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☕️ Protection de la vie privée : la distribution Tails passe directement en version 7.3.1

Petite anomalie dans le cycle de mise à jour de Tails, la distribution GNU/Linux axée sur l’anonymat en ligne au nom de la protection de la vie privée. Alors que la version 7.3 était sur le pas de tir, l’équipe en charge du projet a stoppé le processus et procédé à une correction en urgence, aboutissant à la publication d’une version intermédiaire estampillée 7.3.1.

« Aujourd’hui, nous publions la version 7.3.1 au lieu de la version 7.3 car une faille de sécurité a été corrigée dans une bibliothèque logicielle incluse dans Tails pendant que nous préparions la version 7.3. Nous avons relancé le processus de publication pour inclure ce correctif », explique l’équipe dans le billet daté du 11 décembre qui annonce la mise à jour.

En dépit d’un changelog très complet, elle ne précise pas la nature de la vulnérabilité concernée et il faut fouiller dans la liste des tickets ouverts sur le GitLab de Tails pour identifier la fautive. En l’occurrence, c’est une alerte de sécurité émise par Debian, la DSA-6076-1, qui a motivé le décalage de publication. Elle concerne libpng (gestion des images PNG) qui pouvait, sous certaines conditions, être détournée pour permettre l’exécution de code malveillant.

Basée pour mémoire sur Debian 13 Trixie, Tails 7.3.1 suit le cycle de mise à jour de ses principaux composants, avec une mise à jour vers Tor Browser 15.0.3, un client Tor passé en 0.4.8.21 et Thunderbird rafraichi en version 140.5.0. La version 7.2 publiée mi-novembre inaugurait pour mémoire la v15 de Tor Browser, elle-même basée sur la version 140 de Firefox ESR (Extended Support Release).

Les mises à jour de Tails sont automatiques, que l’on soit sur la 7.0 sortie en septembre ou sur les versions ultérieures, sur un support amovible ou permanent. Pour les personnes tentées par la distribution, le téléchargement se fait depuis le site officiel.

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☕️ Protection de la vie privée : la distribution Tails passe directement en version 7.3.1

Petite anomalie dans le cycle de mise à jour de Tails, la distribution GNU/Linux axée sur l’anonymat en ligne au nom de la protection de la vie privée. Alors que la version 7.3 était sur le pas de tir, l’équipe en charge du projet a stoppé le processus et procédé à une correction en urgence, aboutissant à la publication d’une version intermédiaire estampillée 7.3.1.

« Aujourd’hui, nous publions la version 7.3.1 au lieu de la version 7.3 car une faille de sécurité a été corrigée dans une bibliothèque logicielle incluse dans Tails pendant que nous préparions la version 7.3. Nous avons relancé le processus de publication pour inclure ce correctif », explique l’équipe dans le billet daté du 11 décembre qui annonce la mise à jour.

En dépit d’un changelog très complet, elle ne précise pas la nature de la vulnérabilité concernée et il faut fouiller dans la liste des tickets ouverts sur le GitLab de Tails pour identifier la fautive. En l’occurrence, c’est une alerte de sécurité émise par Debian, la DSA-6076-1, qui a motivé le décalage de publication. Elle concerne libpng (gestion des images PNG) qui pouvait, sous certaines conditions, être détournée pour permettre l’exécution de code malveillant.

Basée pour mémoire sur Debian 13 Trixie, Tails 7.3.1 suit le cycle de mise à jour de ses principaux composants, avec une mise à jour vers Tor Browser 15.0.3, un client Tor passé en 0.4.8.21 et Thunderbird rafraichi en version 140.5.0. La version 7.2 publiée mi-novembre inaugurait pour mémoire la v15 de Tor Browser, elle-même basée sur la version 140 de Firefox ESR (Extended Support Release).

Les mises à jour de Tails sont automatiques, que l’on soit sur la 7.0 sortie en septembre ou sur les versions ultérieures, sur un support amovible ou permanent. Pour les personnes tentées par la distribution, le téléchargement se fait depuis le site officiel.

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Inclusion numérique : comment Orange veut connecter les Africains grâce à l’IA

Next ngir jël ndam li !
Inclusion numérique : comment Orange veut connecter les Africains grâce à l’IA

L’Afrique compte plus de 1,5 milliard d’habitants, mais le continent est parfois laissé pour compte des évolutions numériques. Un problème que rencontre par exemple l’ICANN qui peine à inclure des représentants dans certains comités de haut vol sur la gouvernance d’Internet. Le principal problème étant la langue.

Le problème de la langue change d’échelle à la lumière d’un chiffre. Selon l’Unesco, « avec une estimation allant de 1 500 à 3 000 langues, l’Afrique constitue un véritable foyer de richesse linguistique et culturelle ». On parle de langues vernaculaires (parlées au sein d’une communauté) et véhiculaires (entre les populations). Un des employés d’Orange originaire du Tchad précise que le pays compte près de 20 millions d’habitants pour 120 langues. Cette richesse linguistique entraine des complications en matière d’inclusion numérique.

« La langue est une barrière »

Lors du salon OpenTech d’Orange la semaine dernière, nous avons échangé avec les équipes de l’opérateur qui adapte des grands modèles de langues et développe des agents pour inclure une part bien plus importante de ses clients africains dans le numérique.


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