette fonction permet d’alimenter des appareils électriques via un simple adaptateur branché sur la prise de recharge, avec une puissance de 3,6 à 3,7 kW. Idéal pour un professionnel utilisant des outils électriques ou pour une raclette en montagne, entre autres.

Le V2G reste ultra confidentiel en France : seule la Renault 5 le propose parmi les modèles récents, aux côtés de véhicules historiques jamais exploités (Nissan Leaf première génération, Mitsubishi i-MiEV). Cette technologie exige un cadre réglementaire strict pour communiquer avec le réseau électrique national et rémunérer les utilisateurs qui mettent leur batterie à disposition pendant les pics de consommation. Un système d’autopartage innovant utilisant le V2G est opérationnel aux Pays-Bas.

À lire aussi V2G, V2H, V2L : tout ce que vous devez savoir sur la charge bidirectionnelle

Entre les deux, le V1G (charge monodirectionnelle intelligente) se développe rapidement avec plusieurs fournisseurs d’électricité proposant déjà des contrats de pilotage intelligent. Le principe : la borne coupe ou réduit automatiquement la recharge lors des tensions sur le réseau, puis recharge massivement quand les prix de l’électricité chutent. Quelques dizaines d’euros de rémunération mensuelle sont possibles.

Le V2H (Vehicle-to-Home) transforme chaque voiture en batterie de stockage domestique, rendant obsolète l’achat d’un système de stockage séparé pour les installations solaires en autoconsommation. Mais cette solution nécessite des adaptations électriques (compteur communicant, disjoncteur d’isolement) et un cadre réglementaire encore flou.

Le potentiel colossal d’un parc automobile très électrifié

Le potentiel est colossal, mais l’adoption reste freinée par la complexité technique et réglementaire. « Le V2G, c’est un plan à mettre en place à l’échelle d’un pays. Il faut que les constructeurs, les fournisseurs d’énergie, les gestionnaires de réseau se parlent », explique Pierre Desjardin, rédacteur en chef d’Automobile Propre.

Pourtant, les enjeux sont majeurs : soulager le réseau lors des pointes hivernales sans recourir aux centrales à charbon, fioul ou à gaz, faciliter l’intégration de l’éolien et du solaire, et offrir une source de revenus complémentaires aux propriétaires de véhicules électriques. Avec seulement 2 à 3 % du parc automobile électrifié aujourd’hui, la France n’a encore rien vu de ce que ces technologies peuvent apporter à la transition énergétique dans les cinq prochaines années.

L’article V2G, V2L, V2H : voici les pouvoirs secrets des voitures électriques est apparu en premier sur Révolution Énergétique.

  •  

Linux Mint Debian Edition (LMDE) 7 released

✇LWN
Par :jzb

Linux Mint Debian Edition (LMDE) 7, based on Debian 13 ("trixie"), has been released:

Its goal is to ensure Linux Mint would be able to continue to deliver the same user experience, and how much work would be involved, if Ubuntu was ever to disappear. LMDE is also one of our development targets, to guarantee the software we develop is compatible outside of Ubuntu.

The LMDE release notes are rather sparse; users are also advised to review Debian 13's release notes.

  •  

Security updates for Wednesday

✇LWN
Par :jzb
Security updates have been issued by AlmaLinux (kernel, kernel-rt, vim, and webkit2gtk3), Debian (distro-info-data, https-everywhere, and php-horde-css-parser), Fedora (inih, mingw-exiv2, mirrorlist-server, rust-maxminddb, rust-monitord-exporter, rust-prometheus, rust-prometheus_exporter, rust-protobuf, rust-protobuf-codegen, rust-protobuf-parse, and rust-protobuf-support), Mageia (fetchmail), Oracle (gnutls, kernel, vim, and webkit2gtk3), Red Hat (kernel, kernel-rt, and webkit2gtk3), Slackware (mozilla), SUSE (curl, libxslt, and net-tools), and Ubuntu (linux-azure-5.15, linux-azure-6.8, linux-azure-fips, linux-oracle, linux-oracle-6.14, and linux-raspi).
  •  

On a vu Kaamelott 2 Partie 1 : je voudrais pas faire ma raclette, mais le film s’annonce pas super (critique sans spoilers)

Kaamelott Une

Trois ans après le premier Kaamelott, Alexandre Astier revient dans un nouveau film, le 22 octobre 2025. Intitulé Kaamelott : Deuxième Volet Partie 1, le long-métrage remet en scène des héros bien connus de la saga, et des petits nouveaux. Mais un personnage pourtant essentiel n'est pas de la partie. Voici notre avis, sans spoilers, sur cette suite très attendue.

  •  

Si SFR disparaissait, racheté par Orange, Free et Bouygues, à quoi s’attendre pour le réseau et les infrastructures télécoms ?

SFR

L'ère d'un marché français des télécoms à quatre opérateurs a-t-elle vécu ? SFR pourrait être dépecé entre Orange, Bouygues Telecom et Free, et les trois groupes ont manœuvré ensemble pour proposer une offre de rachat. Si la transition s'annonce longue et complexe, et que les zones d'ombre demeurent, on peut d'ores et déjà tracer les grandes lignes de ce qu'il va se passer pour les infrastructures et le réseau. À supposer que le deal aille à son terme

  •