Ce soleil artificiel est resté allumé 6 minutes, c’est énorme
Un « soleil artificiel » reproduit les réactions au cœur des étoiles : la fusion nucléaire. Le réacteur WEST, basé en France, est resté allumé pendant 6 minutes à 50 millions de degrés.
Un « soleil artificiel » reproduit les réactions au cœur des étoiles : la fusion nucléaire. Le réacteur WEST, basé en France, est resté allumé pendant 6 minutes à 50 millions de degrés.
La série phare de TF1 est de retour avec une saison 4 au printemps 2024. Il est possible de rattraper les trois autres saisons de HPI en streaming, sur deux plateformes de SVOD.
La diffusion de The Acolyte se rapproche. Située durant la Haute République, cette nouvelle série Star Wars racontera la résurgence du côté obscur.
La série avec Pierre Niney a été écrite comme une mini-série. Les chances de voir une saison 2 à Fiasco sont minces, malgré le succès indéniable. Cela peut toutefois ouvrir la voie à d'autres formats similaires.
La série indienne Heeramandi : Les diamants de la cour, sur Netflix, plonge en huit épisodes dans l'histoire politiquement tumultueuse des courtisanes, ou tawaifs.
La CNIL vient de préciser les « circonstances exceptionnelles » et « conditions cumulatives » qu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) doit remplir « avant d’envisager » la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance dans des chambres de ses résidents.
La CNIL rappelle que sa recommandation, également publiée au Journal officiel, fait suite à « plusieurs demandes de conseil » qui lui avait été adressées suite à la médiatisation de cas de maltraitance au sein d’Ehpad, et aux « nombreuses interrogations juridiques et éthiques » que cela peut poser :
« Un tel dispositif est en effet susceptible de porter atteinte tant aux droits des salariés qu’à ceux des personnes hébergées pour lesquelles la chambre représente le seul espace d’intimité dans lequel elles peuvent poursuivre leur vie affective et familiale. »
Elle avait alors, en février 2023, une consultation publique afin de « mieux comprendre les enjeux du secteur et de trouver un équilibre entre la sécurité des résidents, le respect de leur intimité et les droits et libertés des salariés ».
Elle estimait alors que, « d’une manière générale », l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance dans la chambre d’une personne hébergée était « disproportionnée ».
Pour autant, et « en cas de suspicions fortes de maltraitance » à l’encontre d’une personne hébergée, basées sur un faisceau d’indices concordants (hématomes, changements comportementaux, etc.), elle reconnaissait qu’un organisme « devrait pouvoir installer de manière ponctuelle » un dispositif de vidéosurveillance « pour la prévention des incidents », et « sous réserve de garanties appropriées (limiter l’activation dans le temps, restreindre la prise d’images dans les lieux d’intimité, etc.) ».
Les nombreuses contributions reçues lui ont depuis « permis de mieux comprendre les préoccupations du public et les besoins du secteur », et donc d’enrichir sa recommandation définitive.
« Une telle AIPD ne pouvant être réalisée en urgence, cela implique d’avoir réfléchi à la possibilité d’utilisation d’un tel dispositif à l’avance, en cas de suspicion de maltraitance. »L’organisme mettant en œuvre le dispositif devra dès lors et plus particulièrement insister sur :
La CNIL vient de préciser les « circonstances exceptionnelles » et « conditions cumulatives » qu’un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) doit remplir « avant d’envisager » la mise en place d’un dispositif de vidéosurveillance dans des chambres de ses résidents.
La CNIL rappelle que sa recommandation, également publiée au Journal officiel, fait suite à « plusieurs demandes de conseil » qui lui avait été adressées suite à la médiatisation de cas de maltraitance au sein d’Ehpad, et aux « nombreuses interrogations juridiques et éthiques » que cela peut poser :
« Un tel dispositif est en effet susceptible de porter atteinte tant aux droits des salariés qu’à ceux des personnes hébergées pour lesquelles la chambre représente le seul espace d’intimité dans lequel elles peuvent poursuivre leur vie affective et familiale. »
Elle avait alors, en février 2023, une consultation publique afin de « mieux comprendre les enjeux du secteur et de trouver un équilibre entre la sécurité des résidents, le respect de leur intimité et les droits et libertés des salariés ».
Elle estimait alors que, « d’une manière générale », l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance dans la chambre d’une personne hébergée était « disproportionnée ».
Pour autant, et « en cas de suspicions fortes de maltraitance » à l’encontre d’une personne hébergée, basées sur un faisceau d’indices concordants (hématomes, changements comportementaux, etc.), elle reconnaissait qu’un organisme « devrait pouvoir installer de manière ponctuelle » un dispositif de vidéosurveillance « pour la prévention des incidents », et « sous réserve de garanties appropriées (limiter l’activation dans le temps, restreindre la prise d’images dans les lieux d’intimité, etc.) ».
Les nombreuses contributions reçues lui ont depuis « permis de mieux comprendre les préoccupations du public et les besoins du secteur », et donc d’enrichir sa recommandation définitive.
« Une telle AIPD ne pouvant être réalisée en urgence, cela implique d’avoir réfléchi à la possibilité d’utilisation d’un tel dispositif à l’avance, en cas de suspicion de maltraitance. »L’organisme mettant en œuvre le dispositif devra dès lors et plus particulièrement insister sur :
Les principaux acteurs européens du commerce en ligne pâtissent de la concurrence « des marques chinoises émergentes » comme Shein et Temu et ont vu leurs volumes de ventes transfrontaliers baisser de 18 % en 2023 par rapport à 2022, relève l’AFP.
Ces chiffres émanent d’une étude effectuée par Cross-Border Commerce Europe, une plateforme « de réseau et de connaissance » de l’e-commerce européen, auprès des « 500 plus grands acteurs européens du secteur ».
Les « pure players » et les places de marché représentent 42 % de ce TOP 500. La mode, la joaillerie et les chaussures dominent le secteur, avec une part de 39 %, suivies par les produits pour la maison, le jardin et le bricolage (13,3 %).
Le chiffre d’affaires transfrontalier aurait cela dit progressé de 32 % depuis 2022, avec un chiffre d’affaires de 237 milliards d’euros (hors voyages), contre 179 en 2022. Les e-commerçants allemands arrivent en tête avec un CA de 43 milliards (+ 28 %), suivis par les britanniques, qui patissent du Brexit (28 Md, -2 %), des français (32 Md, + 30 %), espagnols (18 Md, +50 %) et des néerlandais (7 Md, + 45 %).
Dix grands acteurs se partagent 19 % des ventes totales, « avec Ikea en numéro 1 pour la troisième année consécutive », suivi par Zalando, H&M, Lego, Zara, Jysk (chaîne de magasins danoise spécialisée dans le mobilier), Lidl, Decathlon, Adidas et Notino (site spécialisé dans la beauté fondé en 2004 en République tchèque).
L’étude avance que les plateformes de commerce social telles que TikTok Shop et Instagram « ne sont pas seulement des tendances », mais représentent « la plus importante perturbation du marché depuis l’avènement de l’internet ». Cross-Border Commerce Europe estime dès lors qu’ « il est impératif que les vendeurs européens adoptent le commerce social pour rester compétitifs dans un paysage commercial en pleine évolution ».
En outre, et face aux prix agressifs et à l’offre pléthorique des plateformes de commerce électronique chinoises, les entreprises européennes doivent également « privilégier la qualité, la fiabilité des délais de livraison, l’engagement communautaire et les services localisés » dans ce contexte de concurrence féroce.
La Tribune relève que l’exécutif européen a ajouté, vendredi dernier, Shein à la liste des très grandes plateformes en ligne soumises à des contrôles renforcés dans le cadre de la nouvelle législation sur les services numériques (DSA) et que Temu, une autre application chinoise d’e-commerce devrait, elle aussi, être prochainement ajoutée à cette liste après avoir annoncé en avril qu’elle comptait environ 75 millions d’utilisateurs mensuels dans l’Union européenne.
Les principaux acteurs européens du commerce en ligne pâtissent de la concurrence « des marques chinoises émergentes » comme Shein et Temu et ont vu leurs volumes de ventes transfrontaliers baisser de 18 % en 2023 par rapport à 2022, relève l’AFP.
Ces chiffres émanent d’une étude effectuée par Cross-Border Commerce Europe, une plateforme « de réseau et de connaissance » de l’e-commerce européen, auprès des « 500 plus grands acteurs européens du secteur ».
Les « pure players » et les places de marché représentent 42 % de ce TOP 500. La mode, la joaillerie et les chaussures dominent le secteur, avec une part de 39 %, suivies par les produits pour la maison, le jardin et le bricolage (13,3 %).
Le chiffre d’affaires transfrontalier aurait cela dit progressé de 32 % depuis 2022, avec un chiffre d’affaires de 237 milliards d’euros (hors voyages), contre 179 en 2022. Les e-commerçants allemands arrivent en tête avec un CA de 43 milliards (+ 28 %), suivis par les britanniques, qui patissent du Brexit (28 Md, -2 %), des français (32 Md, + 30 %), espagnols (18 Md, +50 %) et des néerlandais (7 Md, + 45 %).
Dix grands acteurs se partagent 19 % des ventes totales, « avec Ikea en numéro 1 pour la troisième année consécutive », suivi par Zalando, H&M, Lego, Zara, Jysk (chaîne de magasins danoise spécialisée dans le mobilier), Lidl, Decathlon, Adidas et Notino (site spécialisé dans la beauté fondé en 2004 en République tchèque).
L’étude avance que les plateformes de commerce social telles que TikTok Shop et Instagram « ne sont pas seulement des tendances », mais représentent « la plus importante perturbation du marché depuis l’avènement de l’internet ». Cross-Border Commerce Europe estime dès lors qu’ « il est impératif que les vendeurs européens adoptent le commerce social pour rester compétitifs dans un paysage commercial en pleine évolution ».
En outre, et face aux prix agressifs et à l’offre pléthorique des plateformes de commerce électronique chinoises, les entreprises européennes doivent également « privilégier la qualité, la fiabilité des délais de livraison, l’engagement communautaire et les services localisés » dans ce contexte de concurrence féroce.
La Tribune relève que l’exécutif européen a ajouté, vendredi dernier, Shein à la liste des très grandes plateformes en ligne soumises à des contrôles renforcés dans le cadre de la nouvelle législation sur les services numériques (DSA) et que Temu, une autre application chinoise d’e-commerce devrait, elle aussi, être prochainement ajoutée à cette liste après avoir annoncé en avril qu’elle comptait environ 75 millions d’utilisateurs mensuels dans l’Union européenne.
Russel T. Davies se confie encore sur certains épisodes de la saison 1 de Doctor Who, la troisième série du nom diffusée bientôt sur Disney+.
L’ancien militaire, lourdement endetté, avait profité de son bref (trois semaines) passage à la NSA pour y imprimer des documents classifiés, qu’il a cherché à revendre à quelqu’un qu’il pensait être un agent russe. Il avait pourtant été formé à la criminalistique numérique.
La Justice états-unienne vient de condamner un ancien militaire de 32 ans à 262 mois de prison pour tentative d’espionnage. Jareh Sebastian Dalke, qui a plaidé coupable, avait transmis des informations classifiées à ce qu’il croyait être un agent de la Fédération de Russie, mais qui était en fait un agent infiltré du FBI (Online Covert Employee, OCE).
Dalke, qui avait fait partie de l’US Army de 2015 à 2018 en tant que soldat de première classe dans une unité spécialisée dans les soins de santé, avait obtenu une habilitation de sécurité de niveau « secret » en 2016.
Recruté par la NSA en tant que concepteur de la sécurité des systèmes d’information le 6 juin 2022, il en démissionnait le 28 juin, « en raison d’une maladie familiale » et du fait que « l’agence n’était pas en mesure de prendre en charge la durée de [son] absence (9 mois) ».
Dalke, qui n’y était donc resté que trois semaines et deux jours seulement, en avait profité pour imprimer trois documents classifiés. Une enquête de la NSA a depuis démontré que si d’autres employés de la NSA avaient, eux aussi, consulté au moins l’un des trois, Dalke était le seul à avoir consulté les trois, mais aussi le seul à les avoir imprimés tous les trois, les 17, 22 et 23 juin.
Pour se consoler après la fin de La Reine des Larmes, d'autres k-dramas arrivent sur Netflix en mai 2024. Parmi les séries à venir, on trouve de la romance, de la magie et peut-être la nouvelle Squid Game.
Ginny & Georgia génère un tel succès que Netflix avait commandé très tôt une saison 3 et une saison 4. Le tournage des prochains épisodes vient juste de commencer, annonce la plateforme de streaming.
Les chiffres de Fallout ont été publiés par Amazon Prime Video. La série est le deuxième plus grand hit de l'histoire du service de streaming, en marchant même sur les plates bandes des Anneaux de Pouvoir.
Les enquêtes surnaturelles de Dead Boy Detectives sont issues des comics du même nom, pensés par Neil Gaiman et Matt Wagner. Netflix espère créer tout un univers autour de cette galaxie de personnages.
Inspirée de faits réels qui ont secoué l'Espagne, l'Affaire Asunta sur Netflix retrace une affaire de meurtre.
Ncuti Gatwa incarne officiellement le 15e Docteur. Ses premières aventures, depuis le Christmas Special, commencent bientôt aux côtés de Millie Gibson.
Un décret vient de modifier les dispositions réglementaires relatives au fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) afin de permettre des interconnexions avec huit autres fichiers français et européens. Il porte également à 40 ans la durée maximale de conservation des données, pour tenir compte de la prescription de 20 ans.
Le ministère de l’Intérieur explique que le décret modifie les dispositions réglementaires relatives au traitement FAED, précise les finalités du FAED et les catégories de données pouvant être enregistrées, actualise les catégories de personnes pouvant accéder au traitement ou être destinataires des données, ainsi que les durées de conservation des données relatives aux infractions les plus graves, et modifie les droits des personnes concernées pour les mettre en conformité avec le RGPD.
Dans son avis, la CNIL relève que le fichier contenait, fin décembre 2022, plus de 6,5 millions d’empreintes de personnes identifiées en tant que mises en cause (contre 4,8 millions en 2014, et 2,25 en 2004), ainsi que 293 831 empreintes d’origine inconnue et non identifiées.
Elle note que le décret met fin à l’ « interdiction de principe » des mises en relation qui prévalait jusqu’alors, dans la perspective d’une interconnexion des fichiers de police aux niveaux national et international.
Sont en particulier concernées les mises en œuvre du système d’information Schengen (SIS) et du système ECRIS-TCN (pour European Criminal Records Information System – Third Country Nationals, un système centralisé de concordance/non-concordance destiné à compléter la base de données existante des casiers judiciaires de l’UE – ECRIS – sur les ressortissants de pays tiers condamnés dans l’Union européenne).
Comme nous l’avions déjà rapporté, il est prévu que le FAED fasse l’objet d’interconnexions, de rapprochements ou de mises en relation avec plusieurs autres fichiers français et paneuropéens :
La CNIL relève cela dit que, depuis 2015, des exceptions étaient déjà prévues par le décret en vigueur :
Le ministère de l’Intérieur précise qu’à ce jour, l’interconnexion avec le N-SIS ne permet qu’une alimentation manuelle des fiches de signalisation, mais que ce processus sera à l’avenir automatisé. De même, la transmission d’informations dans le TAJ sera réalisée ultérieurement au moyen d’une interconnexion pour automatiser les fusions de dossiers.
Le ministère de l’Intérieur britannique veut être « le premier pays au monde » à placer la nébuleuse d’extrême droite en ligne Terrorgram sur sa liste des organisations terroristes. Elle appelle en effet à la « guerre raciale », compare les terroristes suprémacistes à des « Saints », qui auraient d’ores et déjà tué 273 personnes depuis 2007, soit 31 % des victimes d’attentats terroristes en Occident.
Le rapport 2024 du Global Terrorism Index (GTI) de l’Institute for Economics & Peace (IEP) relève que le nombre de pays ayant enregistré « au moins un décès dû au terrorisme » était tombé à 41 en 2023, contre 44 en 2022 et 57 en 2015. Dans les pays occidentaux, les incidents terroristes sont même « tombés à leur plus bas niveau depuis 2007, en baisse de 55 % par rapport à 2022, avec 23 attentats et 21 décès enregistrés en 2023 ».
A contrario, « l’Amérique du Nord est la seule région, à l’exception de l’Afrique subsaharienne, où l’impact du terrorisme est plus élevé en 2023 qu’en 2013 ». Depuis 2007, 60 attentats y ont été commis pour des motifs politiques, contre 14 pour des motifs religieux. Un changement « particulièrement marqué depuis 2017 », et alors que cinq des sept attentats perpétrés en 2023 étant liés à des individus « ayant des sympathies ou des liens avec l’extrême droite ».
Si l’attention médiatico-politique s’est focalisée, ces dernières années, sur le terrorisme islamiste, son rapport 2023 précisait que le terrorisme à motivation idéologique n’en est pas moins devenu « le type de terrorisme le plus répandu en Occident », le terrorisme à motivation religieuse ayant diminué de 95 % depuis son pic de 2016, le terrorisme nationaliste ou séparatiste ayant, lui aussi, considérablement reculé depuis.
A contrario, et si depuis 2007, 55 % des décès en Occident sont dus à des attaques religieuses, émanant « presque exclusivement » d’un « terrorisme islamiste radical », le terrorisme « à motivation idéologique » a représenté « 31 % de tous les décès au cours de cette période, les groupes d’extrême droite étant responsables de l’ensemble de ces 273 décès ».
Pour les seuls États-Unis, le terrorisme d’extrême droite (anti-gouvernement, milices, suprémacistes blancs et anti-avortement) a ainsi tué 134 personnes depuis le 11 septembre 2001 (plus 17 autres pour le terrorisme misogyne/incel), contre 107 pour le terrorisme djihadiste, 13 pour le terrorisme séparatiste ou suprémaciste noir, et 1 pour le terrorisme d’extrême-gauche, relevait pour sa part un rapport du think-tank libéral New America en 2023.