C’est l’étonnante une de l’un des principaux quotidiens saoudiens, “Okaz”. Le journal de Djeddah dénonce le “désordre psychologique” et le “narcissisme” de jeunes gens cherchant la compagnie de quinquagénaires ou sexagénaires fortunés.
Pour protéger son industrie textile, le gouvernement indonésien a déclaré la guerre aux vêtements d’occasion. Mais la presse locale pointe du doigt des failles plus profondes : corruption aux douanes, compétitivité en berne et marché intérieur en pleine mutation.
Depuis que le gouvernement a assoupli les critères pour l’obtention du visa Active Investor Plus, qui permet à des étrangers fortunés de vivre dans le pays pendant cinq ans, les candidatures ont triplé, rapporte “The Guardian”. En tête des demandeurs : des ressortissants américains.
Des pluies torrentielles ont provoqué des inondations dévastatrices dans le nord de Sumatra, en Indonésie. Des villages entiers ont été engloutis, faisant au moins 84 morts et des dizaines de disparus, selon un bilan provisoire.
Capture d’écran de la vidéo YouTube du “Guardian” montrant les inondations sur l’île de Sumatra, en Indonésie.
Une enquête de la chaîne américaine CNN confirme la violence de la répression qui a accompagné l’élection présidentielle du 29 octobre. Le régime dirigé par la première femme présidente d’Afrique de l’Est, Samia Suluhu Hassan, dénonce une “calomnie”.
Les histoires que nous nous racontons sur nous-même influencent notre santé mentale et notre capacité à nous projeter dans l’avenir. Est-il possible de les mettre à profit pour vivre plus heureux ? Le point sur les dernières découvertes de la psychologie narrative.
Ces dernières années, le taux de couverture vaccinale des enfants et adolescents argentins a lourdement chuté. Les professionnels de santé du pays s’alarment alors que certaines maladies éradiquées comme la rougeole refont surface, relate la presse locale.
Dans “Der Spiegel”, une jeune Allemande raconte comment un séjour d’études en Indonésie a transformé de simples camarades en une véritable “famille choisie”. Une expérience partagée par beaucoup d’expatriés.
Après deux ans d’un conflit qui a opposé le gouvernement fédéral éthiopien au mouvement sécessionniste du Front de libération du peuple du Tigré (TPLF), l’espoir né de l’accord de paix de 2022 s’est déjà estompé. Dans “The Continent”, l’écrivain tigréen Zeywegih Leyti décrit ce que l’on ressent quand une autre guerre se profile déjà sur les cendres mal éteintes de la précédente.
Le président russe continue à nier la légitimité de son homologue ukrainien et maintient des demandes maximalistes qui font douter de sa bonne foi dans la poursuite des négociations.
Vladimir Poutine donne une conférence de presse à l’issue du sommet de l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) à Bichkek, au Kirghizistan, le 27 novembre 2025.
Pluies diluviennes et phénomènes climatiques violents rythment désormais le quotidien des habitants de l’Asie du Sud-Est, de la Thaïlande aux Philippines en passant par le Vietnam. Une réalité due au dérèglement climatique dont les conséquences économiques et sociales délétères se font déjà ressentir.
Une vue aérienne montre des habitations cernées par les inondations à Kangar, dans le nord de la Malaisie, le 27 novembre 2025, à la suite de fortes pluies.
La capitale autrichienne a concentré, dès le Moyen Âge, élevages d’animaux et abattoirs. Cela transparaît dans les spécialités locales et dans le paysage urbain, mais aussi dans l’éclosion précoce de débats sur la souffrance animale, comme le montre une exposition au Wien Museum Karlsplatz, à voir jusqu’au 22 février 2026. Un journaliste du quotidien “Der Standard” l’a dévorée pour nous.
“Saehrimnir II”, une œuvre de la série “Bühnentier” (“Bête de scène”), de l’artiste viennois Johannes Rass (2018). Elle est actuellement exposée au Wien Museum Karlsplatz, à Vienne, dans le cadre de l’exposition “Fleisch”.
Ils sont les “élus de cœur” des Français, ceux qui s’occupent des problèmes très concrets du quotidien, mais souffrent d’une situation paradoxale. Loin de Paris, les maires restent dépendants de la capitale et de ses logiques politiques très différentes, observe le quotidien allemand “Die Welt”.
Mercredi 26 novembre, deux membres de la garde nationale déployés à Washington ont été grièvement blessés par des “tirs ciblés”. L’auteur de cet attentat, a-t-on appris aujourd’hui, a travaillé auprès de la CIA en Afghanistan, son pays d’origine.
Vladimir Poutine a approuvé la nouvelle Stratégie de politique nationale, un document qui définit les enjeux de la société russe et les conditions de sa cohésion. La lutte contre les tentatives étrangères de déstabilisation est l’un des points sur lesquels insiste cette nouvelle version, qui fixe des objectifs à l’horizon de 2036.
Une initiative visant à réformer le service civil et militaire suisse est soumise au vote dimanche 30 novembre. Au cœur de la réforme, l’obligation pour les femmes de s’engager suscite débats et commentaires, ainsi que le relève la presse helvète.
Malgré la trêve avec le Hezbollah, entrée en vigueur le 27 novembre 2024, l’armée israélienne mène des frappes quasi quotidiennes sur le sud du Liban pour empêcher, selon elle, la réédification des infrastructures de la milice chiite. Mais en visant des ingénieurs et des engins de chantier, elle entrave surtout la remise en état des maisons détruites durant la guerre et le retour des dizaines de milliers de déplacés, raconte le quotidien libanais “L’Orient-Le Jour”.
Après la chute de Sheikh Hasina en août 2024, le gouvernement intérimaire dirigé par le Prix Nobel de la paix Muhammad Yunus avait promis de rendre justice et de mettre fin à la violence d’État au Bangladesh. Plus d’un an après, ces promesses n’ont pas été entièrement tenues.
Des membres du groupe d’activistes culturels Bangladesh Udichi Shilpigosthi marchent vers la résidence de Muhammad Yunus, le 9 novembre 2025, à Dacca, au Bangladesh.
Au lendemain de l’incarcération de l’ex-président brésilien Jair Bolsonaro pour tentative de coup d’État, cette journaliste du quotidien de centre gauche “Folha de São Paulo” insiste sur le niveau d’épuisement collectif du pays au terme de cette affaire.