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Samuel Fitoussi: «Dans les coulisses du Festival de Cannes, entre un film sur le privilège masculin et un biopic de José Bové»

CHRONIQUE - Chaque semaine, pour Le Figaro, notre chroniqueur pose son regard ironique sur l’actualité. Aujourd’hui, il imagine une plongée dans les arcanes du Festival de Cannes.

© Fabien Clairefond

Samuel Fitoussi.

Amazon, Netflix, Disney +... Faut-il arrêter de regarder des séries ?

ENTRETIEN - Dans son essai Vide à la demande, publié aux Éditions L’Échappée, le philosophe Bertrand Cochard développe une critique radicale des séries consommées sur les plateformes de vidéo à la demande.

© hadrian-ifeelstock / ifeelstock - stock.adobe.com

«Black Mirror» imagine le monde d’après.

Pivot, Decaux, Chancel, «Des chiffres et des lettres»... Quand la télévision publique éduquait

ANALYSE - La mort du présentateur d’Apostrophes et de Bouillon de culture et la disparition programmée du jeu d’Armand Jammot rappellent que la télévision n’est pas qu’un contenant à divertissement, mais un formidable outil pédagogique.

© ©Louis Monier/Bridgeman images / Louis Monier / AFP / RAPH GATTI / Bridgeman Images / © Louis Monier / Bridgeman Images /

«Apostrophes» de Bernard Pivot, Alain Decaux, Jacques Chancel et le jeu «Des chiffres et des lettres», animé par Patrice Laffont.

«Un vieux remords, devenu ami très proche» : l’hommage de Régis Debray à Bernard Pivot

HOMMAGE - Bernard Pivot est décédé ce 6 mai. Le philosophe et écrivain Régis Debray s’était brouillé, en 1982, avec l’animateur d’Apostrophes. Par la suite, les deux hommes se sont réconciliés et ont noué une profonde amitié. Dans un texte très personnel, il rend hommage à cet amoureux de la langue française.

© AFP / DERRICK CEYRAC / AFP / ROMAIN LAFABREGUE

Régis Debray, en 1989, et Bernard Pivot, en 2017.

Étienne de Montety: «Il y a cinq ans, Notre-Drame brûlait: une part de notre âme»

ÉDITORIAL - Déjà toute la France a les yeux fixés sur le 8 décembre prochain. Ce jour-là, Notre-Dame, immaculée, aura retrouvé sa charpente, sa flèche et la splendeur de ses pierres.

© Le Figaro

Étienne de Montety.
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