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Aujourd’hui — 18 avril 2025Actualités numériques

Publicité en ligne : Google a bien construit un monopole selon la justice étasunienne

18 avril 2025 à 11:09
Publicité en ligne : Google a bien construit un monopole selon la justice étasunienne

Un tribunal américain a jugé que Google avait bien créé illégalement un monopole sur le marché de la publicité en ligne. L’entreprise a enfreint les lois américaines sur la concurrence en « l’acquisition et le maintien délibérés d’un pouvoir de monopole ». Les conséquences seront décidées dans un second temps, mais Google pourrait se voir obligée de se séparer de plusieurs services liés à la publicité.

Après avoir, pendant des années, construit un empire du web, Google fait maintenant face aux conséquences devant la justice étasunienne. En aout 2024, la justice américaine concluait que l’entreprise détenait un monopole sur la recherche en ligne. Ce jeudi 16 avril, elle a aussi estimé que Google s’était créé un monopole du marché de la publicité en ligne.

Les conséquences de ces deux décisions pourraient aboutir à un démantèlement de la société imposé par la justice. Du côté de la recherche en ligne, des pistes ont déjà été envisagées et la décision est prévue pour aout prochain.

Concernant le marché de la publicité en ligne, l’entreprise pourrait être forcée de se séparer d’outils de gestion des publicités en ligne. Dans le viseur figure notamment Google Ad Manager qui a rassemblé en 2018 les outils DoubleClick for Publishers (DFP) et DoubleClick Ad Exchange (AdX). Mais d’autres options sont possibles comme l’obligation de séparer de nouveau DFP et AdX pour permettre l’interopérabilité avec d’autres outils.

Une construction délibérée d’un monopole

Dans l’explication de sa décision [PDF], la juge Leonie M. Brinkema estime que Google a acquis et maintenu « délibérément un pouvoir monopolistique » sur le marché des serveurs pour annonceurs et celui des échanges pour la publicité sur le web.

Elle n’a, par contre, pas retenu l’accusation faite par le ministère de la Justice américain de construction d’un monopole sur le marché des réseaux d’outils d’affichage de publicité pour les annonceurs. Elle n’a tout bonnement pas considéré que ce marché existait à lui seul.

« Google a renforcé son pouvoir de monopole en imposant des politiques anticoncurrentielles à ses clients et en éliminant des caractéristiques souhaitables de ses produits », explique-t-elle dans ses conclusions. Elle ajoute qu’ « en plus de priver les rivaux de leur capacité de la concurrencer, ce comportement d’exclusion a porté un préjudice considérable aux éditeurs clients de Google, au processus concurrentiel et, en fin de compte, aux consommateurs d’informations sur le web ».

Une victoire historique pour l’accusation, un match nul selon Google

C’est « une victoire historique dans la lutte en cours pour empêcher Google de monopoliser la place publique numérique », pour la procureure général des États-Unis, Pamela Bondi, citée par Reuters.

Du côté de Google, l’entreprise affirme ne pas avoir tout perdu dans cette affaire. « Nous avons gagné la moitié de cette affaire et nous ferons appel pour l’autre moitié. La Cour a estimé que nos outils pour les annonceurs et nos acquisitions, telles que DoubleClick, ne nuisent pas à la concurrence », estime la vice-présidente de l’entreprise, Lee-Anne Mulholland. Elle ajoute : « Nous ne sommes pas d’accord avec la décision de la Cour concernant nos outils pour les éditeurs. Les éditeurs ont de nombreuses options et ils choisissent Google parce que nos outils publicitaires sont simples, abordables et efficaces ».

Concernant l’acquisition de DoubleClick, la juge Leonie M. Brinkema affirme pourtant dans l’explication de sa décision qu’ « en renforçant son activité tournée vers les éditeurs grâce à l’acquisition de DoubleClick, Google a pu établir une position dominante des deux côtés de la pile de technologies publicitaires ».

Publicité en ligne : Google a bien construit un monopole selon la justice étasunienne

18 avril 2025 à 11:09
Publicité en ligne : Google a bien construit un monopole selon la justice étasunienne

Un tribunal américain a jugé que Google avait bien créé illégalement un monopole sur le marché de la publicité en ligne. L’entreprise a enfreint les lois américaines sur la concurrence en « l’acquisition et le maintien délibérés d’un pouvoir de monopole ». Les conséquences seront décidées dans un second temps, mais Google pourrait se voir obligée de se séparer de plusieurs services liés à la publicité.

Après avoir, pendant des années, construit un empire du web, Google fait maintenant face aux conséquences devant la justice étasunienne. En aout 2024, la justice américaine concluait que l’entreprise détenait un monopole sur la recherche en ligne. Ce jeudi 16 avril, elle a aussi estimé que Google s’était créé un monopole du marché de la publicité en ligne.

Les conséquences de ces deux décisions pourraient aboutir à un démantèlement de la société imposé par la justice. Du côté de la recherche en ligne, des pistes ont déjà été envisagées et la décision est prévue pour aout prochain.

Concernant le marché de la publicité en ligne, l’entreprise pourrait être forcée de se séparer d’outils de gestion des publicités en ligne. Dans le viseur figure notamment Google Ad Manager qui a rassemblé en 2018 les outils DoubleClick for Publishers (DFP) et DoubleClick Ad Exchange (AdX). Mais d’autres options sont possibles comme l’obligation de séparer de nouveau DFP et AdX pour permettre l’interopérabilité avec d’autres outils.

Une construction délibérée d’un monopole

Dans l’explication de sa décision [PDF], la juge Leonie M. Brinkema estime que Google a acquis et maintenu « délibérément un pouvoir monopolistique » sur le marché des serveurs pour annonceurs et celui des échanges pour la publicité sur le web.

Elle n’a, par contre, pas retenu l’accusation faite par le ministère de la Justice américain de construction d’un monopole sur le marché des réseaux d’outils d’affichage de publicité pour les annonceurs. Elle n’a tout bonnement pas considéré que ce marché existait à lui seul.

« Google a renforcé son pouvoir de monopole en imposant des politiques anticoncurrentielles à ses clients et en éliminant des caractéristiques souhaitables de ses produits », explique-t-elle dans ses conclusions. Elle ajoute qu’ « en plus de priver les rivaux de leur capacité de la concurrencer, ce comportement d’exclusion a porté un préjudice considérable aux éditeurs clients de Google, au processus concurrentiel et, en fin de compte, aux consommateurs d’informations sur le web ».

Une victoire historique pour l’accusation, un match nul selon Google

C’est « une victoire historique dans la lutte en cours pour empêcher Google de monopoliser la place publique numérique », pour la procureure général des États-Unis, Pamela Bondi, citée par Reuters.

Du côté de Google, l’entreprise affirme ne pas avoir tout perdu dans cette affaire. « Nous avons gagné la moitié de cette affaire et nous ferons appel pour l’autre moitié. La Cour a estimé que nos outils pour les annonceurs et nos acquisitions, telles que DoubleClick, ne nuisent pas à la concurrence », estime la vice-présidente de l’entreprise, Lee-Anne Mulholland. Elle ajoute : « Nous ne sommes pas d’accord avec la décision de la Cour concernant nos outils pour les éditeurs. Les éditeurs ont de nombreuses options et ils choisissent Google parce que nos outils publicitaires sont simples, abordables et efficaces ».

Concernant l’acquisition de DoubleClick, la juge Leonie M. Brinkema affirme pourtant dans l’explication de sa décision qu’ « en renforçant son activité tournée vers les éditeurs grâce à l’acquisition de DoubleClick, Google a pu établir une position dominante des deux côtés de la pile de technologies publicitaires ».

Painkiller se montre plus via un trailer, un Doomlike sous Unreal Engine qui renaît de ses cendres

Painkiller était un FPS bourrin dans un univers coincé entre les forces du Bien et du Mal. Vous incarniez Daniel Garner, vous deviez en gros renvoyer tous les démons au purgatoire, et surtout quatre chefs de l'armée de Lucifer. Après avoir eu un accident mortel avec votre chérie, un messager du Para...

LVFS/Fwupd Is Hoping To Encourage More Hardware Vendors To Provide Financial Backing

18 avril 2025 à 10:33
The Linux Vendor Firmware Service (LVFS) with the Fwupd client makes it wonderfully easy to enjoy seamless system UEFI and device/peripheral firmware updates under Linux. LVFS is backed by a growing number of major OEMs/ODMs and serves up millions of firmware files. But they are in need of more financial resources from the biggest hardware vendors...

G.SKILL Trident Z5 NEO RGB 2x16 Go 6000 MT/s C26, on réduit la latence

18 avril 2025 à 10:04

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En pleine épidémie d’infox, les États-Unis ferment leur unité anti-désinformation

18 avril 2025 à 10:03
Fake America Great Again
En pleine épidémie d’infox, les États-Unis ferment leur unité anti-désinformation

Un sous-secrétaire d’État complotiste de l’administration Trump vient d’annoncer la fermeture du service de lutte contre la manipulation de l’information et les ingérences étrangères. Et ce, alors qu’un sondage révèle « une croyance généralisée dans les fausses informations » de la part des citoyens états-uniens. Au point que 20 % croient que les vaccins ont fait plus de morts que la Covid-19, et qu’un peu moins de la moitié ne sont « pas sûr » de savoir si cette affirmation est vraie, ou pas.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio vient d’annoncer, ce mercredi 16 avril, la fermeture de la seule agence fédérale américaine qui traquait et contrait la désinformation en provenance des pays étrangers, rapporte l’AFP.

La fermeture du Counter Foreign Information Manipulation and Interference (R/FIMI, pour « service de lutte contre la manipulation de l’information et les ingérences étrangères ») a été justifiée par la nécessité de « défendre la liberté d’expression des Américains ».

« Sous l’administration précédente, ce service, qui coûtait aux contribuables plus de 50 millions de dollars par an, a dépensé des millions de dollars pour faire taire et censurer activement les voix des Américains qu’il était censé servir », a accusé M. Rubio dans un communiqué.

En fermant le R/FIMI, le controversé sous-secrétaire intérimaire du ministère, Darren Beattie, « offre une victoire importante aux critiques conservateurs qui ont allégué qu’il censurait les voix conservatrices », estime la MIT Technology Review.

Darren Beattie, qui avait été renvoyé de la première administration Trump pour avoir assisté à une conférence sur le nationalisme blanc, a depuis suggéré que le FBI avait organisé l’attaque du 6 janvier contre le Congrès, déclaré que défendre Taïwan contre la Chine ne valait pas la peine, et laissé entendre que la communauté du renseignement des États-Unis était plus susceptible que l’Iran d’être à l’origine des tentatives d’assassinat contre Donald Trump.

En octobre 2024, Darren Beattie avait aussi tweeté que « les hommes blancs compétents doivent être aux commandes si l’on veut que les choses fonctionnent. Malheureusement, toute notre idéologie nationale est fondée sur le fait de dorloter les sentiments des femmes et des minorités, et de démoraliser les hommes blancs compétents ».

« Le Kremlin et le Parti communiste chinois peuvent aujourd’hui se réjouir »

Le R/FIMI a été créé à la fin de l’année 2024, sur les cendres de son prédécesseur, le Global Engagement Center (GEC), après qu’une mesure visant à ré-autoriser son budget de 61 millions de dollars a été bloquée par les républicains du Congrès. Ces derniers l’accusaient d’aider les grandes entreprises technologiques à censurer les voix conservatrices américaines.

En 2023, Elon Musk avait par exemple qualifié le centre de « pire délinquant en matière de censure [et] de manipulation des médias par le gouvernement américain » et de « menace pour notre démocratie ».

Le R/FIMI avait un objectif similaire de lutte contre la désinformation étrangère, mais avec moins de moyens, relève la MIT : doté d’un budget de 51,9 millions de dollars, son personnel ne comptait plus que 40 employés, contre 125 au GEC.

Les conservateurs qui s’insurgent contre ce qu’ils qualifient de « complexe industriel de la désinformation et de la censure », note la MIT Technology Review, se sont également attaqués à l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) du département de la sécurité intérieure (DHS) et à l’Observatoire de l’internet de Stanford, connu pour ses recherches consacrées à la désinformation pendant les élections. 

L’ancien directeur de la CISA, l’équivalent américain de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) en France, Chris Krebs, a été personnellement visé dans un mémo de la Maison Blanche daté du 9 avril, et l’université de Stanford a fermé le Stanford Internet Observatory avant les élections présidentielles de 2024.

Chris Krebs a en effet été licencié pour avoir indiqué n’avoir « aucune preuve » d’une éventuelle fraude lors de la défaite de Donald Trump aux élections de 2020, ajoutant même que « l’élection du 3 novembre a été la plus sûre de l’histoire des États-Unis ».

Le décret visant Chris Krebs contient même « des attaques ad personam contre M. Krebs et des accusations de nature politique et non étayées », relève Le Monde. Il l’accuse en effet et notamment d’avoir sciemment cherché à « censurer » les voix conservatrices – Chris Krebs est pourtant un républicain – ou encore d’avoir « perturbé les débats sur le Covid-19 en tentant de discréditer les opinions populaires qui étaient contraires à la vision de la CISA ».

Et ce, alors que la Russie dépenserait 1,5 milliard de dollars par an pour des campagnes d’influence à l’étranger, que la Radiodiffusion de la République islamique d’Iran, son principal organe de propagande étrangère, disposait d’un budget de 1,26 milliard de dollars en 2022, et que la Chine dépenserait jusqu’à 10 milliards de dollars par an pour des médias ciblant les étrangers non chinois, relève la MIT Technology Review.

Cité par Politico, un responsable du département d’État, qui a requis l’anonymat par crainte de représailles, a déclaré que « le Kremlin et le Parti communiste chinois peuvent aujourd’hui se réjouir. […] Une nouvelle faille a été créée dans notre sécurité nationale, rendant l’Amérique encore plus vulnérable ».

Un Américain sur cinq croit que les vaccins ont plus tué que la Covid-19

Ces annonces interviennent alors que l’entreprise NewsGuard, spécialisée dans la lutte contre la désinformation, déplore de son côté « une croyance généralisée dans les fausses informations » de la part des citoyens états-uniens.

« Les Américains sont largement enclins à croire les fausses infos diffusées en ligne sur toute une série de sujets, notamment la santé et la médecine, les élections et les conflits internationaux » relève en effet NewsGuard, qui souligne également que « les Américains sont dupés dans des proportions alarmantes par les affirmations de désinformation du Kremlin ».

NewsGuard a en effet demandé à YouGov de présenter à un échantillon représentatif de 1 000 citoyens états-uniens de plus de 18 ans une liste de « 10 fausses informations largement répandues en ligne, dont trois proviennent de médias russes ou ont été principalement diffusées par ces derniers ». Les personnes interrogées devaient indiquer si elles étaient vraies, fausses, ou si elles n’étaient « pas sûres » de leur véracité.

NewsGuard n’a pas mis en ligne l’intégralité de l’étude de YouGov. Reste que la probabilité statistique que les personnes interrogées puissent avoir été induites en erreur était donc élevée. 78 % d’entre elles ont, de fait, cru à au moins une affirmation, et moins de 1 % des personnes interrogées seulement ont correctement identifié les 10 affirmations comme étant fausses.

Il n’empêche : plusieurs de ces 10 désinformations sont tellement grossières qu’on peine à comprendre ce pourquoi autant de citoyens états-uniens y croient, ou peinent à les identifier comme fausses. Il leur était par exemple demandé si le fait d’avorter favorisait le risque d’avoir un cancer du sein. Ou encore si les vaccins contre la poliomyélite contenaient des ingrédients basés sur du mercure (ce qui n’a jamais été le cas, précise NewsGuard).

Moins de la moitié des personnes interrogées ont en outre correctement identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « les vaccins COVID-19 ont tué entre 7,3 et 15 millions de personnes dans le monde, alors qu’une personne interrogée sur cinq pensait que cette affirmation était vraie ».

Outre le fait que les données des agences sanitaires et études validées par des pairs montrent que les vaccins COVID-19 approuvés sont sûrs et efficaces, le nombre de personnes mortes du Covid-19 est lui-même estimé à un peu plus de 7 millions, la surmortalité étant de son côté estimée à un peu plus de 27 millions, relève OurWorldinData.

Une autre désinformation était, cela dit, plus sujette à caution. Seuls 13 % des répondants ont en effet été en mesure d’identifier correctement comme fausse l’affirmation selon laquelle le Projet 2025 néoconservateur proposait d’éliminer la sécurité sociale. Bien que le texte, qui visait notamment à remplacer des dizaines de milliers de fonctionnaires fédéraux par des personnes nommées pour leurs positions conservatrices, puisse être qualifié de de xénophobe, protectionniste et climatodénialiste, il ne mentionne effectivement pas ce point.

Un tiers des états-uniens croient à au moins une désinformation russe

Reste qu’un tiers (33,9 %) des personnes interrogées ont estimé qu’au moins une des trois désinformations d’origine russe était vraie. Et que moins d’un quart (23,8 %) ont identifié correctement les trois fausses informations. Les trois quarts des sondées étaient en outre « incapables d’identifier systématiquement les récits de désinformation russes comme étant faux », souligne NewsGuard.

61 % ont ainsi été incapables de qualifier de fausse l’affirmation selon laquelle « entre 30 et 50 % de l’aide financière américaine fournie à l’Ukraine a été volée par des fonctionnaires ukrainiens à des fins personnelles ». Une personne interrogée sur quatre a estimé que cette affirmation, tirée d’un article du média d’État russe RT (anciennement Russia Today), était vraie.

Près des deux tiers des personnes interrogées (64 %) n’ont pas, non plus, identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « la cote de popularité du président ukrainien Zelensky est tombée à 4 % », émanant elle aussi de plusieurs médias d’État russes. Pire, déplore NewsGuard : près d’un Américain sur cinq a déclaré que cette fausse information était vraie, alors que des sondages récents ont montré que Zelensky disposait d’un taux d’approbation compris entre 57 et 63 %.

Moins de la moitié des personnes interrogées (44 %) a en outre correctement identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « l’Ukraine a vendu au Hamas des armes qui lui ont été données par les États-Unis », infox là encore largement relayée par les médias d’État russes ainsi que « certains sites américains », et amplifiée par de hauts responsables russes sur les réseaux sociaux.

Au-delà de la désinformation russe, le confusionnisme serait massif

15 % des personnes interrogées ont au surplus qualifié de vrai le fait que des immigrants haïtiens avaient volé, tué et mangés des animaux domestiques à Springfiled dans l’Ohio (comme l’avait affirmé Donald Trump pendant sa campagne électorale), mais également que Starlink avait été utilisé pour truquer les élections de 2024 en faveur de Donald Trump. Et 45 % d’entre elles n’ont pas non plus correctement identifié ces deux affirmations comme fausses.

« Dans un pays politiquement divisé », constate NewsGuard, les résultats de l’enquête montrent aussi « une croyance généralisée dans les fausses affirmations », qui « dépasse les frontières des partis » :

« Les personnes interrogées s’identifiant comme démocrates sont à peu près aussi susceptibles (82 %) de croire à au moins une des dix fausses affirmations que celles s’identifiant comme républicaines (81 %). »

Les personnes interrogées ne s’identifiant pas à un parti politique sont « légèrement moins enclines à croire à la désinformation », 72 % d’entre elles considérant « au moins une fausse affirmation comme vraie ».

NewsGuard relève toutefois que les républicains « sont plus enclins à croire les allégations de désinformation russe que leurs homologues démocrates » :

« Parmi les républicains, 57,6 % ont identifié au moins une allégation de désinformation russe comme étant vraie, contre 17,9 % des démocrates et 29,5 % des personnes interrogées n’ayant pas identifié de parti. »

Un confusionnisme conspirationniste qui correspond en tous points aux agendas politiques de la propagande russe, ainsi qu’à celui de Steve Bannon.

La première repose en effet, notamment, sur le fait d’inonder les réseaux sociaux et médias de plusieurs versions « alternatives » des faits dont il est question, de sorte de les « noyer » dans la masse, « afin de saper les faits authentiques », expliquait à Newsweek Vitaliy Naida, haut fonctionnaire du service de sécurité de l’État ukrainien.

L’ex-directeur de la campagne présidentielle de Donald Trump Steve Bannon s’était quant à lui illustré en avançant que « Les démocrates n’ont pas d’importance. La véritable opposition, ce sont les médias. Et la façon de traiter avec eux est d’inonder la zone avec de la merde » :

« Les médias sont l’opposition, et comme ils sont stupides et paresseux, ils ne peuvent s’intéresser qu’à une chose à la fois. Tout ce que nous avons à faire, c’est noyer la zone. Chaque jour, nous devons leur balancer trois choses. Ils en mordront une et nous pourrons faire nos affaires. Bang, bang, bang, ils ne s’en remettront jamais. »

☕️ Gemini Advanced : Google aussi drague les étudiants aux États-Unis

18 avril 2025 à 09:19

L’opération séduction des grands noms de l’IA en direction des étudiants se poursuit aux États-Unis. Après Anthropic (Claude) et OpenAI (ChatGPT) début avril, c’est maintenant Google qui lance son offensive, avec une offre de poids : un accès gratuit à l’ensemble de l’offre Gemini Advanced, valable jusqu’au 30 juin 2026, soit pendant plus d’un an, accessible à tous les étudiants âgés de plus de 18 ans, inscrits dans un établissement supérieur.

Pour montrer patte blanche, il suffit de s’enregistrer à l’aide d’une adresse mail en .edu, indique Google, qui garnit encore son panier avec 2 To de stockage offert sur Google Drive, un accès à NotebookLM Plus et l’intégration de Gemini aux Google Apps.

La stratégie de conquête est assumée : l’accès gratuit à ces services passe par la création d’un abonnement Google One AI Premium, et l’étudiant qui arrive au terme de l’offre promotionnelle se verra par défaut basculé vers l’offre payante (facturée 21,99 euros par mois en France).

« Notre meilleur modèle AI gratuit pour les étudiants », promet Google dans une animation

En pleine épidémie d’infox, les États-Unis ferment leur unité anti-désinformation

18 avril 2025 à 10:03
Fake America Great Again
En pleine épidémie d’infox, les États-Unis ferment leur unité anti-désinformation

Un sous-secrétaire d’État complotiste de l’administration Trump vient d’annoncer la fermeture du service de lutte contre la manipulation de l’information et les ingérences étrangères. Et ce, alors qu’un sondage révèle « une croyance généralisée dans les fausses informations » de la part des citoyens états-uniens. Au point que 20 % croient que les vaccins ont fait plus de morts que la Covid-19, et qu’un peu moins de la moitié ne sont « pas sûr » de savoir si cette affirmation est vraie, ou pas.

Le chef de la diplomatie américaine, Marco Rubio vient d’annoncer, ce mercredi 16 avril, la fermeture de la seule agence fédérale américaine qui traquait et contrait la désinformation en provenance des pays étrangers, rapporte l’AFP.

La fermeture du Counter Foreign Information Manipulation and Interference (R/FIMI, pour « service de lutte contre la manipulation de l’information et les ingérences étrangères ») a été justifiée par la nécessité de « défendre la liberté d’expression des Américains ».

« Sous l’administration précédente, ce service, qui coûtait aux contribuables plus de 50 millions de dollars par an, a dépensé des millions de dollars pour faire taire et censurer activement les voix des Américains qu’il était censé servir », a accusé M. Rubio dans un communiqué.

En fermant le R/FIMI, le controversé sous-secrétaire intérimaire du ministère, Darren Beattie, « offre une victoire importante aux critiques conservateurs qui ont allégué qu’il censurait les voix conservatrices », estime la MIT Technology Review.

Darren Beattie, qui avait été renvoyé de la première administration Trump pour avoir assisté à une conférence sur le nationalisme blanc, a depuis suggéré que le FBI avait organisé l’attaque du 6 janvier contre le Congrès, déclaré que défendre Taïwan contre la Chine ne valait pas la peine, et laissé entendre que la communauté du renseignement des États-Unis était plus susceptible que l’Iran d’être à l’origine des tentatives d’assassinat contre Donald Trump.

En octobre 2024, Darren Beattie avait aussi tweeté que « les hommes blancs compétents doivent être aux commandes si l’on veut que les choses fonctionnent. Malheureusement, toute notre idéologie nationale est fondée sur le fait de dorloter les sentiments des femmes et des minorités, et de démoraliser les hommes blancs compétents ».

« Le Kremlin et le Parti communiste chinois peuvent aujourd’hui se réjouir »

Le R/FIMI a été créé à la fin de l’année 2024, sur les cendres de son prédécesseur, le Global Engagement Center (GEC), après qu’une mesure visant à ré-autoriser son budget de 61 millions de dollars a été bloquée par les républicains du Congrès. Ces derniers l’accusaient d’aider les grandes entreprises technologiques à censurer les voix conservatrices américaines.

En 2023, Elon Musk avait par exemple qualifié le centre de « pire délinquant en matière de censure [et] de manipulation des médias par le gouvernement américain » et de « menace pour notre démocratie ».

Le R/FIMI avait un objectif similaire de lutte contre la désinformation étrangère, mais avec moins de moyens, relève la MIT : doté d’un budget de 51,9 millions de dollars, son personnel ne comptait plus que 40 employés, contre 125 au GEC.

Les conservateurs qui s’insurgent contre ce qu’ils qualifient de « complexe industriel de la désinformation et de la censure », note la MIT Technology Review, se sont également attaqués à l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures (CISA) du département de la sécurité intérieure (DHS) et à l’Observatoire de l’internet de Stanford, connu pour ses recherches consacrées à la désinformation pendant les élections. 

L’ancien directeur de la CISA, l’équivalent américain de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) en France, Chris Krebs, a été personnellement visé dans un mémo de la Maison Blanche daté du 9 avril, et l’université de Stanford a fermé le Stanford Internet Observatory avant les élections présidentielles de 2024.

Chris Krebs a en effet été licencié pour avoir indiqué n’avoir « aucune preuve » d’une éventuelle fraude lors de la défaite de Donald Trump aux élections de 2020, ajoutant même que « l’élection du 3 novembre a été la plus sûre de l’histoire des États-Unis ».

Le décret visant Chris Krebs contient même « des attaques ad personam contre M. Krebs et des accusations de nature politique et non étayées », relève Le Monde. Il l’accuse en effet et notamment d’avoir sciemment cherché à « censurer » les voix conservatrices – Chris Krebs est pourtant un républicain – ou encore d’avoir « perturbé les débats sur le Covid-19 en tentant de discréditer les opinions populaires qui étaient contraires à la vision de la CISA ».

Et ce, alors que la Russie dépenserait 1,5 milliard de dollars par an pour des campagnes d’influence à l’étranger, que la Radiodiffusion de la République islamique d’Iran, son principal organe de propagande étrangère, disposait d’un budget de 1,26 milliard de dollars en 2022, et que la Chine dépenserait jusqu’à 10 milliards de dollars par an pour des médias ciblant les étrangers non chinois, relève la MIT Technology Review.

Cité par Politico, un responsable du département d’État, qui a requis l’anonymat par crainte de représailles, a déclaré que « le Kremlin et le Parti communiste chinois peuvent aujourd’hui se réjouir. […] Une nouvelle faille a été créée dans notre sécurité nationale, rendant l’Amérique encore plus vulnérable ».

Un Américain sur cinq croit que les vaccins ont plus tué que la Covid-19

Ces annonces interviennent alors que l’entreprise NewsGuard, spécialisée dans la lutte contre la désinformation, déplore de son côté « une croyance généralisée dans les fausses informations » de la part des citoyens états-uniens.

« Les Américains sont largement enclins à croire les fausses infos diffusées en ligne sur toute une série de sujets, notamment la santé et la médecine, les élections et les conflits internationaux » relève en effet NewsGuard, qui souligne également que « les Américains sont dupés dans des proportions alarmantes par les affirmations de désinformation du Kremlin ».

NewsGuard a en effet demandé à YouGov de présenter à un échantillon représentatif de 1 000 citoyens états-uniens de plus de 18 ans une liste de « 10 fausses informations largement répandues en ligne, dont trois proviennent de médias russes ou ont été principalement diffusées par ces derniers ». Les personnes interrogées devaient indiquer si elles étaient vraies, fausses, ou si elles n’étaient « pas sûres » de leur véracité.

NewsGuard n’a pas mis en ligne l’intégralité de l’étude de YouGov. Reste que la probabilité statistique que les personnes interrogées puissent avoir été induites en erreur était donc élevée. 78 % d’entre elles ont, de fait, cru à au moins une affirmation, et moins de 1 % des personnes interrogées seulement ont correctement identifié les 10 affirmations comme étant fausses.

Il n’empêche : plusieurs de ces 10 désinformations sont tellement grossières qu’on peine à comprendre ce pourquoi autant de citoyens états-uniens y croient, ou peinent à les identifier comme fausses. Il leur était par exemple demandé si le fait d’avorter favorisait le risque d’avoir un cancer du sein. Ou encore si les vaccins contre la poliomyélite contenaient des ingrédients basés sur du mercure (ce qui n’a jamais été le cas, précise NewsGuard).

Moins de la moitié des personnes interrogées ont en outre correctement identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « les vaccins COVID-19 ont tué entre 7,3 et 15 millions de personnes dans le monde, alors qu’une personne interrogée sur cinq pensait que cette affirmation était vraie ».

Outre le fait que les données des agences sanitaires et études validées par des pairs montrent que les vaccins COVID-19 approuvés sont sûrs et efficaces, le nombre de personnes mortes du Covid-19 est lui-même estimé à un peu plus de 7 millions, la surmortalité étant de son côté estimée à un peu plus de 27 millions, relève OurWorldinData.

Une autre désinformation était, cela dit, plus sujette à caution. Seuls 13 % des répondants ont en effet été en mesure d’identifier correctement comme fausse l’affirmation selon laquelle le Projet 2025 néoconservateur proposait d’éliminer la sécurité sociale. Bien que le texte, qui visait notamment à remplacer des dizaines de milliers de fonctionnaires fédéraux par des personnes nommées pour leurs positions conservatrices, puisse être qualifié de de xénophobe, protectionniste et climatodénialiste, il ne mentionne effectivement pas ce point.

Un tiers des états-uniens croient à au moins une désinformation russe

Reste qu’un tiers (33,9 %) des personnes interrogées ont estimé qu’au moins une des trois désinformations d’origine russe était vraie. Et que moins d’un quart (23,8 %) ont identifié correctement les trois fausses informations. Les trois quarts des sondées étaient en outre « incapables d’identifier systématiquement les récits de désinformation russes comme étant faux », souligne NewsGuard.

61 % ont ainsi été incapables de qualifier de fausse l’affirmation selon laquelle « entre 30 et 50 % de l’aide financière américaine fournie à l’Ukraine a été volée par des fonctionnaires ukrainiens à des fins personnelles ». Une personne interrogée sur quatre a estimé que cette affirmation, tirée d’un article du média d’État russe RT (anciennement Russia Today), était vraie.

Près des deux tiers des personnes interrogées (64 %) n’ont pas, non plus, identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « la cote de popularité du président ukrainien Zelensky est tombée à 4 % », émanant elle aussi de plusieurs médias d’État russes. Pire, déplore NewsGuard : près d’un Américain sur cinq a déclaré que cette fausse information était vraie, alors que des sondages récents ont montré que Zelensky disposait d’un taux d’approbation compris entre 57 et 63 %.

Moins de la moitié des personnes interrogées (44 %) a en outre correctement identifié comme fausse l’affirmation selon laquelle « l’Ukraine a vendu au Hamas des armes qui lui ont été données par les États-Unis », infox là encore largement relayée par les médias d’État russes ainsi que « certains sites américains », et amplifiée par de hauts responsables russes sur les réseaux sociaux.

Au-delà de la désinformation russe, le confusionnisme serait massif

15 % des personnes interrogées ont au surplus qualifié de vrai le fait que des immigrants haïtiens avaient volé, tué et mangés des animaux domestiques à Springfiled dans l’Ohio (comme l’avait affirmé Donald Trump pendant sa campagne électorale), mais également que Starlink avait été utilisé pour truquer les élections de 2024 en faveur de Donald Trump. Et 45 % d’entre elles n’ont pas non plus correctement identifié ces deux affirmations comme fausses.

« Dans un pays politiquement divisé », constate NewsGuard, les résultats de l’enquête montrent aussi « une croyance généralisée dans les fausses affirmations », qui « dépasse les frontières des partis » :

« Les personnes interrogées s’identifiant comme démocrates sont à peu près aussi susceptibles (82 %) de croire à au moins une des dix fausses affirmations que celles s’identifiant comme républicaines (81 %). »

Les personnes interrogées ne s’identifiant pas à un parti politique sont « légèrement moins enclines à croire à la désinformation », 72 % d’entre elles considérant « au moins une fausse affirmation comme vraie ».

NewsGuard relève toutefois que les républicains « sont plus enclins à croire les allégations de désinformation russe que leurs homologues démocrates » :

« Parmi les républicains, 57,6 % ont identifié au moins une allégation de désinformation russe comme étant vraie, contre 17,9 % des démocrates et 29,5 % des personnes interrogées n’ayant pas identifié de parti. »

Un confusionnisme conspirationniste qui correspond en tous points aux agendas politiques de la propagande russe, ainsi qu’à celui de Steve Bannon.

La première repose en effet, notamment, sur le fait d’inonder les réseaux sociaux et médias de plusieurs versions « alternatives » des faits dont il est question, de sorte de les « noyer » dans la masse, « afin de saper les faits authentiques », expliquait à Newsweek Vitaliy Naida, haut fonctionnaire du service de sécurité de l’État ukrainien.

L’ex-directeur de la campagne présidentielle de Donald Trump Steve Bannon s’était quant à lui illustré en avançant que « Les démocrates n’ont pas d’importance. La véritable opposition, ce sont les médias. Et la façon de traiter avec eux est d’inonder la zone avec de la merde » :

« Les médias sont l’opposition, et comme ils sont stupides et paresseux, ils ne peuvent s’intéresser qu’à une chose à la fois. Tout ce que nous avons à faire, c’est noyer la zone. Chaque jour, nous devons leur balancer trois choses. Ils en mordront une et nous pourrons faire nos affaires. Bang, bang, bang, ils ne s’en remettront jamais. »

☕️ Gemini Advanced : Google aussi drague les étudiants aux États-Unis

18 avril 2025 à 09:19

L’opération séduction des grands noms de l’IA en direction des étudiants se poursuit aux États-Unis. Après Anthropic (Claude) et OpenAI (ChatGPT) début avril, c’est maintenant Google qui lance son offensive, avec une offre de poids : un accès gratuit à l’ensemble de l’offre Gemini Advanced, valable jusqu’au 30 juin 2026, soit pendant plus d’un an, accessible à tous les étudiants âgés de plus de 18 ans, inscrits dans un établissement supérieur.

Pour montrer patte blanche, il suffit de s’enregistrer à l’aide d’une adresse mail en .edu, indique Google, qui garnit encore son panier avec 2 To de stockage offert sur Google Drive, un accès à NotebookLM Plus et l’intégration de Gemini aux Google Apps.

La stratégie de conquête est assumée : l’accès gratuit à ces services passe par la création d’un abonnement Google One AI Premium, et l’étudiant qui arrive au terme de l’offre promotionnelle se verra par défaut basculé vers l’offre payante (facturée 21,99 euros par mois en France).

« Notre meilleur modèle AI gratuit pour les étudiants », promet Google dans une animation

GIGABYTE sort le PCB custom le plus petit pour une RTX 5060 Ti, Rocco For The Win !

Les RTX 5060 Ti sont arrivées depuis peu, vous pouvez retrouver le test de Riton sur ce lien H&Co. Le but de ce billet n'est pas de répéter ce que le dossier vous apprendra, mais de mettre en parallèle la RTX 5090 et la RTX 5060 Ti. En réalité tout les oppose, du moins le croit-on ! Car la conce...

ESA Video Game Trains AI To Recognize Craters On the Moon

Par : BeauHD
18 avril 2025 à 10:00
Longtime Slashdot reader Qbertino writes: German public news outlet Tagesschau reports (source: YouTube) on an ESA video game that helps train a future moon lander's guidance AI to spot craters. Games have already helped collect visual data on millions of craters. The University Darmstadt developed the game, called IMPACT, to support ESA's efforts to establish a base on the moon. An older article from August 2024 provides further details on the project.

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G.SKILL Trident Z5 NEO RGB 2x16 Go 6000 MT/s C26, latence en baisse et gros potentiel

19 avril 2025 à 10:00
Aujourd’hui, on replonge dans le monde merveilleux de la mémoire DDR5 avec un kit qui sent bon le haut de gamme : le G.SKILL Trident Z5 Neo RGB, dans sa version 2 x 16 Go à 6000 MHz CL26. Sur le papier, il diffère peu du précédent modèle que nous avons testé, si ce n’est une latence légèrement réduite, passant de CL28 à CL26. Mais attention, atteindre CL26 à 6000 MT/s, c’est loin d’être simple. C’est d’ailleurs le tout premier kit en notre possession capable de tenir cette promesse. Avec un tel kit entre les mains, hors de question de faire les choses à moitié : on a donc poussé un peu plus loin nos essais d’overclocking… et vous allez le voir, les résultats sont au rendez-vous. Mais alors, combien faut-il débourser pour s’offrir ce concentré de performances ? Environ 250 euros. Un tarif qui reste élevé, certes, mais tout de même inférieur à celui des kits 6000 MHz CL30 à leur lancement. On peut donc y voir un signe encourageant — et il y a fort à parier que les prix continueront à baisser avec le temps. Soyons patients.

Un patch 1.2 pour le jeu The Last of Us Part II Remastered

18 avril 2025 à 09:10

Un patch 1.2 vient d'être déployé pour le jeu The Last of Us Part II Remastered, on nous promet évidemment diverses corrections, améliorations, dont une meilleure prise en charge de la génération d'images de la technologie DLSS depuis le lanceur, la mise à jour du FidelityFx d'AMD...Bonjour à tous, Le patch 1.2 est disponible pour The Last of Us Part II Remastered ! Cette mise à jour contient une variété de corrections de bugs basées sur les commentaires des joueurs. Nous avons résolu les problèmes liés aux contrôles de la souris et du clavier, corrigé divers bugs visuels et amélioré la génération d'images DLSS lorsque l'option est activée dans le lanceur. Les défis sans retour récompensent désormais les skins d'armes associés, et nous avons inclus diverses corrections de crash, d'interface utilisateur et de localisation, et bien plus encore. Consultez les notes de mise à jour ci-dessous pour obtenir tous les détails. Les équipes de Nixxes et de Naughty Dog suivent de près les commentaires des joueurs et les rapports de crash et travaillent sur des mises à jour supplémentaires avec d'autres corrections de bugs et améliorations. Merci à tous d'avoir joué à The Last of Us Part II sur PC et de nous avoir fait part de vos commentaires ! […]

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NVIDIA dévoile sa nouvelle puce GeForce RTX 5060 Laptop

18 avril 2025 à 08:57

C'est officiel, la nouvelle puce mobile de chez NVIDIA arrive. Faisons donc le point sur ce que NVIDIA annonce à propos des GeForce RTX 5060 Laptop, récemment fuitées. Il s'agit d'une carte graphique équipée de 8 Go de GDDR7, avec 3 228 Cuda Cores. Elle offre une puissance maximale de 100 watts et une fréquence boostée à 2 487 MHz. […]

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