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Aujourd’hui — 23 mai 2024Actualités numériques

☕️ Loi SREN : l’Arcep hérite de deux nouvelles missions

23 mai 2024 à 14:53

La loi SREN (Sécuriser et réguler l’espace numérique) a été adoptée en France en avril, mais le Conseil constitutionnel est passé par là. Il y a quelques jours, les sages ont censuré le délit d’outrage en ligne et quatre cavaliers législatifs.

La loi a ensuite été promulguée le 21 mai, avec l’ensemble des dispositions restantes, dont celle de l’Arcep. Le lendemain, l’Autorité a publié un communiqué pour revenir sur les deux missions dont elle hérite via cette loi :

« D’une part sur le marché de l’informatique en nuage (cloud), en anticipation du règlement européen sur les données (Data Act), et d’autre part sur les prestataires de services d’intermédiation de données, en application du règlement européen sur la gouvernance des données (« Data Governance Act »).
Dans ce cadre, l’Autorité ouvre ce jour un guichet permettant aux prestataires de services d’intermédiation de données de notifier leur activité et de demander l’attribution du label correspondant, reconnu dans l’ensemble de l’Union européenne. ».

L’Autorité publie deux fiches pratiques. La première sur comment se notifier comme prestataire de services d’intermédiation de données. La seconde sur comment demander une labellisation en tant que prestataire de services.

Vie Public rappelle que « la loi comporte plusieurs mesures : encadrement des frais de transfert de données et de migration, plafonnement à un an des crédits cloud (avoirs commerciaux), obligation pour les services cloud d’être interopérables… ». Le site ajoute que l’adaptation du Data Governance Act (le second point) est traitée par l’Arcep et la CNIL.

« La loi instaure enfin un réseau national de coordination de la régulation des services numériques. Composé de l’ensemble des autorités administratives compétentes (Arcom, CNIL, Arcep …) et des principaux services de l’État (DGCCRF, Pharos…), il sera chargé de partager des informations et de collaborer dans le champ des régulations du numérique », précise enfin Vie Publique.

Numérique en Afrique : « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne »

23 mai 2024 à 14:24
Dj@ngo Unch@ined

97 travailleurs Kényans cosignent une lettre ouverte demandant au président des États-Unis, Joe Biden, de mettre fin « aux conditions de travail qui s’apparentent à de l’esclavage moderne » dans l’industrie du numérique.

Alors que le président Kényan William Ruto entame la première visite officielle d’un leader africain aux États-Unis en plus de 15 ans, des travailleurs kényans du secteur du numérique en profitent pour interpeler le président américain.

Ils travaillent tous pour des entreprises états-uniennes comme Facebook, ScaleAI ou OpenAI via des sous-traitants, soit en tant que modérateurs de contenus, soit en étiquetant des données pour l’entrainement des modèles d’intelligence artificielle.

La Maison-Blanche explique dans son communiqué de presse annonçant l’accueil de William Ruto, que « les dirigeants discuteront des moyens de renforcer notre coopération dans des domaines tels que les relations entre les peuples, le commerce et l’investissement, l’innovation technologique, le climat et l’énergie propre, la santé et la sécurité ».

Cette centaine de travailleurs expliquent que ce sont « des questions dans lesquelles notre force de travail est directement et personnellement concernée ».

Exploitation et maltraitance systématique

Dans cette lettre ouverte publiée sur le site de l’ONG britannique Foxglove, qui « lutte pour rendre la technologie équitable pour tous », ils dénoncent le fait que « les grandes entreprises américaines du secteur des technologies maltraitent et exploitent systématiquement les travailleurs africains ».

Ils précisent qu’ « au Kenya, ces entreprises américaines sapent le droit du travail local, le système judiciaire du pays et violent les normes internationales du travail ». « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne » dénoncent-ils.

Il y a un an, certains travailleurs de ce secteur au Kenya ont créé un syndicat, peu de temps après la publication d’une enquête du magazine américain Time qui révélait que les travailleurs kényans ayant entraîné ChatGPT pour qu’il soit plus éthique avaient été payés moins de 2 dollars de l’heure.

Cela fait suite aussi à la plainte d’un groupe de ces travailleurs contre Meta et son sous-traitant Sama.

Pour ces travailleurs, « toute discussion commerciale entre les États-Unis et le Kenya doit tenir compte de ces abus et garantir la protection des droits de tous les travailleurs ».

Demande d’un engagement du gouvernement Biden

Ils demandent donc au gouvernement de Joe Biden de s’engager à travailler avec les employés des grandes entreprises de la Tech au Kenya. Ils réclament que le gouvernement américain veille à ce que les partenariats à venir comprennent des dispositions pour que les entreprises de son pays se conforment aux réglementations internationales du travail et qu’il empêche le démantèlement des syndicats.

Ces travailleurs kényans revendiquent aussi la possibilité que « les entreprises américaines du secteur des grandes technologies puissent être tenues responsables devant les tribunaux américains pour leurs opérations illégales à l’étranger, en particulier en ce qui concerne les droits humains et les violations du droit du travail ».

Enfin, ils demandent à ce que le « respect fondamental de la constitution et de la souveraineté du Kenya » soit au cœur des négociations entre les deux pays.

« Nous ne devrions pas avoir à sacrifier notre santé, notre bien-être et, malheureusement, dans certains cas, notre vie pour les marges bénéficiaires de Big Tech. Nous vous demandons instamment de prendre des mesures et d’examiner attentivement nos demandes dans le cadre de ces discussions et au-delà », concluent-ils.

Observer des meurtres et des viols, pour moins de 2 $ de l’heure

Kauna Malgwi, du comité directeur de l’Union africaine des modérateurs de contenu, a déclaré : « Tout le monde veut voir plus d’emplois au Kenya – mais pas à n’importe quel prix. Tout ce que nous demandons, c’est un travail digne, équitablement rémunéré, sûr et sécurisé. »

« Notre travail consiste à observer des meurtres et des décapitations, des abus et des viols d’enfants, de la pornographie et de la bestialité, souvent plus de 8 heures par jour. Beaucoup d’entre nous font ce travail pour moins de 2 dollars de l’heure.

Ces entreprises ne nous fournissent pas les soins de santé mentale nécessaires pour assurer notre sécurité. En conséquence, beaucoup d’entre nous vivent et travaillent avec le trouble de stress post-traumatique (SSPT). Nous n’avons pas été prévenus des horreurs des travaux avant de commencer. »

Leur lettre ouverte a également été approuvée par le Dr Willy Mutunga, ancien juge en chef du Kenya et éminent défenseur des droits de l’homme, précise l’ONG.

☕️ Loi SREN : l’Arcep hérite de deux nouvelles missions

23 mai 2024 à 14:53

La loi SREN (Sécuriser et réguler l’espace numérique) a été adoptée en France en avril, mais le Conseil constitutionnel est passé par là. Il y a quelques jours, les sages ont censuré le délit d’outrage en ligne et quatre cavaliers législatifs.

La loi a ensuite été promulguée le 21 mai, avec l’ensemble des dispositions restantes, dont celle de l’Arcep. Le lendemain, l’Autorité a publié un communiqué pour revenir sur les deux missions dont elle hérite via cette loi :

« D’une part sur le marché de l’informatique en nuage (cloud), en anticipation du règlement européen sur les données (Data Act), et d’autre part sur les prestataires de services d’intermédiation de données, en application du règlement européen sur la gouvernance des données (« Data Governance Act »).
Dans ce cadre, l’Autorité ouvre ce jour un guichet permettant aux prestataires de services d’intermédiation de données de notifier leur activité et de demander l’attribution du label correspondant, reconnu dans l’ensemble de l’Union européenne. ».

L’Autorité publie deux fiches pratiques. La première sur comment se notifier comme prestataire de services d’intermédiation de données. La seconde sur comment demander une labellisation en tant que prestataire de services.

Vie Public rappelle que « la loi comporte plusieurs mesures : encadrement des frais de transfert de données et de migration, plafonnement à un an des crédits cloud (avoirs commerciaux), obligation pour les services cloud d’être interopérables… ». Le site ajoute que l’adaptation du Data Governance Act (le second point) est traitée par l’Arcep et la CNIL.

« La loi instaure enfin un réseau national de coordination de la régulation des services numériques. Composé de l’ensemble des autorités administratives compétentes (Arcom, CNIL, Arcep …) et des principaux services de l’État (DGCCRF, Pharos…), il sera chargé de partager des informations et de collaborer dans le champ des régulations du numérique », précise enfin Vie Publique.

Numérique en Afrique : « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne »

23 mai 2024 à 14:24
Dj@ngo Unch@ined

97 travailleurs Kényans cosignent une lettre ouverte demandant au président des États-Unis, Joe Biden, de mettre fin « aux conditions de travail qui s’apparentent à de l’esclavage moderne » dans l’industrie du numérique.

Alors que le président Kényan William Ruto entame la première visite officielle d’un leader africain aux États-Unis en plus de 15 ans, des travailleurs kényans du secteur du numérique en profitent pour interpeler le président américain.

Ils travaillent tous pour des entreprises états-uniennes comme Facebook, ScaleAI ou OpenAI via des sous-traitants, soit en tant que modérateurs de contenus, soit en étiquetant des données pour l’entrainement des modèles d’intelligence artificielle.

La Maison-Blanche explique dans son communiqué de presse annonçant l’accueil de William Ruto, que « les dirigeants discuteront des moyens de renforcer notre coopération dans des domaines tels que les relations entre les peuples, le commerce et l’investissement, l’innovation technologique, le climat et l’énergie propre, la santé et la sécurité ».

Cette centaine de travailleurs expliquent que ce sont « des questions dans lesquelles notre force de travail est directement et personnellement concernée ».

Exploitation et maltraitance systématique

Dans cette lettre ouverte publiée sur le site de l’ONG britannique Foxglove, qui « lutte pour rendre la technologie équitable pour tous », ils dénoncent le fait que « les grandes entreprises américaines du secteur des technologies maltraitent et exploitent systématiquement les travailleurs africains ».

Ils précisent qu’ « au Kenya, ces entreprises américaines sapent le droit du travail local, le système judiciaire du pays et violent les normes internationales du travail ». « Nos conditions de travail s’apparentent à de l’esclavage moderne » dénoncent-ils.

Il y a un an, certains travailleurs de ce secteur au Kenya ont créé un syndicat, peu de temps après la publication d’une enquête du magazine américain Time qui révélait que les travailleurs kényans ayant entraîné ChatGPT pour qu’il soit plus éthique avaient été payés moins de 2 dollars de l’heure.

Cela fait suite aussi à la plainte d’un groupe de ces travailleurs contre Meta et son sous-traitant Sama.

Pour ces travailleurs, « toute discussion commerciale entre les États-Unis et le Kenya doit tenir compte de ces abus et garantir la protection des droits de tous les travailleurs ».

Demande d’un engagement du gouvernement Biden

Ils demandent donc au gouvernement de Joe Biden de s’engager à travailler avec les employés des grandes entreprises de la Tech au Kenya. Ils réclament que le gouvernement américain veille à ce que les partenariats à venir comprennent des dispositions pour que les entreprises de son pays se conforment aux réglementations internationales du travail et qu’il empêche le démantèlement des syndicats.

Ces travailleurs kényans revendiquent aussi la possibilité que « les entreprises américaines du secteur des grandes technologies puissent être tenues responsables devant les tribunaux américains pour leurs opérations illégales à l’étranger, en particulier en ce qui concerne les droits humains et les violations du droit du travail ».

Enfin, ils demandent à ce que le « respect fondamental de la constitution et de la souveraineté du Kenya » soit au cœur des négociations entre les deux pays.

« Nous ne devrions pas avoir à sacrifier notre santé, notre bien-être et, malheureusement, dans certains cas, notre vie pour les marges bénéficiaires de Big Tech. Nous vous demandons instamment de prendre des mesures et d’examiner attentivement nos demandes dans le cadre de ces discussions et au-delà », concluent-ils.

Observer des meurtres et des viols, pour moins de 2 $ de l’heure

Kauna Malgwi, du comité directeur de l’Union africaine des modérateurs de contenu, a déclaré : « Tout le monde veut voir plus d’emplois au Kenya – mais pas à n’importe quel prix. Tout ce que nous demandons, c’est un travail digne, équitablement rémunéré, sûr et sécurisé. »

« Notre travail consiste à observer des meurtres et des décapitations, des abus et des viols d’enfants, de la pornographie et de la bestialité, souvent plus de 8 heures par jour. Beaucoup d’entre nous font ce travail pour moins de 2 dollars de l’heure.

Ces entreprises ne nous fournissent pas les soins de santé mentale nécessaires pour assurer notre sécurité. En conséquence, beaucoup d’entre nous vivent et travaillent avec le trouble de stress post-traumatique (SSPT). Nous n’avons pas été prévenus des horreurs des travaux avant de commencer. »

Leur lettre ouverte a également été approuvée par le Dr Willy Mutunga, ancien juge en chef du Kenya et éminent défenseur des droits de l’homme, précise l’ONG.

NVIDIA Q1 2024 : y a-t-il vraiment besoin d'un titre ?

Elle était attendue de pied ferme, surtout dans le monde de la bourse et des finances, c’est hier soir (pour nous) que NVIDIA a partagé son annonce de ses résultats financiers couvrant les trois premiers mois de l’année. On vous le donne en mille, ils sont meilleurs qu’attendu par les analystes, ce...

NiPoGi AM16, une petite machine surprenante !

23 mai 2024 à 14:02

Pour un petit PC, utiliser des composants qui ne sont pas de dernière génération peut être une bonne idée. Par exemple, le processeur AMD Ryzen 5 PRO 5675U retenu pour le NiPoGi AM16 est désormais bien connu, ce qui permet de savoir exactement comment il va se comporter sur la chauffe. Résultat, l'AM16 est tout simplement une pépite au repos et çà charge moyenne, avec un silence de fonctionnement très appréciable. NiPoGi a bien géré, mais ce n'est pas tout ! Un bon plan cette machine à 300 U+20AC ? Réponse ici : NiPoGi AM16. […]

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MSI et Kingston présenteront un ensemble carte mère / DDR5 CAMM2 au COMPUTEX

23 mai 2024 à 13:43

Alors que nous parlions hier de la mémoire DDR6 et du prochain standard CAMM2, voilà que MSI nous apporte des informations intéressantes : en partenariat avec Kingston, une carte mère Z790 PROJECT ZERO PLUS avec un module mémoire CAMM2. L'occasion de voir ce que pourrait devenir les prochaines cartes dans les mois à venir ? Réponse dans quelques jours, avec quelques informations également sur le potentiel en overclocking. […]

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[Maj] COUGAR FV270, un boitier venu de l'espace à destination du futur

23 mai 2024 à 13:27

Et si le FV270 était le boitier original de cette première moitié de l'année ? Imposant avec des dimensions de 268 x 530 x 512 mm, notamment à cause d'un pied volumineux participant au style général, ce nouveau venu chez COUGAR ne passe pas inaperçu, et ce en blanc comme en noir. Qu'il soit livré nu ou avec des ventilateurs RGB, le FV270 mise beaucoup sur le look, mais sans transiger sur le châssis. Les possibilités sont en effet très nombreuses, à commencer par une grande compatibilité avec les cartes mères puisque le plateau prend en charge les cartes ASUS BTF et MSI Project Zero en ATX et en Micro-ATX. Avec un large espace pour les câbles au dos, le boitier promet un système propre et bien ordonné. […]

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L'histoire de Senua continue : GeForce NOW ajoute Senua's Saga : Hellblade II sur le Cloud

23 mai 2024 à 13:25

Le sombre voyage continue dans la suite très attendue, Senua's Saga : Hellblade II de Ninja Theory et Xbox Games Studio. Les membres GeForce NOW peuvent y jouer dès le jour du lancement, même s'ils n'ont pas de PC optimal, en streaming depuis des serveurs GeForce RTX dans le cloud. Les membres Ultimate peuvent jouer jusqu'en 4k et 120 fps et s'immerger totalement dans ce jeu d'action-aventure dark fantasy visuellement époustouflant. Senua's Saga : Hellblade II est l'un des 5 jeux qui arrivent sur le cloud dès leur lancement cette semaine, pour un total de 7 nouveaux jeux qui rejoignent la bibliothèque GeForce NOW. Découvrez la liste complète des jeux de cette semaine : […]

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US Sues To Break Up Ticketmaster Owner, Live Nation

Par : msmash
23 mai 2024 à 14:46
The Justice Department on Thursday said it was suing Live Nation Entertainment [non-paywalled link], the concert giant that owns Ticketmaster, asking a court to break up the company over claims it illegally maintained a monopoly in the live entertainment industry. From a report: In the lawsuit, which is joined by 29 states and the District of Columbia, the government accuses Live Nation of dominating the industry by locking venues into exclusive ticketing contracts, pressuring artists to use its services and threatening its rivals with financial retribution. Those tactics, the government argues, have resulted in higher ticket prices for consumers and have stifled innovation and competition throughout the industry. "It is time to break up Live Nation-Ticketmaster," Merrick Garland, the attorney general, said in a statement announcing the suit, which is being filed in the U.S. District Court for the Southern District of New York. The lawsuit is a direct challenge to the business of Live Nation, a colossus of the entertainment industry and a force in the lives of musicians and fans alike. The case, filed 14 years after the government approved Live Nation's merger with Ticketmaster, has the potential to transform the multibillion-dollar concert industry. Live Nation's scale and reach far exceed those of any competitor, encompassing concert promotion, ticketing, artist management and the operation of hundreds of venues and festivals around the world.

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64-bit ARM With Linux 6.10: Building FIT Images & Optional Disabling 32-bit User-Space

23 mai 2024 à 14:28
Merged last week for the Linux 6.10 kernel were all of the 64-bit ARM (ARM64 / AArch64) architecture changes. There is ACPI FACS support, the ability to easily construct FIT images, and a new command-line option for disabling 32-bit application support...

Ubuntu 24.04 + Linux 6.9 Intel & AMD Server Performance

23 mai 2024 à 14:12
While earlier this week was looking at the AMD EPYC 4004 vs. Intel Xeon E-2488 performance for entry-level server performance, in today's benchmarking showdown is a fresh look higher up the stack at the current generation server performance out of Intel Xeon Sapphire Rapids / Emerald Rapids and AMD EPYC Genoa(X) / Bergamo / Siena with a leading-edge open-source software stack of using Ubuntu 24.04 LTS while also jumping from Linux 6.8 to Linux 6.9 for the very latest x86_64 Linux server performance.

NiPoGi AM16, une petite machine surprenante !

23 mai 2024 à 13:00
Petite machine en vue avec l'AM16 de NiPoGi, un PC de type NUC qui embarque une configuration basée autour d'un processeur AMD Ryzen 5 PRO 5675U dans un boitier en plastique au look soigné. Disponible avec 16 Go ou 32 Go de mémoire vive en DDR4 à 3200 MT/s plus 512 Go de stockage en PCI-E Gen4 à partir de 300 € environ, ce PC a-t-il ce qu'il faut pour se démarquer ? Réponse avec ce nouvel article fermier.

Taiwan Says Chip Machines Can Be Remotely Shut Off If China Invades

Par : msmash
23 mai 2024 à 14:00
Taiwan's new technology minister Wu Cheng-wen said smart machines connected to the internet, including chip tools, can be remotely shut off in the event of a conflict on the island. From a report: Wu, stepping in to oversee science and technology as part of a new administration, was responding to a lawmaker's question about a Bloomberg News report that chipmaking gear maker ASML Holding NV and Taiwan Semiconductor Manufacturing Co. have the ability to disable the world's most advanced chip machines remotely. China on Thursday escalated military exercises around the island that Beijing considers part of its territory, only days after the self-governing democracy of 23 million inaugurated a new president in Lai Ching-te. Tensions in the Taiwan Strait have caused concern in the US and other leading nations about implications for the global economy -- which counts on TSMC to produce the world's most essential chips. "According to today's smart chip manufacturing technology, it can be done," Wu said. "Whatever industry and machinery, if it is linked online, we can use this smart manufacturing technology to remotely control the machinery, including stopping it."

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☕️ Deux chercheurs français d’INRIA récompensés pour leurs travaux sur le vote électronique

23 mai 2024 à 12:42
Logos de la CNIL et d'INRIA

Alexandre Debant et Lucca Hirschi, membres du projet PESTO (pour « Proof techniques for security protocols ») d’INRIA à l’université de Lorraine, ont été récompensés pour leur article « Reversing, Breaking, and Fixing the French Legislative Election E-Voting Protocol ».

Le prix CNILInria pour la protection de la protection de la vie privée « récompense des équipes de chercheurs situées au moins en partie dans l’Union européenne et qui travaillent à l’amélioration de la protection des données personnelles ou de la vie privée », rappelle la CNIL.

Il s’agit à la fois de rendre les enjeux afférents, et les solutions pour les préserver, « plus visibles auprès du grand public », mais également de « sensibiliser la communauté scientifique et les décideurs » à ces questions.

Les co-présidents du Jury 2023, Catuscia Palemidessi (directrice de recherche à INRIA, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique) et Vincent Toubiana (responsable du LINC, le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL), qui « se sont appuyés sur un jury de 32 chercheurs internationalement reconnus » ont remis leur prix lors de la 17e édition de la conférence internationale Computers Privacy and Data Protection (CPDP).

Présenté en 2023 à la conférence Usenix Security, leur article propose une « analyse technique pointue » de la solution de vote électronique mise en place lors des dernières élections législatives pour que les Français à l’étranger puissent voter.

Les auteurs avaient en effet « identifié plusieurs vulnérabilités et proposé des correctifs qui ont par la suite été déployés », ce qui a entraîné « des impacts très concrets sur l’intégrité et la confidentialité des votes ».

La CNIL précise qu’un second article a également recueilli les critiques très positives du jury : « Marketing to Children Through Online Targeted Advertising: Targeting Mechanisms and Legal Aspects » par Tinhinane Medjkoune, Oana Goga et Juliette Senechal.

Les autrices de cet article proposent en effet « une analyse juridique très claire de la législation qui entoure le ciblage publicitaire des mineurs puis, à la lumière de cette analyse, évaluent la possibilité de cibler des mineurs sur la plateforme de vidéo Youtube ».

Étrangement, la CNIL, qui renseigne les liens vers les profils des 32 membres du jury, ne fournit pas de liens vers les articles mis en avant, ni vers les profils des chercheurs et chercheuses dont il est pourtant question.

☕️ Deux chercheurs français d’INRIA récompensés pour leurs travaux sur le vote électronique

23 mai 2024 à 12:42
Logos de la CNIL et d'INRIA

Alexandre Debant et Lucca Hirschi, membres du projet PESTO (pour « Proof techniques for security protocols ») d’INRIA à l’université de Lorraine, ont été récompensés pour leur article « Reversing, Breaking, and Fixing the French Legislative Election E-Voting Protocol ».

Le prix CNILInria pour la protection de la protection de la vie privée « récompense des équipes de chercheurs situées au moins en partie dans l’Union européenne et qui travaillent à l’amélioration de la protection des données personnelles ou de la vie privée », rappelle la CNIL.

Il s’agit à la fois de rendre les enjeux afférents, et les solutions pour les préserver, « plus visibles auprès du grand public », mais également de « sensibiliser la communauté scientifique et les décideurs » à ces questions.

Les co-présidents du Jury 2023, Catuscia Palemidessi (directrice de recherche à INRIA, l’Institut national de recherche en informatique et en automatique) et Vincent Toubiana (responsable du LINC, le Laboratoire d’Innovation Numérique de la CNIL), qui « se sont appuyés sur un jury de 32 chercheurs internationalement reconnus » ont remis leur prix lors de la 17e édition de la conférence internationale Computers Privacy and Data Protection (CPDP).

Présenté en 2023 à la conférence Usenix Security, leur article propose une « analyse technique pointue » de la solution de vote électronique mise en place lors des dernières élections législatives pour que les Français à l’étranger puissent voter.

Les auteurs avaient en effet « identifié plusieurs vulnérabilités et proposé des correctifs qui ont par la suite été déployés », ce qui a entraîné « des impacts très concrets sur l’intégrité et la confidentialité des votes ».

La CNIL précise qu’un second article a également recueilli les critiques très positives du jury : « Marketing to Children Through Online Targeted Advertising: Targeting Mechanisms and Legal Aspects » par Tinhinane Medjkoune, Oana Goga et Juliette Senechal.

Les autrices de cet article proposent en effet « une analyse juridique très claire de la législation qui entoure le ciblage publicitaire des mineurs puis, à la lumière de cette analyse, évaluent la possibilité de cibler des mineurs sur la plateforme de vidéo Youtube ».

Étrangement, la CNIL, qui renseigne les liens vers les profils des 32 membres du jury, ne fournit pas de liens vers les articles mis en avant, ni vers les profils des chercheurs et chercheuses dont il est pourtant question.

Après 8 années de service et 48 millions de tests, Time Spy fait son bilan

Depuis plusieurs années, les benchmarks 3DMark font le bonheur de ceux qui aiment jauger de leur GPU – et accessoirement d’arènes pour les testeurs qui ont des tas de solutions à comparer dans des conditions équitables ; à ce sujet, n’hésitez pas à jeter un œil à notre EXCELLENT test de la carte graphique Acer RX 7600 Predator Bifrost OC. Time Spy a sévi sur bon nombre de cartes graphiques depuis 2016, année de son lancement (il s’était d’ailleurs paré de sa robe DX12 peu après, en 2017)... [Tout lire]

AtomMan G7 PT : un MiniPC Ryzen 9 7945HX et RX 7600M

23 mai 2024 à 13:01

Minimachines.net en partenariat avec TopAchat.com

On a en effet découvert le AtomMan G7 PT chez Minisforum sous l’appellation HX200G en tout début d’année à l’occasion du CES 2024. Depuis, malgré quelques mises à jour, aucune autre information sourcée n’était tombée sur cet engin. Le constructeur avait promis un lancement pour la fin du mois d’avril et depuis, plus de nouvelles.

L’arrivée du AtomMan G7 PT explique sans doute cette absence. La nouvelle marque cherche à fédérer autour de ce nouveau nom « AtomMan » des produits plus haut de gamme et après quelques machines déjà commercialisées comme le AtomMan X7 Ti et le AtomMan UM890 WE, elle englobe désormais ce nouveau modèle.

Le  AtomMan G7 PT ne change pas vraiment la donne et reste une solution sous Ryzen 9 7945HX, une puce 16 cœurs déployant 32 Threads avec 64 Mo de cache. Un des processeurs les plus puissants accessibles au marché MiniPC. Avec de 55 à 75 watts, c’est un des fleurons de la gamme  Dragon Range d’AMD. Il est accompagné ici d’un circuit graphique Radeon RX 7600M XT épaulé par 8 Go de mémoire dédiée en GDDR6. Un circuit graphique secondaire qui viendra remplacer le Radeon 610M intégré au processeur pour les tâches les plus gourmandes. Cette puce secondaire développer 32 Compute Unit RDNA 3 et consomme tout de même jusqu’à 120 Watts. Des éléments qu’il faudra alimenter et surtout refroidir de manière adéquate.

Minisforum annonce l’emploi d’un refroidissement pouvant encaisser au maximum 205 TDP pour une nuisance de 45 Db. La marque a recours à du métal liquide pour faire entrer en contact les circuits avec pas moins de 8 caloducs et propose un ensemble de quatre ventilateurs  au total./

Deux slots de mémoire SODIMM DDR5-5200 pour un maximum de 96 Go seront embarqués et deux options de stockage disponibles. D’abord un port M.2 2280  en NVMe PCIe 5.0 et ensuite un second port M.2 2280 au format PCIe 4.0. Un module Wi-Fi7 et Bluetooth 5.3 sera égaleme,nt monté sur un port M.2 2230.

La connectique permettra de piloter trois écrans simultanément avec un HDMI 2.1, un  DisplayPort 2.0 et l’emploi d’un USB 3.2 Gen 2 au format Type-C qui fournira sur l’arrière de la machine données et DisplayPort 1.4. On retrouvera également un jack audio combo 3.5 mm accompagné d’un second Jack stéréo classique. Un Ethernet 2.5 Gigabit, quatre USB 3.2 Gen2 Type-A dont un en façade accompagné d’un port de même type mais en USB Type-C.

Toujours pas de date précise ni de prix pour ce modèle qui sera livré par défaut avec Windows 11. Je ne l’attends pas à un miracle sur cet AtomMan G7 PT, on devrait atteindre des prix assez élevés et cela dans toutes ses configurations. 

Aucune idée du fonctionnement de la partie LED RGB disponible sur le côté mais je suppose qu’on pourra changer la plaque proposée pour une plus adaptée à ses goûts ou la laisser éteinte via une option quelconque. 

ATOMMAN G7 PT

Processor AMD Ryzen™9 7945HX Processor, 16 Cores/32 Threads
(64M Cache, up to 5.4 GHz)
GPU AMD Radeon™ RX 7600M XT (GDDR6 8G)
Memory DDR5 Dual channel (SODIMM Slots×2, Up to 5200MHz, Max 96GB)
Storage M.2 2280 PCIe5.0 SSD ×1
Storage Expansion M.2 2280 PCIe4.0 SSD ×1
Wireless Connectivity M.2 2230 WIFI Support (Wi-Fi7 ,BlueTooth 5.3 )
Video Output HDMI 2.1 ×1;DisplayPort 2.0 ×1;USB-C ×1
Audio Output HDMI 2.1 ×1;DisplayPort 2.0 ×1;3.5mm Combo Jack ×1;LINE OUT ×1
Peripherals Interface RJ45 2.5G Ethernet Port×1
USB 3.2 Gen2 Type-A Port ×1(In Front)
USB 3.2 Gen2 Type-A Port ×3(In Back)
USB 3.2 Gen2 Type-C Port ×1(In Front, Data Only)
USB 3.2 Gen2 Type-C Port ×1(In Back, Alt Data and DP)
HDMI ×1
DisplayPort ×1
3.5mm Combo Jack ×1
LINE OUT ×1
MIC IN ×1
Clear CMOS ×1
Power DC 19V (Adapter Included)
System Windows 11

Minisforum AtomMan X7 Ti : Core Ultra 9 185H et OCuLink

Minisforum AtomMan UM890 WE : un Ryzen 9 8945HS watercoolé

AtomMan G7 PT : un MiniPC Ryzen 9 7945HX et RX 7600M © MiniMachines.net. 2024.

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