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Reçu aujourd’hui — 18 novembre 2025Actualités numériques

☕️ [MàJ] La panne Cloudflare touchant de nombreux services comme X ou ChatGPT semble résolue

18 novembre 2025 à 15:02
[MàJ] La panne Cloudflare touchant de nombreux services comme X ou ChatGPT semble résolue

Mise à jour 18 novembre, 15h53 : « Une correction a été mise en œuvre et nous pensons que l’incident est désormais résolu », explique Cloudflare dans un message publié à 15h42 heure de Paris. « Nous continuons à surveiller les erreurs afin de nous assurer que tous les services fonctionnent à nouveau normalement », ajoute l’entreprise. L’incident aura duré environ 3 h.


Brief originel publié le 18 novembre à 14h19 :

Cloudflare est en carafe et, par cascade, de nombreux sites qui reposent sur ses services sont difficilement, voire pas du tout, accessibles. Ainsi les utilisateurs de X, Spotify, Canva, Downdetector.fr ou encore OpenAI peuvent rencontrer des difficultés à accéder à ces sites internet.

Downdetector, qui sert habituellement à vérifier si un site est hors ligne chez les autres, illustre ironiquement le phénomène – capture d’écran Next

« Le réseau mondial Cloudflare rencontre des problèmes » a annoncé Cloudflare sur son site d’information des pannes à 12h48, heure de Paris. Depuis l’entreprise a ajouté régulièrement des messages lapidaires affirmant qu’elle continue de creuser pour connaître la cause du problème.

Sur les sites concernés, le message d’erreur affiché évoque « challenges », l’appellation qui regroupe les services dédiés au contrôle de la légitimité de la requête de l’internaute, dont la case à cocher qui fait office de Captcha chez Cloudflare.

À 14h09 heure de Paris, l’entreprise a expliqué avoir identifié une modalité de résolution. « Nous avons apporté des modifications qui ont permis à Cloudflare Access et WARP de fonctionner à nouveau normalement. Les niveaux d’erreur pour les utilisateurs d’Access et de WARP sont revenus aux taux enregistrés avant l’incident », a-t-elle indiqué ensuite.

Apple perd l’un de ses designers stars, Tim Cook partirait dès 2026

18 novembre 2025 à 14:39
So long
Apple perd l’un de ses designers stars, Tim Cook partirait dès 2026

En quelques jours, du chamboulement est apparu chez Apple. L’entreprise vient de perdre l’une de ses étoiles montantes du design et des sources affirment que Tim Cook pourrait laisser la direction de l’entreprise dès l’année prochaine.

Abidur Chowdhury, l’un des designers fétiches d’Apple, vient de quitter l’entreprise. Apple lui doit notamment en bonne partie le design du récent iPhone Air. Comme le rappelle notamment Bloomberg, Chowdhury avait été choisi pour faire la présentation de l’appareil durant la conférence de septembre.

Le designer était arrivé chez Apple en 2019 et faisait partie d’un lot de personnes embauchées au moment où Jony Ive s’en allait. Selon Bloomberg, le départ de Chowdhury n’a rien à voir avec les ventes décevantes de l’iPhone Air, dont le design a globalement été salué. Le designer serait simplement parti pour une jeune pousse de l’intelligence artificielle, Bloomberg citant des sources « familières ». Son départ aurait créé des remous en interne car il était considéré comme une étoile montante.

Tim Cook sur le départ ?

Selon d’autres sources, Apple s’apprêterait à vivre des changements plus importants. Le très sérieux Financial Times a indiqué pendant le week-end que Tim Cook pourrait quitter l’entreprise dès l’année prochaine. Le conseil d’administration et tous les cadres de la direction prépareraient activement le passage de relai. Aucune annonce n’aurait lieu avant la présentation des prochains résultats trimestriels, prévue pour fin janvier.

Tim Cook est actuellement le patron ayant tenu les rênes le plus longtemps chez Apple. Approchant des 15 ans d’exercice, il a durablement imprimé sa marque dans l’entreprise, en jouant la continuité avec Steve Jobs, dont il était un proche. Les résultats d’Apple sous sa houlette ayant affiché une croissance continue, le Financial Times parle d’une décision personnelle, pas d’un CEO poussé vers la porte de sortie.

Chez MacG, on estime que l’article du Financial Times pourrait être le résultat d’une fuite savamment orchestrée pour sonder la réaction du marché. Nos confrères font remarquer plusieurs points, dont une publication de l’article un vendredi soir après clôture de Wall Street, pour que l’information se diffuse et se tasse durant le week-end. Ils relèvent également que l’avenir proche de Tim Cook pourrait être celui de président du conseil d’administration, prenant alors la place d’Arthur D. Levinson, qui vient de fêter ses 75 ans, âge maximal autorisé pour ce poste.

☕️ Le ministère des Armées victime de 5 à 10 incidents cyber graves par an

18 novembre 2025 à 14:09

« Nous comptons un peu plus de 4 900 cybercombattants, avec un objectif de 5 500 d’ici 2030 », explique à Libération Emmanuel Naëgelen (LinkedIn), ancien chef des opérations du ComCyber de 2018 à 2020, puis directeur adjoint et n°2 de l’ANSSI et, depuis août, nouveau commandant de la cyberdéfense (COMCYBER) de l’état-major des armées.

Il succède à Aymeric Bonnemaison qui, après avoir œuvré dans plusieurs unités de guerre électronique, était devenu adjoint du directeur technique de la DGSE, et a été nommé cet été à la tête de la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD), le service de contre-espionnage militaire.

Si les unités du ComCyber ne rassemblent qu’ « environ 500 personnes », elles bénéficient du soutien de 20 autres unités opérationnelles chargées de « combattre dans le cyberespace et renforcer la cyberdéfense des armées françaises », précise le COMCYBER. Ces dernières sont réunies au sein de la Communauté cyber des armées (CCA), comme nous le relevions à l’occasion de la création, en août, du Commissariat au Numérique de Défense (CND), le « 1ᵉʳ intranet militaire européen », composé de 6 745 hommes et femmes (dont 55 % militaires et 45 % civils).

Interrogé sur le nombre de cyberattaques visant les armées françaises, le général de division aérienne Naëgelen avance que le nombre d’incidents graves (à savoir le fait qu’un attaquant a « réussi à pénétrer nos systèmes et à en extraire de l’information ») « se compte sur les doigts d’une à deux mains, et nous sommes plus près de 5 que de 10 », par an.

« Si les IA génératives facilitent clairement le travail de nos adversaires », notamment pour « générer des mails trompeurs extrêmement crédibles », précise-t-il, « nous n’avons pas encore observé des attaques informatiques complexes qui seraient pilotées par un moteur d’intelligence artificielle ».

Rappelant qu’« un char, un avion, un bateau embarquent de l’informatique », il résume ce que le cyber représente en termes d’armements : « Du point de vue du ComCyber, un bateau, c’est un data center qui flotte ! »

Cryptomonnaies : Binance et OKX utilisées pour blanchir des centaines de millions d’euros

18 novembre 2025 à 13:16
Laverie numérique
Cryptomonnaies : Binance et OKX utilisées pour blanchir des centaines de millions d’euros

Les deux plateformes d’échange de cryptomonnaies Binance et OKX sont massivement utilisées pour le blanchiment d’argent. Une enquête du Consortium international des journalistes ICIJ montre que le conglomérat cambodgien Huione, accusé d’être au centre du blanchiment d’argent via les cryptomonnaies, aurait transféré au moins 545 millions d’euros en utilisant ces plateformes.

« La lessiveuse de cryptos » (en anglais, « The Coin Laundry »), c’est ainsi que le Consortium international des journalistes ICIJ a appelé son enquête montrant l’ampleur du blanchiment d’argent sale sur certaines plateformes de cryptomonnaies comme Binance et OKX.

545 millions d’euros de blanchiment d’un conglomérat cambodgien en un an

Ce consortium, qui rassemble 38 médias dont Le Monde et Radio France, a pu tracer des flux financiers provenant du conglomérat cambodgien Huione sur ces deux plateformes. Ils en concluent que cette entreprise, qui est « utilisée par des gangs criminels chinois pour blanchir les profits issus de la traite d’êtres humains et d’opérations frauduleuses à l’échelle industrielle », a transféré à Binance 408 millions de dollars (351 millions d’euros) entre juillet 2024 et juillet 2025, et 226 millions de dollars (195 millions d’euros) à OKX entre fin février 2025 et la fin juillet 2025.

Le mois dernier, le Réseau de lutte contre les crimes financiers (FinCEN) du département du Trésor américain ciblait ce même conglomérat cambodgien, l’accusant d’avoir blanchi « au moins 4 milliards de dollars de produits illicites entre août 2021 et janvier 2025 ». Le FinCEN annonçait avoir exclu Huione du système financier états-unien en parallèle de la saisie de 127 271 bitcoins (d’une valeur actuelle d’environ 15 milliards de dollars), dans le cadre de l’accusation de fraudes électroniques et de blanchiment d’argent de Chen Zhi, le fondateur et président de Prince Holding Group, un autre conglomérat cambodgien.

D’autres réseaux illégaux continuent d’utiliser ces plateformes

ICIJ a aussi découvert des transactions d’autres organisations illégales à travers le monde. Ainsi, le cartel de drogue mexicain Sinaloa a reçu plus de 700 000 dollars via des comptes de la plateforme Coinbase. Le consortium liste aussi un réseau de trafiquants chinois de fentanyl ou encore un intermédiaire russe chargé de blanchir de l’argent pour le programme d’armement nord-coréen en utilisant un compte sur la plateforme HTX.

Dans son enquête, l’ICIJ se demande si « les plateformes d’échange en font assez pour mettre fin aux flux illicites, que ce soit en gelant les fonds, en fermant les comptes ou en surveillant attentivement les transactions suspectes ». En novembre 2023, Binance et son ancien CEO, Changpeng Zhao « CZ », avaient plaidé coupable de violation des lois états-uniennes contre le blanchiment.

Binance en porte-à-faux avec ses engagements de 2023, CZ amnistié

L’entreprise s’était engagée à se plier aux législations en vigueur. Elle avait pu continuer ses activités même si le département de Justice américain relevait que l’entreprise avait volontairement favorisé ces transactions. Celui-ci notait par exemple, comme le révélait le Wall Street Journal, qu’un des employés chargé de la conformité de l’entreprise avait écrit dans le chat interne : « Nous avons besoin d’une bannière disant : « Le blanchiment d’argent sale est trop difficile ces jours-ci ? Venez chez Binance, nous avons des gâteaux pour vous » ».

Donald Trump a récemment amnistié CZ. À cette occasion, la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré que les poursuites menées par le prédécesseur de Donald Trump « ont gravement terni la réputation des États-Unis comme leader en matière de technologie et d’innovation. La guerre du gouvernement Biden contre les cryptos est finie ».

« S’ils excluent les acteurs criminels de leur plateforme, ils perdent alors une importante source de revenus, ce qui les incite à laisser cette activité se poursuivre », explique à l’ICIJ John Griffin, enseignant-chercheur à l’université du Texas à Austin.

Cette enquête montre que, contrairement aux engagements pris en 2023 par Binance, l’entreprise et le milieu des cryptomonnaies n’ont pas fait le ménage. Si on pouvait le suspecter, comme l’exprime le CTO de l’ICIJ, Pierre Romera Zhang, « sans données, sans fact-checking, sans transparence, il n’y a ni débat public éclairé ni pression sur les plateformes, les législateurs et les autorités ».

Apple perd l’un de ses designers stars, Tim Cook partirait dès 2026

18 novembre 2025 à 14:39
So long
Apple perd l’un de ses designers stars, Tim Cook partirait dès 2026

En quelques jours, du chamboulement est apparu chez Apple. L’entreprise vient de perdre l’une de ses étoiles montantes du design et des sources affirment que Tim Cook pourrait laisser la direction de l’entreprise dès l’année prochaine.

Abidur Chowdhury, l’un des designers fétiches d’Apple, vient de quitter l’entreprise. Apple lui doit notamment en bonne partie le design du récent iPhone Air. Comme le rappelle notamment Bloomberg, Chowdhury avait été choisi pour faire la présentation de l’appareil durant la conférence de septembre.

Le designer était arrivé chez Apple en 2019 et faisait partie d’un lot de personnes embauchées au moment où Jony Ive s’en allait. Selon Bloomberg, le départ de Chowdhury n’a rien à voir avec les ventes décevantes de l’iPhone Air, dont le design a globalement été salué. Le designer serait simplement parti pour une jeune pousse de l’intelligence artificielle, Bloomberg citant des sources « familières ». Son départ aurait créé des remous en interne car il était considéré comme une étoile montante.

Tim Cook sur le départ ?

Selon d’autres sources, Apple s’apprêterait à vivre des changements plus importants. Le très sérieux Financial Times a indiqué pendant le week-end que Tim Cook pourrait quitter l’entreprise dès l’année prochaine. Le conseil d’administration et tous les cadres de la direction prépareraient activement le passage de relai. Aucune annonce n’aurait lieu avant la présentation des prochains résultats trimestriels, prévue pour fin janvier.

Tim Cook est actuellement le patron ayant tenu les rênes le plus longtemps chez Apple. Approchant des 15 ans d’exercice, il a durablement imprimé sa marque dans l’entreprise, en jouant la continuité avec Steve Jobs, dont il était un proche. Les résultats d’Apple sous sa houlette ayant affiché une croissance continue, le Financial Times parle d’une décision personnelle, pas d’un CEO poussé vers la porte de sortie.

Chez MacG, on estime que l’article du Financial Times pourrait être le résultat d’une fuite savamment orchestrée pour sonder la réaction du marché. Nos confrères font remarquer plusieurs points, dont une publication de l’article un vendredi soir après clôture de Wall Street, pour que l’information se diffuse et se tasse durant le week-end. Ils relèvent également que l’avenir proche de Tim Cook pourrait être celui de président du conseil d’administration, prenant alors la place d’Arthur D. Levinson, qui vient de fêter ses 75 ans, âge maximal autorisé pour ce poste.

☕️ Le ministère des Armées victime de 5 à 10 incidents cyber graves par an

18 novembre 2025 à 14:09

« Nous comptons un peu plus de 4 900 cybercombattants, avec un objectif de 5 500 d’ici 2030 », explique à Libération Emmanuel Naëgelen (LinkedIn), ancien chef des opérations du ComCyber de 2018 à 2020, puis directeur adjoint et n°2 de l’ANSSI et, depuis août, nouveau commandant de la cyberdéfense (COMCYBER) de l’état-major des armées.

Il succède à Aymeric Bonnemaison qui, après avoir œuvré dans plusieurs unités de guerre électronique, était devenu adjoint du directeur technique de la DGSE, et a été nommé cet été à la tête de la Direction du renseignement et de la sécurité de la Défense (DRSD), le service de contre-espionnage militaire.

Si les unités du ComCyber ne rassemblent qu’ « environ 500 personnes », elles bénéficient du soutien de 20 autres unités opérationnelles chargées de « combattre dans le cyberespace et renforcer la cyberdéfense des armées françaises », précise le COMCYBER. Ces dernières sont réunies au sein de la Communauté cyber des armées (CCA), comme nous le relevions à l’occasion de la création, en août, du Commissariat au Numérique de Défense (CND), le « 1ᵉʳ intranet militaire européen », composé de 6 745 hommes et femmes (dont 55 % militaires et 45 % civils).

Interrogé sur le nombre de cyberattaques visant les armées françaises, le général de division aérienne Naëgelen avance que le nombre d’incidents graves (à savoir le fait qu’un attaquant a « réussi à pénétrer nos systèmes et à en extraire de l’information ») « se compte sur les doigts d’une à deux mains, et nous sommes plus près de 5 que de 10 », par an.

« Si les IA génératives facilitent clairement le travail de nos adversaires », notamment pour « générer des mails trompeurs extrêmement crédibles », précise-t-il, « nous n’avons pas encore observé des attaques informatiques complexes qui seraient pilotées par un moteur d’intelligence artificielle ».

Rappelant qu’« un char, un avion, un bateau embarquent de l’informatique », il résume ce que le cyber représente en termes d’armements : « Du point de vue du ComCyber, un bateau, c’est un data center qui flotte ! »

Python Developers Looking At Introducing The Rust Programming Language In CPython

18 novembre 2025 à 11:29
A proposal has been raised by two CPython core developers to introduce the Rust programming language to CPython. Initially the focus is on allowing Rust to be used for developing optional extension modules for CPython but ultimately their goal is for Rust to become a hard dependency of CPython and used throughout its codebase...

The State Of The AMD RADV Vulkan Driver In Late 2025

18 novembre 2025 à 11:08
In addition to talking about the Valve-backed open-source driver work for old AMD Radeon GPUs, Timur Kristóf also presented at the XDC2025 conference on the state of the RADV Vulkan driver. Timur was joined by Daniel Schürmann to talk about the great Linux gaming experience now possible on the RADV driver with the work done by Valve, AMD, Red Hat, Google, and the open-source community. RADV ray-tracing is much better today than in the past, the ACO compiler back-end has turned out very well, and RADV is all-around a great example of an open-source Vulkan API driver...

La grosse clé USB Kingston qui cache un SSD s'adapte à toutes les fentes et bosse vite, Rocco approuve !

Kingston lance une grosse clé USB qui mesure 72 mm de long x 21.1 mm de large x 8.6 mm d'épaisseur et pèse 13 grammes. Disponible en 512 Go, 1 et 2 To, elle va en permettre des sauvegardes avec de telles capacités. Elle a plusieurs particularités qui en font un bidule intéressant sur le papier. Prem...

MEDION Signium 14 S1 OLED : léger, autonome et abordable, mais pas pour le gaming

18 novembre 2025 à 15:24
Aujourd’hui, nous vous proposons un petit retour vers le futur… ou plutôt vers le passé, avec un laptop dont la marque ne vous sera pas inconnue. Nous pensions jusqu’ici qu’Erazer avait complètement effacé l’empreinte de Medion, mais il n’en est rien. La marque conserve encore son nom pour une gamme d’ordinateurs pensés avant tout pour la bureautique et la mobilité quotidienne. Nous avons donc reçu le Medion Signium 14 S1 OLED, un ultraportable proposé à 750 €, équipé d’un processeur Intel Core 5 120U, de 16 Go de DDR4 et d’un SSD NVMe PCIe 4 de 512 Go. Mais l’élément qui attire immédiatement l’attention, c’est son écran OLED de 14 pouces, capable de monter jusqu’à 120 Hz, avec une définition de 2880 x 1800 pixels, une caractéristique encore rare sur des machines de ce tarif. Le format se veut compact, fin et léger, pensé pour être glissé dans un sac sans jamais peser. On est clairement sur un laptop de baroudeur : peu encombrant, discret, mais potentiellement prêt à en faire plus qu’on ne l’attend. L’ultraportable, c’est ce genre de machine qui doit pouvoir accompagner une journée complète : entre la mobilité, le confort d’utilisation, l’autonomie et la capacité à rester efficace sans surchauffer ni faire décoller la ventilation. Reste maintenant à vérifier si ce Signium 14 S1 OLED tient toutes ses promesses. Est-ce simplement un bon compagnon de bureautique… ou une vraie petite surprise capable de bousculer sa catégorie ?

A Simple WhatsApp Security Flaw Exposed 3.5 Billion Phone Numbers

Par :msmash
18 novembre 2025 à 14:59
Researchers at the University of Vienna extracted phone numbers for 3.5 billion WhatsApp users by systematically checking every possible number through the messaging service's contact discovery feature. The technique yielded profile photos for 57% of those accounts and profile text for 29 percent. The researchers checked roughly 100 million numbers per hour using WhatsApp's browser-based app. The team warned Meta in April and deleted their data. The company implemented stricter rate-limiting by October to prevent such mass enumeration. Meta called the exposed information "basic publicly available information" and said it found no evidence of malicious exploitation. The vulnerability had been identified before. In 2017, Dutch researcher Loran Kloeze published a blog post detailing the same enumeration technique. Meta responded then that WhatsApp's privacy settings were functioning as designed and denied him a bug bounty reward. The researchers collected 137 million U.S. phone numbers. In India, they found nearly 750 million numbers. They also discovered 2.3 million Chinese numbers and 1.6 million Myanmar numbers, despite WhatsApp being banned in both countries. The researchers analyzed the cryptographic keys and found some accounts used duplicate keys. They speculate this resulted from unauthorized WhatsApp clients rather than a platform flaw.

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Google Boss Says Trillion-Dollar AI Investment boom Has 'Elements of Irrationality'

Par :msmash
18 novembre 2025 à 14:01
Every company would be affected if the AI bubble were to burst, the head of Google's parent firm Alphabet has told the BBC. From the report: Speaking exclusively to BBC News, Sundar Pichai said while the growth of artificial intelligence investment had been an "extraordinary moment", there was some "irrationality" in the current AI boom. It comes amid fears in Silicon Valley and beyond of a bubble as the value of AI tech companies has soared in recent months and companies spend big on the burgeoning industry. Asked whether Google would be immune to the impact of the AI bubble bursting, Mr Pichai said the tech giant could weather that potential storm, but also issued a warning. "I think no company is going to be immune, including us," he said. In a wide-ranging exclusive interview at Google's California headquarters, he also addressed energy needs, slowing down climate targets, UK investment, the accuracy of his AI models, and the effect of the AI revolution on jobs.

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☕️ [MàJ] La panne Cloudflare touchant de nombreux services comme X ou ChatGPT semble résolue

18 novembre 2025 à 15:02
[MàJ] La panne Cloudflare touchant de nombreux services comme X ou ChatGPT semble résolue

Mise à jour 18 novembre, 15h53 : « Une correction a été mise en œuvre et nous pensons que l’incident est désormais résolu », explique Cloudflare dans un message publié à 15h42 heure de Paris. « Nous continuons à surveiller les erreurs afin de nous assurer que tous les services fonctionnent à nouveau normalement », ajoute l’entreprise. L’incident aura duré environ 3 h.


Brief originel publié le 18 novembre à 14h19 :

Cloudflare est en carafe et, par cascade, de nombreux sites qui reposent sur ses services sont difficilement, voire pas du tout, accessibles. Ainsi les utilisateurs de X, Spotify, Canva, Downdetector.fr ou encore OpenAI peuvent rencontrer des difficultés à accéder à ces sites internet.

Downdetector, qui sert habituellement à vérifier si un site est hors ligne chez les autres, illustre ironiquement le phénomène – capture d’écran Next

« Le réseau mondial Cloudflare rencontre des problèmes » a annoncé Cloudflare sur son site d’information des pannes à 12h48, heure de Paris. Depuis l’entreprise a ajouté régulièrement des messages lapidaires affirmant qu’elle continue de creuser pour connaître la cause du problème.

Sur les sites concernés, le message d’erreur affiché évoque « challenges », l’appellation qui regroupe les services dédiés au contrôle de la légitimité de la requête de l’internaute, dont la case à cocher qui fait office de Captcha chez Cloudflare.

À 14h09 heure de Paris, l’entreprise a expliqué avoir identifié une modalité de résolution. « Nous avons apporté des modifications qui ont permis à Cloudflare Access et WARP de fonctionner à nouveau normalement. Les niveaux d’erreur pour les utilisateurs d’Access et de WARP sont revenus aux taux enregistrés avant l’incident », a-t-elle indiqué ensuite.

Cryptomonnaies : Binance et OKX utilisées pour blanchir des centaines de millions d’euros

18 novembre 2025 à 13:16
Laverie numérique
Cryptomonnaies : Binance et OKX utilisées pour blanchir des centaines de millions d’euros

Les deux plateformes d’échange de cryptomonnaies Binance et OKX sont massivement utilisées pour le blanchiment d’argent. Une enquête du Consortium international des journalistes ICIJ montre que le conglomérat cambodgien Huione, accusé d’être au centre du blanchiment d’argent via les cryptomonnaies, aurait transféré au moins 545 millions d’euros en utilisant ces plateformes.

« La lessiveuse de cryptos » (en anglais, « The Coin Laundry »), c’est ainsi que le Consortium international des journalistes ICIJ a appelé son enquête montrant l’ampleur du blanchiment d’argent sale sur certaines plateformes de cryptomonnaies comme Binance et OKX.

545 millions d’euros de blanchiment d’un conglomérat cambodgien en un an

Ce consortium, qui rassemble 38 médias dont Le Monde et Radio France, a pu tracer des flux financiers provenant du conglomérat cambodgien Huione sur ces deux plateformes. Ils en concluent que cette entreprise, qui est « utilisée par des gangs criminels chinois pour blanchir les profits issus de la traite d’êtres humains et d’opérations frauduleuses à l’échelle industrielle », a transféré à Binance 408 millions de dollars (351 millions d’euros) entre juillet 2024 et juillet 2025, et 226 millions de dollars (195 millions d’euros) à OKX entre fin février 2025 et la fin juillet 2025.

Le mois dernier, le Réseau de lutte contre les crimes financiers (FinCEN) du département du Trésor américain ciblait ce même conglomérat cambodgien, l’accusant d’avoir blanchi « au moins 4 milliards de dollars de produits illicites entre août 2021 et janvier 2025 ». Le FinCEN annonçait avoir exclu Huione du système financier états-unien en parallèle de la saisie de 127 271 bitcoins (d’une valeur actuelle d’environ 15 milliards de dollars), dans le cadre de l’accusation de fraudes électroniques et de blanchiment d’argent de Chen Zhi, le fondateur et président de Prince Holding Group, un autre conglomérat cambodgien.

D’autres réseaux illégaux continuent d’utiliser ces plateformes

ICIJ a aussi découvert des transactions d’autres organisations illégales à travers le monde. Ainsi, le cartel de drogue mexicain Sinaloa a reçu plus de 700 000 dollars via des comptes de la plateforme Coinbase. Le consortium liste aussi un réseau de trafiquants chinois de fentanyl ou encore un intermédiaire russe chargé de blanchir de l’argent pour le programme d’armement nord-coréen en utilisant un compte sur la plateforme HTX.

Dans son enquête, l’ICIJ se demande si « les plateformes d’échange en font assez pour mettre fin aux flux illicites, que ce soit en gelant les fonds, en fermant les comptes ou en surveillant attentivement les transactions suspectes ». En novembre 2023, Binance et son ancien CEO, Changpeng Zhao « CZ », avaient plaidé coupable de violation des lois états-uniennes contre le blanchiment.

Binance en porte-à-faux avec ses engagements de 2023, CZ amnistié

L’entreprise s’était engagée à se plier aux législations en vigueur. Elle avait pu continuer ses activités même si le département de Justice américain relevait que l’entreprise avait volontairement favorisé ces transactions. Celui-ci notait par exemple, comme le révélait le Wall Street Journal, qu’un des employés chargé de la conformité de l’entreprise avait écrit dans le chat interne : « Nous avons besoin d’une bannière disant : « Le blanchiment d’argent sale est trop difficile ces jours-ci ? Venez chez Binance, nous avons des gâteaux pour vous » ».

Donald Trump a récemment amnistié CZ. À cette occasion, la porte-parole de la Maison-Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré que les poursuites menées par le prédécesseur de Donald Trump « ont gravement terni la réputation des États-Unis comme leader en matière de technologie et d’innovation. La guerre du gouvernement Biden contre les cryptos est finie ».

« S’ils excluent les acteurs criminels de leur plateforme, ils perdent alors une importante source de revenus, ce qui les incite à laisser cette activité se poursuivre », explique à l’ICIJ John Griffin, enseignant-chercheur à l’université du Texas à Austin.

Cette enquête montre que, contrairement aux engagements pris en 2023 par Binance, l’entreprise et le milieu des cryptomonnaies n’ont pas fait le ménage. Si on pouvait le suspecter, comme l’exprime le CTO de l’ICIJ, Pierre Romera Zhang, « sans données, sans fact-checking, sans transparence, il n’y a ni débat public éclairé ni pression sur les plateformes, les législateurs et les autorités ».

DJ Sash l'avait prédit : encore une fois, le record de fréquence de DDR5 vient de tomber !

Si vous avez connu les années 90 et sa folie Dance Music, nul doute que le titre vous aura remis ce morceau dans la tête, pour la journée. Pour les autres, voilà de quoi sustenter votre curiosité. Il y a quelques jours un binôme surprise et n'ayant clairement pas pignon sur rue a fait la nique aux g...

GeForce RTX 5070 Ti versus Radeon RX 9070 XT : match DLSS4 contre FSR4

18 novembre 2025 à 10:56

Comme souvent, Techspot nous propose un nouveau dossier très intéressant. C'est encore une fois un match entre deux cartes graphiques qui nous intéresse, avec d'un côté la GeForce RTX 5070 Ti et de l'autre la Radeon RX 9070 XT. La première carte embarque 8960 Cuda Cores et 16 Go de GDDR7 en bus 192 bits, alors que la seconde propose 4096 unités de calcul et 16 Go de mémoire GDDR6 en bus 256 bits. […]

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Valar Atomics Says It's the First Nuclear Startup To Achieve Criticality

Par :BeauHD
18 novembre 2025 à 13:00
An anonymous reader quotes a report from Wired: Startup Valar Atomics said on Monday that it achieved criticality -- an essential nuclear milestone -- with the help of one of the country's top nuclear laboratories. The El Segundo, California-based startup, which last week announced it had secured a $130 million funding round with backing from Palmer Luckey and Palantir CTO Shyam Sankar, claims that it is the first nuclear startup to create a critical fission reaction. It's also, more specifically, the first company in a special Department of Energy pilot program aiming to get at least three startups to criticality by July 4 of next year to announce it had achieved this reaction. The pilot program, which was formed following an executive order President Donald Trump signed in May, has upended US regulation of nuclear startups, allowing companies to reach new milestones like criticality at a rapid pace. There's a difference between the type of criticality Valar reached this week -- what's known as cold criticality or zero-power criticality -- and what's needed to actually create nuclear power. Nuclear reactors use heat to create power, but in cold criticality, which is used to test a reactor's design and physics, the reaction isn't strong enough to create enough heat to make power. The reactor that reached criticality this week is not actually Valar's own model, but rather a blend of the startup's fuel and technology with key structural components provided by the Los Alamos National Laboratory, one of the DOE's research and development laboratories. The combination reactor builds off a separate fuel test performed last year at the laboratory, using fuel similar to what Valar's reactor will use. "Zero power criticality is a reactor's first heartbeat, proof the physics holds," Valar founder Isaiah Taylor said in a statement. "This moment marks the dawn of a new era in American nuclear engineering, one defined by speed, scale, and private-sector execution with closer federal partnership."

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