La moitié des cyberharceleurs a été condamnée à des peines de prison avec sursis et l’autre moitié à des peines allant jusqu’à 12 mois de prison ferme.
Après six premiers surveillants, trois autres gardiens du centre pénitentiaire de Seine-et-Marne ont été mis en examen pour différents trafics, avant d’être placés en détention provisoire.
COMPTE RENDU D’AUDIENCE - Salim Berrada, surnommé «le violeur de Tinder», est suspecté de treize viols et quatre agressions sexuelles dans son studio parisien entre 2014 et 2016. L’accusé évoque des relations consenties.
La jeune victime a été renversée au niveau d’un passage piéton, alors que le véhicule, «gyrophare et deux tons activés», transportait une personne interpellée.
La scène s’est déroulée à Neuilly-sur-Seine, à l’heure du déjeuner, sous le regard des passants. Touchée au niveau du thorax, ses jours ne sont plus en danger.
L’enseignante est accusée d’avoir participé au harcèlement d’Evaëlle, de l’avoir «humiliée régulièrement» et de l’avoir «isolée», contribuant au suicide de la jeune fille à 11 ans en 2019.
Une seconde expertise confirme que l’Algérienne de 25 ans ne souffre d’aucune maladie psychiatrique. La suspecte est donc, à ce stade, accessible à une sanction pénale.
COMPTE RENDU D’AUDIENCE - Condamné 24 fois par la justice, l’Ivoirien Audrey Mondjehi est accusé de «complicité d'assassinats et de tentatives d'assassinats terroristes». Il a été interrogé mercredi par la cour d’assises spéciale de Paris sur son passé de délinquant.
À la demande des avocats des époux Villemin, la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Dijon a réclamé que de nouvelles analyses et comparaisons ADN soient menées.
Dans un livre récemment paru, la sœur du suspect, Christine Dupont de Ligonnès, considère que l’ensemble de la famille aurait été «exfiltrée» aux États-Unis. Une allégation à laquelle le procureur n’accorde aucun crédit.
Six mois après la disparition de Lina en Alsace, sa mère continue d'espérer que l'enquête aboutisse un jour à des retrouvailles et se mobilise pour que l'attention autour de cette affaire ne faiblisse pas.
Alors que le mystère demeure sur le sort de la jeune fille, sa mère et son avocat ont fustigé le peu d’information qui leur était transmis par les enquêteurs depuis six mois.
Les prévenus, âgés d'une vingtaine d'années et engagés au sein du 1er régiment de hussards parachutistes de Tarbes, avaient rompu unilatéralement leur engagement.