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Reçu aujourd’hui — 4 décembre 2025Actualités numériques

Bilan du business de la NAND au Q3 2025 : plus de 17 milliards de dollars pour les 5 leaders !

Comme nous le rappelions pas plus tard qu'hier avec la mésaventure qu'est en train de connaitre la marque Transcend, la NAND est elle aussi en train d'être touchée par la pénurie occasionnée par la demande gigantesque du secteur de l'IA. Ceux qui s'en frottent les mains, ce sont bien sûr les fabrica...

RAM Is So Expensive, Samsung Won't Even Sell It To Samsung

Par :BeauHD
4 décembre 2025 à 18:18
A severe spike in global DRAM prices has pushed Samsung Semiconductor to refuse a long-term RAM order from its own sibling, Samsung Electronics. The move is forcing the smartphone division into short, expensive renegotiations, which will likely mean higher costs for consumer devices. PCWorld reports: Samsung subsidiaries are, naturally, going to look to Samsung Semiconductor first when they need parts. Such was reportedly the case for Samsung Electronics, in search of memory supplies for its newest smartphones as the company ramps up production for 2026 flagship designs. But with so much RAM hardware going into new "AI" data centers -- and those companies willing to pay top dollar for their hardware -- memory manufacturers like Samsung, SK Hynix, and Micron are prioritizing data center suppliers to maximize profits. The end result, according to a report from SE Daily spotted by SamMobile, is that Samsung Semiconductor rejected the original order for smartphone DRAM chips from Samsung Electronics' Mobile Experience division. The smartphone manufacturing arm of the company had hoped to nail down pricing and supply for another year. But reports say that due to "chipflation," the phone-making division must renegotiate quarterly, with a long-term supply deal rejected by its corporate sibling. A short-term deal, with higher prices, was reportedly hammered out.

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30% of Doctors In UK Use AI Tools In Patient Consultations, Study Finds

Par :BeauHD
4 décembre 2025 à 17:17
An anonymous reader quotes a report from the Guardian: Almost three in 10 GPs in the UK are using AI tools such as ChatGPT in consultations with patients, even though it could lead to them making mistakes and being sued, a study reveals. The rapid adoption of AI to ease workloads is happening alongside a "wild west" lack of regulation of the technology, which is leaving GPs unaware which tools are safe to use. That is the conclusion of research by the Nuffield Trust thinktank, based on a survey of 2,108 family doctors by the Royal College of GPs about AI and on focus groups of GPs. Ministers hope that AI can help reduce the delays patients face in seeing a GP. The study found that more and more GPs were using AI to produce summaries of appointments with patients, assisting their diagnosis of the patient's condition and routine administrative tasks. In all, 598 (28%) of the 2,108 survey respondents said they were already using AI. More male (33%) than female (25%) GPs have used it and far more use it in well-off than in poorer areas. It is moving quickly into more widespread use. However, large majorities of GPs, whether they use it or not, worry that practices that adopt it could face "professional liability and medico-legal issues," and "risks of clinical errors" and problems of "patient privacy and data security" as a result, the Nuffield Trust's report says. [...] In a blow to ministerial hopes, the survey also found that GPs use the time it saves them to recover from the stresses of their busy days rather than to see more patients. "While policymakers hope that this saved time will be used to offer more appointments, GPs reported using it primarily for self-care and rest, including reducing overtime working hours to prevent burnout," the report adds.

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Anthropic, OpenAI, Google : entre stratégie de conquête et manœuvres financières

4 décembre 2025 à 16:58
Ils jouent à cash cash
Anthropic, OpenAI, Google : entre stratégie de conquête et manœuvres financières

Les grandes manœuvres financières se poursuivent sur le terrain de l’IA générative, avec une révélation de taille : Anthropic, éditeur de Claude, étudierait les modalités d’une introduction en bourse dès 2026. OpenAI aurait pour sa part décidé de retarder son offensive dans la publicité en ligne, en raison d’une consigne d’urgence passée par Sam Altman. Celui-ci s’inquiéterait en effet de l’accueil réservé à Gemini 3, que Google diffuse le plus largement possible…

Alors que la rumeur prête à OpenAI l’intention d’aller chercher le carburant nécessaire à sa frénésie d’investissements en bourse, l’éditeur de ChatGPT pourrait-il se faire damer le pion par son concurrent Anthropic ? C’est l’une des questions qui a animé les milieux financiers de la tech cette semaine, après que le Financial Times a révélé mercredi que la maison mère des modèles de langage Claude travaillait à la question avec son conseil, le cabinet Wilson Sonsini.

Anthropic sur le sentier de la bourse ?

À ce stade, il ne s’agit encore que de bruits de couloir, mais ces derniers résonnent assez fort pour que le quotidien britannique se risque à avancer cette éventualité d’une introduction en bourse, pour laquelle Dario Amodei et ses équipes auraient déjà sondé plusieurs grandes banques. Une autre source évoque un processus engagé dès 2026.

Du côté d’Anthropic, on répond qu’il est naturel, à ce niveau d’activités, d’étudier les différentes options stratégiques possibles, sans confirmer quoi que ce soit. « Nous n’avons pris aucune décision quant à une date ou même une éventuelle ouverture [du capital, ndlr] au public, et nous n’avons aucune information à partager pour le moment », indique un porte-parole.

L’entrée en bourse d’Anthropic constituerait à n’en pas douter une opération d’un montant record, d’où l’attention particulière accordée au sujet. Le dernier tour de financement réalisé par l’entreprise, mi-novembre, portait sur 15 milliards de dollars, amenés par NVIDIA et Microsoft, en échange de promesses d’achat de composants et de services cloud, conformément à la logique d’engagements circulaires qui semble désormais prévaloir dans le secteur.

Cet accord tripartite a été conclu, estime le FT, sur la base d’une capitalisation comprise entre 300 et 350 milliards de dollars pour Anthropic. Une introduction en bourse signifierait une nouvelle révision à la hausse de cette valorisation, sur un marché dont la dimension spéculative et les montages financiers hasardeux font redouter à certains l’éclatement à venir d’une bulle de l’IA…

L’entrée, à Wall Street, des deux pure players les plus emblématiques du secteur déplacerait par ailleurs leur rivalité vers un nouveau terrain de jeu, purement financier cette fois. De quoi, sans doute, soutenir un phénomène à venir de concentration dans le secteur.

Anthropic vient à ce sujet d’annoncer l’acquisition de Bun, éditeur d’un framework JavaScript open source qui sous-tend déjà le fonctionnement de certains composants de Claude Code. Reste à savoir pourquoi Anthropic n’a pas fait créer un fork de Bun à son IA, si cette dernière est si performante, s’interroge un internaute taquin.

« Code rouge » autour de ChatGPT chez OpenAI

En attendant, la bataille se joue à l’échelle commerciale bien sûr – comme en témoignent les nombreux accords annoncés entre acteurs de l’IA et poids lourds des pans plus traditionnels de l’économie –, mais aussi technique. Et sur ce point, c’est Google qui semble avoir pris l’avantage, au moins temporairement, avec la sortie de Gemini 3 Pro, dont les performances sont globalement saluées.

En matière de communication, Google s’est d’ailleurs trouvé un allié de poids, en la personne de Marc Benioff, CEO de Salesforce, qui a littéralement encensé Gemini 3 le 23 novembre dernier : « Bordel de merde. J’utilise ChatGPT tous les jours depuis 3 ans. Je viens de passer deux heures sur Gemini 3. Je ne reviendrai pas en arrière ».

Marc Benioff, VRP pas super élégant mais très efficace de Gemini 3 – capture d’écran Next

Le succès de Gemini 3 n’a pas laissé Sam Altman indifférent, c’est peu de le dire. Dans un mémo interne, envoyé lundi 1ᵉʳ décembre aux équipes d’OpenAI et révélé par The Information, le patron d’OpenAI a annoncé un « code rouge », face à ce qu’il considère comme une « situation critique » pour ChatGPT. L’alerte se traduirait par un focus accru sur le développement produit de ChatGPT, quitte à retarder ou abandonner certains projets connexes.

« Notre priorité est désormais de continuer à améliorer ChatGPT, de poursuivre sa croissance et d’étendre son accessibilité à travers le monde, tout en le rendant encore plus intuitif et personnalisé », a souligné publiquement Nick Tuley, patron de ChatGPT chez OpenAI, tout en se réjouissant des résultats accomplis au cours de ces trois premières années de mise à disposition au public.

De la pub dans ChatGPT… mais quand ?

Le code rouge prononcé par Sam Altman pourrait avoir un effet sur un des sujets les plus stratégiques qui soient pour OpenAI : la monétisation via la publicité. D’après The Information, l’intégration de publicités au sein de ChatGPT ferait en effet partie des dossiers sortis du haut de la pile, alors même que l’entreprise a besoin de justifier de revenus en hausse pour soutenir sa recherche de financements.

OpenAI n’a pas communiqué publiquement sur ses velléités en matière de publicités, mais une confirmation de ses travaux sur le sujet a fait surface fin novembre. Des internautes ont effet découvert, au sein d’une bêta de l’application Android de ChatGPT, des mentions à l’intitulé explicitement rattaché à l’affichage de réclames, telles que ads feature, bazaar content, search ad, ou search ads carousel.

Le sujet n’est pas trivial : pour être efficace, la réclame au sein de ChatGPT devra en effet être contextualisée soit en fonction des requêtes de l’utilisateur (ce qui pose des questions de neutralité dans la génération de la réponse), soit en fonction de la connaissance qu’a le modèle de l’utilisateur (et donc d’éléments relevant de sa vie privée).

Google ouvre les vannes sur Gemini 3, puis les referme (un peu)

S’il y en a dont les projets en la matière seront scrutés de près, c’est bien sûr Google, qui dispose avec son moteur de recherche, Android et Chrome, de multiples points de contact pour toucher l’internaute et lui dispenser des services d’IA générative financés par la publicité.

Et Google semble bien décidée à accélérer la conquête de nouveaux utilisateurs. Si OpenAI caracole en tête en revendiquant 800 millions d’utilisateurs par semaine sur ChatGPT, Google est de son côté de 450 millions à 650 millions d’utilisateurs actifs mensuels, selon les déclarations d’Alphabet lors de la présentation de ses derniers résultats financiers.

Pour continuer sur cette lancée, Google joue la carte de la synergie. Les abonnés à l’offre de stockage cloud Google One Premium ont ainsi reçu cette semaine une invitation à profiter sans surcoût des avantages de l’abonnement AI Plus, qui intègre un accès plus généreux à Gemini 3 Pro et Nano Banana pour les images. La dernière version du modèle s’est également invitée dans l’AI Mode, l’agent conversationnel de recherche de Google (encore non disponible en France) qui constitue une alternative à la traditionnelle liste de liens.

Problème : gagner des utilisateurs coûte cher, et tous ne basculent pas vers des formules payantes, ce qui conduit dans le même temps Google, comme OpenAI, à limiter en volume les possibilités offertes en version gratuite. Chez OpenAI, c’est au niveau de Sora, le modèle de génération vidéo, que la barre est abaissée à six requêtes par jour, contre trente précédemment. « Nos cartes graphiques surchauffent, et nous voulons permettre au plus grand nombre de personnes possible d’accéder à Sora ! », explique Bill Peebles, patron de Sora, dans un message du 28 novembre.

La veille, Google avait procédé à un mouvement similaire, en réduisant les paliers d’utilisation gratuite de Gemini 3 Pro et de Nano Banana.

☕️ La Russie bloque FaceTime, l’outil d’Apple servirait aux terroristes

4 décembre 2025 à 16:33

La Russie bloque désormais les communications FaceTime sur les appareils Apple, principalement l’iPhone. FaceTime permet pour rappel des communications (réellement) chiffrées de bout en bout entre appareils frappés d’une pomme.

La nouvelle a été retransmise il y a quelques heures par Reuters, qui en a obtenu confirmation par l’agence Roskomnadzor, régulateur des télécommunications en Russie. Contactée par nos confrères, l’agence a répondu : « Selon les agences de maintien de l’ordre, FaceTime est utilisé pour organiser et mener des attaques terroristes dans le pays, recruter des auteurs et commettre des fraudes et d’autres crimes contre des citoyens russes ». Roskomnadzor n’a pas élaboré.

Toujours selon Reuters, les symptômes ont commencé aujourd’hui même. Bien qu’Apple ne vende plus ses produits depuis l’attaque contre l’Ukraine (la page officielle russe renvoie directement au support technique), de nombreux iPhone restent en circulation. Mais depuis peu, les appels FaceTime échouent, l’application indiquant « Utilisateur indisponible ». Selon un témoignage, la demande d’appel est bien émise, mais le contact ne s’établit pas une fois la communication acceptée.

Le blocage de FaceTime n’est que la dernière décision en date de la Russie contre les technologies occidentales. Au cours des trois dernières années, de nombreux services ont été concernés, avec par exemple Instagram dès mars 2022. En aout, on apprenait que l’agence Roskomnadzor avait annoncé le blocage partiel des appels sur WhatsApp et Telegram, et que le magasin d’applications RuStore devenait obligatoire sur les nouveaux smartphones.

RuStore a été développé par VK, l’entreprise russe possédant le réseau social du même nom, ce dernier ayant été créé par Pavel Durov, également fondateur de Telegram. La même entreprise a développé la messagerie Max, que le gouvernement russe met largement en avant désormais. Selon Reuters, de nombreuses critiques se sont élevées pour dénoncer un outil de surveillance des citoyens russes, accusations réfutées par la presse d’État.

Anthropic, OpenAI, Google : entre stratégie de conquête et manœuvres financières

4 décembre 2025 à 16:58
Ils jouent à cash cash
Anthropic, OpenAI, Google : entre stratégie de conquête et manœuvres financières

Les grandes manœuvres financières se poursuivent sur le terrain de l’IA générative, avec une révélation de taille : Anthropic, éditeur de Claude, étudierait les modalités d’une introduction en bourse dès 2026. OpenAI aurait pour sa part décidé de retarder son offensive dans la publicité en ligne, en raison d’une consigne d’urgence passée par Sam Altman. Celui-ci s’inquiéterait en effet de l’accueil réservé à Gemini 3, que Google diffuse le plus largement possible…

Alors que la rumeur prête à OpenAI l’intention d’aller chercher le carburant nécessaire à sa frénésie d’investissements en bourse, l’éditeur de ChatGPT pourrait-il se faire damer le pion par son concurrent Anthropic ? C’est l’une des questions qui a animé les milieux financiers de la tech cette semaine, après que le Financial Times a révélé mercredi que la maison mère des modèles de langage Claude travaillait à la question avec son conseil, le cabinet Wilson Sonsini.

Anthropic sur le sentier de la bourse ?

À ce stade, il ne s’agit encore que de bruits de couloir, mais ces derniers résonnent assez fort pour que le quotidien britannique se risque à avancer cette éventualité d’une introduction en bourse, pour laquelle Dario Amodei et ses équipes auraient déjà sondé plusieurs grandes banques. Une autre source évoque un processus engagé dès 2026.

Du côté d’Anthropic, on répond qu’il est naturel, à ce niveau d’activités, d’étudier les différentes options stratégiques possibles, sans confirmer quoi que ce soit. « Nous n’avons pris aucune décision quant à une date ou même une éventuelle ouverture [du capital, ndlr] au public, et nous n’avons aucune information à partager pour le moment », indique un porte-parole.

L’entrée en bourse d’Anthropic constituerait à n’en pas douter une opération d’un montant record, d’où l’attention particulière accordée au sujet. Le dernier tour de financement réalisé par l’entreprise, mi-novembre, portait sur 15 milliards de dollars, amenés par NVIDIA et Microsoft, en échange de promesses d’achat de composants et de services cloud, conformément à la logique d’engagements circulaires qui semble désormais prévaloir dans le secteur.

Cet accord tripartite a été conclu, estime le FT, sur la base d’une capitalisation comprise entre 300 et 350 milliards de dollars pour Anthropic. Une introduction en bourse signifierait une nouvelle révision à la hausse de cette valorisation, sur un marché dont la dimension spéculative et les montages financiers hasardeux font redouter à certains l’éclatement à venir d’une bulle de l’IA…

L’entrée, à Wall Street, des deux pure players les plus emblématiques du secteur déplacerait par ailleurs leur rivalité vers un nouveau terrain de jeu, purement financier cette fois. De quoi, sans doute, soutenir un phénomène à venir de concentration dans le secteur.

Anthropic vient à ce sujet d’annoncer l’acquisition de Bun, éditeur d’un framework JavaScript open source qui sous-tend déjà le fonctionnement de certains composants de Claude Code. Reste à savoir pourquoi Anthropic n’a pas fait créer un fork de Bun à son IA, si cette dernière est si performante, s’interroge un internaute taquin.

« Code rouge » autour de ChatGPT chez OpenAI

En attendant, la bataille se joue à l’échelle commerciale bien sûr – comme en témoignent les nombreux accords annoncés entre acteurs de l’IA et poids lourds des pans plus traditionnels de l’économie –, mais aussi technique. Et sur ce point, c’est Google qui semble avoir pris l’avantage, au moins temporairement, avec la sortie de Gemini 3 Pro, dont les performances sont globalement saluées.

En matière de communication, Google s’est d’ailleurs trouvé un allié de poids, en la personne de Marc Benioff, CEO de Salesforce, qui a littéralement encensé Gemini 3 le 23 novembre dernier : « Bordel de merde. J’utilise ChatGPT tous les jours depuis 3 ans. Je viens de passer deux heures sur Gemini 3. Je ne reviendrai pas en arrière ».

Marc Benioff, VRP pas super élégant mais très efficace de Gemini 3 – capture d’écran Next

Le succès de Gemini 3 n’a pas laissé Sam Altman indifférent, c’est peu de le dire. Dans un mémo interne, envoyé lundi 1ᵉʳ décembre aux équipes d’OpenAI et révélé par The Information, le patron d’OpenAI a annoncé un « code rouge », face à ce qu’il considère comme une « situation critique » pour ChatGPT. L’alerte se traduirait par un focus accru sur le développement produit de ChatGPT, quitte à retarder ou abandonner certains projets connexes.

« Notre priorité est désormais de continuer à améliorer ChatGPT, de poursuivre sa croissance et d’étendre son accessibilité à travers le monde, tout en le rendant encore plus intuitif et personnalisé », a souligné publiquement Nick Tuley, patron de ChatGPT chez OpenAI, tout en se réjouissant des résultats accomplis au cours de ces trois premières années de mise à disposition au public.

De la pub dans ChatGPT… mais quand ?

Le code rouge prononcé par Sam Altman pourrait avoir un effet sur un des sujets les plus stratégiques qui soient pour OpenAI : la monétisation via la publicité. D’après The Information, l’intégration de publicités au sein de ChatGPT ferait en effet partie des dossiers sortis du haut de la pile, alors même que l’entreprise a besoin de justifier de revenus en hausse pour soutenir sa recherche de financements.

OpenAI n’a pas communiqué publiquement sur ses velléités en matière de publicités, mais une confirmation de ses travaux sur le sujet a fait surface fin novembre. Des internautes ont effet découvert, au sein d’une bêta de l’application Android de ChatGPT, des mentions à l’intitulé explicitement rattaché à l’affichage de réclames, telles que ads feature, bazaar content, search ad, ou search ads carousel.

Le sujet n’est pas trivial : pour être efficace, la réclame au sein de ChatGPT devra en effet être contextualisée soit en fonction des requêtes de l’utilisateur (ce qui pose des questions de neutralité dans la génération de la réponse), soit en fonction de la connaissance qu’a le modèle de l’utilisateur (et donc d’éléments relevant de sa vie privée).

Google ouvre les vannes sur Gemini 3, puis les referme (un peu)

S’il y en a dont les projets en la matière seront scrutés de près, c’est bien sûr Google, qui dispose avec son moteur de recherche, Android et Chrome, de multiples points de contact pour toucher l’internaute et lui dispenser des services d’IA générative financés par la publicité.

Et Google semble bien décidée à accélérer la conquête de nouveaux utilisateurs. Si OpenAI caracole en tête en revendiquant 800 millions d’utilisateurs par semaine sur ChatGPT, Google est de son côté de 450 millions à 650 millions d’utilisateurs actifs mensuels, selon les déclarations d’Alphabet lors de la présentation de ses derniers résultats financiers.

Pour continuer sur cette lancée, Google joue la carte de la synergie. Les abonnés à l’offre de stockage cloud Google One Premium ont ainsi reçu cette semaine une invitation à profiter sans surcoût des avantages de l’abonnement AI Plus, qui intègre un accès plus généreux à Gemini 3 Pro et Nano Banana pour les images. La dernière version du modèle s’est également invitée dans l’AI Mode, l’agent conversationnel de recherche de Google (encore non disponible en France) qui constitue une alternative à la traditionnelle liste de liens.

Problème : gagner des utilisateurs coûte cher, et tous ne basculent pas vers des formules payantes, ce qui conduit dans le même temps Google, comme OpenAI, à limiter en volume les possibilités offertes en version gratuite. Chez OpenAI, c’est au niveau de Sora, le modèle de génération vidéo, que la barre est abaissée à six requêtes par jour, contre trente précédemment. « Nos cartes graphiques surchauffent, et nous voulons permettre au plus grand nombre de personnes possible d’accéder à Sora ! », explique Bill Peebles, patron de Sora, dans un message du 28 novembre.

La veille, Google avait procédé à un mouvement similaire, en réduisant les paliers d’utilisation gratuite de Gemini 3 Pro et de Nano Banana.

☕️ La Russie bloque FaceTime, l’outil d’Apple servirait aux terroristes

4 décembre 2025 à 16:33

La Russie bloque désormais les communications FaceTime sur les appareils Apple, principalement l’iPhone. FaceTime permet pour rappel des communications (réellement) chiffrées de bout en bout entre appareils frappés d’une pomme.

La nouvelle a été retransmise il y a quelques heures par Reuters, qui en a obtenu confirmation par l’agence Roskomnadzor, régulateur des télécommunications en Russie. Contactée par nos confrères, l’agence a répondu : « Selon les agences de maintien de l’ordre, FaceTime est utilisé pour organiser et mener des attaques terroristes dans le pays, recruter des auteurs et commettre des fraudes et d’autres crimes contre des citoyens russes ». Roskomnadzor n’a pas élaboré.

Toujours selon Reuters, les symptômes ont commencé aujourd’hui même. Bien qu’Apple ne vende plus ses produits depuis l’attaque contre l’Ukraine (la page officielle russe renvoie directement au support technique), de nombreux iPhone restent en circulation. Mais depuis peu, les appels FaceTime échouent, l’application indiquant « Utilisateur indisponible ». Selon un témoignage, la demande d’appel est bien émise, mais le contact ne s’établit pas une fois la communication acceptée.

Le blocage de FaceTime n’est que la dernière décision en date de la Russie contre les technologies occidentales. Au cours des trois dernières années, de nombreux services ont été concernés, avec par exemple Instagram dès mars 2022. En aout, on apprenait que l’agence Roskomnadzor avait annoncé le blocage partiel des appels sur WhatsApp et Telegram, et que le magasin d’applications RuStore devenait obligatoire sur les nouveaux smartphones.

RuStore a été développé par VK, l’entreprise russe possédant le réseau social du même nom, ce dernier ayant été créé par Pavel Durov, également fondateur de Telegram. La même entreprise a développé la messagerie Max, que le gouvernement russe met largement en avant désormais. Selon Reuters, de nombreuses critiques se sont élevées pour dénoncer un outil de surveillance des citoyens russes, accusations réfutées par la presse d’État.

Une carte mère avec à la fois des slots DDR5 et DDR4 ? Nous sommes bien fin 2025, et ASRock lance sa H610M COMBO

Il y a parfois des OVNI qui sont lancés par les marques de hardware. Ces produits soit que l'on n'attendait pas, soit pour lesquels ont se dit "OK, mais pourquoi maintenant ?". C'est à cette catégorie qu'appartient plutôt l'ASRock H610M COMBO dont nous allons parler dans cette brève.Comme son nom l'...

Subaru Owners Are Ticked About In-Car Pop-Up Ads For SiriusXM

Par :BeauHD
4 décembre 2025 à 16:16
Subaru owners are reporting full-screen SiriusXM pop-up ads appearing on their infotainment systems while driving -- sometimes even overriding Apple CarPlay. Subaru says the ads appear only twice a year, but frustrated drivers argue the practice is distracting, unsafe, and a sign of an industry trend that's likely to get worse. The Drive reports: At least one 2024 Crosstrek owner reported that the pop-up took over their screen even though they were using Apple CarPlay. To force-close an application that's in use, solely for the sake of in-car advertising, is especially egregious. [The following Subaru owner complaints to the National Highway Traffic Safety Administration reiterate that point...] The Drive reached out to Subaru for comment on the marketing tactics. A company spokesperson responded, "We will discuss those messages in an upcoming meeting and will always consider customer feedback. This is the first we've heard of any issue. Those messages occur only twice a year, around Memorial Day and Thanksgiving, to alert customers that all channels are available to them for about two weeks." Reddit posts dating back as far as 2023 show owners complaining about in-car notifications.

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Bon Plan : The Darkside Detective offert par Epic Games

4 décembre 2025 à 16:10

Le jeu The Darkside Detective est offert par le store d'Epic Games, le titre sent bon l'ambiance old-school et le pixel. Enfilez votre imper, activez votre sixième sens et rejoignez les rangs de la Division du Côté Obscur afin d'enquêter sur les événements totalement étranges, carrément dangereux et légèrement perturbants qui entourent Twin Lakes. L'ajout se passe ici, durant les sept prochains jours. […]

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Quelles sont les solutions d'impression qui transforment le quotidien des entrepriseset#8201;?

4 décembre 2025 à 15:59

Force est de constater que l'impression en entreprise n'a pas disparu avec l'essor du numérique. Elle s'est juste transformée. En effet, les solutions modernes ne se contentent plus d'imprimeret#8201;; elles orchestrent, sécurisent et optimisent l'ensemble de la chaîne documentaire. L'impression, un maillon clé du fonctionnement des entreprises Malgré les promesses du «et#8201;zéro papieret#8201;», l'impression reste incontournable. Que ce soit pour les devis clients, les contrats commerciaux, les factures comptables et les documents RHet#8201;; la paperasse conserve une place stratégique dans le fonctionnement quotidien des entreprises. Certains secteurs comme le juridique, la santé ou le BTP s'appuient même massivement sur le support physique pour des raisons réglementaires ou pratiques. Les impératifs comme la mobilité, la sécurité des données, la traçabilité et la conformité au RGPD ont modifié les attentes avec le temps. Moderniser son parc d'impression permet désormais de gagner en fluidité opérationnelle, en réactivité et en maîtrise des coûts. Les entreprises recherchent aujourd'hui des solutions connectées et intelligentes qui sont capables de s'intégrer dans leurs écosystèmes numériques. L'impression devient un service géré et pas une contrainte technique. […]

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NVIDIA restaure la prise en charge du PhysX 32-bit avec les RTX 5000

4 décembre 2025 à 15:51

Nvidia a récemment confirmé que ses cartes graphiques de la série RTX 5000 ne prendront plus en charge PhysX en 32 bits, une technologie autrefois incontournable pour la gestion des effets physiques dans les jeux. Introduit dans les années 2000 et racheté par Nvidia après l'acquisition d'Ageia, PhysX permettait de déléguer les calculs physiques du CPU vers le GPU pour des effets plus réalistes, comme la gestion des fluides, des vêtements ou des particules. Certains Gamers utilisaient même une petite carte graphique dédiée au PhysX en plus de la carte graphique principale du PC. Mais vous savez quoi, c'était il y a tellement longtemps que je ne me souviens même plus de la petite carte que j'avais ajouté au PC, une GT 210 peut être ? Si cela se trouve, on faisait même SLI + carte dédiée PhysX, surement avec des Raptor en RAID 0, la belle époque. […]

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Orico PTM : des docks orignaux avec SSD M.2 extractible

4 décembre 2025 à 16:56

Le dock Orico PTM ont été repérés par Popol pour l’originalité de leur approche. C’est en effet un dock rêvé pour les plus nomades qui vont avoir besoin de déplacer beaucoup de données. 

Orico PTM2

Orico PTM2

L’idée est toute simple, les docks Orico PTM proposent les fonctions habituelles d’un appareil de ce type. Ils se connecteront à un ordinateur en USB 3.2 Gen2 Type-C. Et délivreront la panoplie classique de connecteurs : USB, HDMI, Ethernet, alimentation… Avec une petite différence toutefois, suivant le modèle choisi, ces docks proposeront un support de stockage M.2 extractible. Le Orico PTM1 embarquera un de ces élément. Le Orico PTM2 en proposera… deux. 

Chaque support extractible permettra d’intégrer un stockage M.2 2230 à 2280 en SATA ou en NVMe. Il suffira de relier le SSD à un autre appareil grâce à un câble USB Type-C pour déplacer des données. Une fois rentré, face à son bureau, on pourra monter le SSD très simplement dans le dock et parcourir les éléments. Pratique pour faire voyager beaucoup de données, pour travailler en mobilité ou en mode sédentaire sur les mêmes éléments également.

Orico PTM1

Orico PTM1

Le petit boîtier pourra piloter un réseau Ethernet Gigabit, deux affichages HDMI, plusieurs éléments USB et même alimenter un portable en 60 watts via Power delivery 3.0. 

Orico PTM2

Orico PTM2

A l’arrière des Orico PTM on peut noter la présence de boutons permettant d’éjecter les SSD. Attention, le dock est ventilé activement avec une solution de petite taille qui pourrait provoquer des nuisances. Surtout si vous intégrez des SSD haut de gamme très rapides. La connexion n’est pas en USB4 ou Thunderbolt, les débits ne seront donc pas exceptionnels pour des usages multimédia.

Orico PTM1

Orico PTM1

Autre détail, le dock mono SSD du Orico PTM1 avec un seul SSD propose un port jack audio combo 3.5 mm et un bouton de volume en façade alors que le Orico PTM2 n’en a pas. Son alimentation Power Delivery est par ailleurs plus performante avec 100 W au lieu de 65. Enfin il ne prend en charge qu’une seule sortie HDMI.

Question tarifs, le Dock Orico PTM1 est disponible sur Amazon à 149.99€ tandis que le PTM2 est à 189.99€. Sur AliExpress depuis la boutique de la marque, il est vendu à 132.99€ en version simple et 151.99€ en version double.

Orico PTM : des docks orignaux avec SSD M.2 extractible © MiniMachines.net. 2025

Bon Plan : Jeu PC Jackbox Party Pack 4 offert sur EPIC

4 décembre 2025 à 16:32

Jackbox Party Pack 4 est un ensemble de jeux comprenant : 

  1. La suite hilarante de la série Fibbage (Fibbage 3) (2 à 8 joueurs). Jouez avec les types de questions entièrement nouveaux et le mode de jeu Fibbage : Enough About You (3 à 8 joueurs). Devinez des faits bizarres au sujet de vos amis.
  2. Le jeu sur Internet Survive the Internet (3 à 8 joueurs). Détournez les commentaires « en ligne » de vos amis de manière hilarante.
  3. L’effrayant jeu de marathons de rendez-vous galants Monster Seeking Monster (3 à 7 joueurs). Envoyez des messages à des monstres comme vous avec des pouvoirs spéciaux et rencontrez-les lors de rendez-vous.
  4. Le match de débat fou Bracketeering (3 à 16 joueurs). Faites des paris intelligents sur des querelles stupides.
  5. Le jeu de surenchère artistique Civic Doodle (3 à 8 joueurs). Participez à un concours d’amélioration des peintures murales de la ville

Dispo gratuitement sur EPIC

PEGI 12 – Audio et Texte en Anglais – Windows et MacOS

Retrouvez tous mes bons plans sur Mistermatos.com

Bon Plan : Jeu PC Jackbox Party Pack 4 offert sur EPIC © MiniMachines.net. 2025

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