Australia Proposes Ban On Social Media For Those Under 16
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La situation s’était presque calmée, mais ce n’était que pour mieux repartir. En moins de deux mois, la liste des enseignes victimes de fuites de données ne fait que s’allonger : Boulanger, Cultura, DiviaMobilités, Truffaut, Cybertek et Grosbill (qui font partie du même groupe), l’Assurance retraite, RED by SFR et Meilleurtaux, Ornikar, Free (fixe et mobile). On en compte une de plus : Intermarché.
Dans un message envoyé à des clients (merci aux lecteurs qui nous l’ont transmis), l’entreprise les informe que leur « compte Intermarché a fait l’objet d’un accès par un tiers non autorisé. Celui-ci a pu accéder à vos données personnelles et pourrait les utiliser à des fins de fraude ou décagnottage de votre carte de fidélité, voire d’usurpation d’identité ». L’enseigne affirme que les « données bancaires ne sont pas concernées ».
Problème, l’enseigne ne donne pas le détail des données dérobées. On ne sait pas si les mots de passe – qu’on espère chiffrés et salés – sont dans le lot. D’autant que l’entreprise ajoute : « Afin de protéger vos données personnelles, nous avons mis en place une mesure de changement forcé de votre mot de passe ». En attendant de changer ce dernier, votre compte est bloqué.
Intermarché assure (et heureusement) mener « toutes les actions nécessaires afin de corriger la faille de sécurité et renforcer notre sécurité ». Bien sûr (c’est une obligation), la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été informée de cet incident.
Nous avons contacté la société pour avoir de plus amples renseignements.
La situation s’était presque calmée, mais ce n’était que pour mieux repartir. En moins de deux mois, la liste des enseignes victimes de fuites de données ne fait que s’allonger : Boulanger, Cultura, DiviaMobilités, Truffaut, Cybertek et Grosbill (qui font partie du même groupe), l’Assurance retraite, RED by SFR et Meilleurtaux, Ornikar, Free (fixe et mobile). On en compte une de plus : Intermarché.
Dans un message envoyé à des clients (merci aux lecteurs qui nous l’ont transmis), l’entreprise les informe que leur « compte Intermarché a fait l’objet d’un accès par un tiers non autorisé. Celui-ci a pu accéder à vos données personnelles et pourrait les utiliser à des fins de fraude ou décagnottage de votre carte de fidélité, voire d’usurpation d’identité ». L’enseigne affirme que les « données bancaires ne sont pas concernées ».
Problème, l’enseigne ne donne pas le détail des données dérobées. On ne sait pas si les mots de passe – qu’on espère chiffrés et salés – sont dans le lot. D’autant que l’entreprise ajoute : « Afin de protéger vos données personnelles, nous avons mis en place une mesure de changement forcé de votre mot de passe ». En attendant de changer ce dernier, votre compte est bloqué.
Intermarché assure (et heureusement) mener « toutes les actions nécessaires afin de corriger la faille de sécurité et renforcer notre sécurité ». Bien sûr (c’est une obligation), la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a été informée de cet incident.
Nous avons contacté la société pour avoir de plus amples renseignements.
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Aux États-Unis, les données personnelles des électeurs – adresse physique, nom, âge, affiliation partisane – sont disponibles publiquement. Traditionnellement, il fallait se déplacer auprès de l’administration de chaque État et acheter ou demander les données visées pour les obtenir.
À l’heure d’intenses divisions politiques et de la réélection de Donald Trump, la Voter Reference Foundation a construit un site, VoteRef, qui permet à n’importe qui de chercher très simplement les informations personnelles (et l’historique de vote) de n’importe quel électeur aux États-Unis.
Créée par un ancien responsable de campagne de Trump, la Voter Reference Foundation est une entité promotrice de la (fausse) thèse selon laquelle Joe Biden aurait volé les élections de 2020. Elle veut démontrer l’existence de potentielles irrégularités dans les élections états-uniennes.
Quand bien même les informations qu’elle collecte étaient initialement publiques, effacer toute friction à leur accession crée de réels risques en matière de vie privée et de sécurité, souligne 404 media, probablement sans même que la plupart des électeurs et électrices aient conscience d’être ainsi exposés.
Proton vient d’annoncer plusieurs nouveautés importantes pour son service Drive de stockage à distance, y compris pour Docs.
Ce dernier reçoit ainsi un « mode suggestion chiffré de bout en bout », qui permet notamment aux utilisateurs d’un même document partagé de proposer des modifications. Le suivi de celles-ci est également assuré, de même que le contrôle des versions. Dans son communiqué, Proton met largement en avant sa sécurité face à des solutions plus connues comme Google Docs et Notion.
Les améliorations portées à Proton Drive sont clairement orientées vers les entreprises. Drive reçoit ainsi enfin une fonction de lien public, avec possibilité d’ajouter une date d’expiration. Drive reçoit également une section « Partagé avec moi » pour centraliser l’accès aux fichiers partagés par d’autres personnes.
S’il s’agit d’améliorations importantes pour Proton Drive, on remarque qu’il s’agit de fonctions proposées depuis longtemps par l’ensemble des solutions de stockage distant. Proton veut manifestement séduire les entreprises et a davantage de chances d’y arriver avec les capacités annoncées aujourd’hui.
« Avec les derniers ajouts à Proton Drive, nous établissons une nouvelle norme en matière de collaboration sécurisée », assure ainsi Anant Vijay Singh, chef produit Proton Drive :
« Le mode Suggestion de Proton Docs, la première fonctionnalité d’édition collaborative chiffrée de bout en bout au monde, est spécialement conçu pour les utilisateurs professionnels afin de protéger les informations et documents sensibles. Cet engagement en faveur d’une collaboration sécurisée est au cœur de notre mission : garantir une confidentialité totale lors de l’édition de documents, si sécurisée que même Proton ne peut pas accéder à ces données. Ce niveau de confidentialité et de sécurité est inégalé par les grandes entreprises technologiques ».