Journaliste congolais installé à Butembo, Claude Sengenya a coordonné une série d’articles publiée par “The New Humanitarian” sur les territoires sous domination des rebelles du M23. Pour “Courrier international”, il raconte les coulisses de ces reportages.
Le journaliste congolais Claude Sengenya travaille pour le site d’information “Actualité.cd” et collabore depuis dix ans avec le média indépendant “The New Humanitarian”. Installé à Butembo dans l’est de la RDC, il couvre l’actualité de la région des Grands-Lacs.
Le chanteur italien est de retour avec un troisième album d’indé pop empli de douceur. “Una lunghissima ombra”, sorti le 17 octobre, explore le mystère de l’existence, avec sa part d’ombre et de lumière.
Le “Financial Times” décrit un phénomène inédit : pour lutter contre la pénurie de main-d’œuvre, les entreprises japonaises investissent des millions d’euros dans des bureaux modernes et accueillants. Objectif : attirer les jeunes.
En frappant le pétrole russe, les États-Unis cherchent à priver de revenus la “machine de guerre du Kremlin” afin de forcer Vladimir Poutine à venir à la table des négociations. Pour la presse internationale, ces sanctions contre la Russie, les premières depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, pourraient porter un coup important à l’économie du pays.
En 2016, la révolte du Rif avait fait trembler le pouvoir marocain. Neuf ans plus tard, c’est toute une génération qui se soulève contre un gouvernement éloigné des réalités sociales. “Middle East Eye” raconte la colère de ces jeunes qui réclament la chute du Premier ministre, qu’ils jugent “corrompu”.
Des jeunes marocains manifestent à Rabat, le 3 octobre, pour demander des réformes dans l’éducation et la santé, et dénoncer la corruption au sein du gouvernement.
Chaque semaine, “Courrier international” vous propose l’horoscope poétique de Rob Brezsny, un des astrologues les plus atypiques de la planète. Scorpion est le signe de la semaine.
Chaque semaine, “Courrier international” vous propose l’horoscope poétique de Rob Brezsny, un des astrologues les plus atypiques de la planète. Scorpion est le signe de la semaine.
Le média indépendant “The New Humanitarian” publie une série d’articles sur la vie dans les territoires de l’est de la République démocratique du Congo (RDC) occupés par le mouvement rebelle M23. Nouvelles infrastructures, fiscalité, administration mais aussi violations des droits humains… Le quotidien des habitants y est bouleversé. “Courrier international” traduit et relaie le premier volet de ce travail.
Le 23 de chaque mois, plusieurs dizaines d’habitants de Southwark, au sud de la Tamise, se rassemblent lors d’une cérémonie païenne pour honorer la mémoire des morts anonymes, indigents et prostituées, enterrés dans une fosse commune il y a deux à trois siècles. Et, raconte “The Londoner”, pour perpétuer à l’ombre des gratte-ciel, une vie de quartier et un esprit de communion.
Le président de la République a affirmé, mardi 21 octobre, que la réforme dont le Premier ministre vient d’annoncer la suspension n’était en réalité que “décalée” dans le temps. Une annonce choc qui scie la branche sur laquelle est assis Sébastien Lecornu, mais également Emmanuel Macron lui-même, commente ce site d’information tunisien.
Ji-Min Park et Nadia Melliti dans “La Petite Dernière”. À l’occasion de la sortie, ce 22 octobre, de “La Petite Dernière”, de Hafsia Herzi, la presse étrangère raconte comment les personnages lesbiens ont peu à peu conquis les écrans, au-delà des stéréotypes.
Des images ayant récemment fuité montrent la fête de mariage de la fille d’Ali Shamkhani, conseiller d’Ali Khamenei, dans un hôtel de luxe de Téhéran. Femmes sans voile, robes décolletées, étalage de richesses… Pour la presse réformatrice, ce contraste avec les règles strictes imposées à la population révèle le double standard du régime et, pour certains, un enjeu lié à la succession du guide de la République islamique.
La presse polonaise se réjouit de l’attribution du prix Sakharov du Parlement européen au journaliste polono-biélorusse Andrzej Poczobut, détenu en Biélorussie depuis 2021, ainsi qu’à sa consœur Mzia Amaglobeli, emprisonnée en Géorgie.
La leader de l’opposition biélorusse en exil, Svetlana Tikhanovskaïa, montre une photo du journaliste polono-biélorusse Andrzej Poczobut, Prix Sakharov 2025, au Parlement européen, à Strasbourg, le 22 octobre 2025.
Le 17 octobre, le ministère de la Défense nationale a lancé une bombe médiatique : neuf hauts gradés militaires, dont le numéro trois de l’armée, He Weidong, un proche du président Xi Jinping, ont été limogés. Une sanction saluée par “Jiefangjun Bao”, le quotidien de l’Armée populaire de libération, alors que la corruption des fonctionnaires chinois est jugée “endémique”.
Patrouilles militaires, contrôle pénitencier accru et restriction du droit à manifester. Pour freiner la vague de violence et d’extorsions attribuée au crime organisé, le président péruvien a décrété l’état d’urgence à Lima et dans le port voisin de Callao, mardi 21 octobre. Un style qui n’est pas sans rappeler celui du président salvadorien, Nayib Bukele.
Un policier vérifie les papiers d’identité d’un homme, après que le président péruvien, José Jerí, a déclaré un état d’urgence de trente jours dans la capitale et la province voisine de Callao pour lutter contre la hausse de la criminalité, à Lima, au Pérou, le 22 octobre 2025.
Cette semaine, l’hebdomadaire italien “L’Espresso” consacre son dossier de une à un phénomène inquiétant sur lequel a enquêté un consortium de médias européens : la “migration” de médecins sanctionnés pour des faits graves dans leur pays, qui traversent les frontières pour pratiquer à nouveau en toute impunité.
Les restrictions chinoises sur les exportations de terres rares et de composants technologiques de pointe, récemment annoncées par Pékin, pourraient avoir des conséquences désastreuses pour l’industrie allemande. Les constructeurs automobiles et les entreprises de défense, notamment, risquent de se retrouver en difficulté, lit-on dans la presse d’outre-Rhin.
Alors que la direction du Parti communiste chinois, au pouvoir à Pékin, se réunit cette semaine pour décider de la politique des cinq prochaines années, une question parfaitement taboue en Chine anime la presse à l’étranger : qui pour succéder au président Xi Jinping ? “Absolument personne”, semble répondre l’intéressé.