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Bridge returned error 0! (20434)

See https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html for description of the curl error code.

Details

Type: HttpException
Code: 0
Message: cURL error Could not resolve host: public.api.bsky.app: 6 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/app.bsky.feed.getAuthorFeed?actor=did%3Aplc%3Atoudj53egawswz2ypw3zyn2u&filter=posts_and_author_threads&limit=30
File: lib/http.php
Line: 185

Trace

#0 index.php(73): RssBridge->main()
#1 lib/RssBridge.php(39): RssBridge->{closure}()
#2 lib/RssBridge.php(37): BasicAuthMiddleware->__invoke()
#3 middlewares/BasicAuthMiddleware.php(13): RssBridge->{closure}()
#4 lib/RssBridge.php(37): CacheMiddleware->__invoke()
#5 middlewares/CacheMiddleware.php(44): RssBridge->{closure}()
#6 lib/RssBridge.php(37): ExceptionMiddleware->__invoke()
#7 middlewares/ExceptionMiddleware.php(17): RssBridge->{closure}()
#8 lib/RssBridge.php(37): SecurityMiddleware->__invoke()
#9 middlewares/SecurityMiddleware.php(19): RssBridge->{closure}()
#10 lib/RssBridge.php(37): MaintenanceMiddleware->__invoke()
#11 middlewares/MaintenanceMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#12 lib/RssBridge.php(37): TokenAuthenticationMiddleware->__invoke()
#13 middlewares/TokenAuthenticationMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#14 lib/RssBridge.php(34): DisplayAction->__invoke()
#15 actions/DisplayAction.php(54): DisplayAction->createResponse()
#16 actions/DisplayAction.php(89): BlueskyBridge->collectData()
#17 bridges/BlueskyBridge.php(164): BlueskyBridge->getAuthorFeed()
#18 bridges/BlueskyBridge.php(633): getContents()
#19 lib/contents.php(104): CurlHttpClient->request()
#20 lib/http.php(185)

Context

Query: action=display&bridge=BlueskyBridge&data_source=getAuthorFeed&user_id=tristankamin.bsky.social&feed_filter=posts_and_author_threads&include_reposts=on&format=Atom
Version: 2025-08-05 (git.master.6a0cc5b)
OS: Linux
PHP: 8.2.29

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Le Cyber Panorama veut recenser les offres françaises souveraines de cybersécurité

Le Cyber Panorama veut recenser les offres françaises souveraines de cybersécurité

Le CESIN et Hexatrust lancent un panorama pour recenser les offres souveraines en matière de cybersécurité pour la France. La liste sera régulièrement mise à jour et devrait s’étendre à toute l’Europe.

Jamais la question de la souveraineté numérique n’a autant été débattue. Largement alimentée par l’attitude peu consensuelle de la Maison-Blanche depuis le retour de Donald Trump à la présidence américaine, elle revient constamment sur le devant de la scène. 

En juillet, nous avions rassemblé les principales pour en offrir une vue de synthèse. Fin octobre, la Cour des comptes fustigeait la mauvaise gestion de cette question, soulignant notamment le manque de cohérence dans les décisions gouvernementales. Mais le sujet est loin d’être nouveau : en octobre 2021, Jean-Paul Smets estimait déjà que la France avait « tout d’un pays colonisé ».

Dans ce contexte, le CESIN (Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique) et Hexatrust, deux associations centrées sur la cybersécurité, ont uni leurs forces. Elles proposent un Cyber Panorama : un « outil opérationnel pour guider les organisations vers des solutions souveraines ».

Sérieux déséquilibre

Cette initiative a été lancée le 9 décembre. Le Cyber Panorama recense ainsi 320 noms environ d’acteurs français proposant des solutions souveraines. Dans le communiqué, on peut lire que le projet est né du constat alarmant que les organisations européennes éprouvent des difficultés majeures à identifier des alternatives crédibles aux solutions extra-européennes, majoritairement américaines. Et pour cause : selon un rapport du Cigref en avril dernier, 83 % des achats de technologies en Europe se font auprès d’acteurs extra-européens.

L’outil sert plusieurs objectifs. D’abord, réduire certains risques, toujours les mêmes sur ce thème : dépendance critique à des technologies étrangères (essentiellement américaines), exposition non maitrisée aux risques liés à l’extraterritorialité juridique (dont le fameux Cloud Act) et vulnérabilité stratégique face aux tensions géopolitiques.

Ensuite, le Cyber Panorama peut être abordé sous l’angle économique : en achetant des produits européens, les capitaux restent en Europe. C’était le cœur du rapport du Cigref, qui abordait aussi les nombreux emplois que la réorientation créerait. Jean-Noël de Galzain, président d’Hexatrust, insiste sur ce point : porter la part des achats purement européens à 30 % représenterait un chiffre d’affaires de 690 milliards d’euros d’ici dix ans, et jusqu’à 500 000 emplois.

Les acteurs sont déjà là

Le communiqué commun du CESIN et d’Hexatrust le clame haut et fort : l’Europe a déjà tout ce qu’il faut. Le problème majeur, pour les deux associations, est surtout que les organisations européennes ne savent pas qui sont ces acteurs. Le Cyber Panorama se propose donc de les recenser.

Le critère de souveraineté n’est pas expliqué dans le communiqué du Cyber Panorama. Selon le MagIT, qui assistait à la présentation, il est requis que le siège de l’entreprise et ses équipes de développement soient situés en France. Les cabinets de conseil, sociétés de services et intégrateurs ont été mis de côté. Sur le sujet du capital en revanche, les deux associations se seraient plus souples, acceptant qu’une part puisse provenir d’une société extra-européenne.

La structure de l’offre est fondée sur le NIST Cybersecurity Framework, référentiel largement utilisé venant des États-Unis. « Nous avons voulu opter pour une nomenclature qui parle à tout le monde », a déclaré Alain Bouillé, délégué général du CESIN. Elle établit six grandes fonctions : Gouverner, Identifier, Protéger, Détecter, Répondre et Récupérer. Chaque fonction est ensuite divisée en catégories plus spécifiques correspondant aux différents domaines de la cybersécurité (surveillance, sécurité des données, sensibilisation, etc.).

Pour l’instant, il s’agit d’une liste statique de noms. Prochainement, tout sera rassemblé au sein d’une interface web dynamique permettant de filtrer les acteurs selon ce que l’on cherche. Le CESIN et Hexatrust précisent que la liste sera régulièrement mise à jour, de sorte que les résultats devraient toujours être « frais ».

Une dimension européenne à venir

La liste des 320 acteurs est d’ailleurs présentée comme « une première étape ». Dans une future version, les deux associations ambitionnent d’ajouter les suites bureautiques et collaboratives, ainsi que les solutions de « Cloud de Confiance », dont les offres labellisées SecNumCloud, et Digital Workplace. Une nouvelle catégorie « Héberger » fera son apparition.

À plus long terme, l’outil devrait référencer les solutions européennes et devenir un outil utilisable par les autres. Les deux associations espèrent en outre que l’outil favorisera l’émergence d’une BITC (Base Industrielle et Technologique de Cybersécurité), équivalente numérique de la BITD (Base Industrielle et Technologique de Défense).

L’outil devrait avoir au moins le mérite d’accroitre la visibilité des acteurs mentionnés. Selon un baromètre publié en septembre (pdf) par Hexatrust et EY, 40 % des entreprises interrogées n’effectuent aucune veille des solutions françaises existantes.

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Le Cyber Panorama veut recenser les offres françaises souveraines de cybersécurité

Le Cyber Panorama veut recenser les offres françaises souveraines de cybersécurité

Le CESIN et Hexatrust lancent un panorama pour recenser les offres souveraines en matière de cybersécurité pour la France. La liste sera régulièrement mise à jour et devrait s’étendre à toute l’Europe.

Jamais la question de la souveraineté numérique n’a autant été débattue. Largement alimentée par l’attitude peu consensuelle de la Maison-Blanche depuis le retour de Donald Trump à la présidence américaine, elle revient constamment sur le devant de la scène. 

En juillet, nous avions rassemblé les principales pour en offrir une vue de synthèse. Fin octobre, la Cour des comptes fustigeait la mauvaise gestion de cette question, soulignant notamment le manque de cohérence dans les décisions gouvernementales. Mais le sujet est loin d’être nouveau : en octobre 2021, Jean-Paul Smets estimait déjà que la France avait « tout d’un pays colonisé ».

Dans ce contexte, le CESIN (Club des Experts de la Sécurité de l’Information et du Numérique) et Hexatrust, deux associations centrées sur la cybersécurité, ont uni leurs forces. Elles proposent un Cyber Panorama : un « outil opérationnel pour guider les organisations vers des solutions souveraines ».

Sérieux déséquilibre

Cette initiative a été lancée le 9 décembre. Le Cyber Panorama recense ainsi 320 noms environ d’acteurs français proposant des solutions souveraines. Dans le communiqué, on peut lire que le projet est né du constat alarmant que les organisations européennes éprouvent des difficultés majeures à identifier des alternatives crédibles aux solutions extra-européennes, majoritairement américaines. Et pour cause : selon un rapport du Cigref en avril dernier, 83 % des achats de technologies en Europe se font auprès d’acteurs extra-européens.

L’outil sert plusieurs objectifs. D’abord, réduire certains risques, toujours les mêmes sur ce thème : dépendance critique à des technologies étrangères (essentiellement américaines), exposition non maitrisée aux risques liés à l’extraterritorialité juridique (dont le fameux Cloud Act) et vulnérabilité stratégique face aux tensions géopolitiques.

Ensuite, le Cyber Panorama peut être abordé sous l’angle économique : en achetant des produits européens, les capitaux restent en Europe. C’était le cœur du rapport du Cigref, qui abordait aussi les nombreux emplois que la réorientation créerait. Jean-Noël de Galzain, président d’Hexatrust, insiste sur ce point : porter la part des achats purement européens à 30 % représenterait un chiffre d’affaires de 690 milliards d’euros d’ici dix ans, et jusqu’à 500 000 emplois.

Les acteurs sont déjà là

Le communiqué commun du CESIN et d’Hexatrust le clame haut et fort : l’Europe a déjà tout ce qu’il faut. Le problème majeur, pour les deux associations, est surtout que les organisations européennes ne savent pas qui sont ces acteurs. Le Cyber Panorama se propose donc de les recenser.

Le critère de souveraineté n’est pas expliqué dans le communiqué du Cyber Panorama. Selon le MagIT, qui assistait à la présentation, il est requis que le siège de l’entreprise et ses équipes de développement soient situés en France. Les cabinets de conseil, sociétés de services et intégrateurs ont été mis de côté. Sur le sujet du capital en revanche, les deux associations se seraient plus souples, acceptant qu’une part puisse provenir d’une société extra-européenne.

La structure de l’offre est fondée sur le NIST Cybersecurity Framework, référentiel largement utilisé venant des États-Unis. « Nous avons voulu opter pour une nomenclature qui parle à tout le monde », a déclaré Alain Bouillé, délégué général du CESIN. Elle établit six grandes fonctions : Gouverner, Identifier, Protéger, Détecter, Répondre et Récupérer. Chaque fonction est ensuite divisée en catégories plus spécifiques correspondant aux différents domaines de la cybersécurité (surveillance, sécurité des données, sensibilisation, etc.).

Pour l’instant, il s’agit d’une liste statique de noms. Prochainement, tout sera rassemblé au sein d’une interface web dynamique permettant de filtrer les acteurs selon ce que l’on cherche. Le CESIN et Hexatrust précisent que la liste sera régulièrement mise à jour, de sorte que les résultats devraient toujours être « frais ».

Une dimension européenne à venir

La liste des 320 acteurs est d’ailleurs présentée comme « une première étape ». Dans une future version, les deux associations ambitionnent d’ajouter les suites bureautiques et collaboratives, ainsi que les solutions de « Cloud de Confiance », dont les offres labellisées SecNumCloud, et Digital Workplace. Une nouvelle catégorie « Héberger » fera son apparition.

À plus long terme, l’outil devrait référencer les solutions européennes et devenir un outil utilisable par les autres. Les deux associations espèrent en outre que l’outil favorisera l’émergence d’une BITC (Base Industrielle et Technologique de Cybersécurité), équivalente numérique de la BITD (Base Industrielle et Technologique de Défense).

L’outil devrait avoir au moins le mérite d’accroitre la visibilité des acteurs mentionnés. Selon un baromètre publié en septembre (pdf) par Hexatrust et EY, 40 % des entreprises interrogées n’effectuent aucune veille des solutions françaises existantes.

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131° - Album CD I am - Ombre est lumière

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« Ombre est Lumière » est le deuxième album studio d'IAM, sorti en 9 novembre 1993 Pour la première fois réédité en vinyle. Nouvelles gravure
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Marvel Cosmic Invasion

Si Marvel Cosmic Invasion était sorti sur borne d’arcade dans les années 1990, j’y aurais englouti des fortunes en pièces de 10 francs. Mais l’âge d’or du beat them all, c’est aujourd’hui, grâce à Dotemu, qui en arrive presque à se concurrencer lui-même. Déjà responsables du très réussi TMNT : Shredder’s Revenge, les développeurs ont hérité d’une licence plus prestigieuse et d’un budget plus conséquent. Résultat : un pixel art somptueux, des animations fluides et une avalanche d’effets colorés.
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Cadmium Zinc Telluride: The Wonder Material Powering a Medical 'Revolution'

Cadmium zinc telluride (CZT), a hard-to-manufacture semiconductor produced by only a handful of companies, is enabling a quiet revolution in medical imaging, science, and security by delivering faster scans, lower radiation doses, and far more precise X-ray and gamma-ray detection. "You get beautiful pictures from this scanner," says Dr Kshama Wechalekar, head of nuclear medicine and PET. "It's an amazing feat of engineering and physics." The BBC reports: Kromek is one of just a few firms in the world that can make CZT. You may never have heard of the stuff but, in Dr Wechalekar's words, it is enabling a "revolution" in medical imaging. This wonder material has many other uses, such as in X-ray telescopes, radiation detectors and airport security scanners. And it is increasingly sought-after. Investigations of patients' lungs performed by Dr Wechalekar and her colleagues involve looking for the presence of many tiny blood clots in people with long Covid, or a larger clot known as a pulmonary embolism, for example. The 1-million-pound scanner works by detecting gamma rays emitted by a radioactive substance that is injected into patients' bodies. But the scanner's sensitivity means less of this substance is needed than before: "We can reduce doses about 30%," says Dr Wechalekar. While CZT-based scanners are not new in general, large, whole-body scanners such as this one are a relatively recent innovation. CZT itself has been around for decades but it is notoriously difficult to manufacture. "It has taken a long time for it to develop into an industrial-scale production process," says Arnab Basu, founding chief executive of Kromek. [...] The newly formed CZT, a semiconductor, can detect tiny photon particles in X-rays and gamma rays with incredible precision -- like a highly specialized version of the light-sensing, silicon-based image sensor in your smartphone camera. Whenever a high energy photon strikes the CZT, it mobilizes an electron and this electrical signal can be used to make an image. Earlier scanner technology used a two-step process, which was not as precise. "It's digital," says Dr Basu. "It's a single conversion step. It retains all the important information such as timing, the energy of the X-ray that is hitting the CZT detector -- you can create color, or spectroscopic images."

Read more of this story at Slashdot.

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Dix ans après l’accord de Paris sur le climat, les acteurs de l’époque racontent un « incroyable alignement des étoiles »

Le 12 décembre 2015, après deux semaines de négociations intenses, un accord géopolitique majeur était conclu à Paris, visant notamment à limiter le réchauffement climatique « bien en dessous » de 2 °C et à « poursuivre les efforts » pour limiter la hausse des températures à 1,5 °C.

© JEAN-CLAUDE COUTAUSSE / FRENCH-POLITICS POUR « LE MONDE »

Laurence Tubiana, Christiana Figueres et Laurent Fabius, de retour dans la salle plénière de la COP21, à Paris-Le Bourget, le 12 décembre 2015.
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Jordan Bardella jure d’être « toujours loyal à Marine Le Pen »

Le président du Rassemblement national assume la répartition des rôles alors que Marine Le Pen reste officiellement candidate à l’Elysée, en attendant son procès en appel qui lèvera ou confirmera sa peine d’inéligibilité immédiate.

© BERTRAND GUAY/AFP

Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, aux côtés de Marine Le Pen, à Matignon, à Paris, le 2 septembre 2025.
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Nicolas Sarkozy se pose en nouveau Dreyfus avec son « Journal d’un prisonnier »

L’ancien président de la République explique dans son nouveau livre qu’il est une victime innocente d’un procès politique. Son témoignage montre aussi à quel point il a bénéficié d’un traitement carcéral hors norme.

© BERTRAND GUAY/AFP

Nicolas Sarkozy dédicace un exemplaire de son livre « Le Journal d’un prisonnier », à Paris, le 10 décembre 2025.
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Game Awards : « Clair Obscur : Expedition 33 » triomphe et remporte neuf statuettes

Le studio montpelliérain Sandfall Interactive a dominé la cérémonie américaine qui se veut l’équivalent des « Oscars » du jeu vidéo, raflant un nombre record de récompenses.

© MICHAEL TRAN / AFP

Los Angeles le 11 décembre. De gauche à droite : Tom Guillermin, responsable technique de Sandfall Interactive, Nicholas Maxson-Francombe, directeur artistique, Guillaume Broche, PDG et directeur créatif, François Meurisse, directeur des opérations.
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EN DIRECT, guerre en Ukraine : Donald Trump « extrêmement frustré » par Moscou et Kiev, selon la Maison Blanche

Le président américain « en a assez des réunions qui n’ont d’autre but que de se réunir », a déclaré à la presse Karoline Leavitt, la porte-parole de la Maison Blanche, en ajoutant qu’il « veut des actes ».

© TERESA SUAREZ/AFP

Emmanuel Macron participe à une réunion en visio de la « coalition des volontaires », à l’Elysée, à Paris, le 11 décembre 2025.
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Logement : les députés votent largement la pérennisation et le renforcement de l’encadrement des loyers

Après plusieurs années d’expérimentation, l’Assemblée nationale a adopté, jeudi en première lecture, une proposition de loi socialiste, qui prévoit notamment de faciliter pour les communes l’entrée dans le dispositif, de réguler le complément de loyer ou de lutter contre les congés locatifs « de représailles ».

© STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

La députée du groupe socialistes et apparentés Ayda Hadizadeh, le député d’Ensemble pour la République Florent Boudié, et la ministre de la santé, Stéphanie Rist, assistent à une séance de niche parlementaire du PS, à l’Assemblée nationale, à Paris, le 11 décembre 2025.
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Les femmes et les seniors, premiers bénéficiaires des maisons sport-santé

« Dix mille pas et plus ». Un rapport salue la création, en 2019, de ces structures dont le nombre actuel est évalué à 550. Il note toutefois la « grande hétérogénéité » du dispositif ainsi qu’une inégalité de moyens.

© AMELIE-BENOIST / IMAGE POINT FR / BSIP

Cours de gym à Marly-le-Roi (Yvelines), en novembre 2012.
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EN DIRECT - Budget 2026 : Macron a reçu Larcher, Braun-Pivet et Lecornu en pleine recherche de compromis

Le président a reçu jeudi les présidents du Sénat et de l’Assemblée nationale, Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet, en présence de Sébastien Lecornu, au moment où le gouvernement pousse les deux chambres à trouver un compromis sur le budget de l’État.

© LUDOVIC MARIN / AFP

Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu 
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Chat du premier ministre belge, Maximus se fait un nom, comme Larry à Downing Street

Maximus, qui se décrit volontiers comme l’«éminence grise» de Bart De Wever, talonne déjà son maître en nombre d’abonnés sur Instagram. Son compte, lancé en juillet, est alimenté par l’assistante personnelle du premier ministre.

© Instagram

Une photo de Maximus publiée sur un compte qui lui est dédié 
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Les Frac nouvelle génération fêtent leurs 25 ans

Le Fonds régional d’art contemporain des Pays de la Loire inaugurait, en 2000, près de Nantes, le premier lieu d’exposition propre à un Frac. Le prélude à une décentralisation culturelle par l’architecture.

© Emilie Le Guellaut, Frac des Pays de la Loire

Vue de l’entrée du bâtiment du Frac Pays de la Loire, à Carquefou (Loire-Atlantique), inauguré en septembre 2000.
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