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Aujourd’hui — 30 septembre 2024Actualités numériques

AMD officialise son AGESA 1.2.0.2 et étrenne le bal des mobales X870(E) !

Si le 30 septembre est, pour le commun des mortels, la fin du mois ; pour AMD c’est le moment idéal pour lancer officiellement sa « AMD Ryzen Desktop September Update », une opération accompagnant le lancement — enfin réel — des chipsets X870/X870E, dont vous pouvez retrouver ici notre revue de la p...

Quoi qu'il y avait d'autre à la RazerCon ?

Après nous avoir dévoilé un siège haptique des plus déroutants, Razer n’avait pas fini de nous en mettre plein les mirettes à l’occasion de sa RazerCon sauce 2024 — avec deux produits plus sages, fort heureusement : un casque pour joueur ainsi qu’un support pour ordinateur portable.Côté casque, le n...

Intel Xe2 Lunar Lake Graphics Performance Disappoints On Linux

30 septembre 2024 à 12:40
While I have been very eager to test out the Core Ultra 200V Lunar Lake series on Linux in part due to the new Xe2 integrated graphics, after several days of pushing a new Lunar Lake laptop on Linux the results have been very disappointing. Besides needing a very leading-edge software stack to enjoy the Xe2 accelerated graphics out-of-the-box, the performance currently is poor. It's a fraction of the Windows performance and currently falls behind the Meteor Lake graphics performance and in turn also being well behind the AMD RDNA3.5 competition with the Ryzen AI 300 series laptops.

Wero, le successeur européen de Paylib, fait ses débuts en France

30 septembre 2024 à 12:03
Wero, le successeur européen de Paylib, fait ses débuts en France

Porté par un consortium de banques européennes, le service de paiement Wero fait ses débuts officiels dans l’Hexagone, avec une première brique dédiée aux paiements entre particuliers qui va progressivement remplacer Paylib dans le paysage français. Wero ne cache pas son ambition de devenir à terme un véritable service de paiement global à l’échelle européenne.

Avec 35 millions d’inscrits, 15 millions d’utilisateurs réguliers et 6 milliards d’euros d’échanges par an, le service de paiement entre particuliers Paylib tirera bientôt sa révérence. Cette initiative franco-française cède en effet la place à un nouveau projet dont les ambitions se veulent, cette fois, européennes.

Baptisé Wero, il associe en France les établissements bancaires des groupes BNP Paribas, BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Epargne), Crédit Agricole, Crédit Mutuel Alliance Fédérale, Crédit Mutuel Arkéa, La Banque Postale et Société Générale. Toutes ont annoncé un déploiement rapide de Wero aux travers de leurs propres applications bancaires, à l’exception de La Banque Postale, qui proposera le service à ses clients au travers de l’application éditée par Wero.

Le calendrier de déploiement annoncé est le suivant :

  • BNP Paribas : à partir du 24 octobre 2024
  • Groupe BPCE : du 2 septembre au 2 octobre 2024
  • Crédit Agricole : 26 septembre 2024 (déjà disponible, hors clients LCL)
  • Crédit Mutuel Alliance Fédérale : du 25 septembre au 6 novembre 2024
  • Crédit Mutuel Arkéa : janvier 2025
  • La Banque Postale : 28 octobre 2024
  • Société Générale : à partir du 24 octobre 2024pour la banque SG

Wero, successeur de Paylib

Dans toutes ces applications, Wero est amené à remplacer progressivement la brique dédiée à Paylib pour tous les envois d’argent entre particuliers. Le service, que nous avons pu tester au travers de l’application Crédit Agricole sur iOS, nécessite un enrôlement spécifique. Il propose l’envoi et la réception d’argent avec, au choix, comme identifiant, une adresse mail ou un numéro de téléphone portable.

Le parcours utilisateur est classique : sélection du destinataire via le carnet d’adresse ou ajout du numéro de téléphone, choix du montant, validation du paiement. « Vous pouvez faire un virement wero dans la limite des plafonds suivants : un plafond de 500 euros par virement unitaire et les plafonds applicables à l’ensemble de vos virements précisés dans les conditions particulières de votre convention de compte », précisent les CGU diffusées par le Crédit Agricole.

L’utilisation du service suppose que les données personnelles de l’expéditeur comme celles du destinataire soient inscrites dans « l’annuaire wero ». « Si vous souhaitez ne plus utiliser le service wero pour recevoir et émettre des virements wero, vous pourrez désactiver le service directement sur l’application Ma Banque. Vos données seront alors supprimées de l’annuaire wero », ajoutent les CGU.

« Paylib et Wero sont compatibles : vous pouvez envoyer de l’argent via Wero à quelqu’un qui utilise encore Paylib et vice versa », rassure de son côté le site de Paylib.

Mais que se passe-t-il lorsque le destinataire n’est pas utilisateur de Wero ou Paylib ? L’application nous l’indique et on ne peut pas effectuer de virement, il n’y a pas de magie. À la place, Wero invite l’utilisateur à effectuer un virement par IBAN, de manière traditionnelle. Pour fonctionner et avoir du succès, il faut donc que la base d’utilisateurs grandisse, ce que l’application va tenter d’obtenir avec une portée internationale pour atteindre une masse critique.

En France, en Allemagne, en Belgique, bientôt aux Pays-Bas

D’après ses soutiens, Wero doit dépasser la portée de Paylib sur au moins deux axes. Le premier, c’est sans surprise celui de la portée géographique. Déjà disponible depuis quelques semaines en Allemagne, le service fait ses débuts en Belgique, où l’ensemble des banques membres devraient l’avoir déployé d’ici la fin de l’année. Le Luxembourg et les Pays-Bas « suivront prochainement », assure European Payments Initiative (EPI), la société de droit belge chargée d’opérer Wero et de fédérer les acteurs bancaires européens autour du projet et de sa gouvernance.

Installée à l’été 2020, EPI compte à son conseil d’administration plusieurs représentants des banques partenaires, à l’image d’Yves Tyrode, directeur général en charge du numérique et des paiements chez BPCE. La société a procédé à deux acquisitions fin 2023 : Currence iDEAL aux Pays-Bas et Payconiq International au Luxembourg. Deux prestataires de solutions techniques de paiement, qui doivent contribuer à faire de Wero un « portefeuille de paiement mobile unique et sécurisé ».

« Wero est unique. C’est une solution de pointe souveraine, conçue par et pour les Européens, qui permet de proposer tous les types de paiements, en commençant par ceux de personne à personne, tout en intégrant la promesse de l’immédiateté et de la sécurité bancaire. Nous arrivons à point nommé de l’ère des paiements numériques, en proposant la solution que les Européens attendent pour leurs paiements », décrit à ce sujet Martina Weimert, PDG d’EPI, dans un communiqué.

Une solution souveraine pensée comme une alternative européenne aux grands réseaux de paiement de type Visa, Mastercard ou PayPal ? La référence au calendrier fait aussi penser à une volonté d’aller concurrencer les systèmes de type Apple Pay, désormais ouverts de force à la concurrence sur le Vieux Continent du fait du DMA.

EPI et les banques françaises partenaires se projettent pour l’instant sur une feuille de route qui prévoit l’arrivée, dès 2025, de Wero chez les commerçants. « Cela inclura le paiement chez les petits commerçants à partir du portefeuille Wero, et, à terme, le paiement en ligne sur les sites marchands ainsi que la gestion des paiements récurrents liés aux abonnements. Le paiement au point de vente chez les grands commerçants figure également dans les plans de développement du wallet, et des tests sont prévus dès 2026. D’autres services à valeur ajoutée, telles que Buy Now-Pay Later (paiements échelonnés), l’intégration des programmes de fidélité des commerçants, ou le partage des dépenses, sont également en préparation », affirme EPI.

Mars' Long-Lost Atmosphere Might Be Hiding in Plain Sight

Par : EditorDavid
30 septembre 2024 à 11:34
Newsweek writes that the missing atmosphere of Mars "may be locked up in the planet's clay-rich surface, a new study by MIT geologists has suggested." According to the researchers, ancient water trickling through Mars' rocks could have triggered a series of chemical reactions, converting CO2 into methane and trapping the carbon in clay minerals for billions of years... The dominant explanation relies on an interaction between the sun's rays and gases in the atmosphere. Mars lost its protective magnetic field billions of years ago, likely allowing high-energy solar particles to strike the upper atmosphere, kicking molecules off into space, according to NASA... But this might not be the whole story. The researchers focused on a type of clay mineral called smectite, known for its ability to trap carbon. These minerals, abundant on Mars, contain tiny folds that can store carbon molecules for aeons. The study was published in the journal Science Advances. "There is plenty of evidence for a thick clay layer on the Martian surface. Almost 80 percent of satellite spectra detect these high-surface-area clay minerals on the Martian surface. Clay has been detected in craters as deep as 17 kilometers [10.5 miles]," [lead author Joshua] Murray said... Their model suggested that Mars' surface could contain up to 1.7 bar of CO2 — roughly 80 percent of its early atmospheric volume — sequestered as methane within clay deposits. This methane could still be present today, lying beneath the planet's dry and barren crust. "We know this process happens, and it is well-documented on Earth. And these rocks and clays exist on Mars," Oliver Jagoutz, the study's author, said in a statement. "So, we wanted to try and connect the dots." The discovery that Mars' ancient atmosphere could be hidden within its surface clays offers a new perspective on the planet's history and raises intriguing possibilities for future exploration. For example, if the sequestered carbon could be recovered and converted, it could serve as a propellant for future space missions between Earth, Mars and beyond. "In some ways, Mars' missing atmosphere could be hiding in plain sight," says the study's lead author — and the article adds that this raises some interesting possibilities. "For example, if the sequestered carbon could be recovered and converted, it could serve as a propellant for future space missions between Earth, Mars and beyond..."

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Wero, le successeur européen de Paylib, fait ses débuts en France

30 septembre 2024 à 12:03
Wero, le successeur européen de Paylib, fait ses débuts en France

Porté par un consortium de banques européennes, le service de paiement Wero fait ses débuts officiels dans l’Hexagone, avec une première brique dédiée aux paiements entre particuliers qui va progressivement remplacer Paylib dans le paysage français. Wero ne cache pas son ambition de devenir à terme un véritable service de paiement global à l’échelle européenne.

Avec 35 millions d’inscrits, 15 millions d’utilisateurs réguliers et 6 milliards d’euros d’échanges par an, le service de paiement entre particuliers Paylib tirera bientôt sa révérence. Cette initiative franco-française cède en effet la place à un nouveau projet dont les ambitions se veulent, cette fois, européennes.

Baptisé Wero, il associe en France les établissements bancaires des groupes BNP Paribas, BPCE (Banque Populaire et Caisse d’Epargne), Crédit Agricole, Crédit Mutuel Alliance Fédérale, Crédit Mutuel Arkéa, La Banque Postale et Société Générale. Toutes ont annoncé un déploiement rapide de Wero aux travers de leurs propres applications bancaires, à l’exception de La Banque Postale, qui proposera le service à ses clients au travers de l’application éditée par Wero.

Le calendrier de déploiement annoncé est le suivant :

  • BNP Paribas : à partir du 24 octobre 2024
  • Groupe BPCE : du 2 septembre au 2 octobre 2024
  • Crédit Agricole : 26 septembre 2024 (déjà disponible, hors clients LCL)
  • Crédit Mutuel Alliance Fédérale : du 25 septembre au 6 novembre 2024
  • Crédit Mutuel Arkéa : janvier 2025
  • La Banque Postale : 28 octobre 2024
  • Société Générale : à partir du 24 octobre 2024pour la banque SG

Wero, successeur de Paylib

Dans toutes ces applications, Wero est amené à remplacer progressivement la brique dédiée à Paylib pour tous les envois d’argent entre particuliers. Le service, que nous avons pu tester au travers de l’application Crédit Agricole sur iOS, nécessite un enrôlement spécifique. Il propose l’envoi et la réception d’argent avec, au choix, comme identifiant, une adresse mail ou un numéro de téléphone portable.

Le parcours utilisateur est classique : sélection du destinataire via le carnet d’adresse ou ajout du numéro de téléphone, choix du montant, validation du paiement. « Vous pouvez faire un virement wero dans la limite des plafonds suivants : un plafond de 500 euros par virement unitaire et les plafonds applicables à l’ensemble de vos virements précisés dans les conditions particulières de votre convention de compte », précisent les CGU diffusées par le Crédit Agricole.

L’utilisation du service suppose que les données personnelles de l’expéditeur comme celles du destinataire soient inscrites dans « l’annuaire wero ». « Si vous souhaitez ne plus utiliser le service wero pour recevoir et émettre des virements wero, vous pourrez désactiver le service directement sur l’application Ma Banque. Vos données seront alors supprimées de l’annuaire wero », ajoutent les CGU.

« Paylib et Wero sont compatibles : vous pouvez envoyer de l’argent via Wero à quelqu’un qui utilise encore Paylib et vice versa », rassure de son côté le site de Paylib.

Mais que se passe-t-il lorsque le destinataire n’est pas utilisateur de Wero ou Paylib ? L’application nous l’indique et on ne peut pas effectuer de virement, il n’y a pas de magie. À la place, Wero invite l’utilisateur à effectuer un virement par IBAN, de manière traditionnelle. Pour fonctionner et avoir du succès, il faut donc que la base d’utilisateurs grandisse, ce que l’application va tenter d’obtenir avec une portée internationale pour atteindre une masse critique.

En France, en Allemagne, en Belgique, bientôt aux Pays-Bas

D’après ses soutiens, Wero doit dépasser la portée de Paylib sur au moins deux axes. Le premier, c’est sans surprise celui de la portée géographique. Déjà disponible depuis quelques semaines en Allemagne, le service fait ses débuts en Belgique, où l’ensemble des banques membres devraient l’avoir déployé d’ici la fin de l’année. Le Luxembourg et les Pays-Bas « suivront prochainement », assure European Payments Initiative (EPI), la société de droit belge chargée d’opérer Wero et de fédérer les acteurs bancaires européens autour du projet et de sa gouvernance.

Installée à l’été 2020, EPI compte à son conseil d’administration plusieurs représentants des banques partenaires, à l’image d’Yves Tyrode, directeur général en charge du numérique et des paiements chez BPCE. La société a procédé à deux acquisitions fin 2023 : Currence iDEAL aux Pays-Bas et Payconiq International au Luxembourg. Deux prestataires de solutions techniques de paiement, qui doivent contribuer à faire de Wero un « portefeuille de paiement mobile unique et sécurisé ».

« Wero est unique. C’est une solution de pointe souveraine, conçue par et pour les Européens, qui permet de proposer tous les types de paiements, en commençant par ceux de personne à personne, tout en intégrant la promesse de l’immédiateté et de la sécurité bancaire. Nous arrivons à point nommé de l’ère des paiements numériques, en proposant la solution que les Européens attendent pour leurs paiements », décrit à ce sujet Martina Weimert, PDG d’EPI, dans un communiqué.

Une solution souveraine pensée comme une alternative européenne aux grands réseaux de paiement de type Visa, Mastercard ou PayPal ? La référence au calendrier fait aussi penser à une volonté d’aller concurrencer les systèmes de type Apple Pay, désormais ouverts de force à la concurrence sur le Vieux Continent du fait du DMA.

EPI et les banques françaises partenaires se projettent pour l’instant sur une feuille de route qui prévoit l’arrivée, dès 2025, de Wero chez les commerçants. « Cela inclura le paiement chez les petits commerçants à partir du portefeuille Wero, et, à terme, le paiement en ligne sur les sites marchands ainsi que la gestion des paiements récurrents liés aux abonnements. Le paiement au point de vente chez les grands commerçants figure également dans les plans de développement du wallet, et des tests sont prévus dès 2026. D’autres services à valeur ajoutée, telles que Buy Now-Pay Later (paiements échelonnés), l’intégration des programmes de fidélité des commerçants, ou le partage des dépenses, sont également en préparation », affirme EPI.

Cpufreq_ext Being Worked On For BPF-Based CPU Frequency Scaling

30 septembre 2024 à 11:49
The newly-merged sched_ext allows for the Linux kernel scheduler to be made more extensible by allowing BPF programs to be loaded to affect the kernel's scheduling behavior. There's now a similar take on CPU frequency scaling: cpufreq_ext. There's a "request for comments" patch series on cpufreq_ext for making extensible CPU frequency scaling algorithm adaptations with BPF...

Ryzen 9000X3D : gamme, date de lancement, performance… ça se précise !

Ces derniers jours, diverses sources ont colporté des ragots en lien avec les Ryzen 9000X3D. Une gamme à laquelle sont vraisemblablement suspendus pas mal de joueurs PC désireux d’obtenir le meilleur pour leur loisir ; en effet, si les Ryzen 9000X Granite Ridge ne devancent pas les Ryzen 7000X3D en la matière, nul doute que leurs variantes affublées de 3D V-Cache surclasseront ces derniers ; de quoi leur conférer auprès du public un accueil plus favorable que celui réservé aux Ryzen 9000X ? Ryzen 7 7800X3D © ebay Ryzen 7 9800X3D : futur roi des jeux Nous n’allons pas respecter l’ordre chronologique des publications... [Tout lire]

Razer prend soin de votre postérieur (mais pas que) avec le Razer Freyja !

Vous ne le saviez peut-être pas, mais samedi dernier se tenait la RazerCon, un événement dont le patronyme est assez explicite : une heure trente de célébration par Razer de son expertise, accompagné de divers tirages au sort, mais surtout d’annonces de produits. De quoi proposer encore et toujours...

ASUS ROG STRIX X870E-E GAMING WIFI, grand tour préliminaire

30 septembre 2024 à 09:59
Nous y voilà, les tests de cartes mères dotées des chipsets X870 et X870E commencent enfin. Et dès le premier test, on tape dans le dur avec un modèle haut de gamme de chez ASUS : la ROG STRIX X870E-E GAMING WIFI. Une carte hyper complète orientée stockage et overclocking avec un total de 5 ports M2, dont 3 en Gen5, du WIFI 7 et de l’USB4. De plus, avec ses 18+2+2 phases et des mosfets de 110A, elle se destine également à l’overclocking. Du lourd donc, du très très lourd, mais qui a un coût conséquent puisque la carte d’ASUS est lancée au tarif de 589.99 euros.

ASUS ROG STRIX X870E-E GAMING WIFI, grand tour préliminaire

30 septembre 2024 à 10:29

On commence la semaine avec un grand grnad tour d'une carte mère haut de gamme ASUS à destination des derniers processeurs AMD, à savoir la ROG STRIX X870E-E GAMING WIFI. Un modèle qui s'offre un équipement de dingue et que nous découvrons ce jour dans les moindres détails. Nous reviendrons sur ses performances la semaine prochaine. C'est ici : ASUS ROG STRIX X870E-E GAMING WIFI, grand tour préliminaire ou en cliquant sur la source. […]

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RazerCon 2024 : des ordinateurs portables au frais ?

30 septembre 2024 à 10:00

Le Razer Refroidisseur pour PC Portable est conçu pour maîtriser la température de son ordinateur portable, de 14 à 18 pouces, même lors des sessions de jeu les plus intenses. Avec son contrôle intelligent du ventilateur, sa chambre de pression hermétique et ses trois cadres magnétiques qui s'adaptent à une grande variété d'ordinateurs portables, ce support de refroidissement est le compagnon idéal pour les utilisateurs d'ordinateurs portables à la recherche de performances maximales, et donc d'une gestion thermique optimale. Quand le refroidissement intelligent est activé, le Razer Refroidisseur pour PC Portable ajuste automatiquement la vitesse du ventilateur en fonction de la température des composants essentiels, pour un équilibre parfait entre bruit et performance. […]

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[Maj] Avec le NF-A14x25(r) G2, Noctua passe au haut de gamme en 140 mm

30 septembre 2024 à 09:30

Grosse surprise de la part de Noctua qui nous gâte quelques semaines après le COMPUTEX en annonçant la disponibilité du ventilateur NF-A14x25r G2. Après plusieurs années de report, le ventilateur haut de gamme en 140 mm sort enfin de sa tanière et il veut frapper fort avec des performances très intéressantes sur le papier. De type cadre rond avec fixation en 120 mm, le NF-A14x25r G2 se démarque du NF-A12x25 dans la forme des pales tout en conservant l'utilisation du Sterrox, un polymère à cristaux liquides, pour apporter une grande rigidité et réduire l'écart entre les pales et le cadre. […]

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Seasonic annonce et lance ses nouvelles alimentations FOCUS GX 2024 avec design OptiSink

30 septembre 2024 à 09:25

Seasonic annonce et lance ce jour les nouvelles alimentations FOCUS GX en édition 2024 et avec design OptiSink. Des alimentations 80 Plus Gold ATX 3.1 et PCIe Gen 5.1, qui seront disponibles en 750, 850 et 1000 watts. Dans un châssis de 140 mm de profondeur, on trouve un ventilateur 135 mm semi-passif sous 30 % de charge et qui est de type FDB. Nous avons également un PCB sans câble qui intègre le DC-to-DC, des condensateurs japonais et la technologie Optiskink. […]

Lire la suite

☕️ X pourra revenir au Brésil après avoir payé une amende de 1,7 million d’euros

30 septembre 2024 à 09:59
X pourra revenir au Brésil après avoir payé une amende de 1,7 million d’euros

Le 2 septembre, la Cour suprême du Brésil confirmait la suspension du réseau social X. Une décision forte, après des mois d’opposition entre Elon Musk (patron du réseau social) et la plus haute instance judiciaire brésilienne. Nous avons déjà longuement détaillé les raisons de ce bras de fer.

En fin de semaine dernière, X affirmait avoir « répondu à toutes les exigences de la Cour suprême du Brésil et demandait la levée de sa suspension dans le pays », expliquait l’AFP en se basant sur les déclarations d’une source policière proche du dossier.

Vendredi, le juge Alexandre Moraes a refusé « de débloquer le réseau social et conditionné sa réactivation dans le pays au paiement de près d’1,7 million d’euros », ajoutent nos confrères. Ce montant est la combinaison de deux sanctions.

La première, pour avoir « ignoré pendant deux jours un ordre de désactiver un serveur qui lui avait permis de contourner temporairement son blocage le 18 septembre », quand bien même X avait expliqué que c’était la conséquence « involontaire et temporaire » d’un changement technique. La seconde, pour ne pas avoir nommé de représentant légal au mois d’août, avant la nomination à ce poste de Rachel de Oliveira Villa Nova.

Nous avons tenté d’accéder à X.com via un VPN au Brésil, sans succès. Notre connexion passait sans problème depuis d’autres pays d’Amérique latine, et depuis la France bien évidemment.

☕️ Atos : les actionnaires valident le projet de plan de sauvetage

30 septembre 2024 à 09:20
Atos : les actionnaires valident le projet de plan de sauvetage

Atos a annoncé vendredi soir (.pdf) avoir recueilli le « très large soutien » de ses actionnaires et de ses créanciers financiers autour de son projet de plan de sauvegarde accélérée, dessiné début juillet. Fort de ce suffrage, validé par les administrateurs judiciaires en charge du dossier, le groupe informatique présentera son plan le 15 octobre prochain devant le tribunal de commerce de Nanterre.

La direction espère une décision favorable sous deux semaines, qui lui permettrait d’enclencher les principales manœuvres financières du plan. Celui-ci prévoit notamment la conversion en capital de 2,9 milliards d’euros de dette, sur les 4,8 milliards d’euros de créances qui étouffent aujourd’hui la trésorerie du groupe.

Les principaux créanciers du groupe acceptent par ailleurs de soutenir une nouvelle vague de financements. Réalisée sous forme de dette et d’apport au capital, elle doit permettre d’injecter entre 1,5 et 1,675 milliard d’euros dans les finances d’Atos. Elle intègre une augmentation de capital proposée avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) aux actionnaires existants, qui se verront cependant massivement dilués à l’issue du processus.

« En parallèle, le groupe Atos a obtenu des financements intérimaires de la part de l’État, par l’intermédiaire du Fonds pour le Développement Économique et Social (FDES), de porteurs d’obligations et de créanciers bancaires, pour un montant total de 800 millions d’euros », indique le groupe dans la dernière version du document de présentation de son plan, datée du 16 septembre dernier (.pdf).

Le dossier des activités « stratégiques » d’Atos, dans la défense, la sécurité ou l’énergie, n’est pas couvert par ce projet de plan, mais il aurait lui aussi avancé. D’après Marianne, c’est finalement l’État et Thalès qui avanceraient ensemble sur le sujet.

Après l’échec des tentatives de rachat menées par le consortium Onepoint d’un côté, et la holding de Daniel Kretinsky de l’autre, c’est l’opération de la dernière chance pour Atos – 90 000 salariés dans le monde, 10,7 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2023 – dont la capitalisation boursière ne représente plus aujourd’hui que 75 millions d’euros.

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