US Copyright Office to AI Companies: Fair Use Isn't 'Commercial Use of Vast Troves of Copyrighted Works'
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Le géant allemand des logiciels SAP travaillait à atteindre 40 % de femmes parmi ses employés. En interne, la société a indiqué renoncer à cet objectif, d’après un mail interne consulté par Handelsblatt.
SAP supprime par ailleurs la considération de la diversité des équipes parmi ses critères d’évaluation du directoire.
Pour l’estimation de leurs bonus, elle remplace l’indicateur « femmes dans les postes de direction » par le « Business Health Culture Index », qui doit refléter des éléments liés à la santé du personnel.
Le département de l’entreprise dédié à l’inclusion va par ailleurs perdre en autonomie, et se retrouver fusionné avec un autre.
Auprès de l’AFP, SAP a confirmé prendre ces mesures pour suivre les obligations imposées par Donald Trump aux entreprises états-uniennes comme étrangères.
SAP emploi 17 000 personnes aux États-Unis, ce qui représente 16 % de sa masse salariale, et y a réalisé en 2024 près du tiers de son chiffre d’affaires.
En mars, plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des États-Unis leur demandant de renoncer à toute politique de promotion de la diversité au motif que cela enfreindrait la loi états-unienne. Le ministère du Commerce extérieur a dénoncé des ingérences « inacceptables » de la part du pays, avant de préciser : « La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs ».
Il y a trois jours, un petit « évènement » a eu lieu au sein du projet GNOME : la proposition de fusionner Showtime dans la branche Master a été accepté. Showtime est un lecteur multimédia récent, qui a le gros avantage d’être bâti sur des fondations nettement plus récentes que l’application utilisée jusqu’à présent, Totem.
Le changement sera répercuté pour la version 49 de l’environnement, prévue pour septembre. Il mettra fin à la carrière de Totem, qui durait depuis dix ans. Dans les distributions Linux basées sur GNOME, l’application se trouve sous les noms « Video Player », ou simplement « Vidéos » en version française.
Totem avait fait son temps. Son développement n’était plus guère actif, les nouvelles versions n’étant surtout publiées que pour corriger quelques bugs. Problème principal, ses fondations GTK3, quand tout ce qui touche à GNOME est sur GTK4 depuis un moment. Showtime, qui le remplace, s’en sert justement, tout comme de la bibliothèque Libadwaita et du framework GStreamer. L’interface est donc plus moderne, minimaliste, avec notamment des contrôles s’effaçant pendant la lecture.
Bien que ce changement d’application par défaut soit prévu dans quelques mois, rien n’empêche d’utiliser Showtime en l’installant depuis la boutique Logiciels ou la ligne de commande. D’autres lui préfèreront cependant VLC, d’ailleurs fourni avec plusieurs distributions.
Le géant allemand des logiciels SAP travaillait à atteindre 40 % de femmes parmi ses employés. En interne, la société a indiqué renoncer à cet objectif, d’après un mail interne consulté par Handelsblatt.
SAP supprime par ailleurs la considération de la diversité des équipes parmi ses critères d’évaluation du directoire.
Pour l’estimation de leurs bonus, elle remplace l’indicateur « femmes dans les postes de direction » par le « Business Health Culture Index », qui doit refléter des éléments liés à la santé du personnel.
Le département de l’entreprise dédié à l’inclusion va par ailleurs perdre en autonomie, et se retrouver fusionné avec un autre.
Auprès de l’AFP, SAP a confirmé prendre ces mesures pour suivre les obligations imposées par Donald Trump aux entreprises états-uniennes comme étrangères.
SAP emploi 17 000 personnes aux États-Unis, ce qui représente 16 % de sa masse salariale, et y a réalisé en 2024 près du tiers de son chiffre d’affaires.
En mars, plusieurs entreprises françaises ont reçu un courrier de l’ambassade des États-Unis leur demandant de renoncer à toute politique de promotion de la diversité au motif que cela enfreindrait la loi états-unienne. Le ministère du Commerce extérieur a dénoncé des ingérences « inacceptables » de la part du pays, avant de préciser : « La France et l’Europe défendront leurs entreprises, leurs consommateurs, mais aussi leurs valeurs ».
Il y a trois jours, un petit « évènement » a eu lieu au sein du projet GNOME : la proposition de fusionner Showtime dans la branche Master a été accepté. Showtime est un lecteur multimédia récent, qui a le gros avantage d’être bâti sur des fondations nettement plus récentes que l’application utilisée jusqu’à présent, Totem.
Le changement sera répercuté pour la version 49 de l’environnement, prévue pour septembre. Il mettra fin à la carrière de Totem, qui durait depuis dix ans. Dans les distributions Linux basées sur GNOME, l’application se trouve sous les noms « Video Player », ou simplement « Vidéos » en version française.
Totem avait fait son temps. Son développement n’était plus guère actif, les nouvelles versions n’étant surtout publiées que pour corriger quelques bugs. Problème principal, ses fondations GTK3, quand tout ce qui touche à GNOME est sur GTK4 depuis un moment. Showtime, qui le remplace, s’en sert justement, tout comme de la bibliothèque Libadwaita et du framework GStreamer. L’interface est donc plus moderne, minimaliste, avec notamment des contrôles s’effaçant pendant la lecture.
Bien que ce changement d’application par défaut soit prévu dans quelques mois, rien n’empêche d’utiliser Showtime en l’installant depuis la boutique Logiciels ou la ligne de commande. D’autres lui préfèreront cependant VLC, d’ailleurs fourni avec plusieurs distributions.
En Europe, la marque Fantech est plutôt connue pour ses souris, mais son catalogue est bien plus complet et comprend également des claviers ainsi que des casques, et désormais deux manettes. Et il faut bien lire les petites lignes, car si on constate que la manette EOS Pro II S a une façade plus travaillée dans le design, elle semble être la seule à proposer des joysticks TMR. La petite EOS Pro II se veut plus simple, mais à quel point ? Ici, Fantech reste discret alors même que les deux manettes sont très proches question tarif, 35.95 U+20AC et 36.95 U+20AC. Autant dire que pour 1 U+20AC de plus, l'EOS Pro II S devrait avoir les faveurs des joueurs intéressés. […]
Lire la suiteLes soucis d’instabilité des Core de 13ᵉ et 14ᵉ générations reviennent d’outre-tombe avec un nouveau microcode publié par Intel. Il arrive après une enquête sur de nouveaux plantages, mais ne remet pas en cause les précédentes analyses, affirme Intel.
Il y a un peu plus d’un an, Intel lançait officiellement une enquête sur des plantages à répétition – pourtant signalés depuis des mois par des utilisateurs – sur certains processeurs de 13e et 14e générations.
La cause profonde était identifiée en juillet et, après plusieurs tours de mises à jour, un correctif important était publié en septembre denier : le microcode 0x12B. Au total, pas moins de quatre « scénarios » avaient été identifiés par le fondeur.
Le premier venait des « paramètres d’alimentation de la carte mère qui dépassent les conseils recommandations d’Intel » ; les fabricants ont rapidement corrigé le tir. Le second était lié à l’eTVB (enhanced Thermal Velocity Boost), mais le microcode 0x125 est venu y mettre fin en juin 2024. Le troisième venait de l’algorithme du SVID (Serial Voltage iDentification), corrigé avec le microcode 0x129 en aout 2024.
La quatrième et dernière cause identifiée venait du fait que le « microcode et le BIOS demandaient des tensions de base élevées qui peuvent provoquer un décalage de la tension Vmin, en particulier pendant les périodes d’inactivité et/ou d’activité légère ». Le microcode 0x12B est venu remettre tout cela dans l’ordre, en intégrant évidemment les précédents correctifs.
Il y a quelques jours, Intel est revenu à la charge sur les problèmes d’instabilité des Core de 13e et 14e générations avec un nouveau microcode : 0x12F, comme le rapportait la semaine dernière Hardware & Co.
Intel l’indique sans détour par l’intermédiaire d’une publication de Thomas Hannaford sur son forum officiel : cette mise à jour (0x12F) complète la mise à jour du microcode 0x12B publiée en septembre 2024. Le but est donc d’améliorer et limiter « les conditions du système qui peuvent contribuer à l’instabilité du Vmin Shift sur les ordinateurs de bureau avec un CPU Intel Core 13e et 14e générations ».
Cette mise à jour arrive après une nouvelle enquête menée par Intel, suite à « un nombre limité de rapports concernant des systèmes fonctionnant en continu pendant plusieurs jours avec des charges de travail faibles utilisant peu de threads ».
Intel précise que cela ne change rien aux causes principales d’instabilités identifiées précédemment. Enfin, le fondeur annonce que, sur la base de ses tests internes, il « n’a identifié aucun impact mesurable sur les performances avec la mise à jour 0x12F du microcode ».
Les fabricants de cartes mères doivent maintenant proposer cette mise à jour à leurs clients. C’est déjà le cas chez ASRock pour une ribambelle de références. Chez MSI, la mise à jour est déployée pour certaines cartes mères, comme la MPG Z790 CARBON WIFI. ASUS et Gigabyte devraient suivre rapidement.
Pour rappel, Intel a déjà donné la liste des processeurs concernés par les plantages. Ils sont 24, 12 dans chaque génération :
Les soucis d’instabilité des Core de 13ᵉ et 14ᵉ générations reviennent d’outre-tombe avec un nouveau microcode publié par Intel. Il arrive après une enquête sur de nouveaux plantages, mais ne remet pas en cause les précédentes analyses, affirme Intel.
Il y a un peu plus d’un an, Intel lançait officiellement une enquête sur des plantages à répétition – pourtant signalés depuis des mois par des utilisateurs – sur certains processeurs de 13e et 14e générations.
La cause profonde était identifiée en juillet et, après plusieurs tours de mises à jour, un correctif important était publié en septembre denier : le microcode 0x12B. Au total, pas moins de quatre « scénarios » avaient été identifiés par le fondeur.
Le premier venait des « paramètres d’alimentation de la carte mère qui dépassent les conseils recommandations d’Intel » ; les fabricants ont rapidement corrigé le tir. Le second était lié à l’eTVB (enhanced Thermal Velocity Boost), mais le microcode 0x125 est venu y mettre fin en juin 2024. Le troisième venait de l’algorithme du SVID (Serial Voltage iDentification), corrigé avec le microcode 0x129 en aout 2024.
La quatrième et dernière cause identifiée venait du fait que le « microcode et le BIOS demandaient des tensions de base élevées qui peuvent provoquer un décalage de la tension Vmin, en particulier pendant les périodes d’inactivité et/ou d’activité légère ». Le microcode 0x12B est venu remettre tout cela dans l’ordre, en intégrant évidemment les précédents correctifs.
Il y a quelques jours, Intel est revenu à la charge sur les problèmes d’instabilité des Core de 13e et 14e générations avec un nouveau microcode : 0x12F, comme le rapportait la semaine dernière Hardware & Co.
Intel l’indique sans détour par l’intermédiaire d’une publication de Thomas Hannaford sur son forum officiel : cette mise à jour (0x12F) complète la mise à jour du microcode 0x12B publiée en septembre 2024. Le but est donc d’améliorer et limiter « les conditions du système qui peuvent contribuer à l’instabilité du Vmin Shift sur les ordinateurs de bureau avec un CPU Intel Core 13e et 14e générations ».
Cette mise à jour arrive après une nouvelle enquête menée par Intel, suite à « un nombre limité de rapports concernant des systèmes fonctionnant en continu pendant plusieurs jours avec des charges de travail faibles utilisant peu de threads ».
Intel précise que cela ne change rien aux causes principales d’instabilités identifiées précédemment. Enfin, le fondeur annonce que, sur la base de ses tests internes, il « n’a identifié aucun impact mesurable sur les performances avec la mise à jour 0x12F du microcode ».
Les fabricants de cartes mères doivent maintenant proposer cette mise à jour à leurs clients. C’est déjà le cas chez ASRock pour une ribambelle de références. Chez MSI, la mise à jour est déployée pour certaines cartes mères, comme la MPG Z790 CARBON WIFI. ASUS et Gigabyte devraient suivre rapidement.
Pour rappel, Intel a déjà donné la liste des processeurs concernés par les plantages. Ils sont 24, 12 dans chaque génération :
Il y a quelques jours, ASUS annonçait sa RTX 5090 Dhahab Edition, une carte dorée basée sur la RTX 5090 ASTRAL, soit le plus haut de gamme de la firme. En effet, ASTRAL a renvoyé STRIX dans les cordes, désormais, le patron c'est ASTRAL ! ASUS avait vanté sa carte comme étant véritablement dorée, mai...
Panasonic Holdings Corporation vient de présenter son bilan pour son année fiscale 2025 (qui s’est terminée le 31 mars).
Les indicateurs sont principalement à la baisse avec 0,5 % de moins sur les revenus et 17,4 % de moins sur le bénéfice net qui est de 2,3 milliards d’euros (384 milliards de yens).
Dans un autre document, l’entreprise annonce une « optimisation du personnel ». On comprend facilement qu’il s’agit de supprimer des postes, mais pas uniquement :
« Dans le cadre de la réforme de la gestion, visant à transformer l’entreprise en une organisation où chaque employé génère une productivité accrue, le groupe examinera attentivement l’efficacité opérationnelle de chaque société […], réévaluera les effectifs et les besoins réels ».
Le groupe va aussi « encourager » les programmes de cessation pour les activités « sans perspective d’amélioration des bénéfices », ainsi que la fermeture de certains sites, sans plus de précision. Ces mesures ciblent « 10 000 employés (5 000 au Japon et 5 000 à l’étranger) […] et seront principalement mises en œuvre au cours de l’exercice 2026 », qui a débuté au 1ᵉʳ avril pour rappel.
Panasonic prévoit un coût de restructuration de 130 milliards de yens, soit un peu moins de 800 millions d’euros. L’entreprise espère « améliorer son bénéfice d’au moins 150 milliards de yens par rapport à l’exercice 2025, et ainsi atteindre un bénéfice d’exploitation ajusté d’au moins 600 milliards de yens pour l’exercice 2027 », soit 3,7 milliards d’euros environ.
Panasonic Holdings Corporation vient de présenter son bilan pour son année fiscale 2025 (qui s’est terminée le 31 mars).
Les indicateurs sont principalement à la baisse avec 0,5 % de moins sur les revenus et 17,4 % de moins sur le bénéfice net qui est de 2,3 milliards d’euros (384 milliards de yens).
Dans un autre document, l’entreprise annonce une « optimisation du personnel ». On comprend facilement qu’il s’agit de supprimer des postes, mais pas uniquement :
« Dans le cadre de la réforme de la gestion, visant à transformer l’entreprise en une organisation où chaque employé génère une productivité accrue, le groupe examinera attentivement l’efficacité opérationnelle de chaque société […], réévaluera les effectifs et les besoins réels ».
Le groupe va aussi « encourager » les programmes de cessation pour les activités « sans perspective d’amélioration des bénéfices », ainsi que la fermeture de certains sites, sans plus de précision. Ces mesures ciblent « 10 000 employés (5 000 au Japon et 5 000 à l’étranger) […] et seront principalement mises en œuvre au cours de l’exercice 2026 », qui a débuté au 1ᵉʳ avril pour rappel.
Panasonic prévoit un coût de restructuration de 130 milliards de yens, soit un peu moins de 800 millions d’euros. L’entreprise espère « améliorer son bénéfice d’au moins 150 milliards de yens par rapport à l’exercice 2025, et ainsi atteindre un bénéfice d’exploitation ajusté d’au moins 600 milliards de yens pour l’exercice 2027 », soit 3,7 milliards d’euros environ.
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