L’arrivée des trithérapies a fait du VIH-Sida une maladie paradoxale : on n’en meurt plus et les gens n’en ont plus peur. Mais ils sont aussi beaucoup moins informés, se protègent mal, et les patients continuent à subir une forte discrimination.
REPORTAGE - Cette formation, organisée par la Maison des femmes ce jeudi, en présence de la députée Sandrine Josso, s’adressait également aux juristes, gendarmes ou membres d’associations prenant en charge des victimes.
De gauche à droite : Dr Christine Louis-Vahdat, représentante du CNOM ; la députée Sandrine Josso ; la gynécologue Ghada Hatem, fondatrice de la Maison des Femmes ; Leïla Chaouachi, pharmacienne au Centre d’addictovigilance de Paris, experte de la soumission chimique ; Félix lemaitre, auteur d’une enquête sur la soumission chimique ; Aurélie Croiziers de Lacvivier, victime de soumission chimique et autrice d’un livre sur son vécu.
ENQUÊTE - Un rapport publié par des syndicats étudiants montre que de nombreux futurs médecins vont mal. Plusieurs professionnels et futurs professionnels de santé ont accepté de témoigner pour Le Figaro.
D’après le rapport, 66% des internes et externes sont en burn-out et 21% des étudiants ont rapporté avoir eu des idées suicidaires pendant l’année. (Image d’illustration)
DÉCRYPTAGE - Dans un rapport présenté aujourd’hui à l’Assemblée nationale, les sages regrettent que ces services souvent au bord de la rupture voient affluer des patients qui ne devraient pas relever d’eux.
Demandé par l’Université d’Aix-Marseille sur 8 études publiées, ce document rendu en janvier dernier a été révélé dans «L’Express» grâce à l’opiniâtreté d’un chercheur indépendant.
Didier Raoult en juin 2020 à l’Assemblée nationale, lors d’une audition par la mission d’information sur l’impact, la gestion et les conséquences de l’épidémie de coronavirus.
RÉCIT - Des malades qui ont vu apparaître des symptômes graves dans la foulée d’une injection, racontent au Figaro leur bataille pour faire reconnaître la causalité, disant se heurter à une «omerta» médicale.
Plus efficaces que les bien connus bridges, couronnes et dentiers, ils ne sont actuellement pas pris en charge par la Sécurité sociale. Or ils ont pleinement leur place et doivent être accessibles, estime l’autorité sanitaire, qui détaille également les bonnes pratiques à respecter.
Un programme pilote doit être mis en place en 2025 pour évaluer la faisabilité du dépistage par scanner des fumeurs et anciens fumeurs, avant une éventuelle généralisation d’ici 5 ou 10 ans. Pourquoi un tel délai ?
DÉCRYPTAGE - La campagne de vaccination contre la grippe et le Covid a démarré ce mardi 15 octobre. Après deux hivers assez inhabituels, les spécialistes s’attendent à une circulation des virus un peu plus normale.
Si, depuis la pandémie, les intentions vaccinales ont globalement augmenté, plusieurs personnes à risque y sont encore réticentes, révèle l’enquête CoviPrev de Santé publique France.
«Selon les objectifs fixés par l'OMS, il faudrait que 75 % de la population à risque ait recours à la vaccination», rappelle Anne-Claude Crémieux, présidente de la commission technique des vaccinations de la HAS.
Depuis trente ans, le nombre de mélanomes, qui est le plus grave des cancers de la peau, a été multiplié par 5. En 2023, 17.992 nouveaux cas ont été diagnostiqués en France.
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