La réélection de Donald Trump est une catastrophe existentielle pour les démocrates et un signal fort adressé au reste du monde, souligne le “Financial Times” dans cet éditorial.
Tout en reconnaissant la victoire de Donald Trump lors du scrutin présidentiel, une partie de la presse anglo-saxonne sonne l’alarme et appelle à la mobilisation. Elle craint notamment l’esprit de revanche et le ton autoritaire du nouveau locataire de la Maison-Blanche.
Un soutien de Donald Trump devant un immense drapeau célébrant la victoire du candidat républicain lors de l’élection présidentielle américaine, à Palm Beach, en Floride, le 6 novembre 2024.
Après la victoire de Donald Trump, le directeur de la rédaction du journal conservateur “Il Foglio” signe un éditorial au vitriol, dans lequel il appelle à “une grande lutte contre le virus trumpien” en Italie, au nom de la défense des libertés et de l’état de droit.
Lorsqu’elle a remplacé au débotté Joe Biden dans la course à la Maison-Blanche cet été, tout semblait sourire à la candidate démocrate et vice-présidente sortante. Alors pourquoi a-t-elle été vaincue par Donald Trump ? La presse américaine avance des explications.
Il est bien de retour. Devant ce qui ressemble à un exploit politique inédit, la presse américaine multiplie les superlatifs. Y compris les grands titres progressistes qui, malgré leur inquiétude, reconnaissent que Donald Trump doit cette victoire à sa résilience à toute épreuve.
Le 47ᵉ président des États-Unis, Donald Trump, s’adresse à ses partisans lors de la soirée électorale de son camp à West Palm Beach, aux premières heures du mercredi 6 novembre 2024.
Le Premier ministre britannique s’est empressé de féliciter le nouveau président américain, mercredi 6 novembre. Mais l’affaire des militants de son parti envoyés auprès de Kamala Harris a douché le travail réalisé en coulisse auprès du républicain. Pour Londres, le début de mandat s’annonce inconfortable.
Malgré les déclarations positives de quelques responsables, le gouvernement russe se garde bien de crier victoire après l’élection à la présidence des États-Unis du milliardaire républicain, pourtant connu pour ses sympathies prorusses et sa relation privilégiée avec Vladimir Poutine.
L’ancien président des États-Unis a été porté une seconde fois à la Maison-Blanche le 5 novembre. “The Washington Post” récapitule les effets possibles sur les principaux fronts diplomatiques du globe. Et les craintes des autres pays.
Les stars de l’industrie des grands et petits écrans soutenaient pour bon nombre d’entre elles la candidature de Kamala Harris. La presse spécialisée des rouages d’Hollywood relève les réactions catastrophées des cinéastes, acteurs, scénaristes et autres à la nouvelle victoire de Donald Trump.
Après avoir nagé plusieurs milliers de kilomètres, un manchot empereur a accosté dans le sud de l’Australie. C’est la première fois qu’un animal de cette espèce endémique de l’Antarctique est observé si loin au nord de son habitat.
“À l’approche d’une présidentielle surgissent de nombreuses questions. Quel cap pour les États-Unis ? Qui seront nos prochains président et vice-président ? Et surtout, qui pour les incarner dans ‘Saturday Night Live’ ?” ironise le “New York Times”.
L’émission culte de NBC fête ses 50 ans. Et elle a parfois durablement affecté l’image de personnalités politiques avec ses parodies. Explications en vidéo.
La première tournée africaine du nouveau ministre britannique des Affaires étrangères l’a mené, depuis dimanche 3 novembre, au Nigeria et en Afrique du Sud. Un déplacement officiel qui doit assurer le retour de Londres sur un continent au cœur des stratégies d’influence de nombreux acteurs.
Le ministre britannique des Affaires étrangères, David Lammy (à droite), et le ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération, Ronald Lamola, au Cap, en Afrique du Sud, le 5 novembre 2024.
Fox News avait ouvert le bal au milieu de la nuit. Mais il aura fallu attendre 5 h 30 heure locale pour que les chaînes de télévision américaines annoncent officiellement l’élection de Donald Trump à la Maison-Blanche. Retour en images.
La foule réagit après que Fox News a annoncé la victoire de Donald Trump, lors d’une soirée électorale au Palm Beach Convention Center, à West Palm Beach (en Floride), le mercredi 6 novembre 2024.
Le dollar enregistre sa plus forte hausse depuis 2020, le bitcoin s’envole, les devises asiatiques tremblent… Avant même la validation des résultats, les investisseurs anticipent le retour des baisses d’impôts aux États-Unis et la hausse des droits de douane promise par l’ancien-nouveau président.
Kamel Daoud a une image bien différente en France et en Algérie. “Houris”, son livre distingué par le prix Goncourt 2024, est interdit dans son pays d’origine et ne sera pas présenté au Salon du livre d’Alger, qui s’est ouvert le mercredi 6 novembre. La presse algérienne revient sur les controverses qui entourent l’auteur, récemment naturalisé français.
Le président français et le nouveau président élu des États-Unis entretiennent depuis 2017 une relation compliquée. D’abord décrite comme une “alliance des contraires”, elle a ensuite franchement tourné au vinaigre, au point que les deux dirigeants ont été qualifiés de “meilleurs ennemis”.
Bruxelles (Belgique). 25 mai. Poignée de main entre Donald Trump et Emmanuel Macron, juste avant le déjeuner de travail qui a précédé le sommet de l’Otan. Une poignée de main jugée “virile” et “féroce” par les médias américains.
Le Premier ministre espagnol, Pedro Sánchez, a détaillé, mardi 5 novembre, un premier paquet d’aides en faveur des victimes de la tragique “dana” du 29 octobre. Selon la presse d’outre-Pyrénées, la catastrophe prouve une fois encore à l’UE que le changement climatique constitue un “défi” pour elle.
Ce mercredi 6 novembre, Donald Trump a remporté l’élection présidentielle de 2024 aux États-Unis. Suivez dans ce direct les nombreuses réactions de la presse américaine et internationale, sélectionnées et traduites par “Courrier international”.
De nombreux journalistes étaient à l’université Howard, à Washington, pour suivre la soirée électorale des démocrates, à laquelle Kamala Harris devait participer. À l’espoir du début de soirée ont rapidement succédé déception et tristesse.
Des électrices de Kamala Harris réagissent aux résultats de l’élection présidentielle américaine, le 6 novembre 2024, à l’université Howard, à Washington.
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