Vue lecture

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Ripley

Dans les années 1960, un escroc new-yorkais minable rejoint une riche connaissance en Italie. Plutôt qu’un lieu de vacances, il y trouve un nouvel eldorado pour ses magouilles.

Civil War

J’aime énormément le travail d’Alex Garland, que ce soit lorsqu’il écrit des romans pour backpackers (La Plage), des scénarios de films où le monde est parti en vrille (28 jours plus tard, Sunshine) – et je serai presque prête à défendre l’histoire de DmC : Devil May Cry juste parce qu’il l’a supervisée. Mais s’il y a bien un domaine où je trouve qu’il excelle encore plus, c’est en tant que réalisateur.

Flight Radar

Les sites internet ont le don de cultiver de façon toujours plus décomplexée la tendance naturelle à la flemme, autrement appelée « vie par procuration ». Flight Radar permet par exemple d'admirer en temps réel l'ensemble des voyages d'humains qui agitent la voûte céleste, les avions qui grouillent à 1 000 km/h de vitesse de pointe à quelque dix mille mètres au-dessus de nos têtes, et de captiver beaucoup mieux (et avec de bien meilleurs pilotes) que le visionnage non-stop du rond-point miteux en bas de chez nous.

Le YouTube ping-pong

Pour ce Papier Culture, je ne vais pas vous proposer de découvrir une œuvre, mais plutôt un univers : celui du ping-pong sur YouTube.

Cardiacs

De toutes les bonnes choses que recèle l'existence, aucune ne procure autant de joie que de découvrir un groupe, un auteur, un réalisateur absolument génial à côté duquel on était passé pendant des années et de passer des semaines à rattraper tout ce qu'on a raté. C'est pourquoi je remercie à genoux l'algorithme de YouTube, qui a placé sur mon chemin Cardiacs (1977-2008).

Grandbrothers

D’ordinaire, je rechigne à parler musique dans cette rubrique – c’est délicat, de trouver les bons mots pour parler musique –, mais aujourd’hui, je sens qu’il est temps.

Le Cercle des neiges

Avis à tous les pilotes de Flight Sim' : il y a des films comme ça qui vous marquent et vous glacent le sang. Le Cercle des neiges, un long-métrage fascinant de 2 h 30 sur un « fait d'hiver » historique bien connu, est l'un d'entre eux.

The Curse

The Curse est très franchement l’un des trucs les plus crispants qu’il m’ait été donné de vivre (et pourtant, je suis passée championne des interactions sociales gênantes à l’âge de six ans, plus précisément le jour où j’ai étreint les jambes d’un parfait inconnu en lui quémandant un goûter parce que je pensais que c’était mon grand frère).

Beatrice di Tenda

Je n'avais jamais compris l'opéra. Oh, j'y étais allé une poignée de fois dans ma vie et j'avais plutôt apprécié le spectacle (pour la même raison que j'apprécie Abba, Queen ou Devin Townsend – en musique comme ailleurs, j'aime les hyperboles) mais je continuais à ne pas trop voir à quoi cela rimait. Cela restait à mes yeux des sortes de comédies musicales pour bourgeois, divertissantes mais dont le génie m'échappait.

Kill Bok-soon

Parfois, on lance un petit film de baston pan-pan-boum-boum en douce, pour le plaisir de gagner en chorégraphie ce que l’on perd en crédibilité cinéphilique. Comme la Corée du Sud a le vent en poupe sur tout, y compris le cinéma d’action, j’y glisse un orteil.

Sanctuary

Dans cet océan de médiocrité qu'est devenu Netflix, juste avant de résilier mon abonnement parce qu'il faut arrêter de déconner, j'ai regardé Sanctuary. Et c'était « sympa ».
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