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- Coup de filet sur le collectif NoName057 (16), spécialiste des attaques DDoS
Coup de filet sur le collectif NoName057 (16), spécialiste des attaques DDoS
Faceless Men of Braavos

Les forces de police européennes ont annoncé mercredi le démantèlement du botnet utilisé par le collectif hacktiviste pro-russe « NoName057 (16) », doublé de plusieurs interpellations. Plusieurs centaines de sympathisants ont également été notifiés via Telegram de leurs éventuelles responsabilités au regard de la loi.
L’inspecteur Harry aurait certainement apprécié. C’est en effet sous le nom de code « Opération Eastwood » qu’Europol et les autorités de plusieurs pays européens ont annoncé mercredi 16 juillet avoir réussi à démanteler l’essentiel des infrastructures et des équipes mises en œuvre au sein du collectif « NoName057 (16) ».
Un botnet (partiellement ?) démantelé
L’action coordonnée des forces de l’ordre s’est déroulée entre le 14 et le 15 juillet, décrit Europol, avec des descentes organisées dans plusieurs pays. Au total, 24 perquisitions ont été réalisées, dont une en France.
Elles ont conduit à deux arrestations, en France et en Espagne, ainsi qu’à sept mandats d’arrêts, 13 interpellations, et la prise de contrôle sur « plus de 100 serveurs », répartis dans le monde entier. D’après l’organisation de coopération policière européenne, c’est cette infrastructure informatique qui constituait l’épine dorsale des attaques orchestrées par NoName057 (16).



« Plusieurs centaines de sympathisants du groupe hacktiviste, encore non formellement identifiés, ont été informés des mesures officielles via Telegram, leur service de messagerie, et ont été sensibilisés à la responsabilité pénale encourue pour leurs actes », précise de son côté la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) dépendant du parquet de Paris.
Le collectif, notoirement spécialisé dans les attaques par déni de service distribué (DDoS), utilisait en effet Telegram pour annoncer ses opérations, et fédérer des sympathisants susceptibles de joindre leurs propres ressources à celles de ses infrastructures informatiques, que ces dernières soient gérées en propre ou mobilisées à l’insu de leurs propriétaires par l’intermédiaire de malwares.
Le nom NoName057(16) est apparu à plusieurs reprises dans l’actualité cyber des derniers mois, en raison de vagues d’attaques lancées contre les sites Web de collectivités locales ou d’institutions nationales, en France mais aussi en Belgique ou en Roumanie à l’occasion des récentes élections présidentielles.
Un collectif hacktiviste pro-russe et pas désintéressé
À chaque fois, NoName057(16) accompagne ses appels à l’action de justifications pro-russes, souvent formulées en réaction à des actions de soutien à l’Ukraine. L’opération Eastwood confirme qu’il existe bien un lien idéologique entre le régime de Vladimir Poutine et les attaques menées par le collectif. Six des sept mandats d’arrêt émis par Europol concernent d’ailleurs des ressortissants russes.
« Les individus agissant pour NoName057(16) sont principalement des sympathisants russophones qui utilisent des outils automatisés pour mener des attaques par déni de service distribué (DDoS). Agissant sans direction officielle ni compétences techniques pointues, ils sont motivés par l’idéologie et la recherche de récompenses », décrit Europol.
À défaut d’une tête pensante identifiée, le mouvement semblait tout de même fonctionner de façon structurée, puisqu’il aurait fédéré jusqu’à 4 000 sympathisants actifs. Pour inciter ces derniers à participer aux attaques, NoName057(16) aurait rétribué certains membres en cryptomonnaies, et déployé des mécaniques dites de gamification (inspirées du jeu), comme un système de badges ou des tableaux de score pensés comme autant d’éléments de reconnaissance virtuelle.
« Pour diffuser des appels à l’action, des tutoriels, des mises à jour et recruter des bénévoles, le groupe a exploité des canaux pro-russes, des forums et même des groupes de discussion spécialisés sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie. Les bénévoles invitaient souvent des amis ou des contacts issus de forums de jeux vidéo ou de piratage informatique, formant ainsi de petits cercles de recrutement », décrit encore Europol.
Toujours dans cette optique de recrutement, NoName057(16) est également soupçonné d’avoir orchestré la création de DDoSIA, une boîte à outils permettant de participer à des attaques par déni de service, même sans connaissance technique pointue.
Les éléments d’enquête rendus publics ne disent cependant rien, à ce stade, des éventuelles retombées économiques associées au mouvement. NoName057(16) n’agissait pas qu’en compte propre : comme d’autres groupes pirates, le mouvement était aussi susceptible de travailler à la commande. En Allemagne, il aurait, d’après les autorités, participé à 14 vagues d’attaques ayant ciblé plus de 250 acteurs différents, dans le privé comme dans le public.
Coup de filet sur le collectif NoName057 (16), spécialiste des attaques DDoS
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Les forces de police européennes ont annoncé mercredi le démantèlement du botnet utilisé par le collectif hacktiviste pro-russe « NoName057 (16) », doublé de plusieurs interpellations. Plusieurs centaines de sympathisants ont également été notifiés via Telegram de leurs éventuelles responsabilités au regard de la loi.
L’inspecteur Harry aurait certainement apprécié. C’est en effet sous le nom de code « Opération Eastwood » qu’Europol et les autorités de plusieurs pays européens ont annoncé mercredi 16 juillet avoir réussi à démanteler l’essentiel des infrastructures et des équipes mises en œuvre au sein du collectif « NoName057 (16) ».
Un botnet (partiellement ?) démantelé
L’action coordonnée des forces de l’ordre s’est déroulée entre le 14 et le 15 juillet, décrit Europol, avec des descentes organisées dans plusieurs pays. Au total, 24 perquisitions ont été réalisées, dont une en France.
Elles ont conduit à deux arrestations, en France et en Espagne, ainsi qu’à sept mandats d’arrêts, 13 interpellations, et la prise de contrôle sur « plus de 100 serveurs », répartis dans le monde entier. D’après l’organisation de coopération policière européenne, c’est cette infrastructure informatique qui constituait l’épine dorsale des attaques orchestrées par NoName057 (16).



« Plusieurs centaines de sympathisants du groupe hacktiviste, encore non formellement identifiés, ont été informés des mesures officielles via Telegram, leur service de messagerie, et ont été sensibilisés à la responsabilité pénale encourue pour leurs actes », précise de son côté la juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) dépendant du parquet de Paris.
Le collectif, notoirement spécialisé dans les attaques par déni de service distribué (DDoS), utilisait en effet Telegram pour annoncer ses opérations, et fédérer des sympathisants susceptibles de joindre leurs propres ressources à celles de ses infrastructures informatiques, que ces dernières soient gérées en propre ou mobilisées à l’insu de leurs propriétaires par l’intermédiaire de malwares.
Le nom NoName057(16) est apparu à plusieurs reprises dans l’actualité cyber des derniers mois, en raison de vagues d’attaques lancées contre les sites Web de collectivités locales ou d’institutions nationales, en France mais aussi en Belgique ou en Roumanie à l’occasion des récentes élections présidentielles.
Un collectif hacktiviste pro-russe et pas désintéressé
À chaque fois, NoName057(16) accompagne ses appels à l’action de justifications pro-russes, souvent formulées en réaction à des actions de soutien à l’Ukraine. L’opération Eastwood confirme qu’il existe bien un lien idéologique entre le régime de Vladimir Poutine et les attaques menées par le collectif. Six des sept mandats d’arrêt émis par Europol concernent d’ailleurs des ressortissants russes.
« Les individus agissant pour NoName057(16) sont principalement des sympathisants russophones qui utilisent des outils automatisés pour mener des attaques par déni de service distribué (DDoS). Agissant sans direction officielle ni compétences techniques pointues, ils sont motivés par l’idéologie et la recherche de récompenses », décrit Europol.
À défaut d’une tête pensante identifiée, le mouvement semblait tout de même fonctionner de façon structurée, puisqu’il aurait fédéré jusqu’à 4 000 sympathisants actifs. Pour inciter ces derniers à participer aux attaques, NoName057(16) aurait rétribué certains membres en cryptomonnaies, et déployé des mécaniques dites de gamification (inspirées du jeu), comme un système de badges ou des tableaux de score pensés comme autant d’éléments de reconnaissance virtuelle.
« Pour diffuser des appels à l’action, des tutoriels, des mises à jour et recruter des bénévoles, le groupe a exploité des canaux pro-russes, des forums et même des groupes de discussion spécialisés sur les réseaux sociaux et les applications de messagerie. Les bénévoles invitaient souvent des amis ou des contacts issus de forums de jeux vidéo ou de piratage informatique, formant ainsi de petits cercles de recrutement », décrit encore Europol.
Toujours dans cette optique de recrutement, NoName057(16) est également soupçonné d’avoir orchestré la création de DDoSIA, une boîte à outils permettant de participer à des attaques par déni de service, même sans connaissance technique pointue.
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- ☕️ Orange Business décroche la qualification SecNumCloud pour son offre IaaS
☕️ Orange Business décroche la qualification SecNumCloud pour son offre IaaS
Orange Business, division services numériques de l’opérateur éponyme, a annoncé mercredi 16 juillet l’obtention de la qualification SecNumCloud pour son offre d’infrastructure as a service (IaaS) « Cloud Avenue SecNum ».
« Conçue avec une architecture modulaire et une approche « as a service », la plateforme permet aux utilisateurs d’accroître leur autonomie et leur maîtrise technologique. Elle intègre nativement des mesures de sécurité telles que le chiffrement, la gestion des clés, l’isolation réseau et le contrôle d’accès, tout en assurant une traçabilité exhaustive des actions et la sécurité physique, environnementale et opérationnelle », revendique l’entreprise dans un communiqué.
La plateforme « SecNum » est déployée et opérée depuis le data center dont dispose l’opérateur à Grenoble, et « gérée par nos équipes françaises ». D’un point de vue commercial, elle s’intègre dans la gamme plus large des offres Cloud Avenue d’Orange Business, qui vise le monde des entreprises au sens large en s’appuyant sur des infrastructures européennes.
Orange Business rejoint ainsi le cercle relativement fermé des opérateurs cloud labellisés SecNumCloud, alors même que cette qualification, centrée sur la sécurité, revient régulièrement dans le débat public comme un marqueur de souveraineté numérique, même si ça n’est pas sa raison d’être.
Au 30 juin 2025, huit acteurs français pouvaient se revendiquer de la qualification SecNumCloud attribuée par l’ANSSI après audit de leurs offres. Orange Business devient le neuvième nom de la liste, en attendant que d’autres professionnels du secteur bouclent le processus de certification, à l’image de Scaleway. Bleu, le « cloud de confiance » d’Orange et Capgemini basé sur des solutions Microsoft (Azure et 365) est également engagé dans la démarche, avec un jalon J0 déjà validé, tout comme son concurrent S3ns, avec Thales et Google à la manœuvre.

☕️ Orange Business décroche la qualification SecNumCloud pour son offre IaaS
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« Conçue avec une architecture modulaire et une approche « as a service », la plateforme permet aux utilisateurs d’accroître leur autonomie et leur maîtrise technologique. Elle intègre nativement des mesures de sécurité telles que le chiffrement, la gestion des clés, l’isolation réseau et le contrôle d’accès, tout en assurant une traçabilité exhaustive des actions et la sécurité physique, environnementale et opérationnelle », revendique l’entreprise dans un communiqué.
La plateforme « SecNum » est déployée et opérée depuis le data center dont dispose l’opérateur à Grenoble, et « gérée par nos équipes françaises ». D’un point de vue commercial, elle s’intègre dans la gamme plus large des offres Cloud Avenue d’Orange Business, qui vise le monde des entreprises au sens large en s’appuyant sur des infrastructures européennes.
Orange Business rejoint ainsi le cercle relativement fermé des opérateurs cloud labellisés SecNumCloud, alors même que cette qualification, centrée sur la sécurité, revient régulièrement dans le débat public comme un marqueur de souveraineté numérique, même si ça n’est pas sa raison d’être.
Au 30 juin 2025, huit acteurs français pouvaient se revendiquer de la qualification SecNumCloud attribuée par l’ANSSI après audit de leurs offres. Orange Business devient le neuvième nom de la liste, en attendant que d’autres professionnels du secteur bouclent le processus de certification, à l’image de Scaleway. Bleu, le « cloud de confiance » d’Orange et Capgemini basé sur des solutions Microsoft (Azure et 365) est également engagé dans la démarche, avec un jalon J0 déjà validé, tout comme son concurrent S3ns, avec Thales et Google à la manœuvre.

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- [Bon plan] Intel Core Ultra 7 265KF + CM MSI B860 WiFi + 32Go de DDR5-6000 à 529,99€
[Bon plan] Intel Core Ultra 7 265KF + CM MSI B860 WiFi + 32Go de DDR5-6000 à 529,99€
Même si les ventes ne décollent toujours pas sur le marché DIY, depuis les récentes baisses de prix certaines processeurs Intel Core Ultra 200S de la génération Arrow Lake-S sont devenus très intéressants en termes de rapport performances / prix. Alors qu'on peut désormais le trouver aux alentours d...
Seagate's 30TB HAMR Drives Hit Market for $600
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- SFR lance une « Box 5G avec TV » et une « RED Box 5G » en alternative à la fibre
SFR lance une « Box 5G avec TV » et une « RED Box 5G » en alternative à la fibre
Radio, someone still loves you

SFR muscle son jeu dans le domaine de l’accès à Internet résidentiel via les réseaux mobiles. L’opérateur au carré rouge lance en effet une offre « triple play » basée sur sa Box 5G, incluant donc l’accès à la TV, ainsi qu’une formule plus abordable sous les couleurs de sa marque low cost, RED by SFR.
La 5G est désormais proposée comme une alternative à l’ADSL ou à la fibre pour l’accès à Internet chez les quatre principaux opérateurs grand public français. Chez SFR, qui commercialise depuis août 2024 sa Box 5G, la formule s’enrichit désormais d’une possibilité d’appels illimités vers les fixes et les mobiles en France et départements d’outre-mer, ainsi que d’un bouquet de 160 chaînes de TV, accessibles au travers d’un décodeur dédié.
Un triple play en 5G
Baptisée « SFR Box 5G avec TV », la formule reprend donc tous les attributs d’un forfait triple play, mais sans qu’une intervention à domicile ou un tirage de ligne soit nécessaire. « L’offre SFR Box 5G avec TV est une alternative aux offres Fibre et s’adapte aux éventuelles contraintes des foyers pour leur fournir la meilleure qualité de service possible et leur laisser le choix de la technologie Très Haut Débit », vante l’opérateur dans un communiqué.
En pratique, la formule est facturée 44,99 euros par mois, sans engagement. La principale différence avec la formule Box 5G standard réside dans la fourniture d’un décodeur Connect TV (sous Android TV), qui assure donc l’affichage du bouquet de chaînes directement sur l’écran du salon. L’offre Box 5G, toujours disponible à 39,99 euros par mois, offre elle aussi 160 chaînes de télévision, mais uniquement au travers de l’application mobile dédiée de l’opérateur.
Si l’on écarte l’ajout de ce décodeur, l’offre Box 5G avec TV reprend pour le reste l’essentiel du forfait déjà commercialisé depuis près d’un an, à savoir une connexion censée pouvoir atteindre 1,1 Gb/s en téléchargement et jusqu’à 150 Mb/ en émission, avec une box compatible Wi-Fi 6 munie de trois ports Ethernet à 1 Gb/s.
Les frais d’ouverture de service sont fixés à 19 euros (prélevés sur la première facture) et il en coûtera également 19 euros de lancer une demande de résiliation. SFR ne fixe aucune restriction d’usage liée à la télévision, opérée comme un service managé sur son réseau. Concernant l’accès à Internet, l’opérateur reprend la traditionnelle notion de fair use déjà en vigueur sur l’offre Box 5G sans TV :
« En cas d’usages en continu fortement consommateurs de bande passante (de type peer-to-peer ou
téléchargement par exemple) de nature à saturer le réseau sur une zone donnée, et pouvant nuire aux utilisateurs SFR sur cette zone, le client sera notifié par SMS ou email de son usage déraisonnable. En cas de récidive suite à cette notification, le client verra son débit réduit jusqu’à la prochaine date de facturation. »
La combinaison de forfaits fixes ou mobiles au sein d’un même foyer, appelée SFR Multi, permet d’espérer jusqu’à 8 euros de réduction par mois, tandis que l’opérateur intègre à son offre six mois d’accès gratuit à Prime Video, Netflix ou Disney+.

Avant de souscrire l’offre, il faudra toutefois vérifier que l’adresse de son foyer est éligible, c’est-à-dire considérée comme suffisamment bien couverte en 5G.
RED by SFR a aussi sa Box 5G
En parallèle des deux forfaits aux couleurs du carré rouge, l’opérateur introduit une version plus accessible de son offre, avec le lancement de la RED Box 5G. On retrouve des débits identiques (1,1 Gb/s en montant, 150 Mb/s en descendant), mais avec un forfait affiché cette fois à 29,99 euros par mois, toujours sans engagement. Cette fois, les appels illimités ne sont cependant pas inclus : ils exigent la souscription d’une option à 5 euros par mois. RED by SFR applique par ailleurs aussi 19 euros de frais d’ouverture de ligne, et des frais de résiliation portés à 29 euros.
Ici, les conditions d’éligibilité sont moins strictes, puisque l’offre fonctionne également dans les zones couvertes en 4G.
SFR Box 5G face à la concurrence
Rappelons qu’en face, la Box 5G de Free – fabriquée par Nokia, modèle FastMile 5G – dispose d’un port Ethernet à 2,5 Gb/s (on vous a récemment proposé un dossier sur comment passer à un réseau local à 2,5 Gb/s), de deux autres à 1 Gb/s et d’un port USB 3.1 Type-C. La Box 5G est annoncée à 39,99 euros par mois, sans engagement, avec une remise de 10 euros par mois la première année. Les clients Box 5G peuvent également profiter de Free Family sur le mobile : un Forfait 2 € à 0 euro par mois ou jusqu’à 4 Forfaits Free 5G à 9,99 € euros par mois pendant 1 an, puis 15,99 euros (au lieu de 19,99 euros). Il faut enfin ajouter des frais de mise en service de 29 euros et des frais de résiliation de 19 euros au moment de partir.
La 5G Box de Bouygues Telecom est pour rappel Wi-Fi 6 avec des débits maximums de 1,1 Gb/s et 58 Mb/s respectivement. Elle est proposée à 40,99 euros par mois sans engagement, ou 44,99 euros avec « plus de 180 chaînes et 30 replays sur TV grâce à la clé B.tv ».
Chez Orange, la 5G+ Home est à 42,99 euros par mois (sans engagement), avec du Wi-Fi 6 et un débit descendant de 1 Gb/s (Orange ne précise pas le débit montant). Là aussi, la TV est en supplément : « plus de 100 chaînes de la TV d’Orange sur ordinateur, tablette ou mobile avec l’appli TV. En option sur téléviseur avec la Clé TV ou avec l’option TV d’Orange sur TV Connectée, à 5 euros par mois chacune ».
Économie de guerre : la France veut devenir le plus grand vivier de talents cyber d’Europe
OTAN que faire se peut

La France vient de mettre à jour sa Revue nationale stratégique à l’horizon 2030. En 2022, quelques mois après l’invasion de l’Ukraine par la Russie, elle évoquait « une économie concourant à l’esprit de défense ». Elle parle désormais d’ « une économie qui se prépare à la guerre », notamment via le renforcement des capacités cyber et de lutte contre la désinformation.
Le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN) a mis en ligne ce 14 juillet la Revue nationale stratégique (RNS) 2025. Elle complète et actualise la précédente RNS, publiée en novembre 2022 et qui, relève Le Monde, « avait été effectuée dans la précipitation au début de la guerre en Ukraine ».
En 2022, Emmanuel Macron concluait la présentation de la RNS par ces mots : « Je veux qu’en 2030, la France ait conforté son rôle de puissance d’équilibres, unie, rayonnante, influente, moteur de l’autonomie européenne et qui assume ses responsabilités en contribuant, en partenaire fiable et solidaire, à la préservation de mécanismes multilatéraux fondés sur le droit international. »
Signe du changement de ton, et de perspectives, la plaquette de présentation de la RNS 2025 avance de son côté que « d’ici 2030, la principale menace pour la France et les pays européens est désormais celle d’une guerre ouverte contre le cœur de l’Europe, impliquant un engagement majeur de nos armées en dehors du territoire national qui s’accompagnerait, en parallèle, d’une augmentation massive des attaques hybrides sur notre sol et contre nos intérêts dans le monde ».
Ce qu’elle justifie au motif que « depuis le début de la guerre d’agression qu’elle mène en Ukraine, la Russie a multiplié les actions hostiles d’intimidation, les cyberattaques, les sabotages, l’espionnage, les manipulations d’informations à l’encontre de la France et de ses partenaires européens », et que « la menace russe est désormais sans équivalent pour nos intérêts et ceux de nos alliés et partenaires ».
« Jamais, depuis 1945, la liberté n’avait été si menacée », avait affirmé, à deux reprises selon Le Monde, Emmanuel Macron devant un parterre de hauts gradés et de fonctionnaires du ministère des Armées ce 13 juillet, avant d’ajouter : « pour être libres dans ce monde, il faut être craint et, pour être craint, il faut être puissant ». Ce pourquoi le budget des Armées, qui était de 32 milliards en 2017, et de 50,5 milliards d’euros aujourd’hui, devrait atteindre 64 milliards d’euros à la fin de son mandat.
Une arsenalisation de l’alimentation, l’énergie, l’eau, et une France à+ 4°
Dans sa RNS 2025, le SGDSN évoque également « le recentrage américain sur l’Indopacifique » et « la possibilité d’un soutien américain fortement réduit[e] ». Il souligne aussi que « l’OTAN reste la seule organisation en mesure de faire face collectivement à un conflit majeur sur le continent ».
SFR lance une « Box 5G avec TV » et une « RED Box 5G » en alternative à la fibre
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SFR muscle son jeu dans le domaine de l’accès à Internet résidentiel via les réseaux mobiles. L’opérateur au carré rouge lance en effet une offre « triple play » basée sur sa Box 5G, incluant donc l’accès à la TV, ainsi qu’une formule plus abordable sous les couleurs de sa marque low cost, RED by SFR.
La 5G est désormais proposée comme une alternative à l’ADSL ou à la fibre pour l’accès à Internet chez les quatre principaux opérateurs grand public français. Chez SFR, qui commercialise depuis août 2024 sa Box 5G, la formule s’enrichit désormais d’une possibilité d’appels illimités vers les fixes et les mobiles en France et départements d’outre-mer, ainsi que d’un bouquet de 160 chaînes de TV, accessibles au travers d’un décodeur dédié.
Un triple play en 5G
Baptisée « SFR Box 5G avec TV », la formule reprend donc tous les attributs d’un forfait triple play, mais sans qu’une intervention à domicile ou un tirage de ligne soit nécessaire. « L’offre SFR Box 5G avec TV est une alternative aux offres Fibre et s’adapte aux éventuelles contraintes des foyers pour leur fournir la meilleure qualité de service possible et leur laisser le choix de la technologie Très Haut Débit », vante l’opérateur dans un communiqué.
En pratique, la formule est facturée 44,99 euros par mois, sans engagement. La principale différence avec la formule Box 5G standard réside dans la fourniture d’un décodeur Connect TV (sous Android TV), qui assure donc l’affichage du bouquet de chaînes directement sur l’écran du salon. L’offre Box 5G, toujours disponible à 39,99 euros par mois, offre elle aussi 160 chaînes de télévision, mais uniquement au travers de l’application mobile dédiée de l’opérateur.
Si l’on écarte l’ajout de ce décodeur, l’offre Box 5G avec TV reprend pour le reste l’essentiel du forfait déjà commercialisé depuis près d’un an, à savoir une connexion censée pouvoir atteindre 1,1 Gb/s en téléchargement et jusqu’à 150 Mb/ en émission, avec une box compatible Wi-Fi 6 munie de trois ports Ethernet à 1 Gb/s.
Les frais d’ouverture de service sont fixés à 19 euros (prélevés sur la première facture) et il en coûtera également 19 euros de lancer une demande de résiliation. SFR ne fixe aucune restriction d’usage liée à la télévision, opérée comme un service managé sur son réseau. Concernant l’accès à Internet, l’opérateur reprend la traditionnelle notion de fair use déjà en vigueur sur l’offre Box 5G sans TV :
« En cas d’usages en continu fortement consommateurs de bande passante (de type peer-to-peer ou
téléchargement par exemple) de nature à saturer le réseau sur une zone donnée, et pouvant nuire aux utilisateurs SFR sur cette zone, le client sera notifié par SMS ou email de son usage déraisonnable. En cas de récidive suite à cette notification, le client verra son débit réduit jusqu’à la prochaine date de facturation. »
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Avant de souscrire l’offre, il faudra toutefois vérifier que l’adresse de son foyer est éligible, c’est-à-dire considérée comme suffisamment bien couverte en 5G.
RED by SFR a aussi sa Box 5G
En parallèle des deux forfaits aux couleurs du carré rouge, l’opérateur introduit une version plus accessible de son offre, avec le lancement de la RED Box 5G. On retrouve des débits identiques (1,1 Gb/s en montant, 150 Mb/s en descendant), mais avec un forfait affiché cette fois à 29,99 euros par mois, toujours sans engagement. Cette fois, les appels illimités ne sont cependant pas inclus : ils exigent la souscription d’une option à 5 euros par mois. RED by SFR applique par ailleurs aussi 19 euros de frais d’ouverture de ligne, et des frais de résiliation portés à 29 euros.
Ici, les conditions d’éligibilité sont moins strictes, puisque l’offre fonctionne également dans les zones couvertes en 4G.
SFR Box 5G face à la concurrence
Rappelons qu’en face, la Box 5G de Free – fabriquée par Nokia, modèle FastMile 5G – dispose d’un port Ethernet à 2,5 Gb/s (on vous a récemment proposé un dossier sur comment passer à un réseau local à 2,5 Gb/s), de deux autres à 1 Gb/s et d’un port USB 3.1 Type-C. La Box 5G est annoncée à 39,99 euros par mois, sans engagement, avec une remise de 10 euros par mois la première année. Les clients Box 5G peuvent également profiter de Free Family sur le mobile : un Forfait 2 € à 0 euro par mois ou jusqu’à 4 Forfaits Free 5G à 9,99 € euros par mois pendant 1 an, puis 15,99 euros (au lieu de 19,99 euros). Il faut enfin ajouter des frais de mise en service de 29 euros et des frais de résiliation de 19 euros au moment de partir.
La 5G Box de Bouygues Telecom est pour rappel Wi-Fi 6 avec des débits maximums de 1,1 Gb/s et 58 Mb/s respectivement. Elle est proposée à 40,99 euros par mois sans engagement, ou 44,99 euros avec « plus de 180 chaînes et 30 replays sur TV grâce à la clé B.tv ».
Chez Orange, la 5G+ Home est à 42,99 euros par mois (sans engagement), avec du Wi-Fi 6 et un débit descendant de 1 Gb/s (Orange ne précise pas le débit montant). Là aussi, la TV est en supplément : « plus de 100 chaînes de la TV d’Orange sur ordinateur, tablette ou mobile avec l’appli TV. En option sur téléviseur avec la Clé TV ou avec l’option TV d’Orange sur TV Connectée, à 5 euros par mois chacune ».
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