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Aujourd’hui — 29 avril 2024Actualités numériques

RX 7900 XTX Phoenix Nirvana : XFX monte d'un cran son haut de gamme AMD Radeon

 Le lancement n'est pas encore pour tout de suite donc nous allons rester un peu sur notre faim en ce qui concerne notamment les photos de la bête, mais XFX vient d'annoncer via la boutique chinoise JD.com la disponibilité prochaine d'une toute nouvelle AMD Radeon RX 7900 XT 24 Go et par la même occ...

Test clavier Galaxy80 d'Epomaker X Feker : une tuerie à petit prix !

29 avril 2024 à 10:17
Aujourd’hui, on teste le Galaxy80 d’Epomaker X Feker, comprenez qu’il s’agit d’une collaboration entre Feker et Epomaker associant l’expertise de l’un et la capacité de distribution et de production à bas coût de l’autre. Et on ne va pas y aller par quatre chemins, le titre vous en dit déjà beaucoup sur ce que nous pensons de ce clavier, nous l’avons tout simplement adoré !

XFX tease une imposante carte graphique Radeon RX 7900 XTX Phoenix Nirvana

29 avril 2024 à 11:15

XFX nous prépare une nouvelle carte graphique, qui s'annonce imposante, il s'agit d'une Radeon RX 7900 XTX Phoenix Nirvana ! La carte occupera 3.5 slots (sic) avec une longueur de 34.6 centimètres, pour une hauteur de 13.2 centimètres et une largeur de 6.8 centimètres... […]

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Colorful complète sa gamme Mini Frozen avec une alimentation et un ventirad

29 avril 2024 à 10:52

La semaine dernière, Colorful présentait un nouveau boitier au format Mini-ITX, le C24 Mini Frozen. Un modèle intéressant qui se voit aujourd'hui complété par deux produits indispensables : un ventirad top-flow et une alimentation au format SFX. Avec une carte mère et une carte graphique déjà au catalogue, il est donc possible de se monter une configuration Colorful complète, y compris pour la mémoire. Une stratégie qui nous semble être la bonne, avec un écosystème complet et un style qui se retrouve d'un composant à l'autre. Ici, c'est du blanc, et c'est discret. […]

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America's First Big-Rig Hydrogen Fuel Station Opens in California

Par : EditorDavid
29 avril 2024 à 11:34
Oakland, California is now home to "the first commercial hydrogen fuel station for big-rig trucks in the United States," according to the Los Angeles Times — serving 30 hydrogen fuel-cell trucks. The newspaper says the facility "could mark the start of a nationwide network for fuel-cell truck refueling. It could also flop." Hydrogen fuel is expensive — as much as four times more expensive than gasoline or diesel fuel. The fuel cells, which drive electric motors to drive the truck, are enormously expensive as well.... The vehicles themselves are expensive too. Both battery electric and hydrogen fuel-cell trucks can cost three times as much or more than a $120,000 diesel truck. Those buying the trucks can qualify for state and federal subsidies to make up most of the upfront costs. But government regulations may spark some demand: New diesel truck sales will be outlawed in California by 2036. Only zero-tailpipe-emission new trucks will be allowed. Already, zero-emission requirements are in place for trucks that enter ocean ports. And only two technologies are available to achieve that goal: battery electric trucks and hydrogen fuel-cell trucks. "We believe a good portion of those will be hydrogen vehicles," said Matt Miyasato, chief of public policy for hydrogen fuel distributor FirstElement Fuel. FirstElement, through its True Zero brand fueling stations, is the largest hydrogen vehicle fuel distributor in the U.S... Battery electric is gaining a strong foothold in the medium-sized delivery truck market, but hydrogen could have a leg up for long-haul trucking. While a fuel cell is comparable in size to a diesel engine, a battery big enough for long-haul trucks adds weight and size and cuts down on the total freight load the truck can deliver. And while an electric truck battery can take hours to recharge, the refill time for hydrogen is more comparable to filling up with diesel fuel.

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Instabilités des Core Raptor Lake : Intel nie toute responsabilité

Les problèmes de stabilité rencontrés par certains possesseurs processeurs Intel Raptor Lake K ont assaisonné bon nombre de nos recettes au goût de silicium de ces dernières semaines. Bonne nouvelle, nous en sommes désormais au dessert, et bientôt au digestif... [Tout lire]

ENERMAX Marbleshell MS31 : Un boitier accessible au style indéfinissable

29 avril 2024 à 09:45

Ce jour, en vidéo chez nous, le nouveau petit boitier ATX/E-ATX d'Enermax, le Marbleshell MS31. Un boitier que l'on trouve à 72.90 euros, qui propose un style organique, 4 ventilateurs de 120 mm en ARGB, de l'USB Type-C, un panneau en verre trempé et un châssis qui comprend de nombreux passages pour le câble management, ainsi qu'un cache alimentation.En partenariat avec GVGMALL : Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]

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Quatre nouvelles cartes Intel Arc chez Sparkle

29 avril 2024 à 09:09

Sparkle poursuit son indéfectible soutient envers Intel et ses GPUs Arc, avec quatre nouveaux modèles annoncés, les Arc A770 16 Go ROC Luna OC Edition, Arc A770 16 Go ROC OC Edition, Arc A750 8 Go ROC Luna OC Edition, Arc A750 8 Go ROC OC Edition. Les nouvelles cartes intègrent la gamme ROC, qui nous rappellerait presque une gamme ROG, elles sont toutes overclockées d'usine et se différencient par leur coloris, blanc ou noir, selon si elles sont LUNA ou pas, ce qui ajoute quelques dollars au prix final... […]

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Maintenant 379 dollars pour une RX 7700 XT, et chez nous en France ?

29 avril 2024 à 08:56

Vous le savez nous suivons de près les prix des cartes graphiques, dans le monde et en France. Ce jour, C'est la RX 7700 XT qui a le droit à une nouvelle baisse de prix, aux USA, comme souvent. Et donc, on tombe à 379 dollars pour un modèle en ASRock Challenger. Pour rappel, la carte est en NAVI 32, avec 3456 SP et 12 Go de GDDR6, interfacés en 192 bits. […]

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Valetudo : un remplacement Cloud pour vos aspirobots

29 avril 2024 à 10:45

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

Valetudo est un service indépendant pensé pour libérer vos aspirateurs robots asservis par le Cloud tyrannique de leur fabricant. Lancé en 2018 le service a gagné en fonctionnalités et en compatibilité pour devenir aujourd’hui une solution assez mature.

L’interface web exploitable au smartphone de Valetudo remplace l’app du fabricant.

L’objectif de Valetudo est donc de proposer un service débarrassant les aspirateurs robots d’utiliser un service dans les nuages pour nettoyer chez vous. Pensé pour être exploité facilement et sans contraintes de réseau, il est conçu et maintenu par des internautes bénévoles. Impossible de connaitre exactement le succès du service puisque les développeurs ne veulent pas engager de statistiques dans ce sens pour des raisons de confidentialité des données et que le projet n’a pas de vocation commerciale. Mais il est vraisemblable que plusieurs milliers d’aspirateurs asservis aient retrouvés leur liberté de vaquer a aspirer de la poussière sans remonter où et quand à des serveurs extérieurs.

Les avantages de se passer d’un modèle dans les nuages pour ce type d’outil sont évidents. Outre le fait que le serveur dont est dépendant vos aspirateur pour commencer a travailler est présent, il est également possible qu’il soit compromis, revendu ou que les conditions générales de son utilisation changent dans le temps. Un aspirobot dépendant d’un serveur situé à des milliers de kilomètres pour aspirer des poussières chez vous pose de nombreux problèmes.

Outre le fait qu’une marque puisse, pour une raison ou une autre, ne pas renouveler son serveur est déjà problématique. Souvent en matière d’Internet des Objets, cela se traduit par une magnifique transformation en presse papier. Mais ce type de service peut également récolter des statistiques que vous n’avez pas forcément envie de partager. Comme votre localisation, les horaires d’utilisation de votre appareil, la surface où il est employé, etc. Avoir recours à un service indépendant évitera également des mises à jour forcée. Ce qui peut être bénéfique ou problématique. Certaines de ces mises à jour peuvent corriger des bugs ou combler des failles de sécurité. D’autres posent des problèmes en rajoutant des comportements quel ‘on voudrait éviter. A chacun de doser votre usage donc, une fois les ponts coupés avec le fabricant, il faudra se débrouiller seul. 

Valeronoi est une extension qui cartographie la force du signal Wi-Fi capté par votre aspirateur.

Une fois basculé sous Valetudo de nombreuses possibilités sont ouvertes comme l’intégrer sous Home Assistant ou utiliser des extensions tierces. Un détail expliquant pourquoi il est utile ou non d’utiliser Valetudo y est également proposé ainsi qu’un listing des modèles compatibles et la démarche a suivre pour les rendre compatibles avec le système. Pour vopus engouffrer dans ce nouvel univers, une page de démarrage est prévue.

Attention, Valetudo est libre, Open-Source et optionnel. Il est totalement sans garantie et demande des compétences techniques évidentes. Ne jouez pas avec au hasard sous peine de « briquer » votre aspirateur.

Valetudo : un remplacement Cloud pour vos aspirobots © MiniMachines.net. 2024.

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ La CNIL clôt une procédure après la mise en conformité d’une entreprise qui violait le RGPD et le Code du travail

29 avril 2024 à 10:07
Logo CNIL

Une entreprise exigeait des candidats à l’embauche des informations qu’elle n’avait aucunement le droit de leur demander, en violation du Code du travail et du RGPD. La société « s’étant conformée » à la mise en demeure que la CNIL lui avait adressé, sa présidente a « clôturé la procédure », et n’a donc pas révélé son identité.

La CNIL explique avoir été saisie d’une plainte à l’encontre d’une société qui collectait de nombreuses données personnelles de candidats à l’embauche.

L’entreprise réclamait en effet aux candidats de « fournir obligatoirement » leur lieu de naissance, nationalité, situation de famille (et s’ils étaient en couple, les nom et prénom de leur conjoint, leur date et lieu de naissance, profession, le nombre d’enfants et leur âge) ainsi que « l’ensemble des salaires perçus dans les entreprises précédentes (salaire brut annuel global dont variable) ».

La présidente de la CNIL a rappelé dans ce contexte à la société que, dans le cadre d’un recrutement, n’est pas justifiée la collecte auprès d’un candidat à un emploi :

  • des informations relatives aux membres de sa famille ;
  • du lieu de naissance du candidat ;
  • d’informations relatives à la nationalité d’un candidat pour évaluer sa capacité à occuper l’emploi proposé. Or, précise la CNIL, un niveau de détail agrégé (par exemple sous forme de trois options : « Français », « ressortissant de l’Union européenne » ou « hors UE ») devrait suffire, notamment pour les emplois dits « de souveraineté ». A contrario, souligne la CNIL, et dans le cas des candidats de nationalité étrangère, les informations relatives à la possession d’un titre les autorisant à travailler en France font partie des données « susceptibles d’être collectées » dans le cadre du recrutement ;
  • du montant des salaires perçus par le passé d’un candidat, à l’initiative d’un recruteur. Or, explique la CNIL, cette collecte est contraire au principe de minimisation qui impose au responsable de traitement de traiter des informations limitées à ce qui est nécessaire à la réalisation des objectifs poursuivis.

La CNIL rappelle que dans le cadre d’un recrutement, le principe de minimisation (qui « prévoit que les données à caractère personnel doivent être adéquates, pertinentes et limitées à ce qui est nécessaire au regard des finalités pour lesquelles elles sont traitées ») doit conduire le recruteur à ne collecter que les données présentant « un lien direct et nécessaire avec l’emploi proposé ou avec l’évaluation des aptitudes professionnelles » selon le Code du travail.

De plus, ce n’est qu’au stade de l’embauche, c’est-à-dire une fois la candidature définitivement retenue, que l’employeur pourra alors collecter des données supplémentaires (état civil complet, comprenant notamment la date et le lieu de naissance, l’adresse postale, le numéro de Sécurité sociale, les copies des justificatifs, etc.).

En effet, seules les données des candidats retenus « sont nécessaires pour l’accomplissement des formalités obligatoires de l’employeur (déclaration préalable à l’embauche, déclaration sociale nominative, etc.) ».

Pour aider les employeurs, la CNIL a d’ailleurs publié en janvier 2023 un guide dédié au recrutement.

☕️ Chiffrement : WhatsApp menace de quitter l’Inde

29 avril 2024 à 09:04
WhatsApp

WhatsApp refuse actuellement de se soumettre à une partie du cadre juridique indien sur les messageries.

Et pour cause, ce dernier impose aux intermédiaires une traçabilité des messages et la possibilité d’identifier leurs auteurs à tout moment. Ces mesures ont été adoptées en 2021 pour des raisons de sécurité, notamment la lutte contre les fakenews.

Pour assurer de telles obligations, WhatsApp serait forcée de casser son chiffrement de bout en bout. Or, la filiale de Meta ne le veut pas :

« En tant que plateforme, nous disons que si l’on nous demande de casser le cryptage, alors WhatsApp disparaît. Une telle règle n’existe nulle part ailleurs dans le monde, pas même au Brésil. Nous devrons conserver une chaîne complète et nous ne savons pas quels messages devront être déchiffrés. Cela signifie que des millions et des millions de messages devront être stockés pendant plusieurs années »

La référence au Brésil n’est pas anodine. WhatsApp était en guerre avec la justice brésilienne il y a quelques années et avait d’ailleurs été condamnée. À cause d’enquêtes bloquées, les forces de l’ordre exigeaient de l’entreprise qu’elle perce ses propres défenses. À l’instar de ce que réclamait le FBI d’Apple après le massacre de San Bernardino.

Il n’existe aucun moyen pour que WhatsApp applique de telles mesures pour la seule Inde. Le pays a beau être au premier rang des utilisateurs du service (400 millions de personnes), l’entreprise menace de le quitter s’il ne revoit pas sa position. Elle a d’ailleurs mis en ligne une note technique sur la notion de traçabilité des messages et pourquoi elle s’y oppose. L’Inde n’est pas nommée, mais le message semble clair.

Déclaration d'Intel sur les problèmes de stabilité : Les fabricants de cartes mères sont à blâmer

29 avril 2024 à 08:15

Cela fait quelque temps maintenant que nous évoquons les problèmes de stabilité des processeurs Intel Raptor Lake et Raptor Lake Refresh. C'est d'ailleurs NVIDIA qui avait soulevé en premier ses problèmes avec les processeurs 13000 et 14000 des bleus. Et selon les premiers retours, les problèmes enregistrés venaient des modifications des courbes de tension, des overclocks automatiques, et de la suppression les limites de puissance. […]

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