Le premier ministre et la tête de liste du Rassemblement national débattent jeudi soir à partir de 20 h 15 sur France 2, à deux semaines des élections européennes.
Dans la ville de Gaza, deux frappes aériennes avant l’aube ont fait vingt-six morts, parmi lesquels quinze enfants, selon la défense civile. Une maison, une mosquée et une école ont été ciblées.
Selon Vassyl Maliouk, chef du Service de sécurité d’Ukraine, la première utilisation par le SBU de cette arme, notamment contre les bâtiments de surface russes en mer Noire, remonte à décembre 2023.
Bien que courte, la présidence Raïssi a incarné un basculement durable de la politique étrangère et de sécurité de l’Iran, estime, dans une tribune au « Monde », le politiste Benjamin Hautecouverture.
Un premier détachement de policiers kényans, qui seront amenés à diriger une force multinationale de soutien à la sécurité en Haïti, a atterri à Port-au-Prince. Dans la capitale haïtienne, toujours contrôlée par les gangs, l’aéroport et quelques écoles ont rouvert leurs portes après trois mois de chaos.
Alors que Gabriel Attal doit affronter la tête de liste du RN Jordan Bardella ce jeudi soir sur France 2, il est assez rare que le chef du gouvernement monte sur le ring pour porter le fer contre l’opposition.
Raymond Barre, premier ministre de VGE en 1977 ; Laurent Fabius, chef du gouvernement de François Mitterrand en 1985, et Manuel Valls, premier ministre de François Hollande en 2015.
La mort du président iranien lors d’un accident d’hélicoptère, le 19 mai, ne devrait pas avoir de conséquences majeures sur les groupes alliés de l’Iran ni sur leurs attaques contre Israël ou des intérêts américains, explique “The New York Times”. La crainte de représailles durant cette période transitoire en Iran pourrait néanmoins inciter Téhéran et ses alliés à la prudence.
En France, la campagne pour les élections européennes bat son plein. Jeudi 23 mai au soir aura notamment lieu le très attendu débat entre Gabriel Attal et Jordan Bardella. Mais une accumulation d’événements violents dans l’actualité française risque de marquer vivement la période préélectorale, observe la presse étrangère.
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