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Reçu aujourd’hui — 1 juillet 2025Actualités numériques

Proton attaque le « monopole » d’Apple en justice

1 juillet 2025 à 09:42
Interactions électrostatiques
Proton attaque le « monopole » d’Apple en justice

Proton initie une nouvelle procédure en justice contre Apple aux États-Unis. L’éditeur suisse dénonce un monopole sur la distribution d’applications et le paiement au sein d’iOS, et joint ses forces aux différentes actions déjà engagées à l’encontre de la firme de Cupertino. Apple vient par ailleurs d’être débouté de son appel contre le département de la Justice américain, ce qui ouvre la voie à un procès pour abus de position dominante…

Éditeur d’une suite de services qui met en avant le respect de la vie privée, le suisse Proton ouvre un nouveau front judiciaire contre Apple. La société a en effet initié, lundi 30 juin, une action collective en justice auprès d’un tribunal de Californie (PDF), au motif que le constructeur de l’iPhone entretiendrait un monopole autour de la distribution d’applications au sein de son environnement iOS. Proton attaque plus spécifiquement deux aspects : l’absence d’alternative à l’App Store sur iPhone ou iPad, mais aussi la façon dont Apple utilise la brique de paiement dédiée aux achats in-app pour verrouiller le marché.

Une plainte de plus  ?

Les motivations de la plainte ne sont pas nouvelles, et Proton ne cache d’ailleurs pas son intention d’ajouter sa voix à celle des plaignants ayant déjà engagé des procédures similaires à l’encontre d’Apple. Dans un long billet d’annonce, la société suisse rappelle d’ailleurs les différentes condamnations d’Apple, estimant que les pratiques de cette dernière ont depuis longtemps déjà « été considérées comme anticoncurrentielles et illégales dans de nombreuses juridictions à travers le monde ».

Dans sa communication, Proton rappelle opportunément l’affaire Epic, dans laquelle Apple était accusée début mai de n’avoir pas respecté une injonction de la Cour et d’avoir menti sous serment via l’un de ses vice-présidents, mais aussi la récente amende de 500 millions d’euros prononcée par la Commission européenne le 22 avril dernier, pour non-respect des règles de concurrence édictées par le Digital Markets Act (DMA). Une sanction que Proton, Spotify, Deezer et d’autres éditeurs européens ont ouvertement appelée de leurs vœux.

Pourquoi, dans ce contexte, lancer une nouvelle procédure, à plus forte raison quand une association d’éditeurs coréens, la Korean Publishers Association, vient précisément d’ouvrir une action collective pour des motifs similaires, déposée devant le même tribunal, le 23 mai dernier ?

« En nous joignant à cette action en justice, nous garantissons qu’elle portera non seulement sur des dommages et intérêts destinés à indemniser les développeurs d’applications pour le préjudice causé par la conduite d’Apple, mais aussi sur des modifications des politiques de l’App Store qui amélioreront l’état d’Internet », affirme Proton.

Un préjudice économique… et démocratique ?

L’éditeur suisse, qui a pour mémoire confié sa gouvernance à une fondation à l’occasion de ses dix ans, promet que les éventuels dommages et intérêts obtenus suite à cette plainte seront redistribués par cette dernière en direction d’associations de défense de la démocratie et des droits humains. Outre l’argument économique de l’entrave à la libre concurrence, Proton avance en effet dans sa communication que les pratiques d’Apple nuisent à la fois au respect de la vie privée des utilisateurs, mais aussi à la liberté d’expression dans son ensemble.

« Les entreprises qui monétisent les données des utilisateurs en échange de services « gratuits » portant atteinte à votre vie privée ne sont pas concernées, car elles ne traitent pas les paiements via l’App Store. En revanche, les entreprises soucieuses de la confidentialité qui monétisent leurs données par le biais d’abonnements sont touchées de manière disproportionnée par ces frais, ce qui constitue un obstacle majeur à l’adoption de modèles économiques axés sur la confidentialité ». En tant qu’éditeur qui fait du respect de la vie privée une priorité, Proton serait directement victime de ces choix stratégiques.

Le Suisse va même un cran plus loin, en déclarant que la main-mise d’Apple sur la distribution d’applications constitue un levier actionnable à des fins de censure, ou de restrictions des libertés individuelles. « La réalité, c’est que [ces pratiques] ont fait d’Apple le point de défaillance unique [single point of failure] de la liberté d’expression et un outil pour les dictatures », écrit l’entreprise.

En 2020, Proton clamait déjà avoir été victime d’une censure de la part d’Apple. L’éditeur affirmait avoir été menacé d’un retrait de son application ProtonVPN de l’App Store, s’il ne supprimait pas, dans la description associée, la mention d’une possibilité de contourner la censure de certains sites. « Nous ne remettons pas en question le droit d’Apple d’agir au nom des régimes autoritaires dans un souci de profit, mais le monopole d’Apple sur la distribution des applications iOS signifie qu’il peut imposer cette politique perverse à tous les développeurs d’applications, les forçant ainsi à être également complices », argue désormais Proton.

Cette nouvelle procédure intervient alors qu’Apple vient de modifier substantiellement les règles de l’App Store dans l’Union européenne : la firme de Cupertino y autorise par exemple les éditeurs à utiliser d’autres systèmes de paiement que celui intégré dans l’App Store, mais elle assortit cette option d’un avertissement qui peut sembler dissuasif. Aux États-Unis, les avancées du procès Epic sont également susceptibles de mettre un terme à la règle historique des 30% de commission…

Vers un procès pour abus de position dominante ?

L’action collective de Proton n’est peut-être pas la préoccupation numéro un des juristes de Cupertino. Lundi, Apple a en effet enregistré un revers significatif dans une autre procédure, initiée cette fois par le département de la Justice (DoJ) des États-Unis.

Associé à quinze États, le DoJ a en effet officiellement engagé des poursuites à l’encontre d’Apple, pour abus de position dominante, en mars 2024, avec un éventail de reproches qui dépasse largement ceux formulés par Proton dans sa propre plainte.

Apple a logiquement interjeté appel de cette procédure et demandé son annulation, en arguant notamment que la Justice ne démontrait ni l’existence d’un monopole, ni la conduite d’actions anticoncurrentielles, et en réfutant l’action de l’état fédéral en la matière. Dans sa décision, rendue lundi 30 juin, le juge Julien Xavier Neals bat méthodiquement en brèche chacun de ces arguments (PDF), et finit par rejeter la demande d’Apple, ouvrant donc la voie à un procès antitrust de grande ampleur.

Proton attaque le « monopole » d’Apple en justice

1 juillet 2025 à 09:42
Interactions électrostatiques
Proton attaque le « monopole » d’Apple en justice

Proton initie une nouvelle procédure en justice contre Apple aux États-Unis. L’éditeur suisse dénonce un monopole sur la distribution d’applications et le paiement au sein d’iOS, et joint ses forces aux différentes actions déjà engagées à l’encontre de la firme de Cupertino. Apple vient par ailleurs d’être débouté de son appel contre le département de la Justice américain, ce qui ouvre la voie à un procès pour abus de position dominante…

Éditeur d’une suite de services qui met en avant le respect de la vie privée, le suisse Proton ouvre un nouveau front judiciaire contre Apple. La société a en effet initié, lundi 30 juin, une action collective en justice auprès d’un tribunal de Californie (PDF), au motif que le constructeur de l’iPhone entretiendrait un monopole autour de la distribution d’applications au sein de son environnement iOS. Proton attaque plus spécifiquement deux aspects : l’absence d’alternative à l’App Store sur iPhone ou iPad, mais aussi la façon dont Apple utilise la brique de paiement dédiée aux achats in-app pour verrouiller le marché.

Une plainte de plus  ?

Les motivations de la plainte ne sont pas nouvelles, et Proton ne cache d’ailleurs pas son intention d’ajouter sa voix à celle des plaignants ayant déjà engagé des procédures similaires à l’encontre d’Apple. Dans un long billet d’annonce, la société suisse rappelle d’ailleurs les différentes condamnations d’Apple, estimant que les pratiques de cette dernière ont depuis longtemps déjà « été considérées comme anticoncurrentielles et illégales dans de nombreuses juridictions à travers le monde ».

Dans sa communication, Proton rappelle opportunément l’affaire Epic, dans laquelle Apple était accusée début mai de n’avoir pas respecté une injonction de la Cour et d’avoir menti sous serment via l’un de ses vice-présidents, mais aussi la récente amende de 500 millions d’euros prononcée par la Commission européenne le 22 avril dernier, pour non-respect des règles de concurrence édictées par le Digital Markets Act (DMA). Une sanction que Proton, Spotify, Deezer et d’autres éditeurs européens ont ouvertement appelée de leurs vœux.

Pourquoi, dans ce contexte, lancer une nouvelle procédure, à plus forte raison quand une association d’éditeurs coréens, la Korean Publishers Association, vient précisément d’ouvrir une action collective pour des motifs similaires, déposée devant le même tribunal, le 23 mai dernier ?

« En nous joignant à cette action en justice, nous garantissons qu’elle portera non seulement sur des dommages et intérêts destinés à indemniser les développeurs d’applications pour le préjudice causé par la conduite d’Apple, mais aussi sur des modifications des politiques de l’App Store qui amélioreront l’état d’Internet », affirme Proton.

Un préjudice économique… et démocratique ?

L’éditeur suisse, qui a pour mémoire confié sa gouvernance à une fondation à l’occasion de ses dix ans, promet que les éventuels dommages et intérêts obtenus suite à cette plainte seront redistribués par cette dernière en direction d’associations de défense de la démocratie et des droits humains. Outre l’argument économique de l’entrave à la libre concurrence, Proton avance en effet dans sa communication que les pratiques d’Apple nuisent à la fois au respect de la vie privée des utilisateurs, mais aussi à la liberté d’expression dans son ensemble.

« Les entreprises qui monétisent les données des utilisateurs en échange de services « gratuits » portant atteinte à votre vie privée ne sont pas concernées, car elles ne traitent pas les paiements via l’App Store. En revanche, les entreprises soucieuses de la confidentialité qui monétisent leurs données par le biais d’abonnements sont touchées de manière disproportionnée par ces frais, ce qui constitue un obstacle majeur à l’adoption de modèles économiques axés sur la confidentialité ». En tant qu’éditeur qui fait du respect de la vie privée une priorité, Proton serait directement victime de ces choix stratégiques.

Le Suisse va même un cran plus loin, en déclarant que la main-mise d’Apple sur la distribution d’applications constitue un levier actionnable à des fins de censure, ou de restrictions des libertés individuelles. « La réalité, c’est que [ces pratiques] ont fait d’Apple le point de défaillance unique [single point of failure] de la liberté d’expression et un outil pour les dictatures », écrit l’entreprise.

En 2020, Proton clamait déjà avoir été victime d’une censure de la part d’Apple. L’éditeur affirmait avoir été menacé d’un retrait de son application ProtonVPN de l’App Store, s’il ne supprimait pas, dans la description associée, la mention d’une possibilité de contourner la censure de certains sites. « Nous ne remettons pas en question le droit d’Apple d’agir au nom des régimes autoritaires dans un souci de profit, mais le monopole d’Apple sur la distribution des applications iOS signifie qu’il peut imposer cette politique perverse à tous les développeurs d’applications, les forçant ainsi à être également complices », argue désormais Proton.

Cette nouvelle procédure intervient alors qu’Apple vient de modifier substantiellement les règles de l’App Store dans l’Union européenne : la firme de Cupertino y autorise par exemple les éditeurs à utiliser d’autres systèmes de paiement que celui intégré dans l’App Store, mais elle assortit cette option d’un avertissement qui peut sembler dissuasif. Aux États-Unis, les avancées du procès Epic sont également susceptibles de mettre un terme à la règle historique des 30% de commission…

Vers un procès pour abus de position dominante ?

L’action collective de Proton n’est peut-être pas la préoccupation numéro un des juristes de Cupertino. Lundi, Apple a en effet enregistré un revers significatif dans une autre procédure, initiée cette fois par le département de la Justice (DoJ) des États-Unis.

Associé à quinze États, le DoJ a en effet officiellement engagé des poursuites à l’encontre d’Apple, pour abus de position dominante, en mars 2024, avec un éventail de reproches qui dépasse largement ceux formulés par Proton dans sa propre plainte.

Apple a logiquement interjeté appel de cette procédure et demandé son annulation, en arguant notamment que la Justice ne démontrait ni l’existence d’un monopole, ni la conduite d’actions anticoncurrentielles, et en réfutant l’action de l’état fédéral en la matière. Dans sa décision, rendue lundi 30 juin, le juge Julien Xavier Neals bat méthodiquement en brèche chacun de ces arguments (PDF), et finit par rejeter la demande d’Apple, ouvrant donc la voie à un procès antitrust de grande ampleur.

Microsoft reporte Windows 12 et prépare Windows 11 25H2

1 juillet 2025 à 09:49

Microsoft aurait finalement décidé de retarder la sortie de son prochaine OS Windows 12. À la place, la firme lancerait sa prochaine grosse update sous la forme d'un Windows 11 version 25H2, qui débarquerait courant fin 2025. Cette mise à jour reposera sur la même plateforme que Windows 11 24H2, ce qui permettra aux appareils déjà sous 24H2 d'effectuer la migration via un petit enablement package. Ainsi on aurait juste besoin d'une simple installation rapide et un redémarrage, plutôt qu'un gros processus de réinstallation complet. En clair, ça ressemblera davantage à une mise à jour mensuelle classique. […]

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Le jeu Monster Hunter Wilds profite d'une conséquente mise à jour, avec une amélioration de la gestion des upscalers !

1 juillet 2025 à 09:40

Le studio Capcom annonce le déploiement d'un conséquent patch 1.020.00.00 pour son jeu Monster Hunter Wilds, espérons qu'une meilleure optimisation en découle... L'espace requis est de 6 Go (19 Go avec pack texture HD) pour la version Steam du titre. La mise à jour vous sera automatiquement proposée à l'ouverture de votre launcher, sauf si vous avez opté pour des paramètres restrictifs, de nombreux changements sont annoncés, ils sont consultables ici. Nous allons nous concentrer sur les apports spécifiques à la version Steam, avec une lueur d'espoir sur la gestion des technologies d'upscaling : […]

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La GeForce RTX 5050 semble être au niveau de la GeForce RTX 4060, hors DLSS4

1 juillet 2025 à 09:21

C'est donc bien aujourd'hui que NVIDIA lance sa nouvelle carte graphique, la GeForce RTX 5050. Une carte entrée de gamme qui est en GB207, avec 2560 Cuda Cores et 8 Go de mémoire vidéo, en GDDR6 et en 128 bits. Nous serons sur une vitesse mémoire de 20 Gbps, ce qui nous donnera une bande passante de 320 Go/sec, comme sur les dernières carte graphique AMD. Le TDP de ce modèle est de 135 watts et un seul et unique connecteur 8 PIN PCI Express est nécessaire pour faire fonctionner la carte. Le MSRP de ce modèle est de 249 dollars. […]

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Sharkoon SKILLER SGK50 Wood, un clavier mécanique qui envoie du bois

1 juillet 2025 à 08:32

Retour du bois chez Sharkoon avec trois nouvelles déclinaisons du clavier SGK50 Wood, et il y en a pour tous les goûts, ou presque, d'autant plus que chaque version est proposée complète et en barebone. Sharkoon ne fait pas les choses à moitié, tout en proposant des tarifs qui restent agressifs malgré l'utilisation d'une boitier en bois : - SKILLER SGK50 S2 Wood à 149.90 U+20AC, 119.90 U+20AC en barebone - SKILLER SGK50 S3 Wood à 159.90 U+20AC, 129.90 U+20AC en barebone - SKILLER SGK50 S4 Gen2 Wood à 169.90 U+20AC, 139.90 U+20AC en barebone Les différences entre les différents modèles sont simples et concernent le format, avec un point important : le layout iso-fr n'est pas proposé, dommage pour les touches en PBT ! […]

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How Robotic Hives and AI Are Lowering the Risk of Bee Colony Collapse

Par :BeauHD
1 juillet 2025 à 10:00
alternative_right shares a report from Phys.Org: The unit -- dubbed a BeeHome -- is an industrial upgrade from the standard wooden beehives, all clad in white metal and solar panels. Inside sits a high-tech scanner and robotic arm powered by artificial intelligence. Roughly 300,000 of these units are in use across the U.S., scattered across fields of almond, canola, pistachios and other crops that require pollination to grow. [...] AI and robotics are able to replace "90% of what a beekeeper would do in the field," said Beewise Chief Executive Officer and co-founder Saar Safra. The question is whether beekeepers are willing to switch out what's been tried and true equipment. [...] While a new hive design alone isn't enough to save bees, Beewise's robotic hives help cut down on losses by providing a near-constant stream of information on colony health in real time -- and give beekeepers the ability to respond to issues. Equipped with a camera and a robotic arm, they're able to regularly snap images of the frames inside the BeeHome, which Safra likened to an MRI. The amount of data they capture is staggering. Each frame contains up to 6,000 cells where bees can, among other things, gestate larvae or store honey and pollen. A hive contains up to 15 frames and a BeeHome can hold up to 10 hives, providing thousands of data points for Beewise's AI to analyze. While a trained beekeeper can quickly look at a frame and assess its health, AI can do it even faster, as well as take in information on individual bees in the photos. Should AI spot a warning sign, such as a dearth of new larvae or the presence of mites, beekeepers will get an update on an app that a colony requires attention. The company's technology earned it a BloombergNEF Pioneers award earlier this year. "There's other technologies that we've tried that can give us some of those metrics as well, but it's really a look in the rearview mirror," [said Zac Ellis, the senior director of agronomy at OFI, a global food and ingredient seller]. "What really attracted us to Beewise is their ability to not only understand what's happening in that hive, but to actually act on those different metrics."

Read more of this story at Slashdot.

SteamOS 3.7.13, plein pot sur les consoles autres que le Steam Deck

1 juillet 2025 à 08:15

Depuis plusieurs jours, les mises à jour sur le canal de développement du Steam Deck sont nombreuses, avec un point commun à chaque sortie : le changelog parle très souvent des consoles ASUS Ally et Lenovo Legion Go S. Avec la prise en charge officielle de SteamOS sur ces machines, il était évident que le système d'exploitation aurait le droit à des corrections fréquentes et nombreuses afin d'assurer une expérience de qualité. Chose visiblement au rendez-vous si on se fie aux différents retours des utilisateurs sur Internet, sans parler des performances légèrement supérieures par rapport à Windows. Depuis hier, toutes ces mises à jour sont disponibles dans le canal stable sous la référence 3.7.13, avec un changelog long comme le bras, qui comprend aussi des points importants pour les possesseurs de Steam Deck, notamment OLED. […]

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Intel publie les drivers Arc et Iris Xe 32.0.101.6913 WHQL

1 juillet 2025 à 08:09

Intel publie les drivers Arc et Iris Xe 32.0.101.6913 WHQL, qu'attendre des nouveaux venus ? Un support optimal pour le jeu Mecha BREAK, ainsi que quelques corrections de bugs rencontrés avec les Intel Arc B-Series et Intel Core Ultra Series 2. Voilà, voilà, la bonne nouvelle réside dans la présence d'une signature numérique, ainsi que dans l'opportunité de télécharger ce nouveau driver ici […]

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La carte graphique ASUS ROG Astral RTX 5090 OC bat un record du monde sous 3DMark Port Royal

1 juillet 2025 à 07:26

La carte graphique ASUS ROG Astral RTX 5090 OC bat le record du monde sous 3DMark Port Royal, cela grâce à l'overclockeur Splave. Le bougre obtient un score de 47375 points, tout de même, l'ancienne marque record était détenu par une RTX 5090D, avec 47196 points. ASUS est évidemment ravi :"et#127942; WORLD RECORD SMASHED! et#128640;et#128170;@SplaveOC conquered 3DMark Port Royal with the ROG Astral GeForce RTX 5090 OC Edition—achieving an incredible 47375 marks! et#128175;" […]

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NVIDIA RTX 5060 Ti 8 Go versus NVIDIA RTX 5060 Ti 16 Go, il n'y a pas match...

1 juillet 2025 à 07:13

Techspot nous propose ce jour la redite d'un article avec un nouveau match entre deux cartes graphiques. Mais vous allez le voir, les deux cartes sont en fait similaires, car nous sommes sur deux RTX 5060 Ti, mais une est en 8 Go et la seconde est en 16 Go. Rappelez-vous, le précédent match opposait les RX 9060 XT 8 et 16 Go. Pour rappel, la GeForce RTX 5060 Ti embarque un GPU GB206 (gravé en 5 nm), dont la fréquence de base est 2.407 GHz, le Boost est fixé à 2.647 GHz, la VRAM est de 8 ou 16 Go de mémoire GDDR7, interfacés en 128-bit. La carte dispose de 4608 Cuda Cores. […]

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NVIDIA va tuer les GeForce GTX 700, 900 et 1000 avec ses prochains drivers

1 juillet 2025 à 06:41

Mauvaise, voire très mauvaise nouvelle pour les Gamers qui sont encore sur des anciennces génération de carte graphiques NVIDIA, car pour sa prochaine série de drivers en série 580, qui remplacera donc les actuels 570, les verts devraient arrêter le support de très nombreuses cartes graphiques. Les GPU concernés seront donc les Maxwell, Pascal et Volta, donc les cartes graphiques de la série GTX 700, GTX 900 et GTX 1000. La Titan V ne sera plus supportée non plus d'ailleurs... Les cartes graphiques GTX 1600 restent par contre supportées, du moins pour le moment. […]

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The Misinput : un clavier bien débile par Blytical ❤️

1 juillet 2025 à 08:35

Le vidéaste Blytical présente The Misinput, un clavier qu’il a patiemment conçu pour être le moins pratique possible. Véritable cauchemar des plus orthodoxes à la religion ortho linéaire, il propose une frappe désordonnée et un non-alignement de l’ensemble des touches. Ah, il est également RGB.

The Misinput

Il y a encore 20 ans, un clavier de ce type n’aurait pas pu voir le jour. Enfin, un ingénieur aurait pu concevoir le Misinput après une soirée largement arrosée, mais le contrôle qualité n’aurait jamais poussé l’objet au-delà de l’étape de conception. Aujourd’hui, avec le développement d’outils logiciels disponibles au grand public pour la conception de circuits imprimés, de services de réalisation de ceux-ci et des composants accessibles, ce type de gadget peut exister.

The Misinput

Evidemment, je ne vais pas vous encourager à fabriquer le Misinput, à moins d’être masochiste, cela n’a aucun intérêt. Mais la construction d’un clavier est le genre de projet qui peut être intéressant à mener. Concevoir son propre outil autour des différents composants qui existent aujourd’hui et qui permettent ce genre de montage : Arduino, ESP32, RPi Pico, Teensy… Cela peut être la réalisation d’une solution classique comme la conception de claviers véritablement sur mesures pour des usages particuliers : jeu, pilotage d’outils, arrangement particuliers des touches…

Le Web regorge de guides et d’informations à ce sujet avec des tutoriels particulièrement complets, des librairies logicielles adaptées pour chaque langue et l’ensemble des composants n’est franchement pas hors de prix. Il ne faut que peu de matériel pour parvenir à ses fins et le résultat peut vraiment valoir de s’y investir un petit peu. Je suis pour ma part en train de fabriquer des Mini claviers dédiés au jeu d’arcade et de tenter de convertir de vieux claviers PS/2 et AT en versions USB. C’est une vraie gageure et donc source de beaucoup d’autant d’amusement.

Merci à Hellgy pour l’info :)

The Misinput : un clavier bien débile par Blytical ❤️ © MiniMachines.net. 2025

☕️ La NASA diffusera bientôt ses lancements de fusée sur Netflix

1 juillet 2025 à 07:47

La NASA s’ouvre une nouvelle fenêtre de visibilité avec la signature d’un accord l’associant au géant de la vidéo en ligne Netflix. Ce dernier sera en effet bientôt en mesure de diffuser les images en direct issues des principales missions de l’agence spatiale américaine, selon les termes d’un partenariat annoncé lundi.

« La loi nationale sur l’aéronautique et l’espace de 1958 [texte fondateur de la NASA, ndlr] nous invite à partager notre histoire de l’exploration spatiale avec le public le plus large possible », fait valoir Rebecca Sirmons, directrice générale de l’agence spatiale.

Le partenariat englobe le périmètre des contenus diffusés aujourd’hui via l’application de streaming NASA+, opérée par l’agence. Celui-ci est vraisemblablement amené à s’enrichir au cours des prochains mois, puisque l’agence évoque la possibilité de visionner des lancements de fusée, mais aussi des sorties d’astronautes dans l’espace, des suivis de mission et des images en direct de la Terre vue depuis la Station spatiale internationale (ISS).

« NASA+ reste accessible gratuitement, sans publicité, au travers de l’application NASA et du site de l’agence », prend soin de préciser l’institution.

Cet accord, dont les modalités financières n’ont pas été précisées, constitue une nouvelle diversification dans la stratégie d’agrégation de contenus mise en place par Netflix. Rappelons que la plateforme américaine a annoncé mi-juin un accord de distribution sans précédent avec le groupe TF1.

Outre la diffusion de ses images, Netflix pourrait également aider l’agence à réaliser de nouveaux contenus

☕️ La NASA diffusera bientôt ses lancements de fusée sur Netflix

1 juillet 2025 à 07:47

La NASA s’ouvre une nouvelle fenêtre de visibilité avec la signature d’un accord l’associant au géant de la vidéo en ligne Netflix. Ce dernier sera en effet bientôt en mesure de diffuser les images en direct issues des principales missions de l’agence spatiale américaine, selon les termes d’un partenariat annoncé lundi.

« La loi nationale sur l’aéronautique et l’espace de 1958 [texte fondateur de la NASA, ndlr] nous invite à partager notre histoire de l’exploration spatiale avec le public le plus large possible », fait valoir Rebecca Sirmons, directrice générale de l’agence spatiale.

Le partenariat englobe le périmètre des contenus diffusés aujourd’hui via l’application de streaming NASA+, opérée par l’agence. Celui-ci est vraisemblablement amené à s’enrichir au cours des prochains mois, puisque l’agence évoque la possibilité de visionner des lancements de fusée, mais aussi des sorties d’astronautes dans l’espace, des suivis de mission et des images en direct de la Terre vue depuis la Station spatiale internationale (ISS).

« NASA+ reste accessible gratuitement, sans publicité, au travers de l’application NASA et du site de l’agence », prend soin de préciser l’institution.

Cet accord, dont les modalités financières n’ont pas été précisées, constitue une nouvelle diversification dans la stratégie d’agrégation de contenus mise en place par Netflix. Rappelons que la plateforme américaine a annoncé mi-juin un accord de distribution sans précédent avec le groupe TF1.

Outre la diffusion de ses images, Netflix pourrait également aider l’agence à réaliser de nouveaux contenus

Abee AI Station : une solution Mini-ITX Strix Halo à l’approche ?

1 juillet 2025 à 07:23

Je ne connaissais pas Abee il y a encore quelques jours mais il ne faut pas beaucoup d’investigation pour comprendre que la marque n’est pas réellement un fabricant de PC. 

Lancée au Japon en 2004, Abee concoit et vend des boitiers en aluminium assez haut de gamme. Son catalogue se compose de trois produits différents : des boitiers, des systèmes de refroidissement et des PC « barebones » construit à partir de ces boitiers. C’est cette troisième catégorie qui nous intéresse ici puisque la marque a annoncé au détour d’un salon la sortie prochaine d’une Abee AI Station.

Il s’agit d’un PC au format Mini-ITX assez classique qui embarque un processeur mobile AMD Ryzen AI Max+ 395 de génération « Strix Halo » et qui proposera donc un circuit graphique AMD Radeon 8060S ainsi qu’un NPU déployant 50 TOPS. La mémoire vive sera de 128 Go de LPDDR5-8000 et le stockage n’est pas indiqué. C’est probablement lié au fait qu’il ne s’agit pas d’un produit complet mais bien d’un barebone même si la mémoire est soudée à la carte mère. 

L’alimentation est une solution 400W et le processeur est refroidi par un dispositif de la marque. Abee développe des systèmes de watercooling qui mettront ici à profit l’épaisseur du châssis pour proposer un fonctionnement silencieux et efficace. On peut supposer que la marque a concu un de ces dispositif pour s’adapter parfaitement au processeur Strix Halo.

Point intéressant et détail non anecdotique de l’ensemble, la partie réseau est double avec un Ethernet 2.5 Gigabit et un Ethernet 10 Gigabit. C’est une information pertinente car aujourd’hui la quasi totalité des minimachines que nous avons croisées avec ce type de puce Strix Halo est en réalité basée sur la même et unique carte mère noname. Une carte emballée dans des châssis légèrement différents. Ici, le format est différent et la connectique de la carte habituelle ne propose pas les mêmes options. On n’y découvre qu’un unique port Ethernet contre deux pour la Abee AI Sattion et surtout un port OCuLink que ce nouveau modèle n’aurait pas manqué de mentionner s’il avait existé.

J’ai depuis plusieurs semaines des annonces de la sortie prochaine d’une carte mère Mini-ITX embarquant des puces AMD Strix Halo. Abee n’étant pas un fabricant de carte mère, il est fort possible qu’il s’agisse ici d’un premier PC à ce format qui proposera les fameuses puces AMD Ryzen AI Max+ 395. Si cela permet à la marque de vendre un châssis, une alimentation et un watercooling de son cru tout en se faisant de la publicité, cela semble être une bonne idée.

Source : HXL via TweakTown.

Abee AI Station : une solution Mini-ITX Strix Halo à l’approche ? © MiniMachines.net. 2025

☕️ Storyline : Microsoft veut renforcer la dimension réseau social d’entreprise de Teams

1 juillet 2025 à 06:45

Après avoir officiellement succédé à Skype dans le catalogue des applications Microsoft, Teams se prépare à gagner une nouvelle dimension sociale, avec l’introduction d’une fonctionnalité baptisée Storyline, réservée aux utilisateurs entreprise.

Elle se présente comme un flux d’actualité (une timeline) personnel, intégré directement à Teams, grâce auquel l’éditeur espère que les utilisateurs pourront partager leurs actualités et expériences professionnelles, suivre leurs collègues et dirigeants et créer du contenu susceptible d’intéresser les autres salariés de l’entreprise.

Après activation par l’administrateur, l’utilisateur peut créer un post depuis l’interface de chat

« Storyline apporte une nouvelle couche de visibilité interne aux équipes », estime l’éditeur de Redmond. Bref, une brique sociale, qui n’est pas sans rappeler LinkedIn, mais qui évoque aussi Viva Engage, l’ex Yammer, la solution de réseau social d’entreprise interne de Microsoft. Cette dernière dispose d’ailleurs, elle aussi, d’un module Storyline.

Dans les deux cas, l’activation n’est pas automatique : elle requiert une action manuelle d’un administrateur.

Derrière le brouillard de la souveraineté numérique, l’urgence d’une autonomie stratégique

1 juillet 2025 à 07:04
La voie est libre ?
Derrière le brouillard de la souveraineté numérique, l’urgence d’une autonomie stratégique

Derrière les débats sur la souveraineté numérique, la spécialiste des affaires européennes et des enjeux numériques Rayna Stamboliyska et la spécialiste en géopolitique du numérique Ophélie Coelho détaillent les enjeux d’autonomie stratégique que l’Europe doit relever.

En termes de souveraineté numérique, les entreprises européennes s’inquiètent, mais ne priorisent pas tellement les actions permettant de les rendre moins dépendantes des plateformes états-uniennes que sont Google, Amazon ou Microsoft. Tel était du moins le constat que permettait de dresser en avril les résultats d’un sondage Ipsos et Yougov auprès de 4 000 Français, Espagnols, Allemands et Italiens.

Deux mois plus tard, c’est une poignée de métropoles qui prend l’initiative d’une émancipation des outils états-uniens les plus couramment utilisés. En janvier 2025, Microsoft détenait 71,4 % des parts de marché mondial des systèmes d’exploitation pour ordinateurs de bureau, et Apple 15 %. En juin, les métropoles danoises de Copenhague et d’Aarhus annonçaient se défaire de leurs outils Microsoft, bientôt suivis par la municipalité écologiste de Lyon.

Avec la suite collaborative Territoire numérique ouvert et le déploiement processif de logiciels bureautiques libres, son adjoint délégué à la politique numérique Bertrand Maes souligne auprès du Figaro la volonté « d’inscrire la Ville de Lyon dans une trajectoire de souveraineté numérique » qui permette à la fois de « protéger les données des habitants et habitantes et favoriser l’économie locale ».

« L’enjeu, c’est la maîtrise de notre destin numérique », explique la spécialiste des affaires européennes et des enjeux numériques Rayna Stamboliyska à Next. Une problématique d’autant plus urgente qu’en mai, le procureur de la Cour Pénale Internationale (CPI) Karim Khan se retrouvait forcé de changer d’hébergeur e-mail, pour passer de Microsoft à Proton. Microsoft nie avoir supprimé son compte mail, mais le changement opéré par la CPI semble bien résulter des sanctions décidées par Donald Trump après l’ouverture d’enquêtes contre le premier ministre israélien et son ministre de la défense pour crimes de guerre et crime contre l’humanité commis dans la bande de Gaza.


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☕️ Storyline : Microsoft veut renforcer la dimension réseau social d’entreprise de Teams

1 juillet 2025 à 06:45

Après avoir officiellement succédé à Skype dans le catalogue des applications Microsoft, Teams se prépare à gagner une nouvelle dimension sociale, avec l’introduction d’une fonctionnalité baptisée Storyline, réservée aux utilisateurs entreprise.

Elle se présente comme un flux d’actualité (une timeline) personnel, intégré directement à Teams, grâce auquel l’éditeur espère que les utilisateurs pourront partager leurs actualités et expériences professionnelles, suivre leurs collègues et dirigeants et créer du contenu susceptible d’intéresser les autres salariés de l’entreprise.

Après activation par l’administrateur, l’utilisateur peut créer un post depuis l’interface de chat

« Storyline apporte une nouvelle couche de visibilité interne aux équipes », estime l’éditeur de Redmond. Bref, une brique sociale, qui n’est pas sans rappeler LinkedIn, mais qui évoque aussi Viva Engage, l’ex Yammer, la solution de réseau social d’entreprise interne de Microsoft. Cette dernière dispose d’ailleurs, elle aussi, d’un module Storyline.

Dans les deux cas, l’activation n’est pas automatique : elle requiert une action manuelle d’un administrateur.

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