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Aujourd’hui — 25 mars 2025Flux principal

Ces centres de données seront bientôt alimentés par des mini réacteurs nucléaires au Texas

Si une forte hausse de la consommation électrique mondiale est attendue dans les années à venir, c’est en grande partie en raison de l’essor des centres de données. Véritables gouffres énergétiques, ces infrastructures abritent des serveurs informatiques et leur système de refroidissement. De nombreux projets énergétiques sont ainsi à l’étude ou en développement pour soutenir leur montée en puissance. Au Texas, par exemple, des microréacteurs nucléaires seront construits pour alimenter ces centres en électricité.

Le Texas est confronté à une pression croissante pour augmenter son approvisionnement en électricité. Actuellement, près de 9 % de la demande énergétique dans le territoire provient des centres de données, une part qui devrait fortement augmenter avec les nouvelles installations à venir. Pour répondre à cette demande tout en renforçant sa souveraineté énergétique, l’État s’ouvre ainsi à de nouvelles solutions. Profitant de ce marché, la start-up américaine Last Energy prévoit d’y déployer sa technologie : un microréacteur nucléaire. La société ambitionne d’en construire une trentaine afin d’alimenter les futurs centres de données qui seront implantés au Texas.

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600 MW de nucléaire pour alimenter les centres de données texans

Last Energy a déjà acquis un site de 80 hectares dans le comté d’Haskell, dans le nord-ouest du Texas, où elle prévoit de construire 30 microréacteurs, selon un communiqué. Sa technologie s’agit d’un réacteur à eau pressurisée (REP) à boucle unique de 20 MW, utilisant des combustibles REP standards. À terme, ces systèmes fourniront au total 600 MW, de l’électricité qui sera acheminée via une combinaison de câbles privés et de transmission au réseau. Pour donner un ordre d’idée, une telle puissance permettrait de couvrir la consommation de 600 000 foyers, selon l’entreprise. Cependant, ce chiffre reste bien en deçà des besoins futurs du Texas. Aujourd’hui, les centres de données en activité nécessitent environ 8 GW, une demande qui devrait exploser dans les années à venir, car rien que dans la région de Dallas-Fort Worth, ces infrastructures exigeront 43 GW supplémentaires dans le futur.

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Des dizaines déjà livrés en Europe

L’entreprise affirme avoir déjà obtenu plus de 80 commandes en Europe, dont la moitié était destinée aux centres de données. En effet, jusqu’à présent, la société Last Energy s’était principalement concentrée sur le marché européen en raison de la rigidité des règlementations américaines en matière de nucléaire. D’ailleurs, dans l’objectif de déployer rapidement sa technologie dans le pays, la société a engagé un procès contre la Commission de règlementation nucléaire américaine (NRC), arguant que certains modèles de réacteurs ne nécessiteraient pas l’approbation de la Commission.

Concernant son projet, Last Energy a déjà déposé sa demande de raccordement auprès du gestionnaire texan ERCOT et prépare actuellement sa demande de permis de site anticipé auprès du NRC.

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Parcoursup et Mon Master : le Comité éthique regrette des « interprétations simplistes »

25 mars 2025 à 16:29
Arlésienne
Parcoursup et Mon Master : le Comité éthique regrette des « interprétations simplistes »

Le Comité éthique et scientifique de Parcoursup et Mon Master revient encore, dans son rapport annuel, sur les algorithmes de ses plateformes. Il balaye les critiques sur le manque de transparence, sur la sélection associées et sur l’amplification des inégalités qu’ils engendreraient.

La phase pour formuler des vœux sur Parcoursup s’est achevée le 13 mars. Pour Mon Master, les étudiants avaient jusqu’au lundi 24 au soir.

Ces plateformes utilisées pour sélectionner des (futurs) étudiants dans des formations de l’enseignement supérieur français sont souvent critiquées. En effet, l’orientation dans le supérieur est un moment stressant, surtout quand on vous dit que vous ne pourrez peut-être pas accéder à la formation que vous voulez faire. Ça peut devenir anxiogène quand on a l’impression qu’on est face à une machine peu transparente. Depuis APB, l’ancêtre de Parcoursup comme nous le rappelions récemment, les plateformes qui ont servi à organiser la sélection et gérer la pénurie de places ont subi ces critiques.

Le Comité éthique et scientifique de Parcoursup, qui a également pris sous son aile la plateforme Mon Master, a publié son septième rapport annuel adressé au Parlement. Dans le précédent, il voulait déjà clore le débat sur les « algorithmes ». Le résultat ne semble pas encore à la hauteur de ses espérances puisqu’il revient une nouvelle fois sur le sujet dans celui publié cette année.

Comme l’année dernière, ce comité explique le fonctionnement de l’appariement, notamment avec l’utilisation de l’algorithme de Gales et Shaple. Il précise cette année que c’est la même chose pour la plateforme Mon Master en plus simple, puisque « l’ordre d’appel des candidats » est « dans le cas de Mon Master, où il n’y a pas de quotas », basé sur le classement de la formation.

Pas de classement mais un « ordre d’appel »

Cet « ordre d’appel » n’est pas un classement, insiste le comité : « l’algorithme d’appariement de Parcoursup ou de Mon Master ne classe donc pas les candidats entre eux, il se contente de gérer l’appel des candidats en fonction de leurs vœux et des ordres d’appel issus des classements réalisés par les formations ».

Le comité scientifique fustige toute possibilité de faire autrement que d’utiliser ce genre d’outil : « évidemment, on pourrait aussi imaginer que toutes les formations aient des capacités illimitées afin que chacun puisse faire les études qu’il veut, là où il veut, ce qu’aucun pays au monde ne pratique, car ce serait impossible à organiser pour les établissements, insoutenable économiquement, et dommageable socialement pour certains étudiants que l’on laisserait aller droit à l’échec ou au chômage ».

Cette affirmation, qui pourrait paraitre sensée, ne s’appuie hélas sur aucun travail scientifique. Pourtant, avant APB, l’enseignement supérieur français n’utilisait pas ce genre de système. On peut imaginer qu’une comparaison entre la situation actuelle et celle avant APB serait possible, mais le comité ne semble pas l’avoir envisagée.

Parcoursup, opaque ?

Aux questions « L’algorithme d’appariement est-il manipulable ? » et « L’algorithme d’appariement est-il opaque ? », le comité répond « Non ». Il ajoute sur la question de sa possible manipulation qu’ « il est prouvé qu’il permet l’affectation équitable optimale des candidats (voir les rapports précédents du Comité) ».

En ce qui concerne l’opacité, il affirme que : « son code est publié, mais la confiance que lui accordent les candidats et leurs parents est chaque année à conquérir. Cette accusation d’opacité, qui circule en permanence, résulte d’une confusion entre l’algorithme d’appariement et les critères de classement des candidats par les commissions d’examen des dossiers de chaque formation ».

Pourtant, comme nous le rappelions récemment, de nombreux rapports soulignent l’opacité de Parcoursup. Le Tribunal administratif de Paris a aussi rejeté la demande de l’association Ouvre-boîte qui voulait accéder au code source complet de Parcoursup.

« L’incompréhension et le sentiment d’opacité proviennent aussi parfois dans Parcoursup de l’effet des quotas de mobilité et de boursiers », affirme le comité.

Néanmoins, il reconnait encore qu’il faut « améliorer l’ergonomie par retour d’expérience des usagers », « améliorer l’affichage des caractéristiques et des critères de classement des formations », « accompagner et aider à l’orientation, une boussole indispensable face à l’immensité des possibles ».

Sur les « algorithmes locaux », le comité considère qu’ils sont « improprement dénommés » ainsi et préfère les appeler « classements des candidats par les formations ». Et pour cause, à la question « Est-ce que des algorithmes classent les candidats à la place des commissions d’examen des dossiers ? », le comité s’empresse de répondre « Non. Ce sont les commissions d’examen des dossiers qui définissent les critères et qui fonctionnent comme un jury ».

Dans le même temps, il est bien obligé d’expliquer que « dans le cadre de Parcoursup, les formations qui doivent classer plusieurs centaines, voire milliers, de candidats sont en effet obligées d’avoir recours à des tableurs, ne serait-ce que pour éviter les erreurs de manipulation ». Il ajoute que « ces tableurs se fondent logiquement sur des critères décidés par les équipes pédagogiques des formations en fonction des compétences et connaissances attendues pour le diplôme visé et permettent un préclassement des dossiers ; cela facilite ensuite le travail délibératif des commissions qui doivent finaliser les classements par un examen personnalisé de certains dossiers ». C’est aussi le cas pour Mon Master.

Il affirme que « c’est dans la transparence de cette pratique que se situe le débat et c’est sur elle que portent les recommandations du Comité au fil des ans. Le Comité a toujours recommandé que ces clés de classement et leur quantification soient publiées de la façon la plus précise possible par les établissements ».

Le comité reconnait aussi un « manque de clarté et d’informations sur les formations privée » alors qu’ « en 2025, 40 % des formations offertes sur Parcoursup sont privées, dont la moitié sont hors contrat ».

Le problème de l’anonymat

Le comité reconnait qu’une question se pose lors de l’examen des candidatures sur Parcoursup : l’anonymat des candidats. Celui-ci est en principe de mise, « cependant, cet anonymat n’existe pas pour les CPGE avec internat (la grande majorité) ».

Du côté de l’anonymat des lycées d’origine, il indique que celui-ci « serait souhaitable, mais il nécessiterait une harmonisation préalable des notations par les lycées, ce pour quoi le Comité milite ». Il conseille « en attendant […] d’augmenter la transparence, notamment sur la prise en compte du lycée d’origine dans les barèmes de points conduisant au classement dans certaines formations ».

Il note que « concernant Mon Master, les candidatures sont nominatives et personne ne réclame l’anonymat ». Le contact entre les différentes formations, enseignants et étudiants « est heureux pour la vie scientifique et fait que les communautés se connaissent ». Il ajoute que « beaucoup de masters organisent des entretiens lors du classement de leurs candidats », ce qui rend impossible, de fait, un anonymat. On peut ajouter que certaines formations conseillent de les contacter avant de candidater pour montrer sa motivation.

Parcoursup et Mon Master : le Comité éthique regrette des « interprétations simplistes »

25 mars 2025 à 16:29
Arlésienne
Parcoursup et Mon Master : le Comité éthique regrette des « interprétations simplistes »

Le Comité éthique et scientifique de Parcoursup et Mon Master revient encore, dans son rapport annuel, sur les algorithmes de ses plateformes. Il balaye les critiques sur le manque de transparence, sur la sélection associées et sur l’amplification des inégalités qu’ils engendreraient.

La phase pour formuler des vœux sur Parcoursup s’est achevée le 13 mars. Pour Mon Master, les étudiants avaient jusqu’au lundi 24 au soir.

Ces plateformes utilisées pour sélectionner des (futurs) étudiants dans des formations de l’enseignement supérieur français sont souvent critiquées. En effet, l’orientation dans le supérieur est un moment stressant, surtout quand on vous dit que vous ne pourrez peut-être pas accéder à la formation que vous voulez faire. Ça peut devenir anxiogène quand on a l’impression qu’on est face à une machine peu transparente. Depuis APB, l’ancêtre de Parcoursup comme nous le rappelions récemment, les plateformes qui ont servi à organiser la sélection et gérer la pénurie de places ont subi ces critiques.

Le Comité éthique et scientifique de Parcoursup, qui a également pris sous son aile la plateforme Mon Master, a publié son septième rapport annuel adressé au Parlement. Dans le précédent, il voulait déjà clore le débat sur les « algorithmes ». Le résultat ne semble pas encore à la hauteur de ses espérances puisqu’il revient une nouvelle fois sur le sujet dans celui publié cette année.

Comme l’année dernière, ce comité explique le fonctionnement de l’appariement, notamment avec l’utilisation de l’algorithme de Gales et Shaple. Il précise cette année que c’est la même chose pour la plateforme Mon Master en plus simple, puisque « l’ordre d’appel des candidats » est « dans le cas de Mon Master, où il n’y a pas de quotas », basé sur le classement de la formation.

Pas de classement mais un « ordre d’appel »

Cet « ordre d’appel » n’est pas un classement, insiste le comité : « l’algorithme d’appariement de Parcoursup ou de Mon Master ne classe donc pas les candidats entre eux, il se contente de gérer l’appel des candidats en fonction de leurs vœux et des ordres d’appel issus des classements réalisés par les formations ».

Le comité scientifique fustige toute possibilité de faire autrement que d’utiliser ce genre d’outil : « évidemment, on pourrait aussi imaginer que toutes les formations aient des capacités illimitées afin que chacun puisse faire les études qu’il veut, là où il veut, ce qu’aucun pays au monde ne pratique, car ce serait impossible à organiser pour les établissements, insoutenable économiquement, et dommageable socialement pour certains étudiants que l’on laisserait aller droit à l’échec ou au chômage ».

Cette affirmation, qui pourrait paraitre sensée, ne s’appuie hélas sur aucun travail scientifique. Pourtant, avant APB, l’enseignement supérieur français n’utilisait pas ce genre de système. On peut imaginer qu’une comparaison entre la situation actuelle et celle avant APB serait possible, mais le comité ne semble pas l’avoir envisagée.

Parcoursup, opaque ?

Aux questions « L’algorithme d’appariement est-il manipulable ? » et « L’algorithme d’appariement est-il opaque ? », le comité répond « Non ». Il ajoute sur la question de sa possible manipulation qu’ « il est prouvé qu’il permet l’affectation équitable optimale des candidats (voir les rapports précédents du Comité) ».

En ce qui concerne l’opacité, il affirme que : « son code est publié, mais la confiance que lui accordent les candidats et leurs parents est chaque année à conquérir. Cette accusation d’opacité, qui circule en permanence, résulte d’une confusion entre l’algorithme d’appariement et les critères de classement des candidats par les commissions d’examen des dossiers de chaque formation ».

Pourtant, comme nous le rappelions récemment, de nombreux rapports soulignent l’opacité de Parcoursup. Le Tribunal administratif de Paris a aussi rejeté la demande de l’association Ouvre-boîte qui voulait accéder au code source complet de Parcoursup.

« L’incompréhension et le sentiment d’opacité proviennent aussi parfois dans Parcoursup de l’effet des quotas de mobilité et de boursiers », affirme le comité.

Néanmoins, il reconnait encore qu’il faut « améliorer l’ergonomie par retour d’expérience des usagers », « améliorer l’affichage des caractéristiques et des critères de classement des formations », « accompagner et aider à l’orientation, une boussole indispensable face à l’immensité des possibles ».

Sur les « algorithmes locaux », le comité considère qu’ils sont « improprement dénommés » ainsi et préfère les appeler « classements des candidats par les formations ». Et pour cause, à la question « Est-ce que des algorithmes classent les candidats à la place des commissions d’examen des dossiers ? », le comité s’empresse de répondre « Non. Ce sont les commissions d’examen des dossiers qui définissent les critères et qui fonctionnent comme un jury ».

Dans le même temps, il est bien obligé d’expliquer que « dans le cadre de Parcoursup, les formations qui doivent classer plusieurs centaines, voire milliers, de candidats sont en effet obligées d’avoir recours à des tableurs, ne serait-ce que pour éviter les erreurs de manipulation ». Il ajoute que « ces tableurs se fondent logiquement sur des critères décidés par les équipes pédagogiques des formations en fonction des compétences et connaissances attendues pour le diplôme visé et permettent un préclassement des dossiers ; cela facilite ensuite le travail délibératif des commissions qui doivent finaliser les classements par un examen personnalisé de certains dossiers ». C’est aussi le cas pour Mon Master.

Il affirme que « c’est dans la transparence de cette pratique que se situe le débat et c’est sur elle que portent les recommandations du Comité au fil des ans. Le Comité a toujours recommandé que ces clés de classement et leur quantification soient publiées de la façon la plus précise possible par les établissements ».

Le comité reconnait aussi un « manque de clarté et d’informations sur les formations privée » alors qu’ « en 2025, 40 % des formations offertes sur Parcoursup sont privées, dont la moitié sont hors contrat ».

Le problème de l’anonymat

Le comité reconnait qu’une question se pose lors de l’examen des candidatures sur Parcoursup : l’anonymat des candidats. Celui-ci est en principe de mise, « cependant, cet anonymat n’existe pas pour les CPGE avec internat (la grande majorité) ».

Du côté de l’anonymat des lycées d’origine, il indique que celui-ci « serait souhaitable, mais il nécessiterait une harmonisation préalable des notations par les lycées, ce pour quoi le Comité milite ». Il conseille « en attendant […] d’augmenter la transparence, notamment sur la prise en compte du lycée d’origine dans les barèmes de points conduisant au classement dans certaines formations ».

Il note que « concernant Mon Master, les candidatures sont nominatives et personne ne réclame l’anonymat ». Le contact entre les différentes formations, enseignants et étudiants « est heureux pour la vie scientifique et fait que les communautés se connaissent ». Il ajoute que « beaucoup de masters organisent des entretiens lors du classement de leurs candidats », ce qui rend impossible, de fait, un anonymat. On peut ajouter que certaines formations conseillent de les contacter avant de candidater pour montrer sa motivation.

Apple Says It'll Use Apple Maps Look Around Photos To Train AI

Par : msmash
25 mars 2025 à 16:54
An anonymous reader shares a report: Sometime earlier this month, Apple updated a section of its website that discloses how it collects and uses imagery for Apple Maps' Look Around feature, which is similar to Google Maps' Street View, as spotted by 9to5Mac. A newly added paragraph reveals that, beginning in March 2025, Apple will be using imagery and data collected during Look Around surveys to "train models powering Apple products and services, including models related to image recognition, creation, and enhancement." Apple collects images and 3D data to enhance and improve Apple Maps using vehicles and backpacks (for pedestrian-only areas) equipped with cameras, sensors, and other equipment including iPhones and iPads. The company says that as part of its commitment to privacy, any images it captures that are published in the Look Around feature have faces and license plates blurred. Apple also says it will only use imagery with those details blurred out for training models. It does accept requests for those wanting their houses to also be blurred, but by default they are not.

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En direct, Proche-Orient : plus de 21 000 personnes ont fui les massacres en Syrie vers le Liban, selon l’ONU

D’après un rapport consulté par l’Agence France-Presse, le Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR) a recensé l’arrivée dans le nord du Liban de 21 637 personnes en provenance de Syrie, en raison des massacres qui ont eu lieu sur la côte syrienne au début de mars.

© Laurence Geai /MYOP

Des Syriens de confession alaouite souhaitant fuir la Syrie, bloqués au passage-frontière de Masnaa, à la frontière syro-libanaise, le 12 décembre 2024.

Amours de jeunesse : « A l’époque, en 1986, nous n’avions ni la grammaire ni le vocabulaire d’une relation homosexuelle »

Ils se sont connus, se sont aimés, se sont séparés. Puis le tourbillon de la vie les a fait se retrouver. Thorsten, 58 ans, raconte son histoire avec Pascal, qui, en février, avait confié au « Monde » sa version de leurs retrouvailles.

© Hélène Blanc

Assemblée nationale : le gouvernement devrait renoncer à bousculer l’ordre du jour face à l’opposition des présidents de groupe

La modification du calendrier de l’Hémicycle souhaitée par l’exécutif a été largement désapprouvée lors de la conférence des présidents, mardi 25 mars au matin.

© LUDOVIC MARIN/AFP

L’assemblée nationale, le 13 novembre 2024.

A Gaza, un journaliste d’Al-Jazira victime d’une frappe : « Si vous lisez ceci, cela signifie que j’ai été tué »

La voiture de Hossam Shabat a été visée par l’armée israélienne, qui l’accuse d’être « un tireur d’élite » du Hamas. Plus de 200 journalistes sont morts dans l’enclave depuis octobre 2023.

© BASHAR TALEB / AFP

Funérailles du journaliste Hossam Shabat, qui collaborait avec Al-Jazira Mubasher, et de Mohammad Mansour, employé de la chaîne Palestine Today TV, à Gaza, le 24 mars 2025.

Transports en Ile-de-France : Transdev et ATM récupèrent la gestion de 37 lignes de bus exploitées par la RATP

Du fait de l’ouverture à la concurrence, 2 600 emplois (en équivalent temps plein) vont quitter le giron de l’opérateur historique pour rejoindre les deux autres prestataires.

© GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP

Un bus, à Paris, le 10 juillet 2024.

NVIDIA GeForce RTX 5070 Linux Gaming/Graphics Performance

25 mars 2025 à 16:45
Earlier this month for launch-day there were NVIDIA GeForce RTX 5070 Linux GPU compute benchmarks. The graphics/gaming benchmarks of the GeForce RTX 5070 on Linux were held up by waiting for a new R570 Linux driver release with proper support for this new Blackwell graphics card. Last week that new Linux driver arrived in the form of the NVIDIA 570.133.07 Linux build. That new NVIDIA Linux driver is working out great with the GeForce RTX 5070 Founder's Edition and in this article are some initial Linux gaming/graphics performance benchmarks for that new graphics card competing with the AMD Radeon RX 9070 series.

Guerre en Ukraine : la Russie et l'Ukraine vont cesser les hostilités en mer Noire, selon la Maison-Blanche

Selon deux communiqués publiés ce mardi par l’exécutif américain, les deux belligérants se sont engagés à «assurer la sécurité de la navigation, supprimer l’usage de la force et empêcher l’utilisation de navires commerciaux pour des objectifs militaires en mer Noire».

© Joshua Roberts / REUTERS

Washington «va continuer à organiser des négociations entre les deux parties afin de trouver une issue pacifique» selon les communiqués publiés ce mardi par la Maison Blanche.

Ces nouveaux indices qui montrent que la vie a peut-être existé sur Mars

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© NASA/JPL-Caltech/MSSS

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Haute-Marne : les images spectaculaires de la collision entre deux avions de la Patrouille de France

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© Le Figaro

La collision entre deux avions de la Patrouille de France à Saint-Dizier

Un Français sur trois affirme boycotter des produits américains pour protester contre la politique de Trump

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© FOTO_STOCKER - stock.adobe.com

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Trump Media va lancer un fonds d'investissement en cryptos, le titre s'envole

Le président américain est l’actionnaire majoritaire de Trump Media, dont l’action s’est effondrée de plus de 57% depuis le début de son second mandat fin janvier.

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© Photo HANDOUT/AFP

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Au Japon, la secte Moon pourrait perdre le statut d’organisation religieuse

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© PHOTO KAZUHIRO NOGI/AFP

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Deux journalistes bombardés à Gaza : “Si vous lisez ceci, cela signifie que j’ai été tué”

En l’espace de quelques heures, un reporter de la chaîne palestinienne “Palestine Today” et un autre du média panarabe “Al-Jazeera” ont perdu la vie suite à des bombardements israéliens le 24 mars dans le nord et le sud de la bande de Gaza. Ce qui porte à plus de 200 le nombre de journalistes ayant péri depuis le début de la guerre dans l’enclave palestinienne.

© PHOTO OMAR AL-QATTAA/AFP

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