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☕️ Centre d’appels : Altice a signé un accord pour vendre ses 65 % d’Intelcia

Intelcia est une des entreprises d’Altice laissée de côté lors du deal proposé par Bouygues Telecom, Free et Orange pour racheter SFR. Il s’agit pour rappel d’une société marocaine de 40 000 employés spécialisée dans les centres d’appels, détenue à 65 % par Altice depuis presque 10 ans. Cela fait un peu plus de deux mois qu’une vente est évoquée.

C’est désormais officiel : « Intelcia annonce aujourd’hui une nouvelle étape structurante de son parcours. Le 24 novembre 2025, ses actionnaires dirigeants ont signé un accord avec Altice portant sur la reprise des 65 % du capital que ce dernier détenait depuis 2016 […] Cette opération consolide le contrôle du management d’Intelcia sur l’entreprise, qui détient désormais 100% des parts, et ouvre un nouveau cycle de croissance ».

Karim Bernoussi, CEO et co-fondateur d’Intelcia, en profite pour assurer la promotion de Patrick Drahi : « Nous tenons à exprimer notre gratitude à Altice pour l’accompagnement constant durant ces années. Nous sommes fiers de ce que nous avons réalisé durant près de dix ans. À titre personnel, je tiens à remercier particulièrement Patrick Drahi pour sa confiance et l’esprit de notre collaboration ».

La finalisation de cette transaction est prévue pour le premier trimestre 2026, sous réserve comme toujours de la validation des autorités compétentes. Le montant de la transaction n’est pas connu.

Cette annonce intervient dans une période morose pour Altice, qui vient de publier son bilan financier : des abonnés en moins sur le fixe et le mobile (respectivement 6,08 et 19,36 millions au lieu de 6,17 et 19,52 millions), ainsi que des revenus en baisse de 7,6 % sur un an. Les pertes sur le trimestre sont de 609,9 millions d’euros, contre 619,2 millions un an auparavant.

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☕️ Centre d’appels : Altice a signé un accord pour vendre ses 65 % d’Intelcia

Intelcia est une des entreprises d’Altice laissée de côté lors du deal proposé par Bouygues Telecom, Free et Orange pour racheter SFR. Il s’agit pour rappel d’une société marocaine de 40 000 employés spécialisée dans les centres d’appels, détenue à 65 % par Altice depuis presque 10 ans. Cela fait un peu plus de deux mois qu’une vente est évoquée.

C’est désormais officiel : « Intelcia annonce aujourd’hui une nouvelle étape structurante de son parcours. Le 24 novembre 2025, ses actionnaires dirigeants ont signé un accord avec Altice portant sur la reprise des 65 % du capital que ce dernier détenait depuis 2016 […] Cette opération consolide le contrôle du management d’Intelcia sur l’entreprise, qui détient désormais 100% des parts, et ouvre un nouveau cycle de croissance ».

Karim Bernoussi, CEO et co-fondateur d’Intelcia, en profite pour assurer la promotion de Patrick Drahi : « Nous tenons à exprimer notre gratitude à Altice pour l’accompagnement constant durant ces années. Nous sommes fiers de ce que nous avons réalisé durant près de dix ans. À titre personnel, je tiens à remercier particulièrement Patrick Drahi pour sa confiance et l’esprit de notre collaboration ».

La finalisation de cette transaction est prévue pour le premier trimestre 2026, sous réserve comme toujours de la validation des autorités compétentes. Le montant de la transaction n’est pas connu.

Cette annonce intervient dans une période morose pour Altice, qui vient de publier son bilan financier : des abonnés en moins sur le fixe et le mobile (respectivement 6,08 et 19,36 millions au lieu de 6,17 et 19,52 millions), ainsi que des revenus en baisse de 7,6 % sur un an. Les pertes sur le trimestre sont de 609,9 millions d’euros, contre 619,2 millions un an auparavant.

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L’IA générative dans l’Éducation nationale : « pour l’instant, c’est du bricolage »

Et ils pompaient, pompaient…
L’IA générative dans l’Éducation nationale : « pour l’instant, c’est du bricolage »

Alors que le ministère de l’Éducation incite les enseignants à utiliser l’IA sans leur donner un réel cadre d’usage, les quelques enseignants qui l’utilisent doivent bricoler dans leur coin. Il n’y a pas d’outil à disposition pour enseigner leurs usages. Les programmes scolaires ne permettent pas de prendre le temps d’aborder les questions autour du fonctionnement de l’IA générative et des problématiques qui l’entourent.

Depuis l’arrivée de ChatGPT, le milieu de l’éducation se demande comment faire avec… ou sans. Les IA génératives ont remis en question, non seulement la manière dont les élèves peuvent percevoir l’enseignement en classe, mais aussi comment ils peuvent se percevoir eux-mêmes face à l’apprentissage : à quoi bon apprendre si une machine peut recracher pour nous en un instant un savoir qu’on nous demande de retranscrire dans les devoirs ?

De leur côté, les enseignants ont rapidement ressentis les difficultés de détecter un texte généré par IA et de le prouver ou d’adapter leur enseignement et le contrôle de connaissance pour ne pas se poser la question. Des recherches montrent aussi que, comme l’utilisation de l’IA dans les outils d’imagerie médicale fait baisser les capacités de détection du personnel médical, l’utilisation de l’IA dans l’apprentissage des maths en lycée booste les résultats avant de les voir régresser quand on demandent aux élèves de s’en passer.

Une volonté de la hiérarchie d’y « aller à fond sur l’IA »

On pourrait se dire que l’intégration de l’IA générative au sein même de l’éducation nationale via des cours permettrait d’adapter l’école à ce changement. Le ministère de l’Éducation Nationale semble aller dans cette voie : « L’institution pousse, à l’heure actuelle, à expérimenter tous azimuts. Il y a des initiatives partout de plein de rectorats qui font des expérimentations IA », explique à Next Amélie Hart, secrétaire nationale du syndicat SNES-FSU et enseignante en lycée en Histoire-Géographie, mais sans réel cadre.

« Il y a une volonté de la hiérarchie de l’Éducation nationale à aller à fond sur les IA, y compris en étant hyper mal formés sur les enjeux de la protection des données (qui n’a pas commencé avec l’IA) », ajoute-t-elle. Sur le côté y aller à fond sans formation, on a un peu l’impression de revivre les périodes de confinement avec la « continuité pédagogique ». Cela soulevait les mêmes questions de protection des données et de souveraineté. Cinq ans plus tard, la leçon ne semble pas apprise.

Résultat, « pour l’instant, c’est du bricolage », estime Christophe Cailleaux, le coresponsable du groupe numérique du SNES-FSU, « tout le monde fait à sa sauce et dans son coin ».


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