OpenAI Has Created an AI Model For Longevity Science
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Le mois dernier, la date de lancement du jeu The First Berserker: Khazan a été dévoilée, ce sera le 27 mars prochain. C'est un jeu d'action et de rôle qui prend place dans l'univers Dungeon Fighter Online, vous incarnez le premier Berserker nommé, on vous le donne en mille, Khazan, et vous déambulez...
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
La Cour suprême vient d’affirmer [PDF] que l’interdiction de TikTok prévue par la loi votée pour ce cas particulier pouvait entrer en vigueur ce week-end. Elle rejette donc le recours de l’entreprise et de ByteDance qui affirmaient que l’interdiction violait le premier amendement.
« Il ne fait aucun doute que, pour plus de 170 millions d’Américains, TikTok offre un moyen d’expression distinctif , un moyen d’engagement et une ressource de communauté » reconnait la Cour suprême.
« Mais le Congrès a déterminé que la cession était nécessaire pour répondre à ses préoccupations de sécurité nationale bien étayées concernant les pratiques de collecte de données de TikTok et ses relations avec un adversaire étranger », affirme la Cour. Elle ajoute : « nous concluons que les dispositions contestées ne violent pas les droits du premier amendement des requérants ».
« L’arrêt de la Cour d’appel des États-Unis […] est confirmé », conclut la Cour suprême.
La Cour suprême vient d’affirmer [PDF] que l’interdiction de TikTok prévue par la loi votée pour ce cas particulier pouvait entrer en vigueur ce week-end. Elle rejette donc le recours de l’entreprise et de ByteDance qui affirmaient que l’interdiction violait le premier amendement.
« Il ne fait aucun doute que, pour plus de 170 millions d’Américains, TikTok offre un moyen d’expression distinctif , un moyen d’engagement et une ressource de communauté » reconnait la Cour suprême.
« Mais le Congrès a déterminé que la cession était nécessaire pour répondre à ses préoccupations de sécurité nationale bien étayées concernant les pratiques de collecte de données de TikTok et ses relations avec un adversaire étranger », affirme la Cour. Elle ajoute : « nous concluons que les dispositions contestées ne violent pas les droits du premier amendement des requérants ».
« L’arrêt de la Cour d’appel des États-Unis […] est confirmé », conclut la Cour suprême.
Pendant les prochains mois, un peu moins d’un million d’étudiants vont passer à la moulinette de Parcoursup. Une épreuve stressante pour les candidats et leur famille, avec une procédure pas toujours comprise. On vous explique comment ça fonctionne et les changements de cette année.
Parcoursup est la plateforme nationale de préinscription en première année de l’enseignement supérieur en France selon sa propre définition. Depuis 2018, c’est un passage quasi obligatoire pour la poursuite d’études post bac.
Le fonctionnement n’est pas toujours bien compris, parfois opaque – notamment au niveau des algorithmes, avec l’impression qu’une machine décide de notre vie – et avec des dérives de certains établissements. C’est aussi une source de stress importante pour les candidats (et les parents).
Depuis le 15 janvier, les étudiants peuvent s’inscrire et formuler des vœux, et ce, jusqu’au 13 mars. Les élèves ont ensuite jusqu’au 2 avril pour compléter leur dossier et confirmer leurs vœux. Ensuite, c’est parti pour une attente plus ou moins longue…
Le 2 juin 2025, c’est le « début de la phase principale d’admission », c’est-à-dire les premières réponses des formations (oui, non, liste d’attente). Le 11 juin débute la phase complémentaire avec la possibilité de formuler de nouveaux vœux. La phase principale d’admission se termine le 10 juillet et la phase complémentaire le 11 septembre pour ceux qui n’ont pas d’affectation en juillet.
Pour comprendre la genèse de Parcoursup, il faut remonter à Admission Post-Bac (APB) lancé à la fin des années 2000. Les candidats y faisaient des vœux avec un classement par ordre de préférence, tandis que les établissements entraient le nombre de places disponibles et les conditions d’accès aux formations.
Ensuite, une machine passait ces éléments à la moulinette de l’algorithme de Gale-Shapley, dont le but est de résoudre un problème dit de « mariages stables ». Cet algorithme est capable de proposer une solution « stable » (dans le sens équitable) aux candidats, de sorte qu’aucun n’ait l’impression de se faire avoir.
Nous n’allons pas entrer dans les détails, mais on ne peut que vous conseiller de regarder l’excellente vidéo de David Louapre (chaine YouTube Science Étonnante) sur le sujet. Elle date de 2020, mais explique en images et avec des exemples l’algorithme de Gale-Shapley, les problèmes d’APB et les débuts de Parcoursup.
Deux gros problèmes ont causé la chute d’APB : les élèves pouvaient tenter de « craquer le code » et d’optimiser le classement de leurs vœux non pas en fonction de leurs envies, mais pour renforcer leurs chances. Il y avait aussi la gestion pour le moins hasardeuse de certaines formations sous tension, c’est-à-dire avec un grand nombre de candidats. « À la mi-juillet 2017, plus de 86 000 candidats, bacheliers de l’année ou en demande de réorientation, restaient sans proposition. L’autorisation d’un tirage au sort pour l’accès à certaines filières a achevé de gripper le système », expliquait Vie Publique en octobre 2017. La CNIL était même montée au créneau pour dénoncer cette pratique.
Parcoursup est ainsi né sur les cendres d’APB, avec deux principales différences : pas de classement des vœux par les candidats (même si les choses changent, nous y reviendrons) et pas de recours au tirage au sort. Le principe de l’algorithme de Gale-Shapley reste, mais les candidats doivent valider/classer leurs vœux au fil des semaines en fonction des propositions des formations. Conséquence directe : la procédure prend des semaines, avec des allers-retours entre les formations et les candidats, autour de Parcoursup qui joue les passe-plats.